Anakim
Les descendants d'Anak, c'est leur grande taille qui rebute les hébreux quand ils doivent prendre le pays de Canaan. A cause de leur refus de les combattre, ils devront retourner dans le désert, seuls Josué, fils de Noun, et Caleb, fils de Jephounné, pourront voir la terre promise.Nombres 13.22 : Ils montèrent, par le midi, et ils allèrent jusqu' à Hébron, où étaient Ahiman, Schéschaï et Talmaï, enfants d' Anak. Hébron avait été bâtie sept ans avant Tsoan en Égypte.
Ils seront frappés d' anathèmes par les israelites quand ceux ci prennent enfin possession de Canaan, comme le raconte le livre de Josué :
Arba fût le plus grand des Anakim.
Les autres géants sont souvent comparés aux Anakim pour rendre compte de leur taille.
Il est fait mention des Anakim dans les Textes d'exécration égytpiens et dans le payprus Anastasi I, dans lequel ils sont également des géants.
Dans les récits les plus anciens de la mythologie mésopotamienne, le terme Anunnaki (akkadien) ou Anunnaku, du sumérien A-nun-na(k) « progéniture du Di Anë le Seigneur de la Création (Cosmos) & Maître de l'Univers », désignait la classe dirigeante des dieux venant de l'Ouranos.( ouranos : ciel en grec)
Apsû
L'apsû (ou abzu en sumérien) est le nom du dieu de l'océan souterrain d'eau douce dans la mythologie sumérienne et akkadienne. Selon cette croyance, les lacs, sources, rivières, puits et autres points d'eau douce découlent tous d'Apsû.
Le dieu sumérien Enki (Éa en akkadien) commenca à vivre dans les eaux d'Apsû avant même que les êtres humains voient le jour. Sa femme Damgalnuna, sa mère Nammu et une variété de créatures subordonnées y résident également.
À Eridu, le temple d'Enki portait le nom d'E-abzu (le "temple abzu").
Apsû est aussi dépeint comme une divinité distincte, mais seulement dans l'épopée babylonienne de la Création, le Enûma Elish. Dans cette histoire, Apsû a les traits d'un monstre primitif composé d'eau douce, et se révèle l'amant d'une autre divinité primitive, Tiamat, une créature d'eau salée.
Enki est le dieu de l'eau douce et de la prospérité, la « source génératrice de vie », le dieu de l'intelligence, de la création et de la destinée. Troisième dieu de la triade mésopotamienne, il y représente l'intelligence et la sagesse. Il est parfois décrit comme un dieu rusé, malin ou même fourbe.
Ses attributs, la chèvre et le poisson, seront combinés en un seul animal, le sukhurmashu, Enki est représenté avec un flot d'eau et de poissons sortant de ses épaules. Il est accompagné d'arbres symbolisant les aspects mâles et femelles de la nature, représentant ses capacités créatives.
Enki est le seigneur de l'Apsû, l'océan inférieur, d'où les rivières, les fleuves et les lacs tirent leur eau. Il y vivait avant la création de l'homme, et y puise pour guider le cours des grands fleuves et des canaux d'irrigations.
Frère d'Enlil, il est tout d'abord marié à Ninhursag, dont il a une fille, Ninsar. Puis, il conçoit avec celle-ci Ninkurra. Enfin, cette dernière donne également naissance à Utu. Son mari étant volage, Ninhursag, particulièrement jalouse, déclenche des sècheresses à chaque incartade de son époux.
Statuettes sumériennes ( environ- 4 000 avant J.C )
Des artistes sumériens ont sculpté ces statuettes d'environ 14 centimètres, au corps d'humanoïdes mais à tête étrange et... toujours de grands yeux. Ces statuettes sont exposées au musée de Bagdad et date de 4 000 ans avant J.C
Mušhuššu
Le mušhuššu est un animal mythologique mésopotamien. Son nom vient du sumérien MUŠ.HUŠ, littéralement « serpent/dragon rouge », ce qui signifie « dragon furieux ».
Il a un corps de serpent, des cornes sur sa tête, des pattes avant de lion et des pattes arrières de rapace.
C'est l'animal-symbole de plusieurs divinités. Il semble qu'il soit à l'origine associé à Ninazu, dieu vénéré à Eshnunna, puis de Tishpak, qui devient le dieu principal de cette même ville au début du IIè millénaire. Quand ce royaume est vaincu par celui de Babylone, le dragon-serpent est repris par Mardouk, le grand dieu de cette cité, qui devient plus tard la divinité principale de la Mésopotamie.
Le mušhuššu est également un génie protecteur.
Marduk : divinité
Marduk (en Akkadien, AMAR.UTU en Sumérien), appelé aussi Bel, Bellus ou Baal, est le dieu tutélaire de la ville de Babylone. Il y siégeait dans son sanctuaire l'Esagil « le temple au pinacle surélevé », auquel était adjoint la ziggourat Etemenanki, passée à la postérité comme la Tour de Babel. Sa parèdre était Zarpanîtu, ou Sarpanîtu. Les mésopotamiens en faisaient le fils aîné d’Ea et de la déesse Damkina. Dieu agraire d'importance secondaire à l'origine, Marduk finira par supplanter Enlil (et absorber ses attributions) comme dieu suprême du panthéon. Il acquiert toute son importance sous le règne de Nabuchodonosor Ier, souverain de Babylone de 1125 environ à 1104 av. J.-C.. Le Poème de la Création (Enuma Elish), écrit à cette époque, est destiné à justifier cette promotion. On lui associe le dragon (Mushkhushu), la planète Jupiter et le nombre 50 (également attribué à Enlil).
Chaque année au nouvel an, les dieux de Babylone et de Borsippa viennent lui rendre hommage ; une grande procession s'organise sur la voie sacrée. Le huitième et le onzième jour, les dieux se réunissent dans son temple, le saluent avec crainte, se tiennent agenouillés devant lui pendant que les destins se fixent irrévocablement pour l'année entière. La suppression de ces solennités, en temps de guerre ou de malheurs publics, était une calamité dont on faisait mention dans les annales de la cité.
Marduk : {akk} (Également Bêl). Dieu créateur babylonien (dieu national). Il était représenté sous la forme d’un dragon à tête de serpent. Sa légende nous est connue par le poème babylonien de la création, où il apparaît comme victorieux du chaos. Dans la Bible, il est souvent appelé Bêl.
La porte d'Ishtar est une des huit portes de la cité intérieure de Babylone, elle fut construite au nord de la cité aux alentours de -575 (empire néobabylonien) sur ordre du roi Nabuchodonosor II. Cette porte est dédiée à la déesse éponyme Ishtar.
La porte d’Ishtar est l’aboutissement de la voie processionnelle au nord de Babylone. Elle est le symbole même de Babylone. Son nom cultuel est « Ishtar Sakipat Tebisha », ou « Ishtar est victorieuse de ses ennemis ». La porte est construite selon le principe de la double porte, c'est-à-dire qu’il y a un mur extérieur et un mur intérieur.
La première porte (intérieure) fait 28m de large, 11m de long et est flanquée de deux tours de part et d’autre du passage. La seconde porte (extérieure) est la plus grande. Elle est encastrée dans le rempart intérieur, et est flanquée de deux tours de 9,50m de haut. Entre les deux tours se trouve une cour ouverte.
Il y a eu différentes phases de constructions pour la porte d’Ishtar, qui ont à chaque fois modifié son décor : La première phase est caractérisée par un décor émaillé, et la dernière par des bas-reliefs en brique émaillée et colorée. Sur les murs des portes, on trouve des rangées de taureaux et de dragons. Le taureau symbolise le dieu Adad (dieu de l’orage). Le dragon est une créature hybride : une queue et un corps de serpent, les pattes arrières en serres d’aigle. La tête du dragon (Mushkhushu) est une représentation du dieu Marduk (et le dragon lui-même est un attribut du dieu Marduk). Le lion d’Ishtar n’est pas présent dans les représentations. Sur la porte on peut également noter la présence d’une inscription de Nabuchodonosor II signifiant les détails de la construction, comme sur la voie processionnelle.
L'ensemble, qui fut entièrement reconstitué, est conservé au musée de Pergame de Berlin.
Culte
Parmi les rituels chaldéens, il arrivait de sacrifier des enfants pour obtenir les faveurs de la divinité. Ce dont témoigne la Bible, notamment dans le livre de Jérémie :
À ce culte est associé la prêtrise, et des sanctuaires sur chaque colline, appelés hauts lieux. À l'intérieur se trouvait des icônes et statues de Baal, et à l'extérieur des colonnes de pierre (probablement les symboles phalliques de Baal), des poteaux sacrés qui représentaient Ishtar, et des autels à encens. Des prostitués, mâles et femelles, servaient sexuellement sur les hauts lieux, et pratiquaient aussi le sacrifice d'enfants.
Ce culte était associé aussi dans l'esprit à certains corps célestes (soleil, étoiles).
De dieu(x) Baal est devenu un puissant démon dans la hiérarchie infernale, il est le général en chef des armées infernales, grand’croix de l’ordre de la mouche. Grand duc dont la domination est très étendue aux enfers. Il était adoré des Chaldéens, des Babyloniens et des Sidoniens, on lui offrait des victimes humaines, des enfants pour obtenir de belles récoltes ou la déroute des ennemis, il règne dans toute la partie orientale.
On le représente avec trois têtes : du chat, d'homme couronné et de crapaud, son torse râblé s'achève en pattes d'araignée. Il rend invisibles et rusés tous ceux qui l'évoquent.
Cette déesse, appelée Inanna chez les Sumériens, Ishtar chez les Akkadiens et Babyloniens, Astarté ou Athtart à Ougarit, Shaushka ou Shaushga chez les Hourrites, et Ashtart en langue punico-phénicienne, doit sa renommée à son activité culturelle et mythologique jamais égalée par une autre déesse du Moyen-Orient. À son apogée, elle était déesse de l’amour physique et de la guerre, régissait la vie et la mort.
Moloch est dans la tradition biblique le nom du dieu auquel les Ammonites, une ethnie cananéenne, sacrifiaient leurs premier-nés en les jetant dans un brasier.
D'après des découvertes récentes à Carthage, le mot désignerait en fait le sacrifice lui-même, molk, et non une divinité, qui aurait été inventée pour traduire l'expression.
La tradition a néanmoins gardé le sens d'une divinité, et le nom désigne aussi un démon dans les traditions chrétienne et kabbalistique.
L’existence d’un dieu spécifique nommé Moloch a été remise en cause par des découvertes archéologiques, qui jettent un autre sens sur la lecture de l'hébreu ancien. Il n'y a à ce jour aucune inscription faisant mention de ce dieu.
Les textes hébreux ne sont pas vocalisés, et le mot מלך, réduit aux consonnes mlk, peut désigner aussi bien un roi. Seul le rétablissement des voyelles permet de faire la différence. On a donc proposé que le terme Moloch serait une variante de roi, appellation honorifique pouvant s’adresser à des divinités différentes. La vocalisation se faisant avec les voyelles de honte, certains ont suggéré d’y voir une déformation délibérée de roi visant à dénigrer le dieu des Ammonites.
Cependant en 1921, l’archéologue Otto Eissfeldt a découvert sur le site de Carthage une nécropole contenant des restes d’animaux et de jeunes enfants, utilisée du VIIIe siècle av. J.-C. à 146 av. J.-C. avec des inscriptions mlk qui ne pouvaient s’interpréter ni comme roi, ni comme le nom d’un dieu. Ces découvertes lui ont suggéré l’idée que moloch pourrait être le nom du sacrifice par le feu et non celui d’un dieu.
Depuis le mot molk est reconnu comme un mot sémitique désignant un sacrifice humain, dont la victime est parfois remplacée par un animal. Là où la Bible lit pour faire passer leurs fils et leurs filles par le feu à Moloc, il conviendrait sans doute mieux de lire pour faire passer leurs fils et leurs filles par le feu de molk, le feu du sacrifice.
Dans la littérature rabbinique du Moyen Âge, on peut lire que Moloch, dieu des Ammonites, recevait les sacrifices d’enfants dans un lieu nommé Tophet dans la vallée de Hinnom proche de Jérusalem.
Le Tophet est décrit par Rachi comme une statue de bronze
avec les bras tendus pour recevoir ses victimes dont des tambours
couvraient les cris.
Une autre source rabbinique précise qu’elle était creuse et divisée en sept compartiments destinés chacun à une offrande différente :
farine, tourterelles, brebis, béliers, veaux, bœufs, enfants ;
les sept offrandes devaient brûler ensemble.
Les noms de Tophet et Himmon sont parfois interprétés comme dérivant respectivement de tambour et vacarme en hébreu. Des commentateurs ultérieurs du Tanakh ont fait l’association avec les sacrifices d’enfants offerts à Carthage selon Diodore de Sicile et Plutarque, associant Moloch avec Baal Hammon et Tanit, dieux de la colonie phénicienne.
Flaubert, avec son roman Salammbô, puis Jacques Martin, avec la série Alix ont également beaucoup contribué à l’association historiquement erronée de Moloch avec Carthage.
Dans la tradition kabbalistique, Moloch et Satan sont les premiers des deux sephiroth mauvais. Moloch représente l'aspect négatif du premier sephiroth, Kether (couronne de connaissance).
Ningishzida est une divinité mésopotamienne liée au monde souterrain. En sumérien, son nom signifie « Seigneur du bon arbre (ou bois) ». C'est donc peut-être à l'origine un dieu de la végétation. Dans la mythologie sumérienne, il apparaît dans le mythe d'Adapa comme un des deux gardiens du palais céleste d'Anu, avec Dumuzi.
Du point de vue de la parenté divine, il est le fils de Ninazu, et sa parèdre est Geshtinanna, elle aussi une divinité agraire. Son animal-symbole est le dragon-bashmu, une sorte de serpent à cornes. Il était également associé à la constellation de l'Hydre.
Ninazu est un Dieu mésopotamien secondaire, lié au monde souterrain. Du point de vue généalogique, il est le fils d'Ereshkigal, et le père de Ningishzida. Un dieu nommé Ninazu était également vénéré dans un temple d'Eshnunna à la fin du IIIe millénaire av. J.-C., mais il est possible qu'il ne s'agisse pas du même. Ninazu est en tout cas une divinité guérisseuse, dont l'animal-symbole est le dragon-serpent (mušhuššu), qui a également un attribut protecteur.
Dagon, forme ancienne Dagan, est un important dieu des populations sémitiques du Nord-Ouest. Il est le dieu des semences et de l'agriculture et fut révéré par les anciens Amorrites, les habitants d'Ebla, d'Ougarit et fut un des dieux principaux des Philistins. Très tardivement dans son histoire, à partir du IVe siècle après J.-C., on le trouve représenté sous la forme d'un poisson(dag en hébreu).
« Les Philistins prirent l’arche de Dieu, et ils la transportèrent d’Ében Ézer à Asdod. Après s’être emparés de l’arche de Dieu, les Philistins la firent entrer dans la maison de Dagon et la placèrent à côté de Dagon. Le lendemain, les Asdodiens, qui s’étaient levés de bon matin, trouvèrent Dagon étendu la face contre terre, devant l’arche de l’Éternel. Ils prirent Dagon, et le remirent à sa place. Le lendemain encore, s’étant levés de bon matin, ils trouvèrent Dagon étendu la face contre terre, devant l’arche de l’Éternel; la tête de Dagon et ses deux mains étaient abattues sur le seuil, et il ne lui restait que le tronc. C’est pourquoi jusqu’à ce jour, les prêtres de Dagon et tous ceux qui entrent dans la maison de Dagon à Asdod ne marchent point sur le seuil. »
— La Bible, Livre de Samuel, chapitre 5, versets 1 à 5
NINLIL Elle est la déesse de Tummal, un district de Nippur. Elle sera rapprochée de Ninhursag ( Ki ).
Le LIvre d'Hénoch !! Qu'est-ce que El ou IL!!!??? Elohim, Ilohim, Emmanuel, Ezéchiel, Gabriel, Raphaël, Michaël !!!
En grec : Michaïl, Raphaïl, Gabriïl, Emmanouïl.
Certainement ils connaissaient son Nom hébreu Ilohim, Jehovah, Adonaï ce qui signifie « JE SUIS QUI JE SERAI » Dieu, Seigneur. Mais cette connaissance rationnelle était insuffisante...Ils le connaissaient comme le seul Dieu, créateur du ciel et de la terre, le seul qui accomplit les prodiges. http://www.copticpope.org/modules.php?name=Content&pa=showpage&pid=17
CHAPITRE VII. Section 2. (300)
1. Quand les enfants des hommes, se furent multipliés dans ces jours, il arriva que des filles leur naquirent élégantes et belles.
2. Et lorsque les anges, les enfants des cieux les eurent vues, ils en devinrent amoureux; et ils se dirent les uns aux autres: choisissons-nous des femmes de la race des hommes, et ayons des enfants avec elles.
3. Alors Samyaza leur chef leur dit: je crains bien que vous ne puissiez accomplir votre dessein.
4. Et que je supporte seul la peine de votre crime.
5. Mais ils lui répondirent: nous vous le jurons.
6. Et nous nous lions tous par de mutuelles exécrations; nous ne changerons rien à notre dessein, nous exécuterons ce que nous avons résolu.
7. En effet ils jurèrent et se lièrent entre eux par de mutuelles exécrations. Ils étaient au nombre de deux cents, qui descendirent sur Aradis, lieu situé près le mont Armon.
8. Cette montagne avait été appelée Armon, parce que c'est là qu'ils avaient juré et s'étaient lié par de mutuelles exécrations.
9. Voici le nom de leurs chefs; Samyaza, leur chef, Urakabarameel, Akibeel, Tamiel, Ramuel, Danel, Azkeel, Sarakmyal, Asael, Armers, Batraal, Anane, Zavebe, Samsavel,Ertael, Turel, Yomyael, Arazeal. Tels furent les chefs des ces deux cents anges; et le reste étaient tous avec eux.
10. Et ils se choisirent chacun une femme, et ils s'en approchèrent, et ils cohabitèrent avec elles; et ils leur enseignèrent la sorcellerie, les enchantements, et les propriétés des racines et des arbres.
11. Et ces femmes concurrent et elles enfantèrent des géants.
12. Dont la taille avait trois cent coudées. Ils dévoraient tout ce que le travail des hommes pouvait produire, et il devint impossible de les nourrir. (Une coudée = entre 44cm et 52cm)
13. Alors ils se tournèrent contre les hommes eux même, afin de les dévorer.
14. Et ils commencèrent à se jeter sur les oiseaux, les bêtes, les reptiles et les poissons, pour se rassasier de leur chair et se désaltérer de leur sang.
15. Et alors la terre réprouva les méchants.
CHAPITRE VIII
1. Azaziel enseigna encore aux hommes à faire des épées, des couteaux, des boucliers, des cuirasses et des miroirs; il leur apprit la fabrication des bracelets et des ornements, l'usage de la peinture, l'art de se peindre les sourcils, d'employer les pierres précieuses, et toutes espèces de teintures, de sorte que le monde fut corrompu.
2. L'impiété s'accrut; la fornication se multiplia, les créatures transgressèrent et corrompirent toutes leurs voies.
3. Amarazak enseigna tous les sortilèges, tous les enchantements et les propriétés de racines.
4. Armers enseigna l'art de résoudre les sortilèges.
5. Barkayal enseigna l'art d'observer les étoiles.
6. Akibeel enseigna les signes.
7. Tamiel enseigna l'astronomie.
8. Et Asaradel enseigna les mouvements de la lune. 9. Et les hommes sur le point de périr élevèrent leurs voix, et leurs voix montèrent jusqu'au ciel.