LES MUTATIONS SONT INCAPABLES DE PRODUIRE DE NOUVEAUX
ORGANES.
« Les mutations n'ajoutent aucune nouvelle information à l'ADN d'un organisme.
Les particules qui composent l'information génétique sont soit enlevées de leur
environnement, soit détruites ou alors déplacées vers différents endroits. Les mutations ne
permettent pas aux êtres vivants d'acquérir de nouveaux organes ou de nouvelles
caractéristiques. Tout ce qu'elles provoquent ce sont des anomalies comme l'apparition
d'une jambe dans le dos ou d'une oreille dans l'abdomen. »
« La sélection naturelle n'a pas d'intelligence. Elle n'a pas la possibilité de décider
ce qui est bon ou mauvais pour les êtres vivants. Par conséquent, elle ne peut expliquer
comment ont pu exister les systèmes biologiques et les organes dotés de la caractéristique
de "complexité irréductible". La même remarque s'applique aux mutations. Ces systèmes
biologiques et organes sont composés d'un grand nombre de parties qui coopèrent et ne
sont d'aucune utilité si la moindre partie manque ou est défectueuse (l'oeil humain, à titre
d'exemple, ne peut fonctionner que si tout ce qui le constitue est intact). »
« Ainsi, la volonté qui rassemble ces parties doit être capable de prévoir le futur et
le bénéfice à en tirer à la fin. Mais comme la sélection naturelle n'a pas de conscience ou
de volonté, elle ne peut le faire. Tout ceci démolit les fondements de la théorie de
l'évolution et inquiétant déjà Darwin, qui écrivait : "Si l'on arrive à démontrer qu'il existe
un organe complexe qui n'ait pas pu se former par une série de nombreuses modifications
graduelles et légères, ma théorie ne pourrait certes plus se défendre." (Charles Darwin,
The Origin of Species : A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964,
p. 189.) » (www.findudarwinisme.com)
Certains livres contiennent des photos d'une mouche des fruits ayant une seconde
paire d'ailes comme résultat d'une mutation provoquée de façon voulue par des
chercheurs. D'abord, il faut dire que cela ne correspond pas au processus évolutionniste
que l'on veut prouver, puisque ce processus serait aveugle, aléatoire et sans direction de la
part d'une intelligence quelconque. Ensuite, on constate qu'il ne s'agit pas d'un nouvel
organe mais plutôt d'une répétition d'une partie du code génétique, l'apparition d'un
deuxième organe pour lequel les renseignements génétiques existaient déjà. Enfin, on doit
signaler ce que les livres scolaires ne précisent pas : cette mouche n'avait pas de muscles
qui correspondent à ses ailes supplémentaires. Elles étaient donc parfaitement inutiles; au
lieu de rendre l'insecte plus apte à survivre, elles gênaient son vol. Cette mutation, comme
toutes les autres, était néfaste.
LE PROBLÈME DE LA « GÉNÉRATION SPONTANÉE »
Les évolutionnistes vous diront qu'il y a des millions (ou des milliards) d'années
beaucoup de produits chimiques tourbillonnaient sur les mers (ou les étangs, ou les
mares) sans vie ici sur la terre. Le gaz méthane était dans l'atmosphère bombardé par les
rayons cosmiques de l'espace extra atmosphérique et les éclairs puissants courbés dans les
cieux éclairaient l'horizon désolé. Donné assez de temps, des rayons cosmiques et des
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éclairs ont pu former graduellement un « potage primordial » contenant des acides
aminés. Ceux-ci se sont à leur tour assemblés pour former de simples protéines, « les
molécules » de la vie. À un moment donné, ces protéines se sont avérées justement
reliées entre elles, et un seuil de la vie a été franchi : les protéines ont commencé à se
reproduire, et la vie simple était « née ». Pendant un temps incalculable d'âges éoliens,
cette vie simple est devenue graduellement de plus en plus complexe afin de produire
ensuite toutes les formes diverses et complexe de la vie, habitant premièrement les
océans, puis la terre et finalement l'air, bref tout ce que nous voyons aujourd'hui. (Ron
Lyttle)
Cette explication n'a rien à voir avec une expérience scientifique. Absolument
aucune preuve ne la soutient. Au contraire, c'est une théorie qui est éperdument en conflit
avec une loi de la biologie élaborer par le célèbre Louis Pasteur. Ce dernier « effectua des
travaux sur la stéréochimie, puis se tourna vers l'étude des fermentations. Il montra que
celles-ci étaient due à l'action de micro-organismes, et que la ‛génération spontanée’ des
microbes n'existait pas » (Le petit Larousse 2003). La vie ne provient pas de ce qui n'est
pas vivant.
Mais il fallait bien que les évolutionnistes fournissent une explication sur l'origine
de la vie organique. Darwin a proposé une théorie pour expliquer la variété de formes de
vie, les différentes espèces. Mais la sélection naturelle et les mutations ne peuvent opérer
que sur des organismes déjà en existence. Même un évolutionniste convaincu comme le
philosophe de la science, Karl Popper, affirme : « Je ne pense pas que le darwinisme
puisse expliquer l'origine de la vie. Je pense qu'il est possible que la vie soit si improbable
que rien ne puisse expliquer pourquoi elle a commencé. » (La quête inachevée, 1989 :
242). Pourquoi des scientifiques accepteraient-ils une théorie aussi improbable que le
« potage primordial »? Tout simplement parce qu'ils n'ont pas d'idée plus convaincante, et
celle-ci a pour eux cette vertu : elle exclut le besoin d'un Créateur.
2. PAS ASSEZ DE TEMPS
Une deuxième faiblesse de la théorie de l'évolution est qu'elle exige forcément que
la terre existe depuis des milliards d'années. Puisqu'elle s'appuie sur un nombre infini de
petits changements produits par pur hasard au cours des âges, la théorie de l'évolution ne
pourrait pas tenir s'il était établi que la terre est, en fait, relativement jeune. Voilà
pourquoi il y a une nette tendance à passer sous silence les diverses preuves suggérant
que la terre n'existe pas depuis quelques millénaires. S'il était établi que tel était le cas, ce
serait une sentence de mort pour la théorie darwinienne. Mais existent-elles réellement de
bonnes raisons pour mettre en doute la prétention que notre planète est là depuis des
milliards d'années?
LES ARGUMENTS EN FAVEUR D'UNE TERRE JEUNE
Au 16ième siècle, l'archevêque Ussher, un Irlandais, déclara que la création de la
terre avait eu lieu la semaine du 26 octobre, 4004 av. J.-C. Les évolutionnistes s'en
moquent. Certes, la Bible ne donne pas les renseignements nécessaires pour faire une
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telle déclaration. Néanmoins, ceux qui croient au récit biblique de l'origine du monde
acceptent beaucoup plus facilement l'idée que la terre soit âgée de six mille à dix mille
ans, que la prétention de beaucoup de scientifiques que la terre ait plusieurs millions ou
même quelques milliards d'années d'existence. Les scientifiques créationnistes
considèrent que beaucoup de phénomènes sur cette planète s'harmonisent mieux avec la
théorie d'une terre jeune, surtout quand on tient compte du récit biblique du déluge
mondial qui aurait eu lieu il y a quelques millénaires, au temps du patriarche Noé. Une
telle catastrophe fournirait une explication rationnelle pour beaucoup de conditions
géologiques que l'on observe aujourd'hui. Plusieurs phénomènes étudiées par les
astrologues, aussi, s'expliquent plus facilement si l'univers n'est pas vieux des quelques
milliards d'années. Dans un article intitulé Faits appuyant l'hypothèse d'une terre jeune,
le docteur D. Russell Humphreys présente une dizaine de phénomènes qui « ne peuvent
être conciliés avec un vieil univers qu'en faisant une série d'hypothèses improbables et
non prouvées; d'autres ne peuvent s'accorder qu'avec un univers jeune ». D'autres
arguments, comme les suivants, sont présentés sur le site www.answersingenesis.org .
- Il est calculé que plus de 14 millions de tonnes de poussière cosmique tombent
sur la terre chaque année. Si la terre était aussi vieille qu'on le prétend de nos jours, plus
de 16 mètres de poussière couvrirait la surface de la terre. La lune, n'ayant pas
d'atmosphère comme celui de la terre, serait couverte d'encore plus de poussière, de sorte
que l'astronaute Armstrong, le premier homme à marcher sur la lune, aurait disparu sous
cette poussière au premier pas. Il n'en a trouvé que moins d'un centimètre!
- On a constaté que la population d'hommes sur la terre double à peu près tous les
35 ans. Chaque année, la population augmente d'environ 20.000 pour chaque million
d'habitants sur la planète. Si l'on commençait avec un couple humain il y a un million
d'années, même en tenant compte des guerres, des famines et des pestes, il y aurait sur la
terre aujourd'hui approximativement 1 X 105000 êtres humains. (C'est un 1 suivi de 5000
zéros!) Mais l'univers entier ne pourrait contenir que 1 X 10100 personnes. Si, par contre,
on acceptent l'idée qu'un déluge mondial eut lieu au temps de Noé, il y a 4000 à 5000 ans,
et que l'on commençait ses calculs avec les huit personnes qui sortirent de l'arche de Noé,
les mêmes formules permettraient de prédire une population mondiale de 4.34 milliards
de personnes.
- L'érosion des continents est trop rapide. Si les continents étaient vieux de
quelques milliards d'années, ils auraient été érodés par le vent et l'eau depuis bien
longtemps. Le soulèvement des montagnes et les autres processus de recyclage sont bien
loin de pouvoir la compenser.
- Les océans ne sont pas assez salés. Chaque année, les fleuves et les courants
souterrains du monde entier transportent des millions de tonnes de sel dans les mers du
globe, et ce n'est qu'une petite partie de ce sel qui retourne aux continents. Dans les
hypothèses les plus favorables aux évolutionnistes, l'âge absolu des océans ne serait au
maximum qu'une infime fraction de leurs prétendus milliards d'années.
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Pour aborder la question d'un autre sens, on peut démontrer que de nombreux
phénomènes qui sont supposés avoir exigé des millions ou des milliards d'années pour se
produire, peuvent, en fait, se produire en beaucoup moins de temps qu'on ne le pense
généralement. Contrairement aux idées populaires, ces choses peuvent se cadrer
facilement avec une terre qui n'est vieille que de quelques milliers d'années :
1. De nombreux fossiles ont dû se former rapidement, et n'auraient pas eu besoin de
longues périodes.
On trouve de par le monde un nombre incroyable de fossiles de poissons
extrêmement bien conservés dans les couches terrestres. Très fréquemment ils montrent
des nageoires intactes et souvent des écailles, indiquant qu'ils ont été ensevelis
soudainement et que la roche a durci rapidement. Il y a, par exemple, le fossile de la
femelle d'ichtyosaure apparemment comme figée en mettant bas. Ensuite il y a les fossiles
de poissons en train d'en ingurgiter d'autres ou ceux dont l'estomac contient une proie
intacte, non encore digérée.
Dans le monde réel, les poissons morts sont dévorés en moins de 24 heures. Même
dans un environnement idéal, froid, stérile, sans prédateurs et sans oxygène, ils seraient
décomposés en quelques semaines. Un poisson, enfoui rapidement dans un sédiment qui
ne durcit pas en quelques semaines tout au plus, sera sujet à la décomposition par
l'oxygène et les bactéries, à tel point que ses caractéristiques les plus fines comme les
nageoires et les écailles ne pourraient garder leur aspect antérieur. L'ensevelissement
brutal lors des nombreux glissements de terrain sous-marins (courants boueux) et les
autres processus de sédimentation accompagnant le déluge de Noé expliqueraient non
seulement leur excellente préservation mais aussi leur présence en de vaste dépôts,
s'étendant souvent sur des milliers de kilomètres carrés.
2. On croit généralement qu'il fallu des millions d'années pour que le charbon se forme.
Les ‘Argonne National Laboratories’ ont démontré qu'en chauffant du bois (la lignite
étant son principal composant) avec de l'eau et de l'argile acide à 150°C (ce qui est plutôt
une température bien faible du point de vue de la géologie), et cela pendant une durée de
4 à 36 semaines dans un tube à quartz scellé et sans y adjoindre de la pression, on obtient
du charbon noir de grande qualité.
3. Plusieurs exemples montrent que les stalactites et stalagmites peuvent se former
rapidement dans les grottes lorsque les conditions favorables sont présentes. Une galerie
de mine au Mont Isa, Queensland, Australie, est remplie de ces formations de roches,
alors qu'elle n'en avait point lorsque le tunnel fut creusé il y a 50 ans.
4. En dépit de l'enseignement traditionnel que des millions d'années sont nécessaires pour
qu'une opale se forme, le chercheur australien Len Cram a depuis longtemps fabriqué de
l'opale dans son laboratoire. Il est impossible de distinguer au microscope électronique
l'opale qu'il a créée de celles extraites de la mine. Il a été nommé docteur honoris causa
par une université laïque pour cette recherche. Il mélange tout simplement les produits
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chimiques adéquats—sans chauffer, sans augmenter la pression et bien sûr sans devoir
attendre des millions d'années.
5. Les scientifiques savent depuis longtemps que la pétrification peut se produire
rapidement. On peut voir le chapeau melon ‘pétrifié’ exposé dans un musée de la mine en
Nouvelle-Zélande. En vingt ans seulement, un rouleau de fil de fer barbelé n° 8 a été
recouvert d'une solide couche de grès renfermant des centaines de coquillages fossilisés.
Le bois pétrifié peut aussi se former rapidement sous certains conditions – un procédé a
même été breveté.
LA NON-FIABILITÉ DES MÉTHODES DE DATATION
Mais que faire des découvertes qu'on annonce en tout moment de tel ou tel fossile
pour lequel les méthodes modernes de datation ont révélé un âge de plusieurs millions
d'années?
On lit souvent que tel ou tel fossile fut trouvé dans une couche de roche qui date
de l'ère paléozoïque, mésozoïque ou cénozoïque. Ou bien on emploie des termes plus
spécifiques, tel que l'ère cambrienne, carbonifère, jurassique, crétacé, etc. Chacune des
ères successives est censée avoir duré pendant des millions d'années. Vous avez peut-être
étudié des tables qui présentent ces « divisions stratigraphiques des temps géologiques ».
Ce système de chronologie fut développé par le géologue écossais, Charles Lyell (1797-
1875). Il y a 150 ans, un anglais du nom de William Smith conclut que chaque strate ou
couche était caractérisée par certains fossiles-clé; ainsi, il serait possible d'identifier des
strates similaires en différentes parties du monde. En d'autres termes, il a d'abord supposé
que la vie avait évolué à partir des formes plus simples en formes de vie plus complexes.
Sans preuves, il a admis par avance que des strates ayant des fossiles d'organismes plus
simples étaient plus vieilles que les strates ayant des fossiles d'organismes plus
complexes. Les tables des temps géologiques se basent sur une sorte de raisonnement (le
circulus in probando); On détermine l'âge des strates selon les fossiles qu'on y trouve,
mais on détermine en même temps l'âge des fossiles selon les strates dans lesquelles on
les trouve. Même les scientifiques sont capables de se laisser séduire par des sophismes.
Cette discussion qui tourne en rond fait penser à l'illustration suivante : quelqu'un déclare
que Alexandre Dumas est un romancier supérieur à Gustave Flaubert. Pourquoi? C'est ce
que disent les critiques les plus lucides. Et qui sont-ils? Ceux capables de juger
lucidement que Dumas est un meilleur romancier que Flaubert, bien sûr! Ce fossile est
âgé de 40 millions d'années. Comment le savez-vous? Parce qu'il a été trouvé dans cette
couche de pierre qui est vieille de 40 millions d'années. Et comment savez que cette
couche a cet âge? Parce qu'on y a trouvé ce fossile. Il devrait être évident qu'une telle
manière de raisonner n'est pas valable.
Tout le monde a entendu parler de datation par des méthodes « radiométriques »
qui permettraient de déterminer l'âge d'une substance en faisant des calculs à partir des
quantités de certains éléments chimiques que l'on trouve dans les échantillons, les
éléments tels que le carbone 14 (radiocarbone), l'uranium et le plomb, l'hélium, ou le
potassium et l'argon. Comment peut-on rejeter les résultats de ces analyses scientifiques?
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