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ILOHIM donne la Torah à Moïse dans la NUEE !! LE PENTATEUQUE !

 

La beauté et la richesse symbolique du récit firent d'autant plus sensation lors de leur révélation devant la Société d'archéologie biblique de Londres en 1872, que l’épisode relatant le déluge ressemblait beaucoup, mais en plus étoffé, à l’épisode de Noé dans la Bible.

Il est intéressant d'en rapprocher le mythe de Hercule: certains auteurs établissent ainsi une filiation entre l'épopée de Gilgamesh, la "Gloire d'Uruk", rédigé dans la Mésopotamie du XVIIIe siècle av. J.-C., et le mythe de Hercule, la "Gloire d'Héra", consigné par Homère au VIIIe siècle av. J.-C. (voir à ce sujet les travaux de l'anthropologue syrien Firas Sawwah).

En effet, la similitude est frappante entre un Gilgamesh, roi de Uruk, deux tiers dieu et un tiers humain, effectuant une série d'oeuvres devant le mener à l'immortalité, et Hercule, Gloire de Héra, moitié dieu et moitié homme, effectuant 12 travaux qui le mèneront à son tour à l'immortalité.

NOTES PERSONNELLES : EL, Elohim, ou IL, ILOHIM est déjà mentionné dans les textes anciens à la tête des dieux. Il est aussi dit qu'il est leur père.

La rivalité entre El est mentionnée déjà à cette époque avec Baal.

L'épouvante du déluge les a obligés de se réfugier dans le ciel d'Anu. ILs ne peuvent par conséquent pas être les maîtres du monde et de l'Univers, ni être à l'origine du déluge, ni de la création.

Le récit du sage qui fait le sacrifice après le déluge se retrouve aussi dans la Bible, où Noé rend un sacrifice à ILOHIM.

Ces récits racontent avec un autre son de cloche des événements qui se sont déroulés, mais avec la vision des anges désobéissants et déchus !

Cela prouve que ces événements se sont passés, mais ils les racontent à leurs manières, et n'oublions pas qu'ils savent mentir et se faire passer pour les maîtres de la terre et les maîtres des hommes. (par certains aspects, cela n'est pas tout à fait faux).

ILOHIM a révélé à Moïse dans la nuée les événements qui se sont déroulés, cela s'appelle la Torah. Ces évènements se confirment, mais avec des points de vue différents, selon ILOHIM, ou selon les dieux anges déchus.

 

La Torah de Moïse, le plus saint des textes sacrés du judaïsme, en est le document fondateur religieux. Première partie du Tanakh (Bible hébraïque), elle est divisée en cinq Livres (hébreu : חמשה חומשי תורה Hamisha Houmshei Torah, grec : Πεντάτευχος, Pentateuque), qui couvre l'histoire des Israélites, depuis les débuts du monde jusqu'à leur passage du Jourdain.
La Torah comprend une variété de genres littéraires, dont la poésie, l'allégorie, la narration historique, la généalogie et l'exposition de divers codes de lois. Elle contient, selon la tradition juive, 613 commandements, divisés par Moïse Maïmonide en 248 mitzvot (מצוות, "prescriptions") positives, et 365 mitzvot négatives Selon cette même tradition, la Torah comporte une composante écrite, la « Torah Shebikhtav » (תורה שבכתב, « Torah écrite »), et une tradition orale, la « Torah Shebe'al Pè » (תורה שבעל פה, « Torah orale »), consistant en « interprétations et amplifications traditionnelles transmises de bouche à oreille de génération en génération, » avant d'être couchées sur papier dans les Talmuds et la littérature midrashique.

Selon cette tradition orale, la Torah est antérieure au monde et a servi de plan à sa création, avant d'avoir été transmise à Moïse par inspiration divine, sur le mont Sinaï.

Lecture de la Torah

La Lecture de la Torah (en hébreu: Qriat HaTorah) suit un rite défini depuis plus de deux millénaires, suite à la destruction du Premier Temple de Jérusalem, et toujours scrupuleusement suivi par les adhérents du judaïsme orthodoxe. Des mouvements récents, comme le judaïsme réformé ou le judaïsme traditionaliste, ont réalisé des aménagements, mais sans apporter de changements à la base.

La lecture d'une section du Pentateuque dans un parchemin de Torah fait partie de l'office de certains jours. La Torah est lue selon des sections hebdomadaires (Héb. פרשת השבוע parashat hashavou'a), divisées en portions, elles-mêmes divisées en versets, mais non en chapitres (les érudits Juifs modernes utilisent la capitation biblique par commodité, mais seulement pour l'étude et non pour le rite).
Le Shabbat, une parasha entière est lue suivant un cycle annuel.
Le Shabbat après-midi, les lundis et jeudis, le début de la section suivante est lue.
Lors de certaines célébrations et jeûnes, des sections spéciales, liées à la célébration, sont également lues

Outre sa place centrale dans le judaïsme, la Torah est acceptée par le christianisme en tant que partie de la BibleLa Torah, cœur du judaïsme [modifier]

La Torah fut, selon la tradition, dictée à Moïse par Dieu au pied du mont Sinaï.

Pour les juifs, elle a traditionnellement été acceptée comme telle : la parole littérale de Dieu au peuple juif tout entier au mont Sinai.

C'est en tout cas le guide de la relation entre Dieu et l'homme, la signification d'une telle relation, et son but, un document vivant que chacun, à chaque génération, doit, selon le Talmud, tourner et retourner car tout est en elle.

La Torah désigne donc stricto sensu la première section du Tanakh — les cinq premiers livres de la Bible hébraïque — mais le terme est également employé pour désigner tant la loi écrite (Torah SheBeKtav) que la loi orale (Torah SHeBe'Al Pe), qui contient l'ensemble des enseignements juifs religieux à travers l'histoire, incluant la Mishnah, le Talmud, le Midrash, et d'autres.

 Le Pentateuque

La Loi de Moïse ou Pentateuque comprend, comme l'indique le nom grec, cinq livres : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.

C'est le noyau primitif de l'Ancien Testament.

ON sait que la tradition chrétienne, héritière de la tradition juive, est unanime à attribuer à Moïse le Pentateuque.

Un accroissement progressif des lois mosaïques, dû aux circonstances sociales et religieuses des temps postérieurs, progression qui se manifeste aussi dans les récits historiques".

Moïse restaure la religion d'Israël en rassemblant le peuple autour du Dieu des pères. Il ne s'est pas contenté de laisser un souvenir de la révélation personnelle qu'il avait reçue, avec les principes moraux du Décalogue; cette révélation, il la rattacha à l'histoire religieuse des ancêtres, et ces principes, il les monnaya en une loi adaptée aux nécessités concrètes de la vie sociale.

Cette oeuvre de Moïse n'a pas été conservée comme un dépôt d'archives mortes; elle faisait corps avec la vie du peuple. La loi en particulier devait s'adapter sans cesse à des besoins nouveaux. Mais le peuple porteur de cette tradition fut divisé durant des siècles en fractions souvent hostiles, sauf un court espace de temps sous David et Salomon. L'essentiel est de savoir que nous possédons la substance de la révélation confiée par Dieu à Moïse, transmise fidèlement par des hommes animés de son esprit, au sens le plus fort de ce terme.

La Genèse forme à elle seule un tout.

Su les millénaires qui séparent de la création la vocation d'Abraham, notre auteur ne sait à peu près rien : il relate tout juste trois épisodes, Caïn, Noé, Babel; l'immense vide est comblé par des généalogies, dont l'enchaînement souligne l'unité de la race humaine.

Les ancêtres d'Abraham, plongés dans le paganisme, n'avaient pas grand-chose à lui léguer sur l'histoire religieuse du passé.  

 

 

 

Le Serpent

Le serpent est lié à toutes les croyances religieuses de l'Antiquité, sous un aspect tantôt bienfaisant, tantôt malfaisant, sauf pour le peuple du Dieu d'Israël.

  Il représente les forces indifférenciées d'avant la création et c'est ainsi que l'on trouve, dans la tradition babylonienne, l'image de ce serpent-dragon femelle, Tiamat, qui, vaincue par le dieu-héros Marduk, sera dépécée, faisant ainsi naître le Ciel, la Terre et tous les êtres vivants. En Egypte, dans certaines cosmogonies, le Noun, océan indifférencié des potentialités, est associé au dragon-serpent Apap (Apophis pour les Grecs) qui, chaque nuit, menace de dissolution le Soleil et toute la création.

En Egypte, lors de la fondation du temple, on doit clouer au sol le serpent des puissances de la terre pour pouvoir entreprendre la construction. Les mêmes rites magiques propitiatoires se retrouvent en Chine dans la science de la géomancie.

  Une forme bénéfique du serpent, en Egypte, sera l'Uréus, déesse féminine qui représente l'oeil de Ré, flamme devenue serpent, symbole de la vigilance en éveil, qui protège le front du Pharaon.

  En Grèce, Delphes possédait, depuis des temps reculés, un oracle gardé par le Python, serpent-dragon, génie serviteur de la déesse Gaïa. Vaincu par le dieu solaire, Apollon, il restera sur place et, maîtrisé mais non détruit,. Il transmettra le pouvoir oraculaire au fils de Zeus, à travers les vapeurs qu'il exhale.

  Dans la tradition celtique, ces énergies souterraines, se manifestant parfois sous la forme de "femmes-serpent", donneront notamment naissance à la tradition de la Vouivre. Dans le cycle arthurien elles apparaissent dans l'épisode de la tour qui s'écroule chaque fois qu'on tente de l'édifier : grâce à Merlin, l'Enchanteur, on découvrira qu'elle abrite sous ses fondations deux dragons ennemis qui se combattent.

  Chez les Mongols, inspirés par les Chinois, le serpent - dragon est un des douze animaux célestes. Il tourne sur lui-même et autour de l'univers. Il passe l'hiver sous terre d'où il sort au printemps pour monter au ciel. Il est ambivalent et soutient l'arbre de vie.

  En Grèce, le même combat entre les forces de la différenciation et celles de la nuit a lieu entre Zeus et le serpent-dragon Typhon, lors de la Gigantomachie.

  L'aspect bienfaisant du serpent apparaît en Orient, où le Serpent-dragon est symbole de la Sagesse, tantôt céleste, tantôt terrestre, issue de la maîtrise des énergies de la Terre et du Ciel. Chez les Mayas, les prêtres chamans sont associés à l'image du serpent de la sagesse.

  En Inde, les rois serpents Nagas sont des divinités protectrices des fleuves, porteurs de vie et de fécondité mais aussi de sagesse ancestrale.

  En Egypte, la Montagne de l'Occident est gardée par Oudjat, la déesse serpent, dame du Silence
; elle remplit aussi les fonctions de protectrice du grenier. Dans la Grèce mycénienne, Athéna était une déesse du foyer et des greniers, également protégés par le serpent qui apparaît sur son bouclier, l'égide (4). Le serpent est donc gardien des lieux.


  Les dieux guérisseurs, Apollon et Asclépios, le portent autour de leur bâton.

  Hermès, dieu de la sagesse et maître des chemins et des carrefours, trouva un jour deux serpents en train de se battre et, leur tapant sur la tête avec son bâton de pèlerin, parvint à les concilier ; tous deux s'enroulèrent autour de ce bâton qui deviendra le caducée, symbole de la capacité à relier les contraires - les énergies solaires et lunaires - autour d'un axe vertical.

  Reprenant un mythe cosmogonique égyptien, nous retrouverons, en Grèce et ensuite chez les Gnostiques, l'image de l'oeuf du Monde couvé par le Serpent qui symbolise le souffle ou pneuma de l'Esprit.

  Chez les Romains, l'aspect chtonien et guérisseur du serpent est le plus important et il est associé à Apollon, Esculape, Hygie et Valetudo (la Santé). Juno Sospita, la "protectrice", est la patronne de Lanuvium, près de Rome, où l'on pratiquait un rite annuel pour savoir si l'année serait fertile. Une jeune fille allait nourrir un serpent qui habitait au coeur d'une grotte. Si le serpent acceptait les gâteaux, l'année serait bonne ; dans le cas contraire, elle serait stérile.

  Les Romains associaient aussi aux serpents les âmes des défunts : Virgile raconte, dans L'Enéide, comment Enée voit un serpent se glisser près de la sépulture de son père et goûter les mets sacrés qu'il y a déposés avant de regagner le fond du tombeau, augure d'un message des ancêtres qui signifie qu'ils en acceptent l'offrande.

  En Gaule, le serpent en relation avec les puissances chtoniennes apparaît parfois associé au bélier. Cette combinaison pouvait être en rapport avec le culte du foyer, car le bélier est souvent en rapport avec le feu.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

                                       

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