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Utilisation de la Shekinah !Suite 2 !!

 

L'élite des marchands, des armateurs et des planteurs se sentait souvent proche de la métropole et cherchait à imiter les classes supérieures qui vivaient en Angleterre. Ces grandes familles conservaient un sentiment d’appartenance à la culture européenne. Elles envoyaient leurs fils en étude en Angleterre[39]. Elles avaient intérêt à rester dans le giron de la métropole, à cause du système mercantiliste et de l'ordre qu'elle garantissait.

Les classes moyennes étaient quant à elles moins attachées à l'Angleterre. Les colons nés en Amérique se sentaient de moins en moins anglais et l'identité américaine se construisait progressivement contre la domination de Londres.

Malgré la diversité des colonies et de ses habitants, la politique impérialiste anglaise fit naître un « patriotisme colonial » tourné contre la métropole[40] et la formation d'une identité américaine. Dès 1656, l’Anglais James Harrington avait prophétisé l’indépendance des colonies[41]. En 1697, William Penn appelait de ses vœux une union des colonies britanniques et prévoyait déjà la réunion d'un congrès colonial commun[42]. En 1754, Benjamin Franklin proposait au congrès d’Albany une union et même un gouvernement « fédéral » [43], qui resterait tout de même dans l’Empire colonial britannique.

Les colonies s'affirmaient enfin comme un îlot de relative tolérance religieuse[44] à la différence de la vieille Europe : ses premiers habitants avaient en effet fui les persécutions qui secouaient l'Angleterre au début du XVIIe siècle. L'aspiration au bonheur et à la réussite individuelle, liée à la mobilité sociale et aux opportunités données par l'immense espace américain, constitue l'un des fondements de cette identité américaine en formation[45].

La question religieuse

Domination et diversité du protestantisme

Vers 1774, la moitié des colonies, situées surtout au sud, sont anglicanes[46] (Virginie, Maryland, Caroline du Sud, Georgie, etc.). L'Église anglicane était officielle et disposait d'un monopole sur le mariage[47]. Elle était la seule à être financée par l'impôt[48].

Mais au XVIIIe siècle, l'Église américaine possède déjà des spécificités : elle compte peu de pasteurs d’où l'importance des conseils de paroisse et la relative autonomie des laïcs[49]. Cette situation particulière crée des tensions entre les fidèles et les pasteurs anglicans qui se plaignent aux autorités de Londres[50].

 

À la fin du XVIIIe siècle, Philadelphie apparaît comme un « véritable centre des Lumières révolutionnaires[53] », notamment sous l’impulsion du savant Benjamin Franklin (1706-1790). La cité demeure, avec Boston, le principal centre d’édition des Treize colonies et la Pennsylvania Gazette (1723) joue un grand rôle pendant la Révolution américaine.

Les élites lisent les philosophes européens. Thomas Jefferson consignait ses notes de lecture dans un cahier (le Commonplace Book), ce qui permet aux historiens de reconstituer ses influences philosophiques : John Locke, Henry Home, Charles de Montesquieu, Thomas Hobbes[54].

La Société philosophique américaine est un cercle de discussions fondé par Benjamin Franklin.

Les théories du philosophe anglais John Locke influencèrent la Révolution américaine : l'idée du contrat social impliquait le droit naturel du peuple de déposer ses dirigeants. En revanche, les historiens trouvèrent peu de traces de la pensée rousseauiste en Amérique[55]. Les Américains utilisent l'analyse de la constitution britannique de Montesquieu pour rédiger les constitutions des états et du pays.

Le républicanisme fut l'un des principes idéologiques dominant dans les colonies à la veille de la Révolution[56],[57]. Les colons critiquaient le luxe ostentatoire de la cour et proposaient une vertu républicaine. L'idée que les hommes avaient le devoir civique de lutter pour leur pays se développa.

Économie [modifier]

Article détaillé : mercantilisme anglais.

À l'époque moderne, l'économie des puissances européennes est marquée par le mercantilisme et le régime de l’exclusif : le but est de posséder le maximum de métal précieux, notamment grâce au commerce maritime[58]. Les colonies devaient fournir des matières premières qui étaient transformées en Grande-Bretagne pour être ensuite vendues à l'étranger. Elles devaient aussi n'acheter que des produits anglais, afin de protéger les artisans et les manufactures de la métropole de la concurrence[58].

Les Actes de Navigation de 1651 et de 1660 figurent parmi les principales lois destinées à protéger le commerce maritime anglais : les armateurs coloniaux ne devaient utiliser que des vaisseaux britanniques ; certains produits devaient transiter obligatoirement par les ports britanniques ; les navires étrangers qui commerçaient avec les colonies devaient passer par un port britannique afin de payer des droits de douane ; les produits fabriqués dans les colonies ne devaient pas être exportés et certaines marchandises devaient même venir de la métropole[59].

En réalité, la distance avec la métropole entraînait un certain laxisme dans la perception des taxes et la corruption des agents des douanes en Amérique[60]. La contrebande contribue grandement à limiter l'exclusif anglais.

Dès le XVIIe siècle, les bateaux bostoniens faisaient du commerce avec les Antilles : ils exportaient du bois, de la farine, du poisson, de l'huile de baleine et importaient du sucre, des mélasses, du tafia[61]. Ce commerce stimula la production métallurgique et textile, de même qu'elle permit le développement des chantiers navals et des distilleries[62]. Les navires américains traversaient même l'Atlantique nord pour les besoins du commerce. Cette entorse au mercantilisme et cette concurrence américaine inquiétèrent rapidement les marchands anglais.

Les colons américains, en particulier les marchands des ports de la Nouvelle-Angleterre, reprochaient à la Grande-Bretagne sa politique commerciale : le trafic de certaines marchandises comme le thé était réservé aux navires anglais, en vertu du monopole en vigueur. D'autre part, dans le but d'atrophier l'économie américaine, les Britanniques vont interdire à leurs colonies de vendre leurs produits à un autre pays que l'Angleterre, car l'on estime que si les colons avaient le droit de vendre leurs produits comme bon leur semble et à qui bon leur semble, les treize colonies américaines regorgeraient d’argent, argent qui ne profiterait pas à la couronne.

Parmi les griefs de colons figuraient aussi le manque chronique de monnaie[63] ; ils regrettaient leur dépendance vis-à-vis du crédit anglais[64]. Le développement économique des Treize colonies suscita une certaine animosité entre les marchands coloniaux et les capitalistes de la métropole[65].

Dans les années 1760-1770, le Parlement britannique imposa de nouvelles taxes qui provoquèrent le mécontentement des colons américains (Sugar Act en 1764, Stamp act en 1765, Townshend Acts en 1767, Tea Act en 1773). Ces derniers refusaient de payer parce qu'ils n'étaient pas représentés politiquement à la Chambre des communes à Londres.

Les problèmes coloniaux : vers la Révolution américaine

Articles détaillés : Causes de la Révolution américaine et Guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique.

Dessin de presse (attribué à Benjamin Franklin) qui fut d'abord publié pendant la guerre franco-indienne au cours de la Guerre de Sept ans, puis réutilisé pour inciter les colonies américaines à s'unir contre la couronne britannique

Au XVIIe siècle, l’essentiel des décisions relèvent de la consultation du Conseil Privé (Privy Council). Son rôle tend à diminuer au XVIIIe siècle au profit du Cabinet mais il conserve une certaine prééminence dans les affaires coloniales. Ses décisions portent le nom de « ordre en conseil » (Order in Council). Depuis 1690, le Board of Trade and Plantations est l’organisme le plus compétent en matière coloniale. Il dépend du Conseil privé dont il est une émanation. Londres veut renforcer son autorité. Cette volonté s’exprime notamment dans sa politique de réduction du nombre de colonies à charte : un exemple, la Virginie, qui devient au XVIIIe siècle une colonie de la Couronne.

Cependant, après des expériences infructueuses au siècle précédent, de 1715 à 1748, lors d'une période qualifiée en 1775 par Edmund Burke de « négligence salutaire » (Salutary Neglect), la Métropole s’immisce le moins possible dans les affaires des colonies. Londres néglige ses colonies et les conflits d’intérêts se font rares. À partir de 1748, le gouvernement change de cap. Après la Guerre de Succession d'Autriche la politique du Board of trade se fait plus musclée. Le comte d’Halifax, administrateur appliqué et énergique, décide de mettre un terme à une politique jugée trop laxiste. Son inquiétude grandit quand il prend conscience que les colonies se sont parfaitement accommodées à cette « négligence » et tendent à oublier leur sujétion à la Couronne. Enfin, la contrebande, notamment de mélasse, s’est généralisée.

 

  • Britannique : des rivalités coloniales importantes, notamment en Amérique du Nord (Nouvelle-France), qui vont aboutir à la désastreuse guerre de Sept Ans.
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    In God We Trust

    La devise In God We Trust, sur une pièce de un cent des États-Unis datant de 2003

    In God We Trust (traduit littéralement de l'anglais en « En Dieu nous croyons » ou également « Nous avons confiance en Dieu ») est la devise nationale officielle des États-Unis d'Amérique depuis 1956 et son adoption par une loi votée par le Congrès américain. E Pluribus Unum (en latin : « De plusieurs un ») qui était jusqu'alors la devise de facto et qui apparait sur le Grand sceau des États-Unis d'Amérique, l'emblème usuel du pays, reste toujours employée. In God We Trust figure sur tous les billets et sur toutes les pièces de monnaie américaine, mais cette présence n'a été généralisée que de manière assez récente.

     Histoire [modifier]

    Dans The Star-Spangled Banner, écrit en 1814 par Francis Scott Key, mais qui n'a été adopté comme hymne officiel qu'en 1931, le dernier vers dit : And this be our motto: “In God is our trust”. (« Et ceci sera notre devise : “En Dieu nous croyons” »).

    Il semble que la montée du sentiment religieux, qui aboutit au choix d'une telle devise, prenne son origine dans le traumatisme de la Guerre de Sécession. C'est à cette époque que Salmon P. Chase, secrétaire du Trésor, a reçu un grand nombre de lettres de personnes très pieuses réclamant que le nom de Dieu figure sur les monnaies de l'Union. Il écrit à son tour en 1861 à James Pollock, directeur du United States Mint à Philadelphie (qui frappe les monnaies), pour lui demander de trouver une devise pieuse à apposer aux pièces de monnaie américaines :

    Dear Sir: No nation can be strong except in the strength of God, or safe except in His defense. The trust of our people in God should be declared on our national coins
    « Cher Monsieur : Aucune nation ne peut être forte hormis dans la force de Dieu, ni sûre sauf en Sa protection. La croyance en Dieu de nos citoyens devrait être déclarée sur nos pièces nationales. »

    En 1863, James Pollock soumet à Salmon P. Chase plusieurs propositions de devises, mais c'est Chase qui trouvera la phrase définitive : In God We Trust.

    Après l'accord du Congrès, la devise apparaît pour la première fois sur la pièce de 2 cents frappée en 1864. Cela s'étendra à plusieurs autres pièces, mais pas de manière systématique et continue. Par exemple, de 1883 à 1938, la formule disparaît des pièces de 5 cents et est oubliée sur de nombreuses autres. Depuis 1938, toutes les pièces de monnaie américaines portent l'inscription In God We Trust.

    Ce n'est qu'en 1956 que le Congrès américain vote une loi (approuvée par le Président le 30 juillet de la même année) faisant de In God We Trust l'une des devises nationales qui, à ce titre, apparaîtra par la suite sur toutes les monnaies (à partir de 1957) et les billets de banque (dans la période de 1964 à 1966.)

    Controverses

    La devise In God We Trust a eu et a toujours des détracteurs aux États-Unis, pour des raisons politiques, historiques mais aussi religieuses :

    Les États-Unis ne sont pas le seul pays à mentionner Dieu dans un tel contexte. God zij met ons (Dieu soit avec nous) est une des devises des Pays-Bas.

     

     Commentaires personnels :

     En effet, Dieu n'aime pas que nous utilisions Son Nom sur l'argent, ni même pour des causes humaines.

    La Shékinah est la Glorieuse Présence de Dieu. Uniquement dans Son Temple, Dieu a autorisé la représentation que Dieu a donné à David, pour la construction du Temple de Dieu, construit par Salomon, fils de David.

     

    Schekhinah (translittérations alternative Shekinah, Shechinah, Shekina, Che'hina, Schechinah, שכינה) Est l'orthographe anglaise d'un grammaticalement féminin Langue hébraïque mot qui désigne le logement ou décantation, et est utilisé pour désigner l'habitation ou de régler la présence de Dieu (cf. présence divine), En particulier dans le Temple de Jérusalem.

    Etymologie

    Schekhinah est dérivé du verbe hébreu שכן. Dans Hébreu biblique le mot signifie littéralement à régler, habiter, ou habiter, et est utilisée fréquemment dans les Hebrew Bible. (Voir Exode 40 "Moïse ne pouvait entrer dans la tente d'assignation, par la nuée restait [Shakhan] Sur elle, et la gloire de l'Éternel remplissait la Tabernacle. "Voir aussi par exemple Genesis 9:27, 14:13, Psaumes 37:3, Jérémie 33:16), ainsi que l'hebdomadaire Shabbat bénédiction récitée dans la Temple de Jérusalem ( "Mai Lui qui a fait son nom d'insister [Shochan] Dans cette Assemblée, la cause pour habiter parmi vous amour et de fraternité, de paix et d'amitié "). Mishnique En hébreu, le mot est souvent utilisé pour désigner les nids de ponte et d'oiseaux. (" Tous les nids d'oiseaux [shechinot] Avec son genre, et l'homme avec son semblable, le Talmud Baba Kammah 92b.) Et peut aussi signifier "voisin" ( "Si un voisin et un érudit, le savant est préféré" Talmud Ketoubot 85b). Le mot «Shekhinah" signifie également "" redevance ou de «résidence royale» (La Grec σκήνη mots - logement - est considéré comme provenant de שכינה et שכן.[modifier]) Le mot pour Tabernacle, mishcan, Est un dérivé de la même racine et est également utilisé dans le sens d'un logement privé dans la Bible, par exemple Psaume 132:5 ( «Avant de trouver une place pour Dieu, mishcanot (lieux d'habitation) pour l'homme fort d'Israël. ") En conséquence, dans l'environnement Classic Pensée juive, La Shekhina se réfère à un logement ou s'installer dans un sens spécial, un logement ou de règlements de présence divine, À l'effet que, tandis que dans la proximité de la Shekinah, la connexion à Dieu est plus facilement perceptibles.

    Selon le professeur Kern, Shekhinah signifie «le présence de Dieu pratiquement le même que le mot grec "Parousie également un mot féminin (littéralement: «présence») qui est utilisé de manière similaire pour "Présence divine».

     

     Lorsque manifeste

    Le Shekhinah est fait référence comme en témoigne la Tabernacle et le Temple de Jérusalem dans toute la littérature rabbinique. Il est également signalé comme étant présent dans les actes de la prière publique.

     

    Les prophètes ont fait de nombreuses références à des visions métaphoriques de la présence de Dieu, en particulier dans le contexte du tabernacle ou Temple, Avec des chiffres comme des trônes ou des robes de remplissage du Sanctuaire, qui ont traditionnellement été attribuée à la présence de la Shekhinah.

    Esaïe écrit: «Je vis le Seigneur assis sur un trône haut et élevé, et son train remplissaient le temple." (Esaïe 6:1). Jérémie imploré «Ne déshonore pas le trône de ta gloire» (Jérémie 14:21) et dénommé «Tu trône de gloire, d'en haut dès le départ, le lieu de notre sanctuaire Thou" (Jérémie 17:12). Ezéchiel parle de «la gloire du Dieu d'Israël était là-bas [dans le Sanctuaire], selon la vision que j'ai vu dans la plaine."

    La tradition de la Shekhinah comme Épouse du Shabbat, le Shabbat Hamalka, Continue à ce jour.

     Dans les prières juives

    La bénédiction 17 du jour Amida dit dans la prière Orthodoxe, Conservateur, Et Réforme services est «Heureux es-tu, Dieu, qui retourne sa présence (shekhinato) À Sion. "

    [modifier] Le Shekhinah dans le christianisme

    En plus des divers comptes indiquant la présence ou la gloire de Dieu inscrite au Hebrew Bible, Beaucoup de chrétiens considèrent également la Shekhinah à se manifester dans de nombreux cas dans le Nouveau Testament.

    Le domaine public Easton's Bible Dictionary, Publié en 1897, déclare:

    Shechinah - un Chaldéen mot de repos sens-Place, pas trouvé dans l'Écriture, mais utilisés par les Juifs pour désigner plus tard le symbole visible de la présence de Dieu dans le Tabernacle, Et ensuite dans Le temple de Salomon. Quand le Seigneur conduit Israël hors d'Egypte, Il allait devant eux "dans un pilier d'un nuage». Ce fut le symbole de sa présence avec son peuple. Dieu a aussi parlé à Moïse à travers le« Schekhinah 'sur un Buisson ardent. Pour les références qui lui sont faites au cours des pérégrinations désert, voir Exode 14:20; 40,34-38; Lévitique 9:23, 24; Nombres 14:10; 16:19, 42.
    Il est probable que, après l'entrée en Canaan cette gloire-Cloud réglé dans le tabernacle sur l'arche de l'alliance dans le lieu très saint. Nous avons, toutefois, aucune référence particulière à elle jusqu'à la consécration du temple par Salomon, Quand il remplit toute la maison avec sa gloire, afin que les prêtres ne pouvaient pas supporter de ministre (1 Rois 8:10-13; 2 Chr. 5:13, 14; 7:1-3). Probablement elle est restée dans le premier temple dans le saint des saints comme le symbole de la présence de Jéhovah, tant que ce temple est. Il a ensuite disparu.[1]

    Les références à la Shekhinah dans Christianisme souvent voir la présence et la gloire du Seigneur comme étant synonymes,[3] comme illustré dans les versets suivants du Exode;

    Et Moïse monta sur la montagne, et la nuée couvrit la montagne. Et la gloire de l'Eternel demeure sur le mont Sinaï, et la nuée la couvrit pendant six jours et le septième jour, il appela Moïse du milieu de la nuée. Et l'apparition de la gloire de l'Éternel était comme un feu dévorant sur le sommet de la montagne dans les yeux des enfants d'Israël. (Exode 24:15-17 ASV)

     The Divine Présence

    Le jour, l'Eternel allait devant eux dans une colonne de nuée pour les guider sur leur chemin et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu'ils puissent Voyage de jour ou de nuit. (Exode 13:21)

     Le Shekhinah dans l'Islam

    Le mot سكينة (Sakinah) est mentionné six fois dans Coran. Il est synonyme de paix, le réconfort, le calme et la tranquillité. Chapitre 2, verset 248 dit: «Et leur messager leur dit: En vérité! Le signe de son royaume est qu'il n'y viendrai vous At-Tabut (The Lost arc), où est Sakinah de votre Seigneur, un vestige de ce qui Moïse et Aaron laissé derrière, porté par les anges. Il ya en cela un signe pour vous si vous êtes croyants. " Elle est souvent décrite comme «sentiment rassurant d'être dans la présence (ou sous la protection) de Dieu." Voir Sakina

     "C'est Lui qui fait descendre le Sakina dans les coeurs des croyants afin qu'ils ajoutent une foi à leur foi" (48:4)

    «Le Sakina, il sera également rappelé, semble être lié à l'hébreu Schekhinah, Le terme de la présence de Dieu dans le monde. " 

     

    Un autre verset coranique Sakina dépeint comme rassurant: "l'agrément de Dieu était sur les croyants quand ils avaient juré fidélité à toi sous l'arbre: il savait ce qui était dans leur cœur, et Il fit descendre Sakina - tranquillité (alssakeenata) pour eux, et Il récompensa par une victoire rapide; "(48:18)

    La racine du mot est SA-KA-NA qui signifie «habité» ou «est resté en place». Cela confirme l'association avec la Shekhinah comme «à demeure». «Alors que ceux qui ont mécru eurent mis dans leurs coeurs et dévers - la chaleur et dévers de l'ignorance, - Allah fit descendre Sa Sakina - tranquillité (sakīnatahu) À son messager et aux croyants, et les fit rester près du commandement de la maîtrise de soi, et ainsi étaient-ils droit à elle et digne. Et Allah a pleine connaissance de toutes choses. "(48:26)

     

     

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