http://www.israel-diaspora.info/repere.php
03.10.2009
Lorsque les Palestiniens vivaient encore sous contrôle israélien...
Dans une analyse cette semaine, Daniel Pipes écrit
Lorsque les Palestiniens vivaient encore sous contrôle israélien, avant les accords d'Oslo, ils ont bénéficié de la réglementation et d'une économie en expansion, indépendamment de l'assistance internationale. Ils ont profité du fonctionnement d'écoles et d'hôpitaux ; ils ont voyagé sans postes de contrôle (check-points) et ont eu libre accès au territoire israélien. Ils ont même créé plusieurs universités. Le terrorisme a baissé puisque l'acceptation d'Israël augmentait. Oslo a alors apporté aux Palestiniens non pas la paix et la prospérité, mais la tyrannie, les institutions en faillite, la pauvreté, la corruption ; le culte de la mort, les « usines » à suicide et la radicalisation islamiste. Yasser Arafat avait promis de construire son nouvel empire dans un Singapour du Moyen-Orient, mais la réalité, ce qu'il a établi est devenu un cauchemar de dépendance, d'inhumanité et de dégoût, plus apparenté au Liberia ou au Congo
http://www.israel-diaspora.info/repere.php
05.09.2009
Hassan II, roi du Maroc, était contre la division de Jérusalem
Dans Hassan II, La mémoire d'un roi, Plon, pages 281,282
Rappelons qu'Hassan II, père de l'actuel roi du Maroc, était (comme son fils d'ailleurs) le Président de l'Association Al Kods
Question : Est-ce que Jérusalem peut rester à l'avenir la capitale d'Israël ?
Le Roi : Vous me demandez mon point de vue personnel ?
Question : Oui.
Le Roi : Les Arabes ne réclament pas Jérusalem dans son intégralité, comme c'était le cas avant la guerre de 1967, mais seulement les lieux saints musulmans. Ils revendiquent leurs lieux saints, comme la mosquée où le Prophète a posé le pied. Le reste, non.
http://www.cathoweb.org/catho-news/gaza-le-drapeau-blanc-du-vatican.html
On oublie trop souvent qu’Israël est, sinon un État religieux, du moins un État très discriminatoire, notamment vis-à-vis des chrétiens et en particulier de l’Église catholique. Tous ceux qui suivent la question, même d’un peu loin, savent que les négociations entre Israël et le Vatican butent sur deux questions : la propriété des biens religieux (au travers de la custodie de Terre Sainte notamment) que même les Turcs avaient reconnue et que les Israéliens font semblant d’oublier, et le statut des communautés religieuses.
Par ailleurs, le problème de Jérusalem, pas même évoqué dans cet article, demeure une pierre d’achoppement ; non que le Vatican dénie à Israël le droit d’en faire sa capitale (du moins à ma connaissance sur le plan des principes), mais parce qu’au cœur de Jérusalem, se trouvent les lieux saints dont Israël veut conserver le contrôle absolu, prêt sans doute à quelques concessions sur la mosquée Al-Quods, mais sans rien céder aux chrétiens…
http://www.bibleetnombres.online.fr/coupetou.htm
La plupart des nations aujourd'hui refusent de reconnaître Jérusalem comme la capitale d'Israël. Elles veulent que Jérusalem soit sous un contrôle international. Le Vatican a demandé l'internationalisation de cette ville pendant les dernières 48 années.
Récemment les chefs de la communauté chrétienne à Jérusalem ont fait une demande pour son internationalisation. Le conseil Œcuménique Mondial a fait la même demande.
Etrangement, les dirigeants d'lsraël ont secrètement offert de remettre au Vatican la souveraineté de la vieille ville de Jérusalem.
Jérusalem doit devenir "le second Vatican du monde".
http://www.regard.eu.org/Archeologie/TXT.mini.archeo/02.mini.archeo.html
Découvertes à Césarée
De vastes bâtiments datant de la domination des généraux romains viennent d'être mis à jour; parmi ceux-ci, le tribunal où l'apôtre Paul aurait été jugé. (Voir Actes 23,23 et suiv.; 26, 1 et suiv.)
Le complexe, de dimensions colossales, a été construit au premier siècle après Jésus-Christ et couvre une superficie de 15.000 mètres carrés. Il servait de quartier général aux généraux romains et se trouvait entre l'hippodrome et le théâtre de Césarée. Outre le tribunal, on y trouve un palais, des bureaux, des cours et de superbes bains.
http://www.hatikva-75.fr/spip.php?article156
Mai 1994 - Marek Halter, un intellectuel et philosophe français, grand ami de Shimon Peres, déclare à l’hebdomadaire israélien HaShishi qu’il a personnellement remis une lettre de Peres au Pape en septembre 1993, dans laquelle Peres promettait d’internationaliser Jérusalem, de transférer le contrôle politique de la vieille ville au Vatican et promettait l’hégémonie du Vatican sur les lieux saints qui s’y trouvent. Les Nations unies donneraient à l’OLP une capitale à l’intérieur de son nouveau territoire et Jérusalem Est deviendrait une sorte de zone de libre-échange pour la diplomatie mondiale. Juin 1994 - le 15 juin le gouvernement israélien signe un accord avec le Vatican permettant à l’Eglise Catholique de participer aux négociations sur le devenir de Jérusalem. Juillet 1994 - le 9 juillet le ministre des affaires étrangères du Vatican, Jean-Louis Tauran, annonce à Amman en Jordanie : "avant que les problèmes territoriaux soient résolus, nous devons trouver des garanties internationales pour sauvegarder l’unicité de la ville et pour que jamais une des parties ne revendique à nouveau Jérusalem comme sa possession". Novembre 1994 - Israël signe un traité de paix avec la Jordanie qui selon les rapports des journaux israéliens "Haaretz", "Maariv", et "Yediot Ahronot", comporte des clauses secrètes concernant l’eau et Jérusalem. Mars 1995 - Un télégramme de l’Ambassade israélienne à Rome au Ministère des Affaires Etrangères à Jérusalem est communiqué à la station de radio Arutz Sheva, confirmant le transfert de Jérusalem au Vatican. Deux jours plus tard le télégramme fait la première page du journal Haaretz. Dans les minutes largement diffusées d’une rencontre avec le président Clinton en 1997, Peres finit avec les mots : "comme je l’avais précédemment promis le Saint-Siège". Avril 1995 - Avraham Shapira, un parlementaire annonce à la Knesset qu’il est informé que toutes les biens du Vatican à Jérusalem seraient exonérés de taxes et qu’une grande partie de la propriété du Mont Sion allait être donné au Pape à perpétuité. Février 1996 - une délégation du Vatican rencontre à Jérusalem le Ministre des Affaires Religieuses de l’Autorité Palestinienne, Hassan Tahbob. Le Père Serge Sebastian, Secrétaire Général du Vatican, annonce que le Saint-Siège reconnaît la souveraineté palestinienne sur Jérusalem-Est. Après que Shimon Peres ait remplacé Itzhak Rabin comme Premier Ministre, le Ministre de la Sécurité Intérieure Moshe Shachal refuse d’autoriser une rencontre de l’Autorité Palestinienne avec le Vatican dans l’hospice Notre-Dame de Jérusalem . Selon Shachal, les Palestiniens planifiaient "d’utiliser le Vatican pour contourner les accords d’Oslo". Novembre 1997 - le 10 novembre l’État d’Israël et le Vatican signe "L’accord de Personnalité Légal" par lequel l’Etat d’Israël consent "à assurer la loi d’effet pleine à la personnalité légale de l’Église catholique elle-même." (Ce que cela signifie est laissé à l’estimation de chacun). Février 2000 - se protégeant par des accords bilatéraux avec les deux protagonistes du conflit israélo-arabe, le 14 février, le Pape Jean-Paul II rencontre Arafat à Rome pour signer un accord de normalisation des relations entre l’Eglise Catholique à Jérusalem et l’Autorité Palestinienne. Le Porte-Parole du Conseil Législatif palestinien, Ahmed Qurei a dit au Jérusalem Post que l’accord est "la reconnaissance par l’Église catholique des revendications palestiniennes sur la moitié orientale de Jérusalem". Selon le porte-parole d’Arafat, Nabil Abu Rudaineh, "Arafat a fait pression en faveur de l’idée de partager Jérusalem unifiée et pour la création d’une souveraineté du style du Vatican sur la Vieille Ville." (Nous sommes supposés croire que l’initiative viendrait d’Arafat et non pas du Vatican). L’accord appelle Jérusalem à être "une ville internationale basée sur les résolutions internationales et sur une garantie internationale." Le Vatican a signé malgré le fait qu’il avait signé un accord avec Israël six ans plus tôt le 30 décembre 1993, qui donnait une juridiction légale, soumettant les institutions et les propriétés de l’Eglise en Terre sainte à la loi israélienne. Mars 2000 - le Pape visite la Terre Sainte et répète l’insistance du Saint-Siège pour "qu’une supervision internationale - un statut spécial garanti internationalement - sauvegarde au mieux les sites saints de la ville et toutes ses religions. La ville de Jérusalem est l’obstacle principal pour la paix dans la région". Le 27 mars, l’autorité palestinienne dit que le Vatican n’insiste plus sur le statut international de la vieille ville de Jérusalem et que le Vatican accepte la division politique de la vieille ville entre Israël et les palestiniens. (On peut se demander si cet accord a quelque chose à voir avec la décision d’Arafat de déclencher une guerre contre Israël six mois plus tard) ? Octobre 2000 - dans un discours aux Nations Unies le 30 octobre, l’archevêque Renato Martino déclare : "le caractère unique" de Jérusalem en tant que ville sacrée pour les trois grandes religions implique que des dirigeants religieux et non pas des politiciens aient le contrôle des lieux saints". Lors de sa rencontre le 26 octobre avec l’Ambassadeur libanais au Vatican, Fouad Aoun, le Pape Jean-Paul II dit que l’on devrait donner un statut international spécialement garanti à la ville de Jérusalem. Janvier 2001 - des journalistes de la télévision israélienne filment secrètement le Dôme du Rocher, ce bâtiment musulman du VIIe siècle qui peut avoir été délibérément construit sur le Saint des Saints, le lieu de culte le plus sacré de l’ancien Temple juif. La vidéo révèle la présence d’un tunnel nouveau et imposant visant directement le cœur sacré du Temple de Salomon et du Temple ultérieur d’Hérode. Pendant les Croisades, au début du XIIe siècle, l’Ordre des Chevaliers du Temple a creusé sous les ruines pendant neuf ans et a trouvé un réseau de tunnels où les prêtres juifs avaient probablement caché leurs trésors pour les protéger contre les maraudeurs romains dans les années 70 de notre ère.
Quels sont les plans du Vatican et que peuvent faire les juifs israéliens ? Pendant des siècles le Vatican a prôné sa doctrine du "Verus Israël" qui déclare que les Catholiques ont remplacé Israël et sont le "Nouvel Israël". L’Eglise Romaine Catholique veut qu’Israël perde sa souveraineté sur la vieille ville de Jérusalem de façon à ce que "les promesses faites aux descendants d’Abraham soient appliquées à la Nouvelle Jérusalem". Si Israël contrôle Jérusalem, les revendications de Rome ne peuvent évidemment pas prétendre être légitimes et alors l’interprétation littérale des Ecritures Saintes est correcte. Il n’y a pas de place pour la restauration de la Nation d’Israël dans cette théologie. Comment Vatican peut-il prétendre être la "Nouvelle Jérusalem" et "l’héritier légitime du Royaume de Dieu" si les Juifs contrôlent Jérusalem ? Comment l’Église catholique va-t-elle convaincre le monde que sa version théologique est correcte ? Le Vatican va faire croire à cet "individu mystérieux qui unira les religions" et va se dévoiler à Jérusalem qui sera sous le contrôle d’une autorité dirigée par le Vatican. "Ce marché fait par le Vatican pour qu’il s’implante en Israël, reprenne ses propriétés, "contrôle et domine la Vieille Ville de Jérusalem" existe déjà et a été entièrement documenté et annoncé dans les médias du monde. L’objectif final du Vatican est de retirer le contrôle de la vieille ville de Jérusalem de l’emprise de l’État d’Israël. Dans ce but ils ont un accord secret avec Israël qui oblige Israël à respecter la revendication d’extraterritorialité concernant leur présence physique dans la ville. En bref "nous avons accepté les droits du Vatican à avoir des ambassades souveraines d’un Petit Vatican disséminées dans notre capitale éternelle de Jérusalem.
http://www.bibleetnombres.online.fr/coupetou.htm
L'Imam de Rome, le Professeur Abdul Hadi Palazzi, un théologien très érudit, qui possède entre autres un doctorat en sciences islamiques par décret du grand Mufti d'Arabie Saoudite, a pris des positions extrêmement courageuses. Depuis quelques années, il fait entendre la voix d'un tout autre Islam, évidemment très minoritaire, fondé sur de nombreux versets du Coran. Il s'appuie notamment sur les versets : Sourate XVII, 100-104 et Sourate V, 20-21 pour affirmer que la terre d'Israël a été donnée non aux enfants d'Ismaël - qui ont reçu l'Arabie - mais aux enfants de Jacob, donc au peuple d'Israël. Le commandement fondamental de l'Islam étant la soumission à Dieu, se révolter contre Israël, c'est se révolter contre Dieu.