Chacun a reçu ce que Dieu lui a donné pour Le Servir et Lui obéir.
Dieu veut l'Unité aujourd'hui, et vous demande de vous aimer les uns les autres, sans superlatif et sans comparaison.
Par contre, que vos préoccupations soient comment faire que les brebis que Dieu nous a confié, soient trouvées sans grand péché, et idéalement sans petit péché conséquent.
C'est cela que Dieu vous demande, que l'homme s'éloigne du mal, et qu'il recherche le bien.
Dieu nous a demandé dans le Livre de la 7ème trompette de l'Apocalypse de Saint Jean d'attendre le Retour du Messie, pour certaines données qui ne sont pas clairement expliquées dans l'Ancien Testament, dans le Nouveau Testament et dans le Livre (Le Coran), notamment concernant la nature du Messie.
Ce sera notre Cadeau de savoir, et la récompense pour notre patience.
Mais cela, ne doit pas nous empêcher de préparer un peuple qui aime Dieu, et Son Messie et qui se prépare selon Ses Commandements et obéit à Ses Lois.
Un peuple qui s'éloignerait du mal, des grands péchés, et aussi le plus possible des petits péchés, et qui vivrait concrètement avec des pensées, des paroles et des actions bonnes, concrètement.
Il est grand temps, que ce peuple se prépare concrètement, et que toute notre énergie soit dirigée dans cette direction, ce chemin est plus utile et bénéfique pour nous tous. Rechercher les vertus, et s'éloigner du vice !
En outre, Dieu ne veut pas que nous soyons des DOMINATEURS, mais des RAPPELEURS!
Ni dominateur envers les brebis, ni dominateur envers les autres serviteurs de Dieu. Le Bon Serviteur !
Eh bien, rappelle ! Tu n’es qu’un rappeleur, et tu n’es pas un dominateur sur eux.
Sauf celui qui tourne le dos et ne croit pas, alors Allah le châtiera du plus grand
châtiment. Vers Nous est leur retour. Ensuite, c’est à Nous de leur demander
compte.
Eh bien, rappelle ! Tu n’es qu’un rappeleur, et tu n’es pas un dominateur sur eux. Sauf celui qui tourne le dos et ne croit pas, alors Allah le châtiera du plus grand châtiment. Vers Nous est leur retour. Ensuite, c’est à Nous de leur demander compte. (Sourate 88, 21-26)
Dialogue avec le Judaïsme
JUDAÏSME
L’Eglise entretient un lien particulier avec le judaisme : "A la différence des autres religions non-chrétiennes la foi juive est déjà réponse à la révélation de Dieu dans l’Ancienne Alliance. C’est au Peuple Juif qu’"appartiennent l’adoption filiale, la gloire, les alliances, la législation, le culte, les promesses et les patriarches, lui de qui est né, selon la chair le Christ" ( Rm 9,4-5 ) car "les dons et l’appel de Dieu sont sans repentance" ( Rm 11,29 ).
Lorsque l’on considère l’avenir, le peuple de Dieu de l’Ancienne Alliance et le nouveau Peuple de Dieu tendent vers des buts analogues : l’attente de la venue (ou du retour) du Messie. Mais l’attente est d’un côté du retour du Messie, mort et ressuscité, reconnu comme Seigneur et Fils de Dieu, de l’autre de la venue du Messie, dont les traits restent voilés, à la fin des temps, attente accompagnée du drame de l’ignorance ou de la méconnaissance du Christ Jésus. (Catéchisme de l’Eglise catholique n° 839)
L’Église se nourrit encore maintenant de la racine de l’olivier franc :
" Mais si quelques-unes des branches ont été coupées tandis que toi, sauvageon d’olivier tu as été greffé parmi elles pour bénéficier avec elles de la sève de l’olivier, ne va pas te glorifier aux dépens des branches. Ou si tu veux te glorifier, ce n’est pas toi qui portes la racine, c’est la racine qui te porte".(Romains 11,18)
Le Christ, Marie, les apôtres, les disciples et une bonne part des premiers chrétiens furent juifs. Par eux l’héritage d’Israël est devenu levain parmi les nations.
Le peuple juif reste le témoin permanent de la fidélité de Dieu. Juifs et chrétiens attendent la venue du Jour du Seigneur dans la vigilance, la prière, l’action et la fidélité à la Parole. Le Tanar (l’ancien Testament pour les chrétiens) y fait sans cesse référence et alimente notre foi.
Nous avons beaucoup en commun :
une foi en même Dieu unique
une foi en un Dieu créateur (et qui exclut la déification du monde, cf New Age)
un Dieu qui crée l’homme à son image ce qui lui confère une dignité et une grandeur unique
la Révélation à Noé et Abraham et celle de l’Alliance au Sinaï
La révélation donnée à travers les Dix Paroles (commandements) qui résument la relation à Dieu et aux hommes
L’espérance messianique qui lance l’homme vers son but à travers la Rédemption.
Nous avons enfin en commun une attitude fondamentale devant Dieu : crainte de Dieu, obéissance (écoute et pratique), connaissance de Dieu, conversion (teshouva), mémoire des merveilles accomplies par Dieu, amour, confiance, fidélité, sainteté, louange...
La Sagesse de Dieu n'est pas sagesse d'homme. Les Voies de Dieu, ne sont pas
des voies d'hommes.
Sans Superlatif, ni Comparaison :
Définition :
Superlatif
Le superlatif exprime une qualité portée à un haut degré ou à l'extrême. Le superlatif peut être relatif ou absolu.
Le superlatif absolu se forme avec un des adverbes "très, fort, bien, extrêmement, etc. placé avant l'adjectif (Cet homme est très fort, extrêmement fort, etc.).
Le superlatif relatif exprime le degré le plus élevé ou le plus bas. Il compare avec quelque chose (ou quelqu'un) ou indique un degré par rapport à l'objet (ou l'être) considéré (Le plus fort des deux. Votre plus grande chance. Ce qu'il a de plus remarquable).
La négation des comparatifs peut aboutir à des effets de sens qui ne sont pas ceux que laisserait prévoir la négation logique. Ainsi par exemple en français :
nier le comparatif d'égalité aboutit à un sens d'infériorité : Pierre n'est pas aussi fort que Paul signifie Pierre est moins fort que Paul
nier le comparatif de supériorité ou d'infériorité aboutit à un sens d'égalité : Pierre n'est pas plus fort que Paul et Pierre n'est pas moins fort que Paul signifient que Pierre est aussi fort que Paul
Degré de comparaison
Les différents degrés
Distinctions usuelles
On distingue classiquement :
le positif, forme de base non marquée : fort
le comparatif qui établit une hiérarchie entre deux éléments. Il en existe trois variétés :
le comparatif de supériorité : plus fort
le comparatif d'égalité : aussi fort
le comparatif d'infériorité : moins fort
le superlatif qui exprime le plus haut degré d'une qualité, en supériorité ou en infériorité. Selon qu'il fait ou non référence à une classe d'éléments, on distingue :
le superlatif relatif : le plus fort (supériorité), le moins fort (infériorité)
le superlatif absolu : très fort (supériorité), très peu fort (infériorité)
Un système de gradation peut comporter des syncrétismes, c'est à dire que certaines de ses formes couvrent plusieurs degrés, selon le contexte. Par exemple :
le latin possède des formes synthétiques de comparatif de supériorité qui peuvent aussi avoir valeur d'intensif ou d'excessif (doctior « plus savant, assez savant, trop savant ») et un superlatif de supériorité qui peut être relatif ou absolu (doctissimus « le plus savant, très savant »)
en arabe, les adjectifs possèdent une forme spéciale appelée élatif qui couvre les diverses valeurs de comparatif et de superlatif de supériorité. Par exemple kabīr كبير « grand » a pour élatif akbar أكبر « très grand, (le) plus grand ».
Interactions avec la négation
La négation des comparatifs peut aboutir à des effets de sens qui ne sont pas ceux que laisserait prévoir la négation logique. Ainsi par exemple en français :
nier le comparatif d'égalité aboutit à un sens d'infériorité : Pierre n'est pas aussi fort que Paul signifie Pierre est moins fort que Paul
nier le comparatif de supériorité ou d'infériorité aboutit à un sens d'égalité : Pierre n'est pas plus fort que Paul et Pierre n'est pas moins fort que Paul signifient que Pierre est aussi fort que Paul.
Comparaison entre deux éléments
Lorsqu'il s'agit de comparer deux éléments formant ensemble, l'emploi du comparatif ou du superlatif est sémantiquement équivalent. La solution adoptée en pratique dépend de la langue considérée :
en français, la construction retenue est celle du superlatif : la plus forte des deux mains
en latin, c'est le comparatif qui s'emploie : validior manus[1].
DÉFINITION DU DICTIONNAIRE LITTRÉ
> SUPERLATIF, IVE
Prononciation : su-pèr-la-tif, ti-v'
adj.
Sens 1 Terme de grammaire. Qui exprime la qualité bonne ou mauvaise portée au plus haut degré. Adjectif superlatif. Les terminaisons superlatives dans la langue latine.
Citation : Elle [la langue française] n'aime point les exagérations, parce qu'elles altèrent la vérité ; et c'est pour cela sans doute qu'elle n'a point de ces termes qu'on appelle superlatifs, non plus que la langue hébraïque , BOUHOURS , Entret. d'Ar. et d'Eug. 2
Par extension et familièrement, qui a un caractère d'excellence.
Le Superlatif et la comparaison ne peut être utilisé que pour Dieu ! L'Unique, le Créateur, l'Omniscient, l'Eternel, le Juste, le Véridique, l'Infaillible !