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Mr Ahmadinejad à l'Onu !

Mr Ahmadinejad à l'Onu : 23 septembre 2009

 23 septembre 2009

                                                               

 

 

                                                              Discours de Mr Ahmadinejad à l'Onu !

Suite !! 

 

Commentaires personnels :

Quand j'étais enfant, l'institutrice nous a appris à avoir l'esprit critique en éveil, en nous racontant la même histoire qui concernait 2 personnes. Quand j'ai entendu la version de la première, je lui ai donné raison car les arguments qu'elle évoquait lui donnait raison.

Puis, vint le tour de la deuxième personne de nous expliquer la même histoire mais vécue par elle, quand je l'entendais, je la comprenais et alors que c'était la même histoire, j'avais le deuxième son de cloche, une vision à partir d'autres points de vue.

Et j'ai compris que du point de vue de chacun, tous les deux avaient raisons. Mais il est impératif, de faire arrêter cette souffrance pour tous les deux le plus rapidement possible.

Et de plus, tant les juifs, tant les musulmans croient en Dieu. Ils leur faut montrer l'exemple et accepter d'obéir au conseil de Dieu pour régler ce problème.

 

Malgré le fait de l'attaque contre Israël, créé en 1948, et pour laquelle les pays croyants au même Dieu, doivent trouver rapidement une solution pacifique, déjà mentionnée dans une autre rubrique.

Cela mis à part, je trouve que Mr Ahmadinejad a des propos qui mériteraient de s'y attarder avec discernement.

Il est temps de créer une organisation mondiale de justice, et de vérité, où chaque pays aurait le droit de vote, et tous auraient les mêmes droits et les mêmes devoirs.

Et dans laquelle parler des Lois de Dieu, du bien, des vertus, de préserver la famille, d'un monde plus juste, d'un monde plus équitable, d'un monde où les Commandements de Dieu seraient respectés.

Pour éradiquer l'injustice, la peur, les deux poids deux mesures, la famine, l'oppression, etc.

Se cacher derrière un point et ne pas entendre les 99 autres, n'est pas très intelligent, Se voiler la face sur les injustices et sur la morale et sur les valeurs ne fait pas avancer  le monde. Il faut du courage pour se soulever et oser dire ce que nous ressentons et d'autant plus quand nous sommes tout seul.

Les hommes attendent enfin des changements vers un monde meilleur.

Et aussi longtemps, que nous n'accepterons pas de voir où se trouve réellement l'origine des problèmes, et comment les affronter, nous n'avancerons pas.

 

 

Sarkozy veut une réforme provisoire du Conseil de sécurité de l'ONU

HEURE PAR HEURE

Climat, nucléaire et pauvreté, entre autres, sont au menu de la 64ème assemblée générale de l'ONU qui s'est ouverte mercredi à New York. Suivez les principales interventions des chefs d'État.

 

Nicolas Sarkozy à la tribune de l'ONU, le 23 septembre 2009(REUTERS/Shannon Stapleton)

21H00: Intervenant à la tribune de l'ONU, le président français Nicolas Sarkozy affirme que les Iraniens «commettraient une tragique erreur» en «misant sur la passivité de la communauté internationale pour poursuivre leur programme nucléaire militaire».

Il propose aussi aux pays membres de l'ONU de se mettre «d'accord avant la fin de cette année au moins sur une réforme provisoire» du Conseil de sécurité. Selon lui, «les pays les plus développés ne peuvent prétendre gouverner seuls l'humanité» et il faut «élargir le cercle des membres permanents et non permanents du Conseil de Sécurité».

La France réclame depuis des mois un élargissement du Conseil de sécurité. «Il est inacceptable que le continent africain n'ait pas un membre permanent au Conseil de Sécurité, ou que le continent sud-américain avec cette grande puissance qu'est le Brésil, ou l'Inde avec son milliard d'habitants, ou encore le Japon ou l'Allemagne en soient exclus», juge-t-il.

Le président français affirme aussi qu'il faut «aller jusqu'au bout de la refondation du capitalisme financier», «refonder le système monétaire international», «en finir avec les paradis fiscaux», «limiter les fluctuations des cours des matières premières soumis à une spéculation excessive». Des thèmes qu'il aura l'occasion de développer lors du G20 de Pittsburgh qui s'ouvre demain jeudi.

19h00: Les débats ont pris un retard considérable. Alors que les discours sont en théorie limités à 15 minutes, Barack Obama a parlé près de trois quart d'heure tandis que Mouammar Khadafi a fait durer plus d'une heure son intervention, accumulant les improvisations et les redites sur «l'injustice du monde».

A sa suite, le président ougandais Yoweri Museveni pointe du doigt le sous-développement de l'Afrique, appellant de ses voeux une modernisation du continent dans les domaines de l'électricité, des transports et de l'agriculture. «Nous avons un double challenge. Celui de moderniser notre économie et celui de faire face aux problèmes causés par d'autres, tels que la crise financière et les dégradations de l'environnement» déclare-t-il.

18h00: Dès le début de son discours, le premier devant l'ONU en quarante ans de pouvoir, le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi se livre à une diatribe contre le Conseil de sécurité, s'en prenant en particulier à la domination exercée par ses cinq membres permanents (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne et Russie) et à leur droit de veto. «Le veto est contraire à la Charte de l'ONU, l'existence de membres permanents est contraire à la Charte», lance-t-il en brandissant le petit livre bleu contenant le texte fondateur de l'ONU. Il s'en prend également aux grandes puissances, les accusant d'avoir déclenché de nombreux conflits depuis 1945 pour poursuivre leurs propres intérêts.

Dehors, des centaines de manifestants de l'organisation Nation de l'Islam sont rassemblés pour soutenir Kadhafi, tandis que d'autres protestent à l'inverse contre sa venue ou celle de l'Iranien Ahmadinejad.

17h00: Très applaudi à son arrivée à la tribune, Barack Obama reprend un à un tous les dossiers internationaux en cours. Il précise : «Ceux qui ont l'habitude de réprimander l'Amérique pour son action solitaire dans le monde ne peuvent aujourd'hui rester de côté et attendre que l'Amérique résolve seule tous les problèmes du monde».

Sur le conflit israélo-palestinien: les Etats-Unis «ne reconnaissent pas la légitimité de la poursuite de la colonisation israélienne.»

Sur l'Iran et la Corée du nord: ces pays sont «sur une pente dangereuse» S'ils «choisissent d'ignorer les règles internationales, si ces pays mettent la recherche d'armes nucléaires avant la stabilité régionale et la sécurité, s'ils ignorent les dangers d'une course aux armements nucléaires en Asie de l'est et au Moyen-Orient, alors ils devront rendre des comptes.» Obama confirme également qu'il organisera un sommet sur la sécurité nucléaire en avril 2010.

Sur l'Irak: «Nous terminons une guerre de manière responsable.(...) nous nous sommes engagés à retirer tous nos soldats d'ici à 2011.»

Sur le climat: «Les nations riches qui ont tant fait pour détériorer le climat au XXe siècle doivent aujourd'hui accepter l'obligation de montrer l'exemple

Sur la crise financière: «Nous travaillerons avec les plus grandes économies du monde afin de tracer le chemin vers une croissance qui soit équilibrée et durable (...) Cela veut dire rester vigilants et ne pas relâcher l'effort tant que nos peuples n'ont pas retrouvé le chemin de l'emploi. Cela veut dire prendre des mesures pour relancer la demande, de sorte qu'une reprise mondiale puisse être soutenue. Cela veut également dire établir de nouvelles règles et renforcer la réglementation de tous les centres financiers, de façon à mettre fin à la cupidité, aux excès et aux abus qui nous ont menés au désastre et éviter qu'une telle crise se reproduise jamais.»

Le président brésilien réitère son appel pour une réglementation des marchés financiers et la fin du protectionnisme, insistant sur la nécessité d'une meilleure représentation des pays en développement dans les organisations multilatérales comme le Fonds monétaire internationale (FMI) et la Banque Mondiale. «Puisque l'économie mondiale est interdépendante, nous sommes contraints d'intervenir au-delà des frontières nationales et devons de ce fait refondre l'ordre économique du monde» lance-t-il.

Lula répète aussi l'engagement de son pays à lutter contre le réchauffement climatique, indiquant que le Brésil présenterait «des alternatives et des engagements précis» à la conférence de Copenhague sur le climat en décembre.

15h00: Le secrétaire général Ban Ki-moon ouvre l'Assemblée générale en appelant ses membres à répondre unis aux défis du climat, du nucléaire et de la pauvreté. «S'il y a jamais eu un bon moment pour agir dans un esprit multilatéral renouvelé, c'est bien maintenant» déclare-t-il, ajoutant : «c'est l'heure de replacer le mot "unies" dans l'expression "Nations unies"»

Les présidents Luiz Inacio Lula da Silva (Brésil), Barack Obama (Etats-Unis), Mouammar Kadhafi (Libye), Nicolas Sarkozy (France), Dmitri Medvedev (Russie), Mahmoud Ahmadinejad (Iran) et le Premier ministre britannique Gordon Brown, entre autres, doivent ensuite prendre la parole.

G20 et régulation financière

Nicolas Sarkozy a affirmé que l'ère des paradis fiscaux et du secret bancaire était «terminée» et a appelé le sommet du G20 de Pittsburgh à prévoir des «sanctions» contre les territoires non coopératifs. Début avril, les pays du G20 réunis à Londres s'étaient engagés à lutter contre les paradis fiscaux et une liste des territoires non coopératifs avait été publiée à l'issue du sommet.

Il a également soutenu que les pays du G20, qui se réunissent jeudi et vendredi à Pittsburgh (Etats-Unis), se «bagarraient» sur la réglementation des bonus bancaires. Un accord n'a «pas encore» été trouvé sur les bonus, a déclaré le président français. «On discute, cela se bagarre (...) mais il faut qu'on trouve un accord», a-t-il ajouté.

«Nous voulons clairement que le montant des bonus soit plafonné en fonction, par exemple, d'un pourcentage du chiffre d'affaires, d'un montant de fonds propres», a indiqué Nicolas Sarkozy. «L'Europe s'est mise d'accord sur la position de la France et de l'Allemagne» mais «le cheminement est long», a ajouté le chef de l'Etat en référence aux réserves américaines.

Environnement

Après le mini-sommet consacré au climat mardi à l'ONU, le président français a estimé que nous étions «la dernière génération à pouvoir décider» pour éviter que le réchauffement climatique en cours n'atteigne des proportions catastrophiques, défendant l'instauration d'une taxe carbone.

Sur le climat, «on discute maintenant de ce qui fâche»

interview

Les négociations pour lutter contre le changement climatique sont-elles dans l'impasse? Entre la mollesse des Etats-Unis et les annonces du président chinois, Libération.fr a interrogé Emmanuel Guérin, coordinateur du programme climat à l'Iddri.

A l’ONU, une journée climat plutôt tiède

Environnement. Les dirigeants réunis à New York ont, sans surprise, aligné de timides déclarations.

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Par CHRISTIAN LOSSON

Impasse climatique. Le compte à rebours a beau s’écouler vitesse grand V avant le sommet de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre, l’heure diplomatique est aux avancées de sablier. La journée unique spéciale climat des Nations unies ne s’est soldée par aucune percée susceptible de dynamiser des négociations passablement enlisées. A l’image d’un discours de Barack Obama (attendu comme remobilisateur, mais qui a vite tourné au robinet d’eau tiède), un sentiment de léger dynamitage a flotté.

Le président américain a ainsi bien rappelé que l’inaction conduira les générations futures à une «catastrophe irréversible». Souligné les efforts sans précédent fournis par son administration. Mais, alors que les Européens appellent Washington à plus d’ambition, Obama a douché son auditoire : «Nous sommes tous confrontés aux doutes et aux difficultés dans nos capitales.» Allusion à un agenda prisonnier des débats sur l’assurance santé et l’état de l’économie. Et aux résistances du Congrès à faire passer une proposition déjà timide (-7% d’ici 2020 par rapport à 1990) de baisse des gaz à effet de serre (GES). Reprenant un refrain cher à son prédécesseur, Obama a appelé «les pays à la croissance rapide» à prendre «des mesures vigoureuses»…

Finalement, la seule surprise est venue hors de l’enceinte onusienne. L’industrie aérienne mondiale (Iata) a annoncé vouloir réduire de 50% d’ici 2050 ses émissions en CO2 comparé à 2005. Maigre par rapport aux objectifs ; mais un premier pas d’une industrie qui échappe à toute fiscalité verte.

Les grands de ce monde ont, eux, encore trois mois pour être à la hauteur. «Il ne faut pas se faire d’illusions, le plus dur reste à faire», a assuré Obama. «Notre travail est de sortir de l’impasse», a résumé le Premier ministre suédois, Fredrik Reinfeldt. Une réunion des chefs d’Etat des pays les plus pollueurs «à la mi-novembre», comme Nicolas Sarkozy l’a appelé de ces vœux hier, suffira-t-elle à trouver une boussole ? «Le monde n’a pas le droit d’échouer», a lancé le patron de l’ONU, Ban Ki-moon. Il en prend pourtant le chemin.

Dernière minute
Samedi 14 novembre 2009

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