Lithographie de
Paul Avril (Sodomie d'une chèvre faite par un Ancien Grec).
Haut-relief de Pan, Palais Neuf (Rome)
Représentation et hypostase
POSSIBLE OU IMPOSSIBLE ????
"Etrange découverte ou savant photo-montage?", s'est interrogé un aîné, à Abidjan. La question mérite bien d'être posée! Jugez-en par vous-mêmes.
D'étranges chiens avec un corps humain ont été trouvés au Nigeria. Cette chienne à la forme humaine prend soin de ses petits comme un humain.
http://www.noella1.com/rubrique,cobra-a-7-tetes,540161.html
des Naga, mi-serpent mi-humains vénérés avant même les Aryens
Centaure (sarcophage romain, v.
230)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Pasiphae_Minotauros_Cdm_Paris_DeRidder1066_detail.jpg
Le Dieu cornu à travers les millénaires [modifier]
On retrouve, au fil des millénaires, durant tout le néolithique et bien au de-là, durant toute l’Antiquité puis au Moyen Âge, le symbolisme de l’animal à cornes.
À l’aube de la civilisation, quand "l’Histoire commence à Sumer", l’insigne caractéristique des êtres divins est la tiare à cornes. Le symbolisme du taureau attesté depuis le néolithique s’y est transmis sans interruption.
Le culte de la fertilité et le culte des ancêtres (des crânes) sont solidaires. C’est ce qui ressort dans les premiers bourgs néolithiques, à Hacilar, à Çatal Hüyük et ensuite à Tell Halaf. La principale divinité est alors la déesse présentée sous trois aspects : jeune femme, mère donnant naissance à un enfant ou à un taureau, ancienne. La divinité masculine apparaît sous la forme d’un adolescent, fils ou amant de la déesse, et sous celle d’un adulte barbu parfois monté sur un taureau, dieu de l’orage (le tonnerre est assimilé au beuglement du taureau). La poitrine féminine et les cornes de taureau dominent la peinture des parois et préfigure ce qui sera omniprésent dans la Crète minoenne. Ceci est le noyau de la « civilisation européenne archaïque ».
Taureau dans l'Égypte antique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans l'Égypte antique, le taureau est l'animal sacré par excellence. Symbole de force physique, de fertilité et de puissance sexuelle, on trouve des traces de sa vénération sur les gravures rupestres préhistoriques.
La queue de taureau était l'un des attributs du pharaon ; trophée attaché à la ceinture du roi, il lui offrait la puissance de l'animal sacré.
Incarnations terrestres de taureaux sacrés [modifier]
Incarnations terrestres de taureaux sacrés [modifier]
Dans l'Antiquité égyptienne, il existait plusieurs taureaux vivants considérés comme sacrés. Ils étaient l'incarnation de la puissance divine sur terre (le bâ). Pour chaque dieu qu'ils incarnaient, un seul taureau était vénéré à la fois. À sa mort, la croyance voulait qu'il se réincarne dans un autre taureau que les prêtres étaient chargés de retrouver grâce à des signes spécifiques.
Taureaux sacrés :
Dieux associés au taureau [modifier]
- Apis
- Boukhis
- Kemour
- Khanoutef
- Mnevis
- Tjaïsepef (Tjaïpesef) Représentation et hypostase [modifier]
Le dieu Apis est d'abord représenté par un taureau au pelage noir tacheté par endroit de marques blanches qui selon un code précis permettait de le distinguer de ses congénères.
Sous sa forme anthropomorphe, il est représenté par un homme vêtu de la chendjit avec une tête de taureau[1] dont les cornes enserrent un disque solaire. Ce dernier est parfois doté d'un uraeus.
Son incarnation physique était vénérée dans tout le pays sous la forme d'un taureau vivant que les prêtres sélectionnaient selon des signes divins qu'il portait. Il était alors conduit à Memphis et gardé dans un Apieum voisin du grand temple de Ptah[2], dont il était également une incarnation.
Dans la mythologie égyptienne, Boukhis (transcription grecque de Bâkhou, également appelé Bakha, Bakh, ou Buchis) est la manifestation de la déification du Ka du dieu Montou sous la forme d'un taureau sacré auquel un culte était rendu dans les temples d'Hermonthis et de Médamoud près de Thèbes.
Son nom est en réalité Ba-Kha, en référence au Ba et à l'Akh (appelé parfois Khu), éléments qui entre dans la composition de l'être.
Bakha est parfois identifié comme une forme d'Apis, et donc, comme une incarnation d'Osiris.
Son poil changeait de couleur toutes les heures et disposé en sens contraire de tous les autres animaux.
Le grand hypogée où étaient ensevelis ces taureaux a été découvert par Robert Mond en 1927.
Les taureaux sacrés d'Égypte antique :
Une stèle peinte du musée égyptien du Caire figure Ptolémée V (qui a émis le décret rédigé sur la pierre de Rosette) présentant une offrande à Boukhis.
Mnévis
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Mnévis est le nom grec du taureau sacré d'Égypte antique, incarnation terrestre du dieu Rê (son ba) et médiateur du dieu Atoum. Choisi, par des prêtres selon des critères très stricts (dont un pelage noir), il était vénéré dans le temple d'Héliopolis, et il est momifié et enterré dans une nécropole qui lui est dédiée.
Il est représente sur les parois des temples et des tombeaux sous la forme d'un taureau portant un disque solaire et un uræus entre les cornes.
Son nom se transcrit Mer-wer ou Merour.
Les taureaux sacrés d'Égypte antique :
Des scientifiques souhaitent créer des hybrides homme-animal, à fin expérimentale ou pour répondre à une pénurie d'oeufs humains pour y isoler des cellules-souches embryonnaires. Ils estiment qu'en utilisant des ovules d'animaux, plus disponibles, ils pourraient créer des hybrides humains-animaux
En 2008, la chambre des lords britannique a rejeté un amendement déposé par Lord Alton dans le cadre du projet de loi Fertilisation humaine et embryologie visant à interdire la production de tels hybrides, mais ceux-ci ne pourront être produits que pour des embryons qu'on laissera "vivre" 14 jours au plus (avec implantation in utero interdite), et après autorisation de la Human Fertilisation and Embryology Authorityh (HFEA), si celle-ci considère la recherche proposée comme nécessaire, et après examen d'éventuelles autres alternatives. Les deux premières autorisations, données au Royaume-Uni ont concerné des hybrides cytoplasmiques (ou « cybrides »[1]) à 99,9% humains et à 0,1 % animal (mitochondries respectivement de vaches et de lapins)[
Reproduction d'un sceau représentant le dieu Enlil et sa femme, la déesse
Ninlil
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Goatfishes_Louvre_Sb19.jpg
Poisson et chèvre : personnification de l'abîme des eaux douces, domaine du dieu Éa. Détail d'un bassin cultuel trouvé à Suse, période médio-elamite.
Enki est un dieu de la mythologie sumérienne, associé avant tout à l'eau douce, mais aussi à la sagesse et aux inventions techniques, membre du conseil Anunnaki. Il deviendra Éa dans la mythologie assyro-babylonienne.
Ses attributs, la chèvre et le poisson, seront combinés en un seul animal, le sukhurmashu, qui deviendra plus tard le capricorne de nos signes du zodiaque
Dragon de la porte d'Ishtar à Babylone, VIéme siècle av. JC.
Animal cornu à quatre pattes et recouvert d’écailles, parfois pourvu d’ailes, une des premières représentation graphique du dragon provient de la porte d’Ishtar à Babylone. Mais on ne sait pas si cette image est censée représenter un animal réel ou un démon fabuleux. Toujours est-il que cette forme de dragon quadrupède reptilien et pourvu d’ailes semble bien trouver son origine en Orient. |
Mušhuššu
Le mušhuššu est un animal mythologique mésopotamien. Son nom vient du sumérien MUŠ.HUŠ, littéralement « serpent/dragon rouge », ce qui signifie « dragon furieux ».
Il a un corps de serpent, des cornes sur sa tête, des pattes avant de lion et des pattes arrières de rapace.
C'est l'animal-symbole de plusieurs divinités. Il semble qu'il soit à l'origine associé à Ninazu, dieu vénéré à Eshnunna, puis de Tishpak, qui devient le dieu principal de cette même ville au début du IIè millénaire. Quand ce royaume est vaincu par celui de Babylone, le dragon-serpent est repris par Mardouk, le grand dieu de cette cité, qui devient plus tard la divinité principale de la Mésopotamie.
Le mušhuššu est également un génie protecteur.
Symboles et culte de la déesse Mereretséger
- Aspects
Celui d'un serpent lové à tête de femme, ou plus rarement à tête de serpent. On lui connaît aussi l'aspect d'un sphinx à tête de serpent, ou encore un serpent ailé que coiffent trois têtes de femme, de serpent et de vautour.
- Attributs divins
Sa tête est le plus souvent coiffé du serre-tête. Elle peut aussi porter un modius qu'entourent des uraeii. Deux plumes, disque solaire, l'atef, la couronne rouge ou la couronne hathorique peuvent aussi la coiffer.
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