Israël ne peut pas s'appuyer sur le terme de « Terre promise » figurant dans la « Bible » pour « justifier le retour des + juifs + en Israël et l'expatriation des Palestiniens » a déclaré samedi au « Vatican » l'archevêque de Newton (Etats-Unis) Mgr Cyrille Salim Bustros. C'est ce que déclare ausi le « Vatican » qui explique qu'il « n'est pas permis de recourir à des positions bibliques et théologiques pour en faire un instrument pour justifier les injustices ».
Le « Synode » pour le Moyen-Orient, réuni par le pape le samedi 23 octobre 2010, demande qu'il soit mis fin à l'occupation israélienne des « différents territoires arabes ».
Dans un long message adressé au peuple de « Dieu », patriarches et évêques orientaux reconnaissent en premier lieu que leur défi majeur est l’unité des Eglises d’Orient. Ils soulignent aussi l’importance d’un dialogue avec les deux autres grandes religions « monothéistes », et mettent l’accent sur le sort délicat des travailleurs immigrés de confession chrétienne dans les pays du Moyen-Orient, parmi lesquels de très nombreux Asiatiques.
Mais très vite ce message dénonce les lourdes conséquences du conflit israélo-palestinien sur toute la région, et surtout – écrivent les responsables catholiques – sur le peuple palestinien.
Les participants au « Synode » se disent aussi conscients de la souffrance et de l’insécurité dans lesquelles vivent les Israéliens.
Dans ce message, rendu public samedi, les évêques et patriarches orientaux affirment qu'il « n'est pas permis de recourir à des positions bibliques et théologiques pour en faire un instrument pour justifier les injustices ».
« Pour nous, + chrétiens +, on ne peut plus parler de Terre promise au peuple + juif + », terme qui figure dans l'« Ancien testament », car cette « promesse » a été « abolie par la présence du + Christ + ». Après la venue du « Jésus », « nous parlons de + Terre promise + comme étant le royaume de + Dieu + », qui couvre la Terre entière, et est un « royaume de paix, d'amour, d'égalité (et) de justice », a-t-il expliqué.
« Il n'y a plus de peuple préféré, de peuple choisi, tous les hommes et toutes les femmes de tous les pays sont devenus le peuple choisi », a ajouté le prélat.
Il a par ailleurs mis en avant deux problèmes dans la solution préconisée par la « communauté internationale » et le « Vatican » d'instituer un « Etat juif » et un « Etat palestinien » pour résoudre le conflit au Proche-Orient.
Dans le cadre d'un « Etat juif », il s'est inquiété du risque d'exclusion « d'un million et demi de citoyens israéliens qui ne sont pas + juifs + mais arabes + musulmans + et + chrétiens + ». Pour lui, il vaudrait mieux parler d'« un Etat à majorité juive ».
La question du « retour des déplacés palestiniens » est « aussi très grave », a-t-il ajouté. « Quand on va créer deux Etats, il va falloir résoudre ce problème », a affirmé Mgr Bustros.
Au cœur de ce message, les évêques du Moyen-Orient appellent la « communauté internationale » à faire appliquer les résolutions des « Nations unies » de façon à mettre fin à l’occupation israélienne des territoires arabes.
Plus encore, ils reprochent à l’« Etat hébreu » de recourir à des positions bibliques, pour justifier les injustices faites aux Palestiniens.
Devant la presse, un évêque s’est ensuite expliqué : « On ne peut, a dit ce prélat libanais, se baser sur le concept de + Terre promise +, pour justifier aujourd’hui le retour des juifs en Israël, ou l’occupation de la Palestine ».
NOTE :
LE VATICAN CONTRE LE « SIONISME »
Les « sionistes » attendaient beaucoup du « synode » pour le Moyen-Orient qui vient de se réunir au « Saint-Siège ». Si le « Synode » s’est effectivement inquiété du sort des « Chrétiens » au Moyen-Orient, les « sionistes » en sont cependant restés pour leurs frais comme on peut le voir avec cette réaction du rabbin David Rosen, directeur du département des « Affaires interreligieuses du Comité juif international », pour qui ce « Synode », auquel il a participé en tant qu’invité, accueillait des « évêques radicalement hostiles à l’Etat hébreu ». En plus de ces évêques et du rabbin, on a noté aussi la présence d’un « ayatollah » Iranien et d’un « Musulman sunnite » venu du Liban.
En fait, non seulement rien de ce qu’espéraient les « sionistes » ne s’est produit au « Vatican » mais le « Synode » a apporté une réponse théologique ferme d’opposition à la doctrine « sioniste ».
Comme le prouve le titre : « Le Vatican tance Israël pour avoir détourné des écrits de la + Bible + pour justifier le sionisme ».
Le « Vatican » n’y va effectivement pas avec le dos de la cuiller et affirme qu’il « n’est pas permis de recourir à des positions bibliques et théologiques pour en faire un instrument pour justifier les injustices ».
Mgr Cyrille Salim Bustros, archevêque de Newton (USA) enfonce le clou :
« Pour nous, + chrétiens +, on ne peut plus parler de Terre promise au peuple + juif + », terme qui figure dans l'« Ancien testament », car cette « promesse » a été « abolie par la présence du + Christ + ». Après la venue du « Jésus », « nous parlons de + Terre promise + comme étant le royaume de + Dieu + », qui couvre la Terre entière, et est un « royaume de paix, d'amour, d'égalité (et) de justice », a-t-il expliqué.
Nous avons là un important pas supplémentaire dans une des directions que redoutent le plus les « sionistes », c’est-à-dire la délégitimation de leur Etat usurpateur.
Mais vous verrez, les « sionistes » qui déjà prétendent mieux connaître le « Coran » que les Musulmans (le « Coran » disent-ils, légitime le « sionisme » !) vont arguer du fait qu’ils sont bien meilleurs spécialistes des « Evangiles » que les hiérarques catholiques eux-mêmes.
Rome, le 17 février 1600 sur le Campo Dei Fiori, un homme est amené et attaché sur le bûcher dressé à cette occasion. Le feu y est bouté. Cet homme meurt, brûlé vif. Aucun cri ne sort de sa bouche ; sa langue a été préalablement arrachée pour éviter qu'il ne profère une dernière fois ses paroles infâmes. Auparavant, cet homme a croupi 7 ans dans les geôles du Vatican, a subi plus de 20 fois la question. Il ne s'est jamais rétracté !
Cet Homme, cet hérétique, c'est Giordano Bruno. Son crime, être un libre penseur pour son époque et, surtout, avoir eu raison trop tôt. Il avait osé définir l'univers comme étant "infini", et émis l'hypothèse de l'existence de formes de vie hors de la terre !
Son principal accusateur, le Cardinal Bellarmin, sera plus tard canonisé, et, en 1931, proclamé "Docteur de l'église" !!!!
Giordano Bruno, supplicié et brûlé vif par le Vatican pour avoir eu raison trop tôt !
De nos jours, on a du mal à croire cela, et pourtant, voilà le triste sort que réservait au Moyen-âge, le Vatican aux savants et autres érudits qui émettaient des idées contraires à la doctrine officielle de l’Église Catholique Romaine !
La religion chrétienne a été pervertie par le Vatican à de nombreuses reprises au cours des siècles passés et en particulier au temps de l’inquisition catholique romaine où des religieux ont commis des atrocités par milliers au nom d’un Dieu qui n’était pas manifestement celui de la paix et de l’amour….
Même si l’église catholique romaine a depuis fait amande honorable pour tous ses crimes commis au temps de l’inquisition, on peut comprendre les détracteurs de l’Église catholique romaine devant de telles dérives religieuses...
Bien à tous et à toutes
http://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_pour_les_%C5%93uvres_de_religion
Controverse
La Banque du Vatican est considérée comme une banque profitable et rentable. Dans les années 1990, la Banque a investi plus de US$ 10 milliards dans des sociétés étrangères. En 1968, les autorités du Vatican ont embauché Michele Sindona en tant que conseiller financier, en dépit de son passé douteux. Sindona était le principal responsable de l'afflux massif d'argent quand il a commencé le blanchiement de sommes d'argent issues du narcotraffic lié à la famille Gambino (en prenant une taxe de 50%) grâce à une société écran nommée "Mabusi". Cet argent a été obtenu avec l'aide d'un autre banquier, Roberto Calvi, qui a géré la Banque Ambrosiano.Calvi et Sindona étaient membres de la Loge P2[7].
La Banque du Vatican a démenti avoir la responsabilité légale de la chute de l'Ambrosiano, mais a reconnu un « engagement moral », et payé 241 millions de dollars américains aux créanciers.
http://www.youtube.com/watch?v=UjxpvasQO6o
Cindy Wooden: Au cours des 5 dernières années, Benoît XVI a réintroduit des éléments traditionnels dans les liturgies pontificales . En revanche sa dévotion pour les saints reste moderne. Aujourd'hui, Chronique du Vatican nous montre comment le Pape invite les catholiques à suivre l'exemple des saints du passé. Je suis Cindy Wooden, correspondante à Rome du Catholic News Service.Je suis Carol Glatz. Au cours de son pontificat, Jean Paul II avait donné l'impression de vouloir créer des saints de plusieurs pays et de différentes classes sociales pour les mettre davantage en évidence dans le monde d'aujourd'hui. Il a même été accusé d'avoir transformé le Vatican en une fabrique de saints. Cependant, il savait que tout chrétien est appelé à la sainteté et que nous avons tous besoin de modèles. En donnant à de nombreux pays leur premier Saint ou en canonisant des personnes mariées, Jean Paul II voulait montrer qu'il est possible d'être saint en tout lieu et à chaque époque. CW: Le Pape pense la même chose en ce qui concerne l'appel universel à la sainteté. Et si d'un côté, il a décidé de revêtir à nouveau les vieux habits liturgiques, de l'autre, il tente de faire revivre les saints catholiques du passé. Lors d'une audience à la fin du mois d'août, il a déclaré que les personnes ont besoin de"compagnons de route" pour la vie, de quelqu'un qui les guide lorsque le chemin est semé d'embûches.CG: Le Pape a suggéré de commencer par le Saint dont il porte le nom. Joseph Ratzinger a avoué que Saint Joseph et Saint Benoît sont très importants à ses yeux, même s'il a reconnu que Saint Augustin a été pour lui un "bon compagnon de route". Puis, comme il a coutume de le faire, il a rappelé les enseignements que ce saint du 5ème siècle peut donner aux personnes d'aujourd'hui, ajoutant que Saint Augustin a rencontré de nombreux obstacles et a lutté pour chercher la vérité "dans le prestige, la carrière, la possession des choses, les promesses d'un bonheur immédiat". Mais personne ne lui a procuré une joie durable. Ce n'est que dans le Christ que Saint Augustin, comme tant d'autres, a trouvé la plénitude de la vérité qui conduit à la liberté et au bonheur authentiques".CW: Quand des dizaines de milliers de jeunes servants d'autels --garçons et filles- se sont rassemblés au Vatican début août, le Pape les a invités à suivre l'exemple de leur saint Patron, Tarcisius, le jeune martyr du 3ème siècle, tué à coups de pierres pour avoir refusé de donner l'Eucharistie à une bande de délinquants. Benoît XVI a dit aux servants d'autel que l'histoire de Saint Tarcisius nous enseigne "à aimer profondément et à vénérer l'Eucharistie". CG: La semaine suivante, le Pape a évoqué d'autres martyrs chrétiens des premiers siècles dont les Saints Hyppolite et Laurent, mais également des modèles de vie plus modernes comme Edith Stein et Maximilien Kolbe. Tous, a-t-il dit, ont imité le Christ en accueillant librement la mort pour le salut du monde. Leur sacrifice a été un acte suprême d'amour et de foi. Aujourd'hui, a-t-il ajouté, les personnes ne sont pas forcément appelées au martyre mais tous les chrétiens sont appelés, comme les saints, à aimer Dieu et à aider les autres. Je suis Carol Glatz.CW: Je suis Cindy Wooden, du Catholic News Service.
SUITE : http://noella.e-monsite.com/pages/vatican-et-darwin.html