Dans la Bible, Ils combattaient des géants !!

 

Un dragon surplombe la pierre et les écritures !!
La redécouverte des inscriptions cunéiformes à l'époque moderne
Le « cailloux Michaux », ramené de Bagdad en 1782 par André Michaux.

 

 

Statuettes sumériennes ( environ- 4 000 avant J.C )
Des artistes sumériens ont sculpté ces statuettes d'environ 14 centimètres, au corps d'humanoïdes mais à tête étrange et... toujours de grands yeux. Ces statuettes sont exposées au musée de Bagdad et date de 4 000 ans avant J.C



http://img443.imageshack.us/img443/3956/ninkishziddapy2.gif

http://fr.wikipedia.org/wiki/Babylone_(royaume)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Milkau_Oberer_Teil_der_Stele_mit_dem_Text_von_Hammurapis_Gesetzescode_369-2.jpg

 

Hammurabi (1792-1750)

Le roi Hammurabi de Babylone face au dieu Shamash, détail de la stèle du Code d'Hammourabi, XVIIIe siècle

L’avènement

Zeus recevant l'hommage des dieux de l'Olympe (dessin d'un bas-relief)
Zeus est géant comparé aux autres !!

 

Ce lien permet d'aggrandir l'image, des géants dominent sur des esclaves ou prisonniers!

  http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Bisotun_Iran_Relief_Achamenid_Period.JPG  

 

L’inscription de Behistun (ou Béhistoun ou Bisistun) est une inscription monumentale décrivant les conquêtes de Darius Ier en trois langues : le vieux-persan, l'élamite et l'akkadien. Le texte est gravé dans une falaise du mont Behistun, dans la province de Kermanshah de l'actuel Iran. Elle a été déchiffrée par Henry Rawlinson à partir de 1835. Elle est à l’écriture cunéiforme ce que la pierre de Rosette est aux hiéroglyphes égyptiens : le document le plus crucial dans le déchiffrement de cette écriture.

Le texte lui-même est une déclaration de Darius Ier de Perse, écrit trois fois en trois écritures et langues différentes : deux langues côte à côte, vieux-perse et élamite, et akkadien au-dessus d’elles. Darius a régné sur l’Empire perse de -521 à -486.

Vers 515, il relate en un long récit son accession au trône face à l’usurpateur Smerdis de Perse ainsi que ses guerres victorieuses suivantes et la répression de la rébellion. Les textes sont gravés sur une falaise près de la ville moderne de Bisutun, dans les monts Zagros en Iran, à l’entrée de la plaine de Kermanshah.

L’inscription, d’approximativement 15 mètres de haut et 25 mètres de large, se trouve à 100 mètres au-dessus de la route antique reliant les capitales de Babylone en Babylonie et d’Ecbatane de l’Empire mède. Elle est extrêmement peu accessible, la montagne ayant été arasée pour rendre l’inscription plus évidente après gravure. Le texte en vieux-perse contient 414 lignes en cinq colonnes ; le texte élamite comprend 593 lignes en huit colonnes et le texte akkadien en comporte 112. L’inscription a été illustrée d’un bas-relief représentant Darius, deux domestiques, grandeur nature et dix personnages hauts d’un mètre représentant les peuples conquis. Le dieu Ahura Mazda flotte au-dessus, donnant sa bénédiction au roi. Un personnage semble avoir été ajouté après les autres, de même, assez curieusement, la barbe de Darius, est un bloc de pierre indépendant fixé par des goupilles et du fil de fer.

Le disque ailé représenté ci-contre est présent sur de nombreux bas-reliefs de la cité royale de Persépolis, de même que sur les sceaux achéménides. Son identification à Ahura Mazda est néanmoins discutée. Selon Paul du Breuil, elle ne représente pas Ahura Mazdâ, mais le Farvahar, la fravarti (l'Ange) qui se trouve dans la sphère du Soleil. On y voit un prêtre de Mardouk, barbu et vêtu à la mode védique, sortant à mi-corps du disque solaire ailé.

 Le culte du *sauma était commun aux Indiens et aux Iraniens. Ce terme est devenu soma chez les premiers et haoma chez les seconds. Au sens propre, ce mot désignait une plante, l'éphédra[réf. nécessaire], que l'on utilisait pour préparer une boisson hallucinogène. Pensant qu'elle permettait aux dieux de conserver leur immortalité, on la leur offrait lors de sacrifices. Les participants en buvaient eux-mêmes et accédaient au monde divin, à une « immortalité provisoire ». Dans une langue iranienne parlée à l'est de l'Afghanistan, le wakhī, l'éphédra est appelé yimïk, terme provenant de *haumaka-. Selon le Rig-Veda, l'élément de base du soma est un champignon[réf. nécessaire], substitution qui s'explique par le fait qu'en Inde, il n'y a pas d'éphédra[réf. nécessaire].

Dans l'actuel Turkménistan méridional (ancienne Margiane), l'archéologue russe Viktor Sarianidi a fouillé les ruines d'un bâtiment dit de «Togolok-21». Il s'agissait d'un temple où l'on pratiquait le culte du feu et où l'on préparait le haoma. Ce bâtiment faisait partie d'une culture, dite bactro-margienne, datée de -2200 à -1700, qui s'étendait à l'est jusqu'à la Bactriane, le long du cours de l'Amou-Daria. Sur tout le territoire de cette culture, on a trouvé des amulettes avec des représentations de lutte entre des serpents et des dragons ayant une attitude nettement agressive, avec des yeux énormes et une gueule grande ouverte. C'était une représentation primitive[réf. nécessaire] de la lutte entre la lumière et les ténèbres, entre la vie et la mort, qui caractérisait la religion indo-iranienne et que le zoroastrisme conserverait. Il semble que la culture bactro-margienne ait plutôt été indo-aryenne. Elle contenait également un « substrat » culturel non indo-européen difficile à cerner, comme le prouve le fait même de construire des temples : les vrais Indo-Iraniens[réf. nécessaire] ont longtemps préféré les sanctuaires en plein air.

Commentaires personnels : Dans la Bible, les israélites combattaient des géants !! 

Un hallucinogène est une substance chimique psychotrope qui induit des hallucinations, soit, aux doses usuelles, des altérations des perceptions, de la cohérence de la pensée et de la régularité de l'humeur, mais sans confusion mentale persistante ou troubles de la mémoire[1]. Cet état est appelé état modifié de conscience par certains usagers ; il peut aussi être atteint par la spiritualité, la méditation ou à travers l'art.

Les hallucinogènes forment une catégorie dans la plupart des classification des psychotropes. Il s'ensuit que leurs caractéristiques différent selon la classification utilisée. En raison de l'allure de leur impact, ils sont aussi décrits et désignés comme des perturbateurs du système nerveux central. Les effets des hallucinogènes sont clairement différents des stimulants comme la cocaïne ou les amphétamines bien qu'ils augmentent aussi la vigilance ou l'activité.

La plupart des hallucinogènes appartiennent à des familles de structure chimique particulière, capables d'agir sur des emplacements spécifiques du cerveau, souvent proches des neurotransmetteurs ou des inhibiteurs, semblables à beaucoup de produits prescrits légalement. C'est ainsi qu'ils peuvent changer les qualités subjectives de la perception, de la pensée ou de l'émotion.

 

Histoire

Historiquement, certaines de ces substances connaissent des utilisations rituelles ancestrales dont certaines ont survécu jusqu'à nos jours via notamment le chamanisme et certains cultes(l'Ayahuasca par exemple). Leurs usages rituels sont variés : objet de culte, divinatoire, curatif, rituel de passage, initiation, transe, communication avec un autre monde, cérémonie avec fonction sociale. C'est à ce type d'usage que s'adresse le terme enthéogène. Il existe de nombreuses preuves de l'usage de ces substances dans les civilisations antiques et c'est l'apparition des grandes religions monothéistes qui est responsable de la disparition de ces usages qu'elles désignaient comme incarnant le mal.

Malgré leur aspect ancestral, la société occidentale moderne ne s'est véritablement intéressée à ces substances qu'au tout début du XXe siècle et surtout après la découverte du LSD et la révolution culturelle qui lui fut contemporaine. Ces substances furent alors testées principalement dans des buts thérapeutiques notamment lors de psychothérapies. Leur usage dans des buts militaires fut aussi l'objet de recherches commanditées par des instances officielles comme la CIA mais n'obtint jamais les résultats escomptés.

Leur popularité croissante conduira à leur interdiction et la plupart de ces substances sont aujourd'hui illégales, même si certaines exceptions persistent pour usage religieux.

Il existe actuellement un renouveau de la recherche scientifique et médicale dans les pays occidentaux (Etats-Unis, Israel, Suisse, Espagne), de nombreuses études expérimentales ayant désormais démontré l'utilisation possibles de certains hallucinogènes dans des indications médicales et spirituelles(Chambon, "La médecine psychédélique",2009, Edition Les Arènes).

Pharmacologie des hallucinogènes

Comme tout psychotrope, les hallucinogènes altèrent l'homéostasie du système nerveux central en agissant sur les concentrations en neuromédiateurs (acétylcholine, dopamine, noradrénaline, sérotonine).

Les mécanismes sont nombreux et sont encore l'objet de travaux, mais certains ont été précisément identifiés. Ainsi, la salvinorine A de la Salvia divinorum agit uniquement sur les récepteurs opioïdes kappa. D'autres hallucinogènes agissent comme agonistes des récepteurs sérotoninergiques de type 5-HT2.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Hallucinog%C3%A8ne

 
 
 

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