Ovnis dans le passé, Beaucoup d'écrits témoignent de la présence à travers tous les âges !!

       

 

            Des ovnis dans les textes anciens

Les sceptiques affirment que les ovnis sont des engins secrets ou les conséquences du développement de la science fiction ou encore une mode une croyance de notre société moderne. Ici ils vont devoir remballer toutes ces explications et constater que les ovnis sont présents tout au long de notre histoire. Plus nous recherchons dans les textes anciens et plus nous découvrons des évènements extraordinaires similaires à des observations d'ovnis et des rencontres avec des êtres étranges. Inutile de nier cela est écrit noir sur blanc et nous ne vous présentons qu'un petit échantillon ici.



Observation à Londres en 1710

Avant toutes choses nous devons comprendre que nous décrivons les choses en fonction de nos connaissances. Par exemple, les Indiens d'Amérique, pour désigner la locomotive créé par les Américains, la nommaient "cheval de fer". Ceci explique les noms donnés au phénomène Ovni, "chariots de feu", "nuées lumineuses", "cheval ailé", "bouclier lumineux", " boucliers de feu" "Vimanas" des Indes antiques, "cercles de feu" dans le ciel d'Egypte, "Arche dans la nue", "Nuée" avançant devant le peuple hébreux dans le désert, dont regorgent les textes anciens et quantités d'autres étranges engins volants, assurément réels pour les témoins de leur temps, attestent que les "dieux" de l'Antiquité se déplaçaient dans le ciel, sinon dans l'Espace. Pas de manière allégorique comme le célèbre "char du soleil" d'Hermès aux pieds ailés qu'on imagine peut-être à tort comme une représentation purement symbolique de la course du soleil dans le ciel, mais bel et bien en chair et en os pour les voyageurs et de métal pour les engins. Certains même se livrèrent des batailles titanesques depuis ces engins volants si l'on en croit les "Vedas" et l'Epopée de Gilgamesh.

Nos ancêtres ont vu des choses dans le ciel

Une observation illustrée datant de 1566:

Entre 1561 et 1566, les habitants de Nuremberg en Allemagne et Bâle en Suisse furent témoins de phénomènes extraordinaires dans le ciel: de véritables ballets aériens de sphères, disques, tubes engagés dans des ballets voire des batailles sont décrits.

 

Ovni

Le 7 août, à l'aube, de nombreux citoyens de Bâle (Suisse), effarés, peuvent voir pendant plusieurs heures des sphères noires se livrant à une formidable bataille aérienne, envahissant le ciel de leur cité: "à l'heure du lever du soleil, on a vu dans l'air beaucoup de grosses boules noires qui se dirigeaient à grande vitesse vers le soleil, puis qui firent demi-tour, s'entrechoquant les unes les autres comme si elles menaient un combat, un grand nombre d'entre elles devinrent rouges et ignées, par la suite elles se consumèrent et s'éteignirent" écrivit Samuel Coccius, l'étudiant en "écritures sacrées et en arts libéraux" qui consigna les étranges événements dans la gazette de la ville.

 Une observation datant de 1561 Bâle en Suisse :

Entre 1561 et 1566, les habitants de Nuremberg en Allemagne et Bâle en Suisse furent témoins de phénomènes extraordinaires dans le ciel: de véritables ballets aériens de sphères, disques, tubes engagées dans des ballets voire des batailles avec crash à la clé.

 Voici une gravure d'une bataille aérienne entre ovnis au dessus des cieux de Nuremberg en Allemagne le 4 Avril 1561. Certains vaisseaux se sont écrasés. En raison des croyances religieuses des artistes médiévaux, les fuselages et ailes deviennent des croix et les fusées des tubes emplis de sphères.

 

Vous noterez qu'il semble que deux personnages sont témoins du crash d'au moins un des objets volants.

Le 4 avril à l'aube, dans le ciel de Nuremberg (Allemagne), beaucoup d'hommes et de femmes voient se produire un très effrayant spectacle où interviennent divers objets, dont des boules: "environ 3 dans la longueur, de temps en temps, quatre dans un carré, beaucoup restaient isolées, et entre ces boules, on vit nombre de croix couleur de sang. Puis on vit deux grand tuyaux, dans lesquels petits et grands tuyaux, se trouvaient 3 boules, également quatre ou plus. Tous ces éléments commencèrent à lutter les uns contre les autres." (Gazette de la ville de Nuremberg).

 L'événement dure 1 h et connaît un tel retentissement qu'un artiste, Hans Glaser, en exécute une gravure à l'époque. On décrit deux immenses cylindres noirs lançant de nombreuses sphères bleues, noires et rouge sang, des croix rouge sang et des disques. Ils semblent se livrer bataille dans le ciel. A en juger par la gravure de Glaser, certaines de ces sphères se seraient écrasées au sol, à l'extérieur de la ville.

 Observation à Hambourg, 1697:


Encore une autre observation d'OVNIs, parmi les nombreuses observations anciennes de toutes époques et de toutes cultures, qui montre au moins que le phénomène OVNI, quel qu'il soit, a existé avant les bandes dessinées de science-fiction.


Ovnis 2
Cette illustration montre l'observation de deux OVNIs au-dessus de Hambourg, en Allemagne, le 4 Novembre 1697. Les objets ont été décrits comme "deux roues lumineuses".

 

Observation au château de Windsor, 1783:


Encore une autre observation d'OVNI, parmi les nombreuses observations anciennes de toutes époques et de toutes cultures, qui montre au moins que le phénomène OVNI a existé avant les bandes dessinées de science-fiction.

 UN CAS ILLUSTRE DE 1783:

Ovnis 3

 

Cette illustration dépeint une observation qui a eu lieu à 21:45 dans la soirée du 18 août 1783, quand quatre témoins sur la terrasse du château de Windsor ont observé un objet lumineux dans les cieux de Home Counties en Angleterre. L'illustration a été réalisée d'après les indications de Thomas Sandby, un fondateur de l'Académie Royale, et de son frère Paul, tous les deux ayant été témoins de l'événement.

 Le recit:

L'observation a été enregistré l'année suivante dans les "Transactions Philosophiques de la Société Royale", qui rapporte ce que les témoins ont observé:

"Un nuage oblong se déplaçant plus ou moins parallèlement à l'horizon. Sous ce nuage on pouvait voir un objet lumineux qui est rapidement devenu sphérique, s'est brillamment éclairé, puis qui a fait une halte. Cette sphère étrange a semblé d'abord être de couleurs bleu-clair, mais alors sa luminosité a augmenté et bientôt elle est partie plus loin vers l'Est. L'objet a alors changé de direction et s'est déplacé parallèlement à l'horizon avant de disparaître au Sud-Est; la lumière qu'il fournissait était prodigieuse; elle éclairait tout sur la terre."

 Toutefois, par une personne qui participait à une discussion sur cette affaire, j'ai pu recevoir des scans d'un texte visiblement d'époque, malheureusement sans sources, mais qui raconte deux toutes autres histoires.

 La première est un témoignage sur ce qui apparaît être le même événement, témoignage qui semble assez "fantasque", il y a est question de brûmes sulfureuses, et d'un phénomène décrit comme d'abord immobile puis se déplaçant, aucune durée n'étant indiquée.

 La deuxième semble être de la même source inconnue, mais cette fois le témoignage semble bien plus précis, et ne laisse pratiquement aucune place au doute: il s'agit bien d'un météore.

 Gennes sud de la France (1608)

Ovnis 4

En Août 1608, les habitants du Sud la France, de Marseille à Gênes, assistent à une véritable vague d'OVNIs, relatée dans une chronique d'époque intitulée "Discours des terribles et espouvantables signes apparus sur la mer de Gennes".

Voici un des plus vieux documents découvert il y a peu datant de 1608 rédige par un certain Pierre Ménier "portier de la porte saint-victor", ici il n'est pas question de"soucoupes volantes" puisque le terme n'existait pas encore.

le document se présente sous le forme d'une vieille brochure comme on en voyait tant au XVIIe siècle , le récit s'étale sur 7 pages, et est écrit en français de l'époque pour vous faire votre propre interprétation je vous préssente donc le document tel qu'il fut écrit.

" Discours des terribles et épouvantables signes apparus sur la mer de Gennes au commencement d'aoust dernier avec les prodiges du sang qui est tombé du ciel, en pluye du costé de Nice et en plusieurs endroicts de la provence,ensemble l'apparition de deux hommes en l'air lesquels se sont battus par plusieurs fois, sur l'isle de Martegue qui est une ville sur la mer a cinq lieues de Marseille "

Mr Ménier parle de pluie de sang , phénomène météorologique tres connu de nos jours , sans doute des pluies venues d'Afrique du nord et rougies par la présence de micro organismes. lui y voyait l'expression de la colère de dieu . pour ne pas perdre de temps je passerais donc directement aux recits de combats aeriens et d'apparitions d'engins étranges dans le ciel de notre beau sud.

" Au commencement du moys d'aoust de l'an mix six cens huit, sur la mer de Gennes s'est veu les plus horribles signes que de mémoire d'homme ait esté parlé, ny escrit, les uns estoient en figures humaines ayant des bras qui semblaient estre couverts d'écailles et tennaient en chacune de leur main deux horribles serpens volans, qui leur entortilloient les bras, et ne paraissoyent que depuis le nombril, en haut hors de la mer et jettaient des cris si horribles, que c'estoit chose du tout épouvantable, et parfois se plongeoyent dans la mer, puis ressortoyent en d'autres endroits loin de la, heurloyent des cris si épouvantables que plusieurs en ont este malades de la peur qu'ils en ont eu, ils en voyaient qui semblaient estre en figure de femmes ; d'autres avoient le corps comme corps humains, tout couvert d'écailles, mais la teste estoit en forme d'un dragon."

Prenez bien en considération que pour ces événements l'auteur compare ces événements avec des éléments familiers propre a l'epoque (par exemple "la tête était en forme de dragon" qu'est ce qu'un dragon pour ces gens à l'époque?). Quoi qu'il en soit les Gennois voient des formes métalliques sortir de la mer se déplaçant sous l'eau et produisant un bruit terrifiant, ces apparitions ayant débutée depuis le premier Aout et se reproduisaient souvent , les autorités décidèrent de passer a l'attaque.

" la seigneurie fit tramer quelques canons pour tascher de les faire oster de ce lieu, et leur fut tiré quelque huit cens coups de canon, mais en vain, car ils ne s'en estonnerent nullement."

vous rendez vous compte 800 coups de canon! qui ne donnèrent rien, le 15 aout ( jour de l'assomption) les choses deviennent encore plus sérieuse pour les Gennois , depuis deux semaine déjà ils vivaient
dans l'angoisse :

" le quinzième aouut apparurent sur la dite mer du port de Gennes trois carrosses trainant chacune par six figures toutes en feu, en semblance de dragon. et marchaient les dictes carrosses, l'une a l'oposite de l'autre et estoient les dits carrosses trainées par lesdicts signes qui avoient toujours leurs serpens, en continuant leurs cris épouvantables et s'approchaient assez prés de Gennes, tellement que les spectateurs, du
moins la plus grand part, étonnez s'enfuirent, craignant les effets d'un tel prodige, mais comme ils eurent faict la virevolee par trois fois le long du port apres qu'ils eurent jette des cris si puissants de bruit qu'ils faisaient retentir les montagnes des environs, ils se perdirent tous dedans la dite mer et depuis l'on n'en a veu ny sceu aucune nouvelle."

Trois carroses propulsés par ces fameuses figures en feu ressemblant a des dragons  qui se balladent au dessus de la ville terrorisant la populations:

"ceci apporte grand dommage a plusieurs des citoyens de Gennes, les uns qui en sont morts de peur comme entre autres le fils du sieur Gasparino de Loro , et aussi le frere du signor Antonio Bagatelo, plusieurs femmes aussi en ont esté affliges et en sont mortes. Depuis l'on chante le te deum , ils se sont evanouis."

Vague d'ovnis à Nice en 1608 (France)

NICE 1608 - Dans les archives de la ville de Nice, une bien curieuse histoire d'intervention extraterrestres fût retrouvée. Nous allons maintenant vous livrer ce document.

LE PORT DE NICE 1608

Au début du xvii ème siècle, Nice port principal du Royaume du Piémont connait une période de grande prospérité. L'imposante forteresse qui domine la ville décourage les incursions barbares qui ravagent régulièrement les côtes voisines. Sur le quai de riches demeures aux balcons ouvragés. Dans cette charmante cité maritime on respire la paix dans un climat paradisiaque, quand soudain !…..

Au crépuscule du 5 aout 1608, les niçois voient apparaître dans le ciel, trois masses lumineuses se déplaçant à grande vitesse. Les engins s'arrêtent au dessus de la forteresse. Ils descendent à 1 m de la surface de la mer, à faible vitesse. Les habitants peuvent examiner en détails les trois engins. Se maintenant proche de l'eau les trois masses provoquent une sorte de bouillonnement de l'eau avec dégagement d'une vapeur ocre-orangé, dans un bruit infernal. De l'un des engins surgit un être, puis deux……

Ces deux personnages plongent dans l'eau jusqu'aux hanches. Leurs bras maintiennent à la verticale deux tubes raccordés à la ceinture. Pendant deux heures les engins les engins restent pratiquement en cette position. Puis les êtres embarquent vers 22 h, les engins partent vers l'Est, dans un bruit infernal, et disparaissent en quelques secondes.

Les Niçois attribuant ce phénomène à un avertissement de Dieu, ils s'ébranlent en de longues processions religieuses, portant le christ en tête, jusqu'à l'aube du 6 août 1608. Au matin du 22 août, les trois engins se présentent à Gênes. Informé des évènement survenus à Nice 17 jours accaparant, ils déclenchent un violent tir d'artillerie sur les trois vaisseaux. 800 boulets sont ainsi tirés, sans que les engins ne subissent de dommage. Après une heure d'évolution au dessus des flot, un engin se détache du groupe et fonce sur la ville à une vitesse vertigineuse. Une folle panique s'empare alors de la population, et l'on relève plusieurs morts et blessés après le passage de l'engin à la suite de piétinement, émotions ou radiations émises par le vaisseau. Les trois vaisseaux se regroupent ensuite et disparaissent vers l'Est à une vitesse vertigineuse.

Le 25 août 1608, dans le ciel de Martigues apparait un vaisseau spatial qui évolue durant une 1 h 30 au dessus de l'agglomération. Deux êtres sortent du vaisseau, évoluant autour de l'engin et semblant se livrer à un duel en plein ciel. Ce sera la dernière manifestation relaté par cet écrit dans la région Méditerranéenne. Une semaine plus tard, d'abondantes pluies rouge comme le sang tombent dans la région. Les habitants pensent qu'il s'agit de sang, et qu'ils ont à faire à une vengeance divine, à la suite des événements de Martigues, Nice ou Gènes !…..Pendant quarante jours les chapelles, églises et cathédrales de la région allant de Martigues à Gènes, voient une foule énorme venir prier jour et nuit.



Globe de feu au-dessus de la frégate de Forbin,
 

Ovnis 5
 

 

 Golfe de Noto (Sicile), Janvier 1702

par Jacques Costagliola

Le célèbre marin français Forbin, chef d’escadre des armées navales de Louis XIV, rapporte dans ses mémoires, l’observation qu’il fit, âgé de 45 ans, capitaine de vaisseau commandant la frégate Galatée, une nuit de janvier 1702, de ce qu’on appelait alors globe de feu volant et que l’on confondait plus ou moins avec la foudre en boule, les comètes, les météorites, et qui ressemblent bougrement aux ovnis sphéroïdes hyper lumineux d’aujourd’hui. Notons qu'il semble que ce soit la première observation d'un tel phénomène rapportée par un témoin bien identifié.

Nous reçumes l’ordre, le sieur Clairon et moi, de monter, moi, une frégate de seize canons et lui, une de huit, et de partir incessament de Toulon pour aller croiser dans le golfe Adriatique (intercepter les renforts envoyés de Croatie vers Trieste et Fiume au prince Eugène en Lombardie. Les frégates Galatée (commandant Claude de Forbin) et Gentille (Cléron de Kerdreux) ont été armées à Toulon le 23.12.1701). Je partis donc avec ma conserve pour aller selon mes instructions mouiller à Brindes dans le royaume de Naples à l’entrée de la mer Adriatique… Le mauvais temps qui, depuis mon départ ne me quitta plus, me sépara assez tôt du sieur Clairon. Les vents étoient si contraires que je fus trois semaines depuis Toulon jusqu’à la hauteur de la Sardaigne. Enfin, ne pouvant résister à la mer qui étoit fort grosse, je fus contraint de relâcher à Cagliari… De Cagliari, je continuai ma route, le vent contraire m’ayant repris vers le cap Passaro, sur les côtes de Sicile, je fus obligé de trouver un asyle et d’y mouiller. On vint m’avertir pendant la nuit qu’il paroissoit un nouveau soleil dans le ciel. Je montai sur le pont, et je vis effectivement un grand feu qui brûloit en l’air et qui éclairoit assez pour pouvoir lire une lettre. Quoique le vent fût très-violent, ce météore ne branloit point ; il brûla environ pendant deux heures, et disparut en s’éteignant peu à peu. Les pilotes, les matelots et tout l’équipage, effrayés, le regardèrent comme la marque infaillible d’une tempête dont nous étions menacés. Il ne fut jamais possible de les tirer de là ; j’eus beau leur dire que ce feu ne pouvoit être formé que par des exhalaisons du mont Gibel, dont nous étions fort près, il n’y eut jamais moyen de les persuader, et ils ne revinrent de leur terreur que lorsque nous fûmes devant Brindes où nous arrivâmes sans que notre navigation eût été troublée autrement que par le vent contraire, contre lequel nous eûmes toujours à lutter.

…Je fis voile vers Duras, port de mer appartenant au Grand Seigneur. J’y trouvai le sieur Clairon qui commandoit ma conserve.

…Il (l’ambassadeur de France à Venise) s’en retourna en riant bien fort de la panique que ma seule chaloupe avait répandu dans Venise. Il est vrai qu’on me craignoit si fort dans ce pays, que j’y étais passé en proverbe et que le souhait ordinaire que les patrons allant en mer s’entrefaisoient les uns les autres étoit de dire, après s’être recommandé à Saint-Marc : ‘Iddio ci guardi della bollina1 e del cavaglier di Forbino.2

(1) Bollina est une espèce de météore que les matelots regardent comme le présage d’une tempête prochaine. (Note de Forbin) Dieu vous garde de la bolline et du chevalier de Forbin. Bollina semble différent de bolina (bouline) et de bollino (tiquet).

(Mémoires du comte de Forbin, chef d’escadre, chevalier de l’ordre militaire de Saint Louis, à Amsterdam, François Girardi, imprimeur, 1730, 1748, T.II, p.50 & 140

Résumons les éléments qui pourraient être ovniens :

Un soir de tempête de janvier 1702, Forbin met sa frégate à l’abri relatif du golfe de Noto. En pleine nuit l’officier de quart fait réveiller le commandant : un deuxième soleil est apparu ! Il monte sur le pont et constate qu’un globe de feu stationne au-dessus de la frégate, insensible aux rafales de vent et de pluie, éclairant assez pour lire une lettre, s’y maintient deux heures, et finalement se dissipe peu à peu sur place. Il ne donne ni la taille apparente, ni l’altitude, mais on peut inférer de la comparaison de l’homme de quart que ce globe avait la taille de la lune et, de cette grandeur et du temps épouvantable, une hauteur du phénomène inférieure à celle des nuages. L’équipage est paniqué par ce phénomène dont ils ont entendu dire qu’il présageait la colère du ciel, qu’ils subissaient déjà. Forbin les rassure en parlant d’exhalaisons du mont Gibel, qui est à 50 km à l’intérieur des terres et culmine péniblement à 900 m. Il aurait pu aussi bien invoquer une éruption de l’Etna à 150 km dans le nord, dont les vomissements n’ont pas pour habitude de stationner dans le ciel. Exhalaisons est l’ancêtre du gaz des marais d’Hynek, invoqué en urgence deux siècles et demi plus tard dans des circonstances proches.

De ce phénomène, appelé bollina par les pêcheurs de l’Adriatique, Forbin écrit encore quelques pages plus loin qu’ils en font une incantation avant de prendre la mer. Je n’ai pas trouvé Bollina dans le dictionnaire mais seulement Bollino : tiquet, timbre, crampon et Bolina : bouline ou cordage d'une voile destiné à soulager une voile qui fatigue, et punition à coups de boulines. Est-ce un autre mot ou une faute d’orthographe de Forbin ? Comme il en fait une à Cléron. Je penche pour un dérivé de boule.

Il ne peut s’agir d’une météorite, ni d’un ballon, qui ne viendra au jour qu’en 1780. Le diagnostic différentiel est facile, la station de deux heures élimine tout météore solide, et aucun objet aérien artificiel créé par l’homme n’existait en 1702. On pourrait invoquer la lune, ce serait faire injure à des officiers de marine, et elle ne fait pas du sur place ni n’éclaire comme le soleil, ou une aurore boréale, qui ne donne pas à ces latitudes une image proche et n’éclaire jamais comme en plein jour. Reste le globe de feu volant de nature et d’origine inconnue (Le Roy), forme dixhuitième siècle de l’ovni. De plus, il semble que, tant les marins français qu'italiens connaissaient ce type de météore et le craignaient comme annonciateur de catastrophe. Cette observation parlante par son auteur et les termes précis qu’il emploie, qui sont ceux d’aujourd’hui, n'a jamais été citée. C'est aussi la première fois qu'on tient le témoignage direct d'un Ancien, de plus marin habitué à scruter la mer et le ciel ! D’autant plus crédible qu’il croyait, comme les savants de l’époque, qu’il s’agissait d’un phénomène naturel qu’on finirait par comprendre un jour.

Jacques Costagliola
octobre 2005



Des ovnis dans l'antiquité

Julius Obsequens, historien romain païen du IVe siècle, dans son "livre des prodiges" parle :

"De trois lunes qui apparurent dans le ciel de la mer Égée et de la détonation épouvantable qui accompagna l'apparition d'un globe de feu du côté du septentrion".

Il relate dans son œuvre nommée Prodigia qu'en 216 av. JC, " des choses comme des nefs furent vues dans le ciel " de l'Italie"

Trois soleils resplendirent en même temps cette nuit dont je parle et plusieurs étoiles traversèrent le ciel à Lanuvio, en 175 avant J.C..

A Capou, on vit, au milieu de la nuit, le soleil et, le même jour, à Formie, deux soleils apparurent ensemble...

En 122 avant notre ère, en Gaule, apparurent trois soleils et trois lunes.

En 91 avant notre ère, près de Spolète, une boule de feu jaune roula sur le sol, grandit puis remonta vers l'Orient en se faisant si grosse qu'elle cacha le soleil."

Pline l'Ancien, 30-79 ap. JC à Rome, dans histoire naturelle, relate  :

"Le vol d'un bouclier de feu (clypeus, bouclier rond) qui se propulsa d'est en ouest en jetant des étincelles vers l'an 100 av. J.C."

"Des barres brillantes apparaissent dans le ciel, semblables à celles qu'on vit après la défaite de la flotte qui coûta aux Lacédémoniens leur suprématie en Grèce ; Une étincelle détachée d'une étoile augmente de volume en se rapprochant de la terre et, après avoir atteint la taille de la lune, diffuse une faible clarté pour se retirer ensuite dans le ciel sous la forme d'une torche. Ce phénomène s'est passé sous le consulat de G. Octavius et de C. Siribonius et il eut pour témoins le proconsul Sclanius et ses amis ; On voit aussi des étoiles « aller dans toutes les directions sans qu'on sente le moindre vent se lever »

Sous le consulat de Valerius et de G. Martius, une plaque de feu ronde traverse le ciel au coucher du soleil, de l'occident à l'orient, en laissant des traînées d'étincelles. "

Sénèque, vers 4 - 65 ap. JC dans Questions naturelles :

" On discute pour savoir si on doit considérer comme de la même sorte les barres tonnantes et les météores tonnants dont l'apparition est assez rare ; et ces boules de feu qui se rencontrent et qui dépassent parfois la taille du soleil (...) et ce ciel enflammé dont l'histoire fait souvent mention ; et cette lumière parfois si puissante qu'on la confond avec celle des astres, et quelquefois si faible qu'on peut la prendre pour un incendie lointain "

Cicéron, dans De Divinatione , livre I, Chap. 43, 50 avant J.C  :

"Combien de fois le sénat n'a-t-il pas ordonné aux décemvirs de consulter les livres sibyllins. Dans combien d'affaires et combien souvent ne s'est-il pas conformé aux indications données par les haruspices ! Par exemple quand le soleil a paru se dédoubler, quand on a vu trois lunes, quand des lueurs semblables à des torches allumées sont apparues dans le ciel, quand la nuit la lumière solaire a resplendi, quand un fracas s'est fait entendre au firmament, quand la voûte céleste a semblé s'entrouvrir et qu'on a cru apercevoir des globes par delà."

Tite-Live, dans " L'Histoire Romaine :

"Dans la province d'Amiterna, on vit en de nombreux endroits, l'apparence d'hommes vêtus de blanc venant de très loin . Le globe du soleil devint plus petit. A Praeneste, des lampes , à Arpia, un bouclier et des vaisseaux fantômes sont apparus dans le ciel."

Ramayana, texte Hindou IIIe siecle av. J.C. et IIIe siecle ap. J.C. :

Note : le terme vimana est utilisé en hindi moderne (langue officielle de l'Union indienne) pour décrire un avion.

"Solide et durable doit être fait le corps du vimana, comme un grand oiseau Volant fait de matière légère. A l'intérieur doit être mis le moteur à mercure avec son appareil métallique chauffant en dessous. Grâce à la puissance latente dans le mercure qui permet le déplacement, un homme assis à l'intérieur peut voyager à grande distance dans le ciel. Les mouvements du vimana sont tels qu'il peut monter verticalement, descendre verticalement, s'incliner en avant et en arrière. Avec l'aide des machines, l'être humain peut voler dans l'air et finalement revenir sur le sol. "

Srimad - Bhagavatam, texte Hindou, classique de la littérature védique :

"Voici maintenant le grand chariot de Vata ! La destruction vient avec lui et le tonnerre est son bruit. Les cieux il touche, faisant rougeoyer la lumière et fait tourbillonner la poussière sur la terre "

Rig-Veda, le plus ancien des textes hindous appelés Vedas. :

"Un chariot aérien, le Pushpaka, transporte beaucoup de personnes à la capitale d'Ayodhya. Le ciel est plein de machines volantes suspendues, aussi noires que la nuit, mais pleines de lumières avec un halo jaune. "

"Le cruel Salva est arrivé monté sur le chariot Saubha qui pouvait aller n'importe où, et de lui, il a tué beaucoup de jeunes vaillants Vrishni et à méchamment dévasté tous les jardins de la cité. "

Mahabharata, épopée sanskrite de la mythologie Hindou :

"Il s'accrocha à son Saubha dans le ciel, à une longueur d'avance… il me jeta des lances, des pointes, des haches, des javelots, des torches, et sans aucune pause… le ciel semblait contenir des centaines de soleils, une centaine de lunes… et des myriades d'étoiles. A ce moment, il n'était plus possible de faire la différence entre le jour et la nuit. "

"Le vimana occupé par Salva était mystérieux. Il était si extraordinaire que quelquefois beaucoup de vimanas pouvaient apparaître dans le ciel, et parfois aucun n'étaient visible. Quelquefois le vimana était visible et quelquefois pas, et les guerriers de la dynastie Yadu étaient perturbés par ce vimana spécial. Quelquefois ils pouvaient le voir sur le sol, quelquefois voler dans le ciel, quelquefois rester sur le sommet d'une montagne et quelquefois flotter sur l'eau. Le vimana merveilleux volait dans le ciel comme un tison tourbillonnant. Il n'est pas resté sur place un seul moment."

Boital Pachis, légende Hindou :

"Et voici q'une nuit de la saison chaude, alors qu'ils étaient tous les deux endormis profondément sur le toit en terrasse de leur maison d'été, le voile de la jeune femme glissa de son visage. A ce moment un demi-dieu traversait les airs dans son char. Son regard tombât tout à coup sur elle ; il fit descendre son char, pris la femme à son bord, encore endormie, et l'emporta. Quelques temps après le brahmane se réveilla. Hélas ! sa femme n'était plus auprès de lui. Pris d'inquiétude, il la chercha dans toute la maison, fouilla toutes les rues de la cité, en vain. "Qui a pu l'enlever ? se lamentait-il, où est elle donc allée ?" Son chagrin lui fut fatal. Il mangea du riz qui avait été empoisonné par un serpent, et mourut."

Tibet, "Naissance du Monde", Au Tibet, éd. du seuil. Selon la doctrine  dite "la plus secrète" du vieux Tibet :

"Le premier ancêtre de la famille Rlangs était venu d'en haut, «Après avoir traversé neuf couches atmosphériques », atterrissant sur une haute montagne pour se faire roi chez les hommes. Il était, dit-on, apparenté à six nains (ou êtres de petite taille), lesquels pouvaient à leur gré descendre du ciel et y remonter."

L'Enéide, Livre II, vers 692 et sq., Avant J.C. :

"... A peine eut-il parlé que le tonnerre retentit à gauche ; Un astre détaché du ciel sombre, courrut en rayonnant une vive lumière,. Nous le vîmes descendre jusque sur le toit du palais, puis s'en aller vers la forêt du mont Ida pour y dissimuler sa clarté, laissant derrière lui un long sillage de lumière. Une odeur de souffre fumant remplit les lieux. Alors mon père, vaincu, se lêve, invoque les dieux et adore l'astre sacré."

On notera que le Mont Ida, territoire réservé et consacré à Cybèle, était pour virgile le point de ralliment des Corybantes (ou Khéroubim). Découvrez cette fameuse démonstration de Paul Misraki sur le mot Khéroubim [ICI : Nouvelle fenêtre]

Chroniques du Nihongi, Japon, remonte de la nuit des temps et s'arrête en 697 après J.C. :

"Depuis le moment où notre aïeul céleste descendit sur terre jusqu'à aujourd'hui, un million sept cent quatre-vingt-douze mille quatre cent soixante-dix années se sont écoulées."

"J'ai entendu de la bouche de l'Ancien de la mer qu'à l'est existe un beau pays entouré de montagnes. qui plus est, il y a là Celui qui descendit du Ciel en conduisant une barque oscillante."

L'évèque grégoire de Tours, (historien de Charlemagne) dans "Histoire des Francs" :

"Il évoque un mystérieux passage de "globes de feu" (en 583).

Il vit « une grande sphère descendre comme un éclair dans le ciel de l'Est vers l'Ouest. C'était si brillant que le cheval du monarque rua et que Charlemagne se blessa sévèrement en tombant » . "

William de Newburghs, dans ses "Chroniques" en 1290  raconte :

" qu'un objet rond, plat et argenté vola au-dessus de l'Abbaye en causant une grande frayeur."

Les historiens d'Alexandre le Grand, rapportent :

"l'apparition de « grands boucliers argentés, jetant du feu autour de leur bord » qui survolèrent l'armée du grand Alexandre."

Hérodien, 170-240, dans "Histoire de l'Empire après Marc Aurèle", livre 1 :

"De grands prodiges arrivèrent en ce temps là... On voyait souvent en plein jour des étoiles suspendues en l'air "
Charlemagne, roi de France dans les Capitulaires de l'Empereur,

"déclara que ces Sylphes et leurs engins étaient capables de déchaîner les tempêtes. Il était décidé à leur donner une chasse impitoyable jusqu'à ce que, finalement, il y renonçât. En effet, en accord avec Louis le Débonnaire, Charlemagne rendit des édits qui condamnaient à la torture et à la mort ces Sylphes, ou tyrans de l'air.

Le 1er chapitre des Capitulaires de l'Empereur est significatif à l'égard de ces entités cosmiques et des activités dont elles étaient responsables. Il nous apprend que les Aériens étaient boulversés de constater qu'ils répandaient la terreur dès leur apparition dans les cieux. Cela les incita à se poser dans leurs véhicules volants et à se saisir des hommes et des femmes. Ils voulaient ainsi les instruire pour dissiper la mauvaise opinion que les gens avaient de leur innocente flottille."

Thoutmès III, Pharaon de l'Egypte ancienne (1504-1450 avant J.C.) dans un papyrus (papyrus de Tulli) faisant partie de ses annales :

" En l'année 22, au 3ème mois de l'hiver, à la sixième heure du jour... Les scribes de la Maison de la Vie virent que c'était un cercle de feu qui apparaissait dans le ciel...Il n'avait pas de tête et son haleine avait une odeur fétide. Son corps était long d'une perche et large d'une perche. Il n'avait pas de voix. Comme il jetait la confusion dans leurs coeurs, ils se prosternèrent à plat ventre... Ils se présentèrent à Pharaon... pour le lui raconter. Sa Majesté ordonna... Ainsi tout est écrit dans les rouleaux de papyrus de la Maison de la Vie. Sa Majesté méditait et songeait à cet évènement. Or, au bout de quelques jours, ces choses devinrent encore plus nombreuses dans les cieux. Les cercles de feu brillaient dans le ciel, plus que le soleil, et s'étendaient aux bornes des quatre soutiens du ciel... L'armée de Pharaon les considérait. Sa Majesté se tenant au milieu. C'était après souper. Alors ces cercles de feu montèrent plus haut dans le ciel, vers le sud. Des poissons et des volatiles tombèrent du ciel. Une merveille jamais observée depuis la fondation de la nation. et Pharaon fit apporter de l'encens qu'il brûla afin d'attirer la paix sur le foyer... Et ces évènements furent inscrits sur l'ordre de Pharaon dans les annales de la Maison de la Vie... afin qu'ils ne soient jamais oubliés. "

http://extraneens.free.fr/textes.htm

 

LES OBSERVATIONS ET RENCONTRES EN GRECE ANTIQUE

Ovnis 6

 

 

Une chose est certaine à ce debut du 21ème siècle, Kenneth Arnold n'était pas le premier homme à aperçevoir un OVNI. Dans le passé, en Grèce antique, à Rome, en Israël, en Chine, en Inde, en Colombie (d'aujourd'hui), en Australie... des gens disent avoir vu des OVNIS ou rencontré des extraterrestres. Malheureusement nous ne savons que peu de choses de la Grèce antique, bien que les archéologues apportent de temps en temps des nouvelles informations concernant l'antiquité. Il est certain que ces êtres visitaient la Grèce dans le passé, mais peût-être aussi dans les temps oubliés...

LES HISTOIRES DES ANCIENS ECRIVAINS...

 

Diogenes Laertios (3ème siècle AVANT JC) VIII 72

 

"Heraklides Pontikus a parlé d'un homme qui est tombé de la lune"


Plutarque (Cheronia, 50-120 APRES JC) "Themistokles XV"


"Pendant cette étape de la bataille une lumière provenant d'Elefsis a brillé ; des pleurs et des échos sont remontés du Thriasian à la mer, comme si une foule de mille hommes avait marché vers la mer. C'est alors que de ces sons de la foule est venu un nuage qui est monté lentement au ciel et s'est déplacé à la mer là où les bateaux Perses avaient jété leurs ancres."


Darmiachos


"L'année 468/7 avant JC, un grand objet flambant et brillant fût tombé au sol après 75 jours des mouvements bien curieux dans le ciel "


Diodorus le Cicilean (1er siècle avant JC)


"En 372 avant JC, un mauvais présage annoncait la chute de Sparte. Pendant plusieurs jours une lumière était visible dans le ciel pendant la nuit, une lumière qui ressemblait à un rayon de feu. Quelques jours plus tard les Spartiates ont perdu la bataille"


Callisthenes (4Th Siècle avant JC)


"Le même signe a été vu à 373 avant JC, avant Vouron et Eliki, deux villes d'Achaide à côté de la mer."


Lucian (Samosata de Syrie 121 après JC - Athènes 181 après JC)


"Ikaromenippos" "La distance de la terre à la lune était de 4800 kilomètres et de là au soleil encore 500 lieux et à jusqu'à la planète de Zeus cela devait être un vol de plusieurs jours d'aigle"

 

En 83 avant JC, le général romain Syllas a réuni son armée pour attaquer la Grèce. Lorsque son armée est passé à côté d'Illyrian Apollonia, une ville près de la ville od Dirach en Albanie d'aujourd'hui, ils ont rencontrée un être étrange.


Plutarque (Cheronia, 50-120 après JC) "Syllas"


"Près d'Apollonia et dans les environs se trouve Nympaio, un lieu sacré avec une marche, une vallée étroite et des rivières de feu. Là les soldats de Syllas ont attrapé un satyre. Les soldats ont apporté cette créature étrange devant Syllas et il l'a interrogée, mais elle ne pouvait pas parler, seulement elle a gémi et crié comme une chèvre ou un cheval"


Titos Lucresius Karo (99 - 55 BD) "de rerum natura"


"Il faut considérer que d'autres parties de l'univers sont habitées par des tribus de gens divers et des animaux sauvages "

 

RENCONTRES ANCIENNES

 

Il y a des histoires de créatures humanoïdes qui sont apparues dans le passé et des gens qui les ont rencontré et qui les ont souvent adorées.


Une d'entre elles était Pan, une créature qui a donné son nom au mot "panique" (et panikos en grec). Les paysans grecs étaient heureux avec Pan, une créature qui ressemblait à une chèvre et qui jouait sa flûte (une pipe de canne semblable à celle employée aux Andes).


C'était Pan la créature que Phedipedis, le soldat et coureur de fond a rencontré pendant que les Perses envahissaient la Grèce et marchaient vers Athènes. En 490 avant JC, cette rencontre a dû être très importante parce qu'elle a forcé les Athenians de construire un temple pour la chèvre comme semi Dieu. Phedipedis courait 120 kilomètres par jour d'Athènes à Sparta et retournait à Athènes le jour suivant. Il a rapporté le message d'aide mais les Spartiates ont refusé d'aider.


Plutarque et Hesiod ont écrit que pendant la bataille de Marathon "un homme" inconnu (?) a aidé l'armée grecque avec une sorte d'arme à rayons à plusieurs occasions. Plutarque dans "THESEUS" a écrit que la déesse Athéna et les semis dieux Hercule et Theseus sont venus d'Olympe pour aider à vaincre l'armée Perse. Epimenides, un poète célèbre de la Crète avait une expérience de disparition dans le temps. Etant enfant, son père l'a envoyé à trouver un mouton disparu. Mais c'était un jour chaud et le jeune  Epimenides a trouvé abri à l'intérieur d'une caverne pour se reposer et se protéger du soleil. Quand il s'est réveillé et qu'il est retourné chez lui, il a trouvé son frère 57 ans plus âgé ! Epimenides était tombé dans un sommeil profond, comme Rip Van Winkle. Et c'est arrivé au 7ème siècle avant JC.


On a aussi des histoires racontées par des historiens antiques et des biographes.

 

Les observations d' Alexandre Le Grand

Alexandre le Grand ou Alexandre III de Macédoine (en grec ancien Ἀλέξανδρος Γ' ὁ Μακεδών / Aléxandros III o Makedốn, Ἀλέξανδρος signifiant « protecteur ou repousseur de l’homme ») (né le 21 juillet -356 à Pella, mort le 13 juin -323 à Babylone) est l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité.

 

Alexandre le Grand et l'armée macédonienne auraient vu et rencontré des disques étranges - ils sont mentionnés comme des boucliers métalliques volants - Dans beaucoup d'occasions ces boucliers passaient devant l'armée et semblaient plonger vers la foule des soldats grecs. Par conséquence, les éléphants et les autres animaux utilisés pendant la campagne ont eu peur et les soldats pris de panique, se sont dispersés.

Il y a aussi un renseignement notable concernant le siège de la ville fortifiée de Tyros qu'Alexandre a capturé. Tyros était la première ville à être prise par une équipe de forces spéciales, une unité macédonienne d'élite qu'Alexandre a nommé pour cette tâche difficile.

 

Des observations plus que troublantes

Alexandre Le Grand - Inde ( 329 av. JC. ) a fait des observations d'ovnis pendant des batailles. Voilà les textes qui se rapportent à ces évènements.

"En 329 avant J.C., deux "boucliers d'argent brillant" plongent du ciel vers les troupes d'Alexandre Le Grand, entraînant la dispersion des chevaux et des éléphants. alors qu'ils franchissent le fleuve Jaxarte en Inde et sèment la panique dans les rangs."

Prise de Tyr par Alexandre le Grand

" En 322 avant J.C., lors du siège de Tyr en Phénicie par Alexandre Le Grand et ses troupes, une formation triangulaire composée d'un grand bouclier volant et de quatre plus petits est observée par les soldats des deux camps. Ils décrivent des cercles autour de la cité puis le plus gros envoie un rayon lumineux contre le mur de la cité et le troue, ce qui profite aux troupes d'Alexandre. Les objets repartent après la victoire.

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Il est par ailleurs rapporté que ces « boucliers volants » auraient détruit les murailles de la ville de Tyr, permettant sa prise par les troupes macédoniennes.

C'était pendant le siège de Tyros (332 avant JC) qu'une formation de ces objets a attaqué les murs de cette ville fortifiée et a laissé le champ libre à l'attaque macédonienne, comme l'ont écrit les anciens biographes. "Ces deux armées étaient debout et observaient les boucliers volants argentés venir du ciel et attaquer les murs de Tyros"
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Alexandre assiège Tyr, une ville de Phénicie (le Liban actuel). Les soldats des 2 camps observent avec stupéfaction un large bouclier volant en formation triangulaire avec 4 plus petits boucliers, et décrivant des cercles autour de la cité en guerre. Soudain, le plus gros des ovnis lance un rayon de lumière contre le mur de la cité en face des assaillants et le troue. D'autres rayons sont émis, détruisant les défenses de la citadelle. Les troupes d'Alexandre tirent vite avantage de la situation et pénètrent dans la ville. Les ovnis demeurent dans le ciel jusqu'à ce que l'armée se soit totalement emparée de la ville. Ce n'est qu'alors qu'ils se remettent en route en disparaissent.

Période de 480 avant J.C. à 1700 après JC.

Salamine - Grèce Antique ( 480 av. JC. )

Un objet en forme de corne apparut dans le ciel pendant la bataille de Salamine que les Grecs coalisés livrèrent contre les Perses.

Grèce Antique ( 428 av. JC. )
Le philosophe Anaxagone qui vécut de -500 à -428, dont Périclès et Euripide furent les disciples, vit dans le ciel une lumière considérable et extraordinaire de la dimension d'une grosse poutre. Ce météore resta en place plusieurs jours.

Cnide Grèce Antique ( 395 ou 394 av. JC.)
Des poutres brillent aussi tout à coup, de type semblable, appelées " doxoi " en grec, comme il en apparut lors de la défaite navale qui coûta aux Lacédomiens l'empire de la Grèce ( bataille de Cnide ).

Alexandre Le Grand - Phénicie ( 322 av. JC. )
En 322 av. JC, Alexandre assiégeait Tyr, une ville de Phénicie ( le Liban actuel ). Les soldats des deux camps observèrent avec stupéfaction un large " bouclier volant ", se déplaçant en formation triangulaire accompagné de quatre " boucliers " plus petits, et décrivant des cercles autour de la cité en guerre. Soudain, le plus gros des ovnis lança un rayon de lumière contre le mur de la cité en face des assaillants et le troua. D'autres rayons furent émis, détruisant les défenses de la citadelle. Les troupes d'Alexandre tirèrent vite avantage de la situation et pénétrèrent dans la ville. Les ovnis demeurèrent dans le ciel jusqu'à ce que l'armée se soit totalement emparée de ville. Ce n'est qu'alors qu'ils se remirent en route et disparurent.

Italie - Rome antique ( 223 av. JC. )
A Ariminium une lumière brillante comme le jour illumina la nuit; en de nombreuses régions de l'Italie, trois Lunes devinrent visibles au cours de la nuit.

Italie - Rome antique ( 222 av. JC. )
Trois Lunes sont aussi apparues en même temps, par exemple, sous le consulat de Gnaeus Domitius et Gaius Faunus.

Italie - Rome antique ( 218 av. JC. )
Dans la province d'Amiterna, on vit en de nombreux endroits l'apparence d'hommes en vêtements blancs, venant de très loin. Le globe du Soleil devint plus petit. A Praeneste, des lampes scintillantes dans le ciel. A Arpia, un bouclier dans le ciel.. Des vaisseaux fantômes apparurent dans le ciel.

Arpi - Rome antique ( 217 av. JC. )
A Arpi on vit des boucliers dans les airs et le soleil luttant contre la lune. A Capène deux lunes s'étaient montrées en plein jour. A Faléries il s'était fait dans le ciel une large ouverture par où s'était échappée une grande lumière.

Cannes - France ( 216 av. JC. )
Des objets ronds et des formes de navires avec des occupants furent observés.

Italie - Rome antique ( 216 av. JC. )
Julius Obsequens, un historien romain païen du IVe siècle, relate dans son œuvre nommée Prodigia qu'en 216 av. JC, " des choses comme des nefs furent vues dans le ciel " de l'Italie. Le même phénomène réapparut au-dessus de Rome l'année suivante, et fut également observé au-dessus de la ville de Lanupium ( à 25 km de Rome ) en 170 av. JC., selon un texte allemand du XVIe siècle.

Hadria -Rome antique ( 213 av. JC. )
L' historien romain Titus Livius, né en 59 av. JC et mort en l'an 17 de notre ère ) rapporte une observation faite en 213 av. JC à Hadria, dans le golfe de Venise en Italie, et parle de la présence dans le ciel de ce qui ressemblait à un autel, entouré " de l'étrange spectacle d'hommes vêtus de blanc ".


Setie - Rome antique ( 203 av. JC. )
Julius Obsequens écrit qu'en 203 av. JC., " à Setie ( 80 km de Rome ), une lumière éblouissante comme une torche fut observée dans le ciel, se déplaçant d'Est en ouest ", et qu'elle était accompagnée d'un autre objet.

 

 

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