COMMENTAIRES PERSONNELS : COMME NOUS L'AVONS Déjà LU, LE "IL" SE TRANSFORME EN "EL".
Raphaël en grec donne : RAPHAÏL
Gabriël en grec donne : GABRIÏL
Elohim en grec donne : ILOHIM
Israël en grec donne : ISRAÏL
ETC !!
La métonymie Elohim (ou Éloïm) est un terme hébreu qui apparaît dans l'Ancien Testament de la Bible (אֱלֹהִים ʾElohīm) et qui se traduit généralement en français par Dieu en tant que nom commun. Le nom propre, selon quelques confessions chrétiennes étant Yahvé, et YHWH étant le nom donné dans le texte massorétique.
Le mot « Elohim » (pluriel) est aussi à rapprocher du terme arabe « Allah ». Les deux noms partagent en effet tous deux la racine sémitique e-l. En arabe, divinité se dit « ilèh » et le Dieu unique « al-ilèh » d'où le nom propre « Allah ».
Genèse, 1:1 : « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre » :
Par ailleurs, la pluralité se confirme à plusieurs endroits :
Genèse, 1:26 : « Elohim dit : faisons l'homme à notre image, à notre ressemblance ... » Genèse, 3:22 : « Elohim dit : Voici que l’homme est devenu comme l’un de nous ... »
Quoi qu'il en soit, le radical ʾel ou ʾil pour désigner le Dieu se retrouve en arabe, dans le nom de Dieu, اللّٰه ʾAllāh ; en araméen, le mot se dit ʾāllāhā. Le radical se retrouve dans d'autres langues sémitiques.
A la rigueur, le terme Elohim toujours précédé d'un verbe au singulier. Selon la tradition rabbinique, le nom de Elohim se traduit par Maître de toutes les puissances. Yahweh, lorsqu'Il créa le monde, mit en toute créature une certaine force. . La lune a une influence sur les marées, le soleil a le pouvoir de faire pousser les récoltes, etc. Toutes ces forces ont donc été créées par Yahweh afin que le monde subsiste. Les ayant créées, il est donc le « Maître de toutes les puissances » existant sur terre.
אל |
La langue hébraïque un attribut de l'Être Suprême au Nom ineffable (הַשֵׁם haShem), révélé par un Verbe (יהוה YHWH) à Moïse[4].
« Yahweh » est une transcription longtemps utilisée par l'Église catholique, et consacrée par l'usage en français, obtenue en intercallant les deux voyelles a et e pour donner une forme prononçable aux quatre consonnes
du tétragramme YHWH, nom du ILOHIM des Hébreux
dans l'Ancien Testament
Le judaïsme, qui n'a jamais utilisé ces transcriptions, a oublié la façon dont se prononçait le Nom divin, elle a été plus ou moins “perdue”.
Le tétragramme YHWH (יהוה) est un nom hébraïque se composant des consonnes yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו) hē (ה), de valeur guématrique 26. Souvent présenté comme le « nom propre » de Dieu, ce mot est alors désigné comme « le Tétragramme ». Il s’agit d’une forme verbale conjuguée de la racine trilittère היה hyh, équivalente au verbe être[1]. Le Tanakh (la Bible hébraïque) rapporte que cette expression fut entendue par Moïse au sommet du mont Horeb dans le désert du Sinaï[2].
Ce nom n’est pas prononçable pour le judaïsme. Le christianisme, en revanche, l’a transcrit et prononcé de différentes manières en particulier sous les formes Yahvé ou Jéhovah.
Dans la bible hébraïque, on trouve 26 occurrences du mot hébreu יָהּ = Yah ou Jah.
On trouve aussi le terme sous forme composée, dans le mot alléluia, ou halellujah : Hallelou Yah, « Rendez louange à Yah ».
Il s'agit dans la bible d'une forme abrégée de YHWH (Yahweh ou Jehovah). Il désigne donc Ilohim.
L’explication du Tétragramme par la Bible elle-même se trouve en Ex 3. 13-14 (épisode du Buisson ardent). Moïse dit à Elohim : « Voici, je vais trouver les Israélites et je leur dis : "Elohim de vos pères m’a envoyé vers vous." Mais s’ils me disent : "Quel est son nom ?", que leur dirai-je ? Elohim dit à Moïse : "Je suis ce que je suis" (Ehyéh Acher Ehyéh אֶֽהְיֶ֖ה אֲשֶׁ֣ר אֶֽהְיֶ֑ה) Et il dit : "Voici ce que tu diras aux Israélites : [mot à mot] "Je serai qui je serai" ou, plus métriquement, "que je sois qui je serai" (Ehyéh) m’a envoyé vers vous." » — traduction de la Bible de Jérusalem. L’expression est rendue par « Je suis celui qui suis » dans la traduction due à Louis Segond et par « Je suis qui Je serai » dans la TOB.
La plus ancienne mention épigraphique connue du tétragramme YHWH est un nom théophore daté de -820 sur la stèle de Tel Dan ; une autre inscription, explicite celle-là, datée de -810 a été trouvée sur la stèle de Mesha
La Stèle de Tel Dan est une stèle de basalte noir érigée par un roi araméen dans le nord d'Israël. Elle contient une inscription araméenne qui commémore la victoire du roi sur les anciens Hébreux. Bien que le nom de l'auteur de la stèle ne semble pas apparaître sur les fragments disponibles, il s'agit probablement d'un roi vivant près de Damas. La datation, le langage et la localisation rendent plausible le fait que l'auteur soit Hazaël ou son fils, Bar-Hadad II, qui étaient souverains de Damas et ennemis du royaume d'Israël.
La stèle a été découverte à Tel Dan, anciennement nommée Tell el-Qadi, une colline où jadis se tenait une cité à l'extrême nord d'Israël. Le fragment A a été découvert en 1993, et les fragments B1 et B2, qui vont ensemble, en 1994. Dans la partie cassée de la stèle, sous les écritures, il pourrait y avoir un point de contact "interne" possible entre le fragment A et les fragments B1/B2 assemblés, mais il est sujet à controverse. Si ce point de contact existe réellement, alors les pièces étaient à l'origine côte à côte.
L'inscription a été datée du 9e ou 8e siècle AEC. La fin du 8e siècle correspond à une destruction due à une conquête assyrienne en 733/732 AEC.
Comme cette couche de destruction était au-dessus de la couche dans laquelle les fragments de stèle ont été trouvés, il est clair qu'elle a eu lieu après que la stèle a été érigée, puis brisée en plusieurs morceaux, lesquels ont été réemployés plus tard, dans un projet de construction à Tel Dan, vraisemblablement par des constructeurs hébreux. Le temps écoulé entre ces événements et la conquête assyrienne est difficile à estimer.
Bien que seuls des fragments de l'inscription aient demeuré, elle a fortement suscité l'intérêt des archéologues. L'attention est concentrée sur les lettres « ביתדוד » qui sont identiques à l'hébreu « Maison de David. » Si la lecture est correcte, il s'agirait de la première identification du roi « David » sur un site archéologique.
Comme la stèle de Mesha, la stèle de Tel Dan semble remplir une fonction de mémorial à but de propagande militaire, vantant les victoires du roi Hazaël ou de son fils. (Quelques épigraphes, dont André Lemaire, pensent que l'expression « maison de David » apparaît également dans une ligne partiellement brisée de la stèle de Mesha.)
Possibles parallèles bibliques
Les inscriptions pourraient coïncider avec certains événements consignés dans la Bible hébraïque :
La stèle de Mesha est une stèle de basalte noir découverte en 1868 et sur laquelle est gravée une inscription remontant à l'époque du roi Moabite Mesha (IXe siècle av. J.-C.). Le texte de trente-quatre lignes (l'inscription la plus longue découverte jusqu'à présent pour cette époque de l'ancienne Palestine), est écrit en alphabet paléo-hébraïque. Datée de 850 av. J.-C. environ, elle relate les victoires de Mesha au cours de sa révolte contre le royaume d'Israël qu'il entreprit après la mort de son suzerain Achab.
La pierre, arrondie à son sommet, fait 124 cm de hauteur pour 71 cm de largeur et de profondeur. Elle a été découverte en août 1868 par le révérend F. A. Klein, missionnaire allemand à Jérusalem, sur le site de Dibon (Dhiban en Jordanie). "Les arabes du voisinage, appréhendant la perte d'un tel talisman, brisèrent la pierre en morceaux; mais, Charles Clermont-Ganneau en avait déjà réalisé un estampage et il put par la suite reconstituer la pierre après en avoir récupéré la plupart des fragments."[1]. Cet estampage, qui n'a jamais été publié, ainsi que la pierre reconstituée, publiée dans de nombreux livres et encyclopédies, sont tous deux au musée du Louvre.
La stèle décrit:
Si l'on excepte quelques légères variations, par exemple -in pour -im dans les pluriels, le langage Moabite de l'inscription est identique à la forme primitive de l'hébreu. L'alphabet Moabite est le type phénicien le plus ancien de l'alphabet Sémitique. La forme des lettres utilisées apporte des informations importantes et très intéressantes à propos de la formation de l'alphabet, ainsi que, incidemment, des arts pratiqués pendant cette période sur la terre de Moab.
Allah ( 'Allāh, écrit الله ou اللّه ou encore اللّٰه ou ﺍﷲ selon le degré de précision adopté pour l'alphabet arabe) est le mot arabe qui désigne « Dieu ».
Il s'agit de la forme arabe de l'invocation divine générique de la Bible : « Élie » (pas le nom du prophète Élie, mais le mot hébreux « Élohim » qui est utilisé pour ne pas nommer « Yahvé »).
D'autres étymologie font l'objet de discussions.
L'étymologie que rapporte Dalil Boubakeur[1] est la contraction de Al-Ilāh, (« le Dieu ») en arabe. Le mot se compose de l'article ال al, qui marque la détermination comme notre article « le », et de إِلَاه ilāh, qui signifie « (un) dieu ». Al suivi de ilāh donnerait Allāh par apocope du deuxième terme, qui porterait donc une hamza instable. Le mot aurait ensuite été univerbé. De sorte, Allah se traduirait littéralement par « le Dieu » — usage qui rappelle celui du mot « Dieu » écrit avec une lettre capitale en français
NOTES PERSONNELLES :
Genèse : Yahweh Ilohim dit : "Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, pour dominer sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur les animaux domestiques, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre". Et Ilohim créa l'homme à Son Image; Il le créa à l'image de Ilohim : Il les créa mâle et femelle. Et Ilohim les bénit, et Ilohim leur dit : "Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre et soumettez-là, et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tous les animaux qui rampent sur la terre ".
Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance ! A qui Ilohim parlait-Il ?, en utilisant un pluriel : A l'Armée céleste, bien évidemment, aux archanges, aux anges, à la Hiérarchie Céleste. Puisque YAHWEH ILOHIM est leur Créateur aussi, preuve de leur existence auprès de ILOHIM.
Les séraphins apparaissent à plusieurs reprises dans la Bible, notamment dans le Deutéronome, les Nombres ou Isaïe. Ce dernier décrit sa vision en ces termes (Is 6:1-7) :
« Dans l’année où mourut le roi Ouzia, moi, cependant, je vis le Seigneur, siégeant sur un trône haut et élevé, et les pans de son vêtement remplissaient le temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui. Chacun avait six ailes. Avec deux il tenait sa face couverte, et avec deux il tenait ses pieds couverts, et avec deux il volait. Et celui-ci appelait celui-là et disait : « Saint, saint, saint est l'Eternel des armées. Toute la terre est pleine de sa gloire. » »
« Je dis alors : « Malheur à moi ! Car je suis pour ainsi dire réduit au silence, parce que je suis un homme impur des lèvres et que j’habite au milieu d’un peuple impur des lèvres ; car mes yeux ont vu le Roi, Yahweh des Armées Lui-même ! » Mais l’un des séraphins vola vers moi, et dans sa main il y avait une braise qu’il avait prise avec des pinces de dessus l’autel. Alors il toucha ma bouche et dit : « Vois ! Ceci a touché tes lèvres, et ta faute s’est éloignée, et propitiation est faite pour ton péché. » »
Commentaires
Si l'on considère l'existence d'une hiérarchie céleste, on peut affirmer que les séraphins sont des créatures importantes dans les cieux, puisqu'ils servent autour du Trône de Yahweh. Les chérubins décrits dans la vision d’Ézékiel correspondent à des coureurs qui accompagnaient le char céleste de Yahweh (Éz 10:9-13).
Les séraphins archanges, anges : ils sont appelés des serpents !!
Le mot hébreu seraphim est un nom pluriel dérivé du verbe saraph, qui signifie « brûler ». (Lv 4:12.) Le terme hébreu seraphim veut donc dire littéralement « les brûlants ». D'autres sens possibles du mot saraf peuvent être « venimeux », « qui cause une inflammation » et « serpent ». Ainsi dans le Deutéronome (parachat Eqev), on trouve ce terme en association avec les animaux peuplant le désert :
« ... qui t'a conduit à travers ce vaste et redoutable désert, plein de serpents venimeux (saraf) et de scorpions »
La plupart des historiens de la Bible considèrent que les seraphim bibliques sont dérivés des uraei égyptiens, ces cobras dotés d'ailes.
Les premières traductions de la Bible hébraïque en grec
traduisaient d'ailleurs le mot par « serpents ».
Dans les religions juive, chrétienne et dans l'islam, les archanges sont une catégorie d'anges. Ils constituent l'un des neuf chœurs des anges. Les archanges sont les avant-derniers, juste avant les anges eux-mêmes (comme l'indique le préfixe arch qui signifie supérieur).
Le mot archange vient du grec ἀρχάγγελος / arkhángelos composé de ἀρχι- / arkh- « le plus puissant, le premier » et de ἄγγελος / ángelos « messager ».
Les archanges connus par leurs noms sont :
Cependant Gabriel et Raphaël ne sont pas mentionnés dans la Bible comme étant archanges. Seul Michel porte ce titre. Selon la signification du terme « le plus puissant, le premier ». Ce sont les seuls êtres au monde à avoir une relation toute particulière avec Dieu. En guise de rétribution pour leur attitude face à la rébellion de Satan, ils sont autorisés à agir sans la permission de Dieu. Ce sont les seuls à avoir ce pouvoir.
Il existe deux expressions pour désigner un archange :
Cette dernière expression étant une forme honorifique où l'on insiste sur le rang d'archange.
Qu'il y ait des anges, beaucoup de pages de la Sainte Écriture l'attestent... Mais il faut savoir que le mot « ange » désigne leur fonction : messager. Et on appelle « archanges » ceux qui annoncent les plus grands événements. C'est ainsi que l'archange Gabriel a été envoyé à la Vierge Marie. Pour ce ministère, pour annoncer le plus grand de tous les événements, l'Incarnation du Verbe de Dieu, il s'imposait d'envoyer un ange du plus haut rang...
Pareillement, lorsqu'il s'agit de déployer une puissance extraordinaire, c'est Michel qui est envoyé. En effet, son action comme son nom, qui veut dire : « Qui est comme Dieu », font comprendre aux hommes que nul ne peut faire ce qu'il appartient à Dieu seul de réaliser. L'antique Ennemi, le diable, qui a désiré par orgueil de se faire semblable à Dieu, disait : « J'escaladerai les cieux ; au-dessus des étoiles j'érigerai mon trône ; je serai semblable au Très Haut » (Is 14,13). Mais l'Apocalypse nous dit qu'à la fin des temps, lorsqu'il sera laissé à sa propre force, avant d'être éliminé par le supplice final, il devra combattre contre l'archange Michel : « Il y eut un combat dans le ciel : Michel et ses anges combattirent contre le Dragon. Et le Dragon lui aussi combattait avec ses anges ; mais il n'eut pas le dessus ; il fut précipité en bas » (Ap 12,7).
À la Vierge Marie, c'est donc Gabriel, dont le nom signifie « Force de Dieu», qui a été envoyé. Ne venait-il pas annoncer celui qui a voulu se manifester dans une condition humble, pour triompher de l'orgueil du démon ? C'est donc par la « Force de Dieu » que devait être annoncé celui qui venait comme « le Dieu des armées, le vaillant des combats » (Ps 23,8). Quant à l'archange Raphaël, son nom signifie « Dieu guérit ». En effet, c'est lui qui a délivré de la cécité les yeux de Tobie, (Tb 11,17), méritant d'être appelé « Dieu guérit ».
Cependant, dans le Nouveau Testament, aucun « archange » n'est mentionné en dehors de Michel, et ce, toujours au singulier (1 Thessaloniciens 4,16 et Jude 9). De plus en vertu de l'autorité attribuée à cet archange (terme signifiant « ange en chef »), il sera comme le bras de Jésus-Christ lors de son retour dans la gloire (voir Apocalypse 12,7; 19,14-16; 1pierre 3,22...). (MT). L'Ancien Testament, de son côté, évoque l'existence d'autres archanges que Michel ( qui y est désigné comme l'un des « premiers » ou « principaux » princes - Daniel 10,13).