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1ère femme rabbin aux USA !

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Ce que les chrétiens doivent à leurs frères aînés…

samedi 1er mai 2010, par Abbé Alain René Arbez


Après vingt siècles de christianisme, et de longues périodes d’antisémitisme, la plupart des chrétiens ont quasiment perdu de vue l’origine hébraïque de leur foi. Les développements culturels de la foi issue d’Israël en terre païenne, les conséquences de l’antijudaïsme séculaire, tout a joué dans le sens d’une amnésie spirituelle tragique.

Pourtant, que cela plaise ou non, ce qui structure notre identité et notre pratique chrétiennes est issu du judaïsme : "chrétien" vient de "christ", mot grec pour l’original biblique "messie", (mashiah) terme qui n’aurait aucun sens en dehors de l’histoire d’Israël.
Nos Ecritures saintes elles-mêmes intègrent telle quelle la Bible hébraïque, à laquelle s’ajoutent les écrits du Nouveau Testament, élaborés avec le même matériau en tant que midrash conclusif de l’étape précédente.

Durant le premier siècle, la communauté des disciples de Jésus le Nazaréen était encore massivement juive ; ce n’est qu’au cours du deuxième siècle que les païens arrivant en force dans l’Eglise changent, non sans une certaine brutalité, le profil initial de leur communauté de foi au Dieu d’Israël.
Le terme même d’Eglise, "ecclesia", est une reprise grecque du mot biblique "qehal", l’assemblée des fidèles convoquée par Dieu. (Dans l’épître de Jacques, on trouve d’ailleurs le terme grec "synagogue" pour désigner le rassemblement des chrétiens.) Le mot "paroisse" lui-même, qui vient du grec "paroikia", était déjà utilisé pour désigner les regroupements de Juifs en diaspora, c’est à dire en Perse, en Egypte ou à Rome !

Vers la moitié du premier siècle, Paul le Pharisien devenu familier du Christ ressuscité, écrit à la jeune communauté des Romains : "ce n’est pas toi qui portes la racine, c’est la racine qui te porte !" (Rom 11.18). Quelques décennies plus tard, l’évangile de Jean résumera la démarche en un raccourci saisissant : "le salut vient des Juifs !" (Jn 4.22).

C’est un fait que les premiers disciples et apôtres, tous juifs, comme Jésus, ont poursuivi naturellement leur pratique spécifique : prière, offrande, liturgie, interprétation de l’Ecriture, recherche d’une éthique en prise avec la vie ; c’est bien en tant que croyants juifs qu’ils se sont ouverts à l’universel, et que pour cette raison, quelques décennies après l’expérience de la résurrection, ils ont reçu à Antioche, avec d’autres sympathisants du monothéisme juif, l’appellation de christianoï, c’est à dire messianistes. Après s’être désignés eux-mêmes comme les « viatores », disciples de la Voie, ils ont été progressivement reconnus comme ceux qui croient à "l’avènement des derniers temps". Au tout début du 2ème siècle, au moment même de la rédaction ultime de l’évangile johannique, Ignace d’Antioche affirme : « Là où est le Messie, là est l’Eglise catholique ! »

Le rite du miqvè est pratiqué chez les Juifs comme chez les Chrétiens du 1er siècle, c’est une ablution d’eau accompagnant la circoncision, deux signes d’appartenance au peuple de Dieu. (On appelle alors "baptême des prosélytes" une purification spéciale pour les païens sympathisants du judaïsme mais non circoncis, désirant marquer leur attachement à cette foi).

Peu à peu, seul le baptême subsistera chez les Chrétiens, afin d’assouplir les conditions d’entrée des non-juifs dans la communauté. Après la destruction du Temple de Jérusalem en 70, Juifs et Chrétiens, qui auparavant y priaient ensemble, vont se réunir dans des lieux de prière de remplacement, conscients d’être les uns et les autres la "demeure vivante" de Dieu qui n’abandonne pas les siens. En ce temps de crise, c’est leurs personnes qui deviennent de ce fait le nouveau mishkan, sanctuaire communautaire et itinérant de la Présence divine, la Shekhina.

Pour les Juifs chrétiens, la tefilla, la prière communautaire, se fait toda, action de grâces. C’est le repas eucharistique institué par Jésus dans l’esprit même de la Pâque juive comme actualisation de cet événement salvateur. Pour les Juifs rabbiniques, ce sera le rassemblement à la synagogue autour de la Torah. (A signaler que les catholiques ont gardé le pain azyme du seder pascal accompagnant la coupe de bénédiction, par fidélité au mémorial juif de la libération d’Egypte, le zikkaron.)

Aux deuxième et troisième siècles, lorsque le nombre des Chrétiens s’est développé, on s’est inspiré des synagogues (exemple, l’église de Doura Europos, Syrie) pour construire des basiliques, afin de donner de l’espace aux liturgies ; mais avec comme archétype le Temple de Jérusalem, car l’autel évoque les rites anciens récapitulés dans le sacrifice du Christ. Cette disposition enracine à jamais toute célébration chrétienne dans l’histoire sainte du peuple d’Israël.

L’articulation même de la liturgie chrétienne, (proclamation de la Parole de Dieu, action de grâces, communion) reprend le rythme du cérémonial juif. Le calendrier des fêtes chrétiennes s’inspire des grandes fêtes juives, comme Pâques et Pentecôte. A chaque célébration eucharistique, il y a un seuil pénitentiel, un petit yom kippour. Les prières communautaires de l’Eglise se basent quotidiennement sur la récitation des psaumes, souvent chantés (piyoutîm) selon les traditions synagogales, ce qui va donner naissance au chant grégorien, de tonalité orientale.

Les lampes à huile des sanctuaires rappellent les chandeliers et le décor du Temple de Jérusalem, cette lumière diffuse de la menorah, telle celle de Dieu éclairant les journées hebdomadaires de nos existences ; les processions avec l’encens remémorent les liturgies auxquelles Jésus a participé lors de pèlerinages, et où une fumée d’agréable odeur évoque le mystère caché de la présence transcendante du Dieu vivant, comme aux temps de la nuée de l’exode.

On a souvent insisté sur le fait que Jésus n’était pas prêtre ; ce qui n’est pas tout à fait exact. C’est vrai au sens où il n’était pas lévite, officiant permanent du Temple pour assurer les cérémonies de sacrifices d’expiation. Mais c’est faux, si l’on considère que, suite à l’évolution antérieure du judaïsme post-exilique, tout Juif pratiquant avait clairement conscience d’être membre d’une « nation de prêtres », et donc d’offrir à Dieu un sacrifice spirituel par son engagement religieux et éthique au quotidien.

Pour rendre témoignage au Dieu d’amour de sa Tradition, Jésus est allé jusqu’au sacrifice de sa vie, dans le registre du Serviteur souffrant d’Isaïe, ce que l’auteur de l’épître aux Hébreux considère comme sa manière d’être le grand-prêtre devant Dieu, celui qui ouvre aux fidèles le véritable sanctuaire du salut, celui par qui le sang versé efface définitivement l’empreinte du mal qui aliénait les consciences humaines.

Les ornements de la liturgie chrétienne, comme la chasuble et l’étole du célébrant qui représente toute l’assemblée unie face à Dieu, sont directement inspirés du châle de prière juif, le tallit. Les différentes formes de kiddoush, bénédiction traditionnelle, ont également trouvé leur place dans nos célébrations, sans oublier les onctions d’huile parfumée signes de l’effusion d’Esprit, (lors de la semikha d’envoi en mission d’un ministre ordonné, d’un engagement envers la communauté, d’une prière de guérison et de sérénité pour un malade, etc).

Même le signe de croix sur le front, chose étonnante, vient du judaïsme, tout simplement parce que la lettre hébraïque tav, (voir Ez. 9.4) était communément tracée sur le front de juifs pieux en signe d’attachement à la Torah ; et la forme ancienne du tav était X ou +.
Peut-être est-ce ce que Jésus a voulu dire, si c’est bien avant sa crucifixion qu’il a affirmé à ses disciples : "que celui qui veut être mon disciple porte sa croix…"(Mc 8.34) = c’est à dire "porte son tav, en forme de X", et donc : porte le "joug" de la Torah ?…Jean le présente comme l’aleph et le tav, le commencement et la fin.

Celui qui est venu accomplir et non pas abolir l’enseignement de Moïse et des prophètes nous invite urgemment à retrouver la sève hébraïque de notre foi chrétienne. Ce qui n’est pas une option secondaire, si nous voulons prendre au sérieux l’humanité de Jésus, son enracinement, pour être ses disciples attentifs.
Etre fidèles au rabbi Yeshua "vivant par delà sa mort", signe messianique pour tous les hommes de bonne volonté, c’est inévitablement prendre en compte l’incarnation de la Sagesse des pères et de la voix des prophètes manifestée en lui. Sinon, impossible de considérer qu’en Jésus la logique de l’alliance, par laquelle Dieu rencontre l’humain, est parvenue à son accomplissement.

C’est aussi se donner les moyens de mieux comprendre et de mieux respecter la spiritualité et la piété de nos frères juifs. Le pape Jean-Paul II l’avait formulé de manière provocatrice : «  qui rencontre Jésus Christ rencontre le judaïsme !  »

 

L’ordination des femmes en tant que rabbins existe depuis le XXe siècle dans le

judaïsme.

 

Elle ne demeure toutefois que le fait de la majorité des mouvements libéraux, reconstructionnistes, massortis de cette religion, tandis que le courant orthodoxe rejette, officiellement, leur ordination en tant que rabbins. Les premières traces de femmes souhaitant devenir rabbin remontent aux années 1860[1].

 

Historique [modifier]

Le débat sur l’accession des femmes au rabbinat, au sein des divers courants du Judaïsme se pose notamment par une question de respect de la tradition et des lois du judaïsme (halakha).

Tandis que certains courants autorisent depuis leurs commencements l’ordination des femmes (Judaïsme reconstructionniste), le débat de l’ordination des femmes provoqua un temps une polémique au sein d’autres mouvements (Mouvement Massorti, judaïsme libéral), qui finalement les intégrèrent pour la plupart[2] au sein de cette structure religieuse.

Le mouvement orthodoxe rejette encore quant à lui l’ordination des femmes. Même si plusieurs femmes orthodoxes ont déjà reçu la semicha (équivalent de l’ordination), les institutions orthodoxes rejettent ces actions et excluent les femmes des séminaires théologiques et des écoles rabbiniques.

Les femmes rabbins restent très peu nombreuses en Europe, à l’inverse des États-Unis, où les courants libéraux possèdent une plus grande importance.

De même est-ce aux Etats-Unis que le premier rabbin transsexuel (une femme devenue homme), Reuben Zellman, a été ordonné, le 16 mai 2010[3]. Il est rabbin au temple Beth El de Berkeley (Californie)[4].

Quelques femmes rabbins [modifier]

Également, Asenath Barzani, une Juive kurde du XVIIe siècle, reçut le titre de Tanna'it et dirigeait une yechiva.

 

La semikha (hébreu : סמיכה לרבנות « imposition [des mains] pour [conférer] l'autorité rabbinique ») est le processus de transmission d'autorité au sein des enfants d'Israël, désignant un individu comme rabbin.

La cérémonie, réalisée à l'origine par imposition des mains, a disparu aux alentours du IVe siècle ou, selon certains, du XIe siècle de l'ère commune. La semikhout (hébreu : סמיכות) consistant en la remise d'un « diplôme rabbinique » par une institution ou une haute école rabbinique, est apparue dans les derniers siècles. Visant à émuler l'ordination des prêtres, elle n'est pas uniformément appliquée. Parallèlement, plusieurs tentatives, relativement marginales au sein du monde juif, ont été menées pour ressusciter la semikha au cours des siècles.

Dans la Bible hébraïque [modifier]

L'institution de la semikha naît du geste de Moïse qui transmet son autorité à Josué bin Noun en lui imposant ses mains au-devant du peuple et en présence d'Eléazar le Cohen Gadol[1]. Il en fait de même avec les 70 Anciens[2].

Ce geste est également mentionné dans le rituel de l'offrande en holocauste pour transmettre à un animal le poids des fautes de celui qui l'offre[3]. Il s'agit dans les deux cas d'une transmission spirituelle médiée par un contact matériel.

Dans la Mishna et les Talmuds

Selon le rite décrit par la Mishna sous le nom de semikha[4], une cour de trois personnes, dont une au moins possède une semikha, doit se tenir assemblée en terre d'Israël pour désigner un nouvel individu comme apte à recevoir l'autorité ; l'imposition des mains représente effectivement l'ordination[5]. Le Talmud définit trois classes de semikhot[6] :

  • yorè yorè (« décidera-t-il ? Il décidera ») permet à son récipiendaire de se prononcer sur des points de la vie quotidienne ainsi que sur les lois de permis et d'interdit (ces points sont actuellement couverts par les sections Orah Hayim et Yore Dea du Choulhan Aroukh)
  • yadin yadin (« jugera-t-il ? Il jugera ») permet en outre de siéger dans les tribunaux pour trancher dans les litiges sur l'argent et les biens (ces points sont actuellement couverts par la section Hoshen Mishpat)
  • yatir bekhorot yatir (« autorisera-t-il les premiers-nés ? Il autorisera ») est le degré le plus élevé, reconnaissant au récipiendaire l'autorité de se prononcer sur des points fort subtils comme la détermination du statut rituel des premiers-nés des animaux sur lesquels on observe une tache. Ce degré (qui n'est plus délivré de nos jours) requiert des connaissances vétérinaires étendues.

Seules les personnes ayant obtenu la semikha ont l'autorité de prendre des décisions religieuses et juridiques[7]. De plus, elles seules peuvent porter le titre de rabbi ou ribbi (« mon maître »), les Sages de Babylone ne pouvant prétendre qu'à celui de rav (« maître »).

Bien que la semikha n'ait pas été mentionnée explicitement dans cet intervalle, la tradition juive suppose que la chaîne de transmission de Moïse jusqu'aux hommes de la Grande Assemblée[8] et de ceux-ci à leurs disciples s'est effectuée par son biais sans interruption jusqu'à la chute du Second Temple de Jérusalem, au premier siècle de l'ère commune[9].

Suite à la révolte de Bar Kokhba, le pouvoir romain prend de nombreuses mesures pour affaiblir la Judée, parmi lesquelles la destitution du Sanhédrin et, selon le Talmud, l'interdiction de procéder aux semikhot, sous peine de mort pour tous ceux qui la donneraient ou l'accepteraient (et de destruction de la ville où la cérémonie se serait tenue)[10]. Le vénérable Juda ben Baba prend sur lui de transmettre la semikha à cinq disciples de Rabbi Akiva, récemment mort en martyr, préservant ainsi la tradition et payant de sa vie pour cela[11]. Il crée de la sorte un précédent, où il suffit d'un rabbin pour ordonner un nouveau rabbin sans la présence d'une cour.

Selon les autorités médiévales, la semikha a disparu bien avant la clôture du Talmud, au temps de Hillel II (vers 360 EC)[12]. Toutefois, certains soutiennent qu'à l'instar des traditions crypto-juives parmi les convertis de force à d'autres religions, la semikha survit clandestinement et que des rabbins libanais et syriens se rendent encore en terre d'Israël au XIe siècle pour la recevoir.

 

En effet, divers prophètes, dont Élie, reçoivent le titre de Rabbi[13]. D'autre part, e la sorte, on peut considérer que, comme toute personne transmettant son autorité l'a lui-même reçue, le rituel consigné dans le Talmud est la continuation de la semikha. C'est vraisemblablement à cette epoque qu'il est décrété que seul les possesseurs d'une semikha peuvent .

L'imposition des mains représente effectivement l'ordination[14], tandis que selon d'autres, il est certain que Moïse a imposé les mains à Josué, mais dans les générations suivantes, ce geste n'était pas requis pour l'ordination[9], et la plupart des rabbins auraient conféré le titre de « Rabbi » au moyen d'une formule écrite et d'une cérémonie orale. Cette pratique était particulièrement répandue en Babylonie, car la semikha ne peut être faite qu'en terre d'Israël. Les maitres recevaient toutefois le titre de « Rav » et non de « Rabbi. » Les Sages de Babylone reconnaissaient la suprématie des Sages juifs de Palestine.

Le déclin des semikhot classiques [modifier]

Selon certains auteurs juifs qui se sont exprimés à ce sujet, parfois au cours du quatrième siècle de notre ère, au temps de Hillel II, la semikha originale, avec tous les pouvoirs qu'elle accordait alors, a cessé d'exister (mais nous avons signalé que certains auteurs contestent le fait).

Une minorité d'auteurs juifs maintiennent qu'une forme de la semikha originale a continué à se pratiquer en petit nombre jusqu'à une date aussi tardive que le onzième siècle de notre ère.

Certains auteurs juifs se réfèrent à « la chaîne ininterrompue de transmission » et maintiennent que la lignée des semikhot ne s'est jamais brisée. Ils tracent une chaîne de personnes avec leurs noms allant de Moshé jusqu'au vingt et unième siècle, soutenant que la semikha s'est poursuivie par une transmission ininterrompue d'impositions des mains et/ou avec reconnaissance proclamée oralement du titre de rabbin, et surtout la transmission perpétuelle de l'enseignement de la Torah, l'esprit inspiré de la Torah, et de la tradition.

Si la semikha classique n'a pas été conservée en secret, la méthode d'intronisation par bénédiction orale, la poignée de main et l'accolade accompagnées de la transmission de la Torah sont jugés comme ayant suffi pour combler la solution de continuité dans la chaîne historique jusqu'à ce que la semikha classique eût pu être reprise.

 

La Semikha et les femmes

La Semikha est accessible aux femmes dans le judaïsme libéral, le judaïsme progressiste et dans le Mouvement Massorti ; elle leur est interdite dans le judaïsme orthodoxe et chez les Haredim.

Rabbin faisant la prière 

Image Rabbin faisant la prière  revêtu de son talit  http://www.life4seekers.co.uk/images/im-sap-up-rabbi-image.jpg 

Rabbin faisant la prière revêtu de son talit  http://judaisme.sdv.fr/histoire/rabbins/rabbinat/pict/priere.jpg 

 

 

Rabbin faisant la prière revêtu de son talit   http://bokertov.typepad.com/photos/uncategorized/holding_up_the_torah.jpg 

 

Le rabbin lit l'acte de mariage  http://lazerbrody.typepad.com/photos/uncategorized/reading_ketuba.jpg

Rabbin recevant un enfant pour la circoncision    http://www.unc.edu/~healdric/Sons/Daniel/bris_daniel.jpg  

Rabbin faisant la prière pour la circoncision  http://rabbiyonah.files.wordpress.com/2006/09/bris-1.jpg 

 

Rabbin faisant la prière au domicile du défunt     http://images.evalu8.org/images/burial-society-1.jpg

 

 

 http://video.google.fr/videoplay?docid=3215936370986368303&hl=fr#docid=5447725737858098635

Belz Synagogue in Jerusalem

 

03:44 - Il y a 4 ans
Belz counts as one of the largest hasidic communities around the world. Like Satmar, Ger, Viznitz or any other hassidic dynasty Belz has emboldened their Bais Hamedrash as their center for Torah and Chassidus. Every Belzer Chusid visits the rebbis shul at least once a year praying together with the chief rabbi, most visit on rosh hashana or yom kipur and some do on Sukkot or passover. Many Jews even secular jews feel an uplifting experience visiting this holy shrine.

 

Suite !!

 

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