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Sainte Sophia, Le Temple à Jérusalem !!

 

Commentaires personnels :

Dieu est Pardonneur et Miséricordieux et Dieu a continué à envoyer le Feu Sacré sur le Saint Tombeau de Jésus Christ à Jérusalem.

Mais Dieu n'aime pas que nous allions au-delà des Ecritures.

Il envoya le prophète, le Messager de Dieu pour confirmer la Thora, les Evangiles, Jésus, fils de Marie, Messie.

Et Dieu dit de ne rien Lui associer. Que Dieu était l'Unique, et Jésus le Messie.

Ainsi, Dieu permit que l'Islam trône sur Sainte Sophia à Constantinople.

Et qu'une Mosquée soit construite à l'emplacement du Temple de Salomon.

Mais Dieu aime les hommes, et Dieu pardonne beaucoup, mais Dieu ne pardonne pas aux hommes qui Le représentent, de ne pas préparer ses enfants, et de ne pas Lui obéir.

Sainte-Sophie (Constantinople)

Sainte-Sophie (du grec Ἁγία Σοφία / Hagía Sophía, qui signifie « Sainte

 Sagesse », « Sagesse Divine », nom repris en turc sous la forme Ayasofya) est

 une ancienne basilique chrétienne de Constantinople du VIe siècle, devenue

 une mosquée au XVe siècle sous l'impulsion du sultan Mehmed II. Elle est

 édifiée sur la péninsule historique d'Istanbul. Depuis 1934, elle n'est plus un

 lieu de culte mais un musée. Son esplanade est à la mesure de la gloire de

 Byzance. La dédicace de l'église, souvent surnommée la Grande Église, a été

 vouée au Christ, « Sagesse de Dieu », selon les théologiens.

Histoire

Les premières basiliques

Localisation de Sainte-Sophie dans le centre de Constantinople
Pierre de la basilique commandée par Théodose II subsistant aujourd'hui, montrant l'Agneau de Dieu

La première basilique consacrée à la « Sagesse Divine » (Ἁγία Σοφία / Hagía Sophía) a été voulue par l'empereur Constantin en 330, après sa conversion au christianisme. Elle fut probablement érigée sur les ruines d'un ancien temple d'Apollon, sur une colline surplombant la mer de Marmara. C'est l'empereur Constance II qui consacra ce premier édifice, le 30 octobre 360. C'était alors la plus grande église de la ville, elle était communément appelée Μεγάλη Ἐκκλησία (Megálē Ekklēsíā, « la Grande Église »). On suppose qu'il s'agissait d'un bâtiment en pierre au toit de bois. Au début du Ve siècle, l'empereur Arcadius ratifia la déposition et l'exil de l'archevêque de Constantinople saint Jean Chrysostome, à la suite d'un bras de fer avec le patriarche Théophile d'Alexandrie que Jean avait été chargé de juger. L'édifice fut alors incendié lors d'une émeute en 404.

Il fut reconstruit en 415 par l'empereur Théodose II. Le bâtiment retrouva un plan basilical classique sous la direction de l'architecte Roufinos. La basilique fut consacrée le 8 octobre 415. Un siècle plus tard, elle subit une nouvelle fois le même sort funeste, le 13 janvier 532 pendant la sédition Nika, qui a embrasé la ville de Constantinople pendant six jours. Des vestiges subsistent devant le mur ouest de l'édifice actuel depuis 1935. De ces ruines, on distingue un escalier de cinq marches accédant à un portique, et trois portes vers le narthex. Le bâtiment faisait 60 mètres de large.

Après les émeutes de Nika en 532, l'empereur Justinien entreprend de refonder l'édifice dont il pose lui-même la première pierre.

La basilique de Justinien (bâtiment actuel) [modifier]

Le 23 février 532, à peine quelques jours après la destruction de la seconde basilique, l'empereur Justinien prit la décision de la reconstruire, cette fois beaucoup plus grande et majestueuse que les deux précédentes, dédiée à la Sagesse Divine.

Justinien choisit comme architectes le physicien Isidore de Milet et le mathématicien Anthémius de Tralles, qui mourut au bout d'un an. Les architectes dessinèrent un bâtiment inspiré du Panthéon de Rome et de l'art chrétien primitif d'Occident. Ce style, qui a également subi, dans d'autres bâtiments, des influences iraniennes (sassanides), est aujourd'hui qualifié de « byzantin ». Ce style byzantin a inspiré, à son tour, des architectes arabes, vénitiens et ottomans. La construction de l'église est décrite par l'historien byzantin Procope de Césarée, dans son ouvrage Sur les monuments (Περὶ κτισμάτων, De Ædificiis). L'empereur avait fait venir des matériaux de tout l'Empire : des colonnes hellénistiques du temple d'Artémis à Éphèse, du porphyre d'Égypte, du marbre vert de Thessalie, des pierres noires de la région du Bosphore, d'autres de couleur jaune en provenance de Syrie. Plus de dix mille ouvriers furent employés pour cette construction.

Coupe de Sainte-Sophie
Plan de Sainte-Sophie sous Justinien

La nouvelle église apparut immédiatement comme une œuvre majeure de l'architecture, le reflet des idées créatives des deux architectes. Il est possible que ceux-ci se soient inspirés des théories de Héron d'Alexandrie, dans la réalisation d'un dôme aussi considérable, couvrant un si large espace entièrement dégagé. L'empereur put inaugurer la nouvelle basilique le 27 décembre 537, avec le patriarche Eutychius, avec faste et solennité. Les décors intérieurs, particulièrement les mosaïques, ne furent achevés que sous le règne de l'empereur Justin II (565-578).

Des tremblements de terre, en août 553 et le 14 décembre 557, causèrent des fissures sur le dôme principal et la demi-coupole de l'abside. Le 7 mai 558, un nouveau séisme provoqua la destruction totale du dôme central, qui s'écroula sur l'ambon, l'autel et le ciborium, les détruisant entièrement. L'empereur ordonna une restauration immédiate, faisant appel à Isidore le Jeune, fils d'Isidore de Milet. On utilisa cette fois des matériaux aussi légers que possible, et on donna à l'édifice ses mesures actuelles : un dôme de 6,25 m de diamètre et une hauteur totale de 55,6 m [1].

Cette reconstruction donna à la basilique sa forme définitive, qui remonte donc au milieu du VIe siècle. Pour cette nouvelle consécration, présidée par le patriarche de Constantinople Eutychius, le 23 décembre 562, le poète byzantin Paul le Silentiaire composa un long poème épique connu aujourd'hui sous le nom d' Ecphrasis.

Sainte-Sophie était le siège du patriarche orthodoxe de Constantinople et le lieu d'accueil principal des cérémonies impériales byzantines, comme le couronnement des empereurs. La basilique jouait aussi le rôle de lieu d'asile pour les malfaiteurs.

En 726, l'empereur Léon l'Isaurien instaura un certain nombre d'édits contre la vénération des images. Il ordonna à l'armée de détruire les icônes, inaugurant ainsi la période iconoclaste, durant laquelle Sainte-Sophie fut vidée de toute représentation peinte ou sculptée. Après un bref répit sous l'impératrice Irène, le mouvement reprit de l'ampleur : l'empereur Théophile (829-842), très influencé par les conceptions de l'art islamique, interdit les images sculptées. Une double porte de bronze portant son monogramme fut installée à l'entrée sud de l'église.

La basilique souffrit fortement d'abord d'un incendie en 859,puis d'un nouveau séisme le 8 janvier 869, qui provoqua l'écroulement de la moitié de la coupole. L'empereur Basile Ier fit les réparations nécessaires.

Le 25 octobre 989, une nouvelle secousse, très importante, détruisit encore la coupole. L'empereur Basile II chargea l'architecte arménien Trdat, créateur des grandes églises d'Ani et Agine, de restaurer le dôme[2]. Ces réparations de grande ampleur, qui touchèrent aussi bien l'arche occidentale que la moitié de la coupole, durèrent six ans. L'église rouvrit ses portes le 13 mai 994.

Dans son livre De caerimoniis aulae Byzantinae (Livre des Cérémonies), l'empereur Constantin VII (913-919) donne tous les détails sur les cérémonies célébrées à Sainte-Sophie, tant par l'empereur que par le patriarche.

L'occupation latine [modifier]

Inscription du XIXe siècle, marquant, dans la basilique, l'emplacement de la tombe d'Enrico Dandolo, doge de Venise, responsable du sac de Constantinople, en 1204, au cours de la Quatrième croisade.

Lors de la prise de Constantinople, en 1204, au cours de la Quatrième croisade, l'église fut mise à sac par les Latins chrétiens. L'historien byzantin Nicétas Choniatès a décrit la prise de la ville : des reliques conservées dans l'église, comme un fragment de la tombe de Jésus ou le lait de la Vierge Marie, le linceul de Jésus, des ossements de différents saints furent disséminés vers un grand nombre d'églises occidentales. Durant l'occupation latine de Constantinople (1204–1261), la basilique devint une cathédrale catholique. Baudoin Ier de Constantinople fut couronné empereur le 16 mai 1204 à Sainte-Sophie, observant au plus près les rites byzantins en usage. Le doge de Venise Enrico Dandolo, qui commanda le sac de la ville en 1204, est probablement enterré dans la basilique. La plaque qui marque l'emplacement supposé de sa tombe ne date que du XIXe siècle.

Lors de la reprise de la ville par les Byzantins en 1261, ceux-ci trouvèrent la basilique ravagée. C'est probablement à cette époque que furent ajoutés les arcs-boutants du côté ouest. En 1317, l'empereur Andronic II Paléologue fit construire quatre nouveaux arcs-boutants à l'est et au nord. Après de nouveaux désordres dans le dôme, causés par une nouvelle secousse sismique en octobre 1344, d'autres parties du bâtiment s'écroulèrent le 19 mai 1346. L'église ne put rouvrir ses portes qu'en 1354, une fois les réparations menées à bien par les architectes Astras and Peralta.

La mosquée de l'époque ottomane

Fontaine (Şadirvan) pour les ablutions rituelles
Le mihrab, dirigé vers La Mecque, flanqué des deux chandeliers colossaux de Soliman le Magnifique. Il est situé dans l'abside, à l'emplacement de l'autel.

En 1453, immédiatement après la prise de Constantinople, la basilique fut convertie en mosquée Ayasofya[3], comme symbole de la conquête. À cette époque, le bâtiment était très délabré : plusieurs de ses portes ne tenaient plus. Cet état de la basilique a été décrit par plusieurs visiteurs occidentaux, comme le gentilhomme cordouan Pero Tafur[4] et le Florentin Cristoforo Buondelmonti[5]. Le sultan Mehmed II ordonna le nettoyage immédiat de l'église et sa conversion en une mosquée. Contrairement aux autres mosaïques et peintures murales des églises de la ville, la mosaïque de Marie dans l'abside de Sainte-Sophie ne fut pas, pour des raisons obscures, recouverte de lait de chaux par ordre de Mehmed II[6]. Pendant cent ans, elle fut couverte d'un voile puis eut le même traitement que les autres[6]. Le sultan suivant, Bayezid II, fit ériger un nouveau minaret, en remplacement de celui construit par son père.

Au XVIe siècle, le sultan Soliman le Magnifique (1520-1566) rapporta deux chandeliers colossaux de sa conquête de la Hongrie. Ils furent placés de chaque côté du mihrab. Mais au cours du règne de Selim II (1566-1577), le bâtiment commença à montrer des signes de fatigue et dut être stabilisé par l'ajout de contreforts externes massifs. Ces travaux d'envergure furent accomplis par le grand architecte ottoman Sinan, qui construisit les deux autres grands minarets de l'extrémité ouest du bâtiment, la loge originale du sultan et le mausolée de Selim II, au sud-est, en 1577. Les mausolées de Murad III et Mehmed III furent construits à ses côtés dans les années 1600.

D'autres additions ont été réalisées plus récemment, comme le minbar (estrade pour les sermons) décoré de marbres, et la loggia pour le muezzin. Le sultan Murad III (1574-1595) plaça des deux côtés de la nef les deux grandes urnes hellénistiques en albâtre, transportées depuis Pergame. Le sultan Mahmud Ier ordonna la restauration de l'édifice en 1739 et ajouta un medrese (une école coranique, actuellement la bibliothèque du musée), une soupe populaire (pour la distribution aux pauvres), une bibliothèque et, en 1740, une fontaine d'ablutions rituelles (Şadirvan), transformant ainsi le bâtiment en un külliye, c'est-à-dire un vaste complexe social. Dans le même temps furent construits une nouvelle galerie pour le sultan, ainsi qu'un nouveau mihrab.

La mieux connue des restaurations de Sainte-Sophie fut celle menée entre 1847 et 1849 par le sultan Abdülmecid, accomplie par plus de 800 ouvriers dirigés par deux architectes italo-suisses, les frères Gaspare et Giuseppe Fossati. Les travaux portèrent sur la consolidation de la coupole et des voûtes, le redressement des colonnes et la révision de la décoration intérieure et extérieure. Les mosaïques de la galerie furent nettoyées. Les ancien lustres furent remplacés par de nouvelles suspensions plus facilement accessibles. Des panneaux circulaires gigantesques furent accrochés aux quatre piliers centraux, inscrits des noms d'Allah, du prophète Mahomet et des quatre premiers califes Abu Bakr, Omar, Uthman et Ali, ainsi que de ceux des deux petits-enfants de Mahomet : Hassan et Hussein, par le calligraphe Kazasker İzzed Effendi (1801-1877). En 1850, les Fossati construisirent une nouvelle galerie du sultan dans le style néo-byzantin, reliée au pavillon royal situé derrière la mosquée. À l'extérieur du bâtiment furent érigés un nouveau bâtiment pour le gardien du temps et un nouveau medrese. Les minarets furent modifiés de manière à égaliser leurs hauteurs respectives. La restauration achevée, la mosquée fut rouverte dans de fastueuses cérémonies, le 13 juillet 1849.

La République de Turquie

À son arrivée au pouvoir, Mustafa Kemal Atatürk décide de poursuivre la restauration de Sainte-Sophie. La direction des travaux est attribuée au Byzantine Institute of America en 1931[7]. En 1934, Atatürk désaffecte le lieu du culte pour « l'offrir à l'humanité », il fait décrocher les grands panneaux circulaires portant le nom d'Allah, du Prophète et des Califes : Sainte-Sophie devient un musée.

En 1951, le gouvernement Menderes fait remettre en place les grands panneaux aux caractères arabes[8].

En 1993, une mission de l'UNESCO en Turquie constate plusieurs altérations : le plâtre s'effrite, la pollution a sali les parements de marbre, des fenêtres sont cassées, des peintures décoratives sont endommagées par l'humidité, le toit en plomb est vétuste. Les efforts de restauration de l'édifice sont renforcés et continuent à ce jour.

Le long héritage de Sainte-Sophie, successivement basilique chrétienne, mosquée et musée très fréquenté, pose un défi délicat en termes de restauration. L'héritage iconographique de mosaïques chrétiennes est progressivement dévoilé mais des créations artistiques musulmanes doivent être détruites pour les mettre au jour. Les restaurateurs tentent d'offrir au visiteur le meilleur des deux expressions artistiques et religieuses.

Architecture [modifier]

Colonne de porphyre rouge, cerclée de métal

Sainte-Sophie est l'un des plus grands exemples de l'architecture byzantine. Sa décoration intérieure, ses mosaïques, ses colonnes de porphyre et sa couverture en coupole sont d'une immense valeur artistique. Justinien a lui-même supervisé l'achèvement de la basilique, la plus grande jamais construite à ce moment, qui devait rester la plus grande église du monde jusqu'à l'achèvement de la cathédrale de Séville.

La basilique de Justinien est à la fois le point culminant des réalisations architecturales de l'Antiquité tardive et le premier chef-d'œuvre de l'architecture byzantine. Son influence s'est exercée profondément et de manière durable, sur l'architecture orthodoxe orientale, mais tout autant sur celles de l'Église catholique et du monde musulman.

Les plus hautes colonnes atteignent 20 mètres, et un diamètre d'au moins 1,50 m. Elles sont constituées de différents granites, marbres, porphyres, et l'on peut calculer que les plus importantes pèsent au moins 70 tonnes. Huit d'entre elles, d'ordre corinthien, ont été transportées depuis les temples de Baalbek.

La structure interne est complexe. La nef principale est couverte d'un dôme central d'un diamètre maximal de 31,25 m, un quart plus petit environ que la coupole du Panthéon de Rome, et d'une hauteur maximale de 55,60 m au-dessus du sol. Toutes les surfaces intérieures sont plaquées de marbres polychromes, avec des porphyres rouges et verts et des mosaïques d'or qui couvrent la structure de mortier et de brique. Les gros piliers centraux se trouvent ainsi camouflés et leur aspect considérablement allégé.

À l'extérieur, on eut recours au simple stucage des murs, qui révélait le dessin des voûtes et des coupoles. Le revêtement externe jaune et rouge a été ajouté par l'architecte Fossati au cours de sa restauration de la basilique, au XIXe siècle.

 

 

 Coupole [modifier]

La coupole, vue depuis la galerie supérieure
Principe de la coupole sur pendentifs

La coupole semble ne reposer sur aucun appui solide, mais flotter en apesanteur au-dessus de sa galerie d'arcades ininterrompues de 40 fenêtres qui contribuent largement à inonder de lumière l'intérieur polychrome de la basilique. Les réparations successives au cours de l'histoire ont fait perdre au dôme sa base circulaire parfaite : elle apparaît aujourd'hui comme quelque peu elliptique et irrégulière, d'un diamètre variant de 31,24 m à 30,86 m.

La coupole est assise sur quatre pendentifs triangulaires concaves, solution déjà appliquée par les architectes romains dans des constructions de moindre ampleur, bien connue sous les noms de « rachat du plan carré » ou « rachat de l'octogone », classique dans les constructions byzantines et postérieures. Dans le cas de Sainte-Sophie, les pendentifs reportent les forces exercées par la coupole sur quatre piliers massifs disposés aux quatre angles et contrebutés par des demi-coupoles à l'est (abside) et à l'ouest (entrée du bâtiment).

Il n'en est pas de même des côtés nord et sud, où les arcs sont seulement fermés par de hauts murs en demi-cercle ajourés de nombreuses petites fenêtres. Cette disposition bilatérale est la cause directe de tous les désordres que la basilique a connus tout au long de son histoire, au point qu'il a fallu, à l'époque ottomane, doter le bâtiment d'énormes contreforts, bien visibles de l'extérieur.

Les architectes ottomans, Sinan et ses successeurs, ont montré aux yeux de tous que le contrebutement équilibré, soit par des contreforts suffisamment robustes et écartés (mosquée Süleymaniye), soit par un plan octogonal supportant beaucoup mieux les forces verticales (mosquée Selimiye d'Andrinople), soit encore par des demi-coupoles sur les quatre côtés (Mosquée bleue), apporte à ce problème une solution aussi mathématique que définitive. Apparemment, l'architecte de Sainte-Sophie tenait à conserver un plan basilical en longueur partagé par un seul axe de symétrie, au lieu du plan à deux axes croisés adopté pour les constructions d'époque ottomane.

 

Mosaïques

Mosaïques à motifs géométriques, galerie supérieure

 

Suite !

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