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Profanation tombes ???

 

http://www.prevensectes.com/rev0705.htm

Les profanations constituent parfois un rite initiatique

La Croix, 4 mai 2007 par Anne-Bénédicte Hoffner

[Texte intégral]

Les profanateurs de cimetières – il y a eu encore un cas mardi, dans la Marne – sont souvent jeunes et adeptes soit du satanisme, soit du néonazisme

Triste litanie. Le 1er avril, veille de la Pâque, 51 tombes juives du cimetière de Lille-Sud sont dégradées. Le 19 avril, 52 stèles musulmanes du cimetière militaire Notre-Dame de Lorette, près d’Arras, sont recouvertes d’inscriptions nazies. Les trois auteurs, âgés de 16 à 22 ans, ont été écroués.

Deux jours plus tard, cinq jeunes sont pris en flagrant délit dans le cimetière Sainte-Marie, au Havre, après avoir eu le temps de profaner 180 tombes de toutes confessions. Depuis quelques jours, la liste n’en finit pas de s’allonger.

Dans la nuit de lundi 30 avril à mardi 1er mai, 114 tombes chrétiennes ont été vandalisées au Mesnil-sur-Oger, petit village de la Marne : selon le procureur, des croix ont été descellées
« pour être placées selon des rites sataniques », et un christ « renversé et recouvert de peinture ».

Profanations "par vagues"

Les experts le constatent souvent : les profanations se suivent « par vagues ». « Les médias montrent ces images pour susciter la réprobation, mais elles peuvent, au contraire, pousser des jeunes psychologiquement fragiles à faire de même », explique Marc Knobel, chercheur au Conseil représentatif des institutions juives de France. Totalement « déstructurés », certains sont prêts, selon lui, à la plus grande des violences « pour se faire remarquer ».

Spécialiste des mouvements sataniques et néonazis et membre de la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), Jacky Cordonnier ajoute une autre explication. « Le mois d’avril est traditionnellement une période faste : le 30 est à la fois l’anniversaire de la mort d’Adolf Hitler et de la fondation de l’“Église de Satan” aux États-Unis », rappelle-t-il.

Il y a trois ans, à cette date, 127 tombes du cimetière israélite d’Herrlisheim, près de Colmar, avaient d’ailleurs été recouvertes d’inscriptions nazies et antisémites.

Motivations racistes et antireligieuses s'additionnent parfois

Or, à côté des jeunes en mal de sensations, « habitués à se promener dans les cimetières à des heures tardives » et se laissant entraîner dans une sorte de jeu de rôles, les satanistes et les néonazis sont deux des profils les plus courants de profanateurs.

Les premiers, selon Marc Knobel, essaient de « recréer une sorte de religiosité en détruisant les symboles chrétiens ». Parmi les seconds, rares sont, selon lui, les « vrais militants, politisés, comme en Allemagne ». « On baigne dans un racisme crasse, on se dit fasciné par Hitler, on lit des fanzines (revues artisanales), on écoute les groupes musicaux néonazis, et un jour, après s’être abreuvé d’alcool, on suit le groupe », résume-t-il. Profaner peut d’ailleurs constituer une démarche initiatique, un acte rituel pour intégrer un groupe.

Parfois, les motivations s’additionnent, à la fois racistes et antireligieuses. L’un des auteurs de la profanation d’Arras aurait déclaré aux enquêteurs que son « son pire cauchemar » serait
« d’être pédé, noir et juif ».

Les profanateurs brisent toujours un tabou

Selon le P. Benoît Domergues, spécialiste du satanisme, le nombre de ces « actes barbares » serait en hausse. À ses yeux, certains groupes musicaux, sites Internet, jeux de rôles et même jeux vidéo en feraient « la promotion ».

Les sanctions pénales varient entre un et cinq ans d’emprisonnement, accompagnés de 15 000 à 75 000 € d’amende, selon que la profanation a un caractère raciste et qu’il y a eu « atteinte à l’intégrité d’un cadavre ».

Quelles que soient leurs motivations, les profanateurs brisent toujours un tabou : celui du respect dû aux morts. « Les grandes religions partagent la croyance en une vie après la mort : en l’attendant, le mort “repose en paix”, rappelle Jacky Cordonnier. En interrompant ce repos, le profanateur veut priver le défunt de cet après.»

 

 http://nervyoko.blogvie.com/pouvoir-occulte-en-france/

Interview exclusif avec les enfants de Pierre Roche, Magistrat assassiné au centre de l’affaire Allègre.
Les deux enfants du magistrat assassiné suite à son implication dans l’affaire allègre brisent enfin le silence pour rendre public leur témoignage révélant un nouveau volet de l’affaire gardée secret jusqu’à ce jour. Ou comment les deux enfants d’un Magistrat qui détenait toutes les clefs de cette sombre affaire, transmettent son témoignage post mortem.

Le testament vérité d’un acteur de ce drame “nettoyé” peu après sa confession de repentir auprès de ses enfants. Diane et Charles vous livrent le récit détaillé des exactions perpétrées lors de “soirées très spéciales” entre notables qui se déroulaient dans la région toulousaine auxquelles leur père participait. Pour la première fois, c’est l’un des acteurs de ce système, l’un des participant qui a brisé le voile de l’”omerta” en allant se confier peu de temps avant sa mort, alors qu’il craignait déjà pour sa vie, à ses deux enfants

Un Groupe occulte sectaire, “Elite” ,en France, commet des exactions et des sévices sur les enfants, des prostituées, des clochards . Les enfants interrogés ont dessiné des hommes et des femmes tuant des enfants, les violantant et les violent! En outre , leurs dessins montrent ce groupe habillé avec des “toges”, montrent un symbole, un Triangle au milieu de l’habit. M. Roche appartenant à ce groupuscule aurait agit de même. Cette affaire étouffée révèlée par les enfants de M. Roche procéderait à des rites sataniques sous le couvert du secret. Ce groupe est dangereux, très puissant,  les membres ont des  postes clefs intéressant le groupe, ils sont dans les hautes sphères du pouvoir. Ce qui est étrange c’est que les symboles et les rites sataniques ressemblent de plus en plus a ce que l’on appelle le complot des illuminatis.

 

http://www.info-sectes.ch/presse-satanisme.html

Le satanisme capte une jeunesse rebelle
 
Par Claude Baran
18 mars 2006 (Rubrique Figaro Magazine)
[Texte intégral]

Phénomène de mode et problème de société, des milliers de jeunes se laissent séduire par des doctrines extrémistes. L'Eglise catholique tente de réagir en formant des prêtres exorcistes.

«Le satanisme fait de plus en plus d'émules chez les jeunes ! Profanations, meurtres et actes déviants se multiplient depuis dix ans... Il faut savoir qu'une quinzaine d'enfants se sont suicidés dans la Région Nord-Pas-de-Calais, ces derniers mois. Et tous se revendiquaient satanistes !»
 
Jacques Cordonnier s'inquiète de ces «dérives religieuses». Ce spécialiste des mouvements sectaires, historien des religions, estime que les enfants sont à peine âgés d'une dizaine d'années lorsqu'ils se laissent séduire par cette doctrine. Et à peine des adolescents lorsque, pour certains d'entre eux, ils expriment ouvertement leur adhésion au satanisme par des actes violents ou criminels. Cet universitaire rappelle que, chaque année en France, pas moins de cinq cents faits divers sont attribués au satanisme.
Un exemple, un seul. En 2005, deux gamines de 14 ans se jettent du dix-septième étage d'une tour d'Ivry-sur-Seine. Un suicide soigneusement mis en scène par les jeunes filles : elles ont convié leurs camarades de classe à assister à leur défenestration ... On sait aujourd'hui qu'elles étaient adoratrices de Satan. Quelques jours avant de passer à l'acte, Julie écrivait dans son journal intime sur internet (un blog) : «Il y a une blessure qui saigne toujours ...» Des mots accompagnés d'une série de photos sadomasochistes de jeune fille enchaînée et muselée : la négation de la vie, l'apologie du mal.

 

Le Dictionnaire des religions définit le satanisme en ces termes : «Culte de Satan et des esprits du mal qui s'accompagne d'une perversion des rites religieux (messes noires, sorcellerie, sabbat, blasphèmes, immoralisme, profanation et diverses pratiques pseudo-religieuses).» Sur internet, il suffit d'effectuer une rapide recherche, avec «Satan» comme mot clé, pour accéder à une quarantaine de sites officiellement répertoriés (en réalité, ce sont des milliers de groupes informels qui sévissent sur la toile), et à des centaines de blogs rédigés par des ados convaincus. Antoine, par exemple, qui a 15 ans : «Moi, j'adore Satan... J'adoooorerai toujours Satan, un point c'est tout.» Ou cet autre garçon du même âge qui apostrophe l'internaute : «La vérité, c'est que vous avez peur de nous. Vous ignorez de quoi nous sommes capables. Eh bien, tremblez ! Le pire est à venir. LA PARTIE COMMENCE !!»

Des écrits sublimant la mort

Psychologue clinicien, Christophe Allanic explique cette attirance par le désir de l'adolescent de se séparer de ses parents. «A l'image de Satan se révoltant contre Dieu, les jeunes marquent leur opposition à l'autorité parentale dans le souci de s'individualiser, de se dégager de la problématique oedipienne réactualisée à l'adolescence ...»
 
Le diable est l'ange rebelle, le seul à défier le pouvoir de Dieu. Dans l'esprit adolescent, il incarne le séducteur, l'accusateur, le rebelle, le calomniateur. Un idéal pour le jeune adulte qui lui permet d'accéder, selon Christophe Allanic, «à l'autonomie, la toute-puissance hors des lois (divines), l'absence de limites et de peur, la liberté absolue, une libido exarcerbée, etc.»
 
Une adhésion qui s'accompagne parfois d'une transformation radicale de l'apparence : l'enfant adopte un nouveau look et une attitude plus arrogante.
 
«Le noir est seule couleur de référence ... L'attrait soudain pour les formes les plus dures du rock metal, les films d'épouvante, le vampirisme, une fascination pour les emblèmes païens, les tenues militaires, les croix celtiques, la présence répétée de scarifications et le refuge dans des écrits sublimant la mort sont autant de signaux d'alerte», informe Daniel Groscolas, président du Centre contre les manipulations mentales. En revanche, tous s'accordent pour dire qu'il ne faut pas confondre satanisme et gothisme. Ces adolescents, qui expriment leur mal de vivre à travers une panoplie folklorique et des idées romantico-morbides, ne sont pas des adorateurs de Satan. Pourtant, le mouvement gothique est «l'une des portes d'entrée privilégiées» des satanistes, car il «représente la frange extrême et la plus subversive», selon le rapport annuel 2004 de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires). «Ce sont des micro-groupes hybrides aux attaches multiples et aux obédiences mal affirmées.» Une nébuleuse qui regroupe aujourd'hui plusieurs milliers d'admirateurs. Des gamins, issus généralement de milieux favorisés, qui troquent leurs vieux Tintin pour la Bible satanique comme livre de chevet.
 
Anton LaVey, le «pape noir», mort en 1997, est l'auteur de cet ouvrage fondateur du satanisme contemporain. Après un succès international - 600'000 exemplaires vendus dans le monde - The Satanic Bible vient d'être traduite en français. 319 pages blasphématoires où l'on peut lire ce genre de propos : «Exercez la loi du plus fort et la Terre tout entière sera vôtre, possédée et maîtrisée ...» ou encore : «Soyez la terreur de votre adversaire, rendez coup pour coup, dédain pour dédain (...) toujours quatre fois plus, cent fois plus.»
 
Des propos relayés par le black metal, une variante extrémiste du rock traditionnel. Emergeant à la fin des années 80, ce genre musical aux paroles hurlées et sans accords use de mises en scène macabres et ultra-réalistes. Des «tableaux» à peine voilés par les interprètes : mutilations, masturbations, viols sur la Croix ... Les noms des groupes sont sans équivoque : God Dethroned, Dark Funeral, Cephalic Carnage, Napalm Death ... Quant aux paroles, cet extrait suffit : «Mort à tous les anges, qu'ils tombent du ciel ! Mort et destruction, le meurtre satanique s'enflamme ce soir ! Que Dieu saint meure !»

Des parents désorientés

A la suite d'une thèse de doctorat présentée devant l'université grégorienne de Rome, l'abbé Benoît Domergue, prêtre du diocèse de Bordeaux, s'est investi dans l'étude approfondie des déviances de la culture rock. Des recherches qui le poussent à fréquenter jusqu'aux salles de concert. «Le black metal revendique clairement sa filiation avec le diable. Le meilleur promoteur du satanisme est Marilyn Manson qui rassemble 5 millions de fans à travers le monde quand 300 sites internet lui sont consacrés !»

Marilyn Manson : une fortune colossale, une gigantesque entreprise qui produit des millions de disques. Son message est clair, comme cette pochette d'album qui montre un crucifié à la mâchoire brisée ... «Et si nous ne sommes pas convaincus, ajoute le père Domergue, il faut également notifier le poster géant exhibé sur la scène de ses concerts - plus de cent mètres carrés - d'un enfant crucifié et dépecé, littéralement écorché et pendant sur une croix non moins géante

 

 

 
Dans l'espoir d'enrayer le mal et de protéger la jeunesse des dangers de l'occultisme et du satanisme, l'Eglise catholique se mobilise. Début février, une centaine de prêtres exorcistes se sont réunis à Lyon pour plancher sur le sujet. L'exorciste est un prêtre missionné par l'évêque de son diocèse pour «accueillir, écouter, conseiller, prier, guérir en adressant des prières à Dieu et des adjurations au diable». Des hommes de foi qui interviennent à la demande des intéressés : «Souvent, ce sont des parents désorientés qui s'adressent au prêtre. Ils viennent chercher des solutions pour sortir leur enfant du satanisme. Mais il y aussi beaucoup de jeunes que je rencontre dans les lycées et collèges. Ils viennent se confier à moi sur leurs pratiques occultes. J'essaie de leur ouvrir les yeux.»
 
Dans son dernier ouvrage Culture jeune et Esotérisme (Ed. Bénédictines, 2005), Benoît Domergue témoigne du caractère antéchristique de la culture actuelle. Il met en garde contre les milliers de jeux et de livres qui envahissent les rayons pour enfants et qui font des rituels sataniques leur fonds de commerce.
 
«Certaines bandes dessinées et jeux vidéo à la mode sont clairement toxiques. Mais que faire contre un marché aussi prolifique, qui compte vingt millions de consoles de jeux laissées, souvent, aux mains des enfants et où le joueur devient lui-même acteur. Dans un jeu interactif comme Manhunt, c'est le gamer qui massacre des centaines d'ennemis avec les mains, étouffe ses adversaires avec des sacs plastique, égorge avec des tessons de bouteilles ...»
 
Aux parents de se montrer très vigilants. Sur son site internet, la Miviludes donne des conseils pour déceler et lutter contre le comportement déviant d'un enfant.
 
«Il ne s'agit ici ni de faire peur ni de diaboliser, comme l'affirme Jacky Cordonnier, encore moins de réduire les dangers. Il s'agit seulement de prendre conscience ...» Et de faire la lumière sur ce monde de l'obscur.

 

Site internet de la Miviludes : www.miviludes.gouv.fr

 

Commentaires personnels : La plupart du temps, les autorités ne retrouvent pas de preuves physiques de ce que les personnes et les enfants racontent, mais ce sont des esprits qui savent se dématérialiser tout comme les ovnis, se pourrait-il qu'ils dématérialisent les preuves physiques. Dans le cas où ces esprits mauvais perpétuent leurs infamies, il est très facile pour eux de dématérialiser les preuves.

Mais, posséder les corps physiques des humains, a toujours été l'une de leurs caractéristiques. La sexualité également.

Mais l'influence sur nos sociétés n'est pas à négligée, car son pouvoir de nous insufler des idées est très puissant.

 

http://www.yabiladi.com/forum/corps-enfants-retrouves-taroudant-2-151908.html

 L'enquête sur les 8 corps d'enfants retrouvés à Taroudant se poursuit (8/25/2004)
Les analyses d'ADN feront-elles parler les morts ?

La presse nationale a fait échos, la semaine dernière, des huit corps retrouvés à Taroudant et dont la mort remonte à environ trois mois, pour l'une des victimes, et entre six mois et trois ans pour les autres. Une affaire où tout reste à éclaircir, des causes et mobile du crime -car il en est vraisemblablement un- jusqu'aux tueurs.
Dans l'enquête judiciaire en cours, le Pr. Saïd Louahlia, anatomo-pathologiste et directeur de l'Institut médico-légal au Centre Hospitalier Universitaire Ibn Rochd de Casablanca, a été sollicité en vue d'apporter sa contribution scientifique de sorte à déterminer certains éléments tels que le sexe, l'âge et les circonstances de la mort des huit victimes.
A rappeler que les cadavres ont été retrouvés découpés et placés dans des sacs en plastique. Selon les premiers éléments de l'autopsie, il s'agit de corps de jeunes de sexe masculin âgés de 13 à 16 ans et ayant une taille variant entre 1,40m et 1,50m. L'analyse dentaire, qui sera effectuée dans le futur immédiat, définirait l'âge exact des victimes.
D'après l'autopsie, la mort serait d'origine criminelle, puisque les corps portent les traces de coups sur les crânes et autres membres du corps. Afin d'approfondir l'enquête, il sera aussi procédé à des analyses d'ADN pour l'identification des victimes.
Les victimes seraient de race caucasienne (méditerranéens). Les corps étaient enterrés avant d'être exhumés et déplacés puisque de la terre a été retrouvée sur les os des victimes. Les sacs contenant les corps ont été retrouvés éparpillés de 10 à 40 mètres. Peut-être que les analyses d'ADN feront parler les morts, en vue de leur identification et, partant, de l'identification des criminels...
Ce qui rend l'enquête difficile, c'est l'état de décomposition avancée de certains corps, alors que d'autres sont déjà à l'état de squelette. Le (ou les) auteurs de ces abominables crimes semblent avoir voulu brouiller les pistes. Aussi plusieurs interrogations se posent-elles.
En effet, pourquoi a-t-on déterré des corps dont la mort remontait à une date allant de trois mois à trois ans? Et pourquoi précisément des enfants âgés de 13 à 16 ans? Les crimes ont-ils rapport avec des pratiques de sorcellerie courantes dans la région de Taroudant, notamment celles destinées à découvrir d'éventuels trésors cachés?
En tout cas, rapportent nos sources, les éléments de la brigade criminelle de Taroudant, épaulés par leurs collègues d'Agadir, sont à pied d'œuvre pour élucider ces crimes crapuleux qui ont secoué toute la région.

http://africatime.netdivision.fr/rdc/nouv_pana.asp?no_nouvelle=506402&no_categorie=2 

 Le district de Kampala est, ce qui est normal car le plus riche et le plus peuplé, le plus concerné avec 956 disparitions, ensuite Wikiso recense 98 disparus, Mityana 19 et Kayunga 16. D’autres districts ont enregistré des meurtres rituels ou qualifiés comme tels en fonction de l’état dans lequel ont été retrouvés les corps. L’article souligne que de nombreuses ethnies ont pratiqué le sacrifice d’animaux pour s’attirer la chance, mais que l’utilisation d’être humain est assez récente. La police rapporte que la plupart des corps retrouvés avaient été mutilés et que des parties du corps avaient été retirées dont la tête, le foie et les organes génitaux et que la majorité des dépouilles retrouvées étaient des enfants.
En page 2 et 3 figure la liste des sacrifices humains ou supposés tels depuis 2007 avec en illustration un inspecteur de police ganté examinant à même le sol le corps d’une femme adulte décapitée.
Le premier cas sur la liste concerne un enfant de deux ans dont on a retrouvé le corps mutilé en aout 2007 dont il manquait la langue, les organes géniaux, le foie et les reins. La majorité des cas présentés (35) sont des enfants en bas âge ou des adolescents, le plus souvent de sexe masculin. Les corps sont retrouvés dans les champs, sur des dépôts d’ordure ou même dans des latrines. S’il est indéniable que toutes ces personnes ont été victimes de meurtres, rien ne prouve qu’elles aient été utilisées à des fins sacrificielles. D’autres explications peuvent être apportées comme le viol, le crime passionnel, la vengeance ou le règlement de compte. Mais les enfants retrouvés avec des organes manquants ont été probablement sacrifiées et leurs organes utilisés à des fins de sorcellerie.

 

 

Commentaires personnels : Parce qu'il n'y a pas de trace physique, il n'y a pas de preuve !! Mais pour le bétail mutilé, il n'y avait aucune trace aux alentours des animaux !!! Et pourtant, ils étaient bel et bien vidés de leur sang et mutilés !!!

La période, à partir de 1950, l'augmentation des cas, les ovnis qui arrivent en abondance, les animaux mutilés, description de personnes et d'enfants de rites, et surtout aux USA, où les ovnis étaient les plus nombreux !!!

Il y a de quoi se poser des questions !!  

http://touraine-insolite.xooit.com/t170-Mutilations-de-betail-en-Amerique-du-Sud-Partie-1.htm

Autant les enquêteurs que les vétérinaires ne peuvent expliquer si facilement les carnages. Certains enquêteurs et vétérinaires suggèrent que les animaux périssent d'une façon naturelle et que les mutilations sont causées par la présence d'animaux charognards tels que « guará guazú » (un grand renard en danger d'extinction) et le « caranchos » (un faucon) qui finissent les carcasses. Ils pensent aussi que les incisions faites ne sont pas inconnues puisqu'ils disent que les agresseurs (des sectes) auraient pu utiliser un thermocautère capable de découper la peau en la brûlant et même cautériser la blessure afin qu'il ne reste aucune trace de sang.

D'autres enquêteurs disent que cela est presque impossible car s'il s'agissait de sectes il y aurait des traces et ils ne pourraient agir impunément sans que personne ne le remarque. De plus, quel type de secte pourrait utiliser des techniques chirurgicales et également se déplacer dans toutes ces régions étant donné que beaucoup de mutilations ont été faites en plusieurs endroits et que quelques-unes ont été faites simultanément ?

(Artilce du journal local "Crónica" en Argentine, publié le 22 Juin 2002)

 

 Suite !!

 

 

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