Apocalypse 19:1
Après cela j'entendis dans le ciel comme la grande voix d'une foule nombreuse, qui disait : "Alleluia !
Le salut, la gloire et la puissance sont à notre Dieu", car ses jugements sont conformes à la vérité et à la justice : Il a jugé la grande Courtisane qui avait corrompu la terre par son impudicité, et Il a vengé sur elle le sang de ses serviteurs". Puis ils redirent : "Alleluia ! Sa fumée monte pour les sicècles des siècles !".
Les vingt-quatre vieillards et les quatre animaux se prosternèrent et adorèrent Dieu assis sur le trône, en disant :
"Amen! Alleluia"!
Et il vint du trône une voix qui disait : "Louez notre Dieu, vous tous, ses serviteurs, vous qui le craignez, petits et grands "!
Alors l'un des sept anges qui tenaient les sept coupes pleines des sept derniers
fléaux vint me parler : "Viens, dit-il, que je te montre l'Epousée, la femme de
l'Agneau". (Elle est prête avant le versement des sept coupes)
Il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne, et il me montra la cité sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d'auprès de Dieu, brillante de la gloire de Dieu.
Son éclat était pareil à celui d'une pierre très précieuse, comme une pierre de jaspe cristalline. Elle avait une muraille grande et haute.
Elle avait douze portes. Aux portes étaient douze anges et des noms y étaient inscrits des douze tribus des enfants d'Israël.
A l'orient trois portes; au nord trois portes, au midi, trois portes; au couchant trois portes.
La muraille de la cité avait pour assises douze pierres qui portaient douze noms, ceux des douze apôtres de l'Agneau.
Celui qui me parlait tenait une mesure, - un roseau d'or,- pour mesurer la cité, ses portes et sa muraille.
La cité forme un carré, sa longueur étant égale à sa largeur.
Il mesura la cité avec le roseau sur douze mille stades; sa longueur, sa largeur et sa hauteur sont égales.
Il en mesura aussi la muraille: cent quaratre-quatre coudées, en mesure d'homme qui est mesure d'ange.
Le matériau de sa muraille est du jaspe, et la cité est d'or pur, pareil à du pur cristal. Les pierres d'assise de la muraille de la cité sont ornées de pierres précieuses de toute sorte..............................................
Les douze portes sont douze perles. La place de la cité est d'or pur, transparent comme du verre.
Je n'y vis pas de temple, car le Seigneur, le Dieu tout-puissant, en est le temple, ainsi que l'Agneau.
La cité n'a besoin ni du solei ni de la lune pour l'éclairer, car la gloire de Dieu l'a illuminée, et son flambeau, c'est l'Agneau.
Et les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre y apporteront ce qui fait leur gloire.
Ses portes ne se fermeront pas de jour, car il n'y aura pas de nuit. On y apportera ce qui fait la gloire et l'honneur des nations!"
Rien d'impur n'y entrera, ni personne qui commette l'abomination et mensonge, mais ceux-là seuls qui sont inscrits sur le Livre de vie de l'Agneau.
Commentaires personnels :
Avant les sept coupes, les sept derniers fléaux, la Jérusalem céleste est prête. Son socle sont les douze tribus des enfants d'Israël et les douze apôtres de l'Agneau.
Cela signifie l'Israël spirituel, les 144.000 qui se seront préparés.
Ils se préparent avant les sept coupes, les sept derniers fléaux.
Je vais mettre entre parenthèses mes commentaires personnels à côté du texte.
Apocalypse 15:1
Je vis dans le ciel un autre signe, grand et merveilleux : sept anges qui tenaient sept fléaux, les derniers, ceux par quoi la fureur de Dieu a eu son terme.
Je vis comme une mer de verre, mêlée de feu, et les vainqueurs de la Bête, de sa statue et du chiffre de son nom, debout sur la mer de verre, qui tenaient les harpes de Dieu.
Ils chantent le cantique de Moïse, le serviteur de Dieu, et le cantique de l'Agneau, disant : "Grandes et merveilleuses sont tes oeuvres, Seigneur, Dieu tout-puissant ! Justes et vraies sont tes voies, roi des nations !
Qui ne craindrait, Seigneur, et ne glorifierait ton Nom?
Toi Seul es Saint, et toutes les nations viendront se prosterner devant Toi, parce que Tes jugements se sont manifestés".
Après cela, je vis s'ouvrir dans le ciel le temple de la tente du témoignage.
Les sept anges qui tenaient les sept fléaux sortirent du temple, vêtus de lin
d'une blancheur éclatante, la poitrine ceinte d'une ceinture d'or. (Ceux-ci sont
les anges de Dieu, ils ne sont pas lâchés, ils sortirent du temple !)
L'un des quatre animaux donna aux sept anges sept coupes d'or pleines de la fureur du Dieu qui vit aux siècles des siècles.
Le temple fut rempli de la fumée qui émane de la gloire de Dieu et de sa puissance. Et personne ne pouvait pénétrer dans le temple avant que les sept fléaux des sept anges n'aient eu leur réalisation.
J'entendis une grande voix qui venait du temple et disait aux sept anges : "Allez verser sur la terre les sept coupes de la fureur de Dieu".
Le premier s'en alla verser sa coupe sur la terre. Et un ulcère mauvais et pernicieux frappa les
hommes qui avaient la marque de la Bête et qui adoraient sa statue.
Le second versa sa coupe sur la mer qui devint comme le sang d'un mort, et tout ce qui avait vie dans la mer périt.
Le troisième versa sa coupe sur les fleuves et les sources qui devinrent du sang.
Et j'entendis l'ange des eaux qui disait : "Tu est juste, ô Toi qui es et qui fus, Toi, le Saint, en exécutant ces châtiments. Parce qu'ils ont versé le sang des saints et des prophètes, tu leur as donné du sang à boire : ils le méritent".
Et j'entendis l'autel qui disait : "Oui, Seigneur, Dieu Tout-Puissant, Tes jugements sont conformes à la vérité et à la justice".
Le quatrième versa sa coupe sur le soleil, à qui il fut donné de brûler les hommes par son feu. Les hommes furent atteints de grandes brûlures, ils blasphémèrent le nom de Dieu qui est le maître de ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour Lui rendre gloire.
Le cinquième versa sa coupe sur le trône de la Bête, dont le royaume fut plongé dans les ténèbres. (Les hommes) se mordaient la langue de douleur. Ils blasphémèrent le Dieu du ciel à cause de leurs douleurs et à cause de leurs ulcères, et ils ne se repentirent pas de leurs oeuvres.
Le sixième versa sa coupe sur le grand fleuve de l'Euphrate, dont les eaux tarirent pour livrer passage aux roix, à ceux de l'Orient.
Je vis (sortir) de la gueule du Dragon, de la gueule de la Bête, et de la bouche du Faux Prophète, trois esprits impurs semblables à des grenouilles. Ce sont des esprits de démons qui opèrent des prodiges et s'en vont trouver les rois de l'univers et entier, afin de les mener ensemble au combat, au grand Jour du Dieu tout-puissant.
(Les rois qui vont écouter les esprits de démons qui opèrent des prodiges, guidés
par le Dragon, la Bête et la bouche du Faux Prophète, se rassembleront pour aller
au combat. Mais pas les 144.000, aucun d'eux n'ira là-bas.)
-Voici que je viens comme un voleur. Heureux qui veille et qui garde ses
vêtements pour n'avoir pas à aller nu et pour ne pas laisser voir sa nudité !
Ils les rassemblèrent au lieu appelé en hébreu Harmagédon.
(A ce moment précis, l'Agneau sera sur le mont Sion, et avec lui les cent
quarante-quatre mille personnes, la foule nombreuse qui porte le sceau de Dieu et
du Christ sur le front. Ils seront avec Jésus, pas avec les autres qui eux
portaient sur leur front la marque de la bête.)
14:1 J'eus une vision : C'était l'Agneau debout sur le mont Sion, et avec lui cent quarante-quatre mille personnes qui portaient inscrits sur le front son nom et le nom de son Père.
Et j'entendis une voix qui venait du ciel, pareille au bruit de grandes eaux et au grondement d'un grand coup de tonnerre. Cette voix que j'entendis rappelait des harpistes jouant de la harpe.
Ils chantent comme un cantique nouveau devant le trône, devant les quatre animaux et les vieillards. Nul ne pouvait apprendre ce cantique, excepté les cent quarant-quatre milliers, les rachetés de la terre.
14:14 Puis j'eus une vision : C'était une nuée blanche, et sur la nuée était assis quelqu'un de pareil à un fils d'homme.
19:11 Puis je vis le ciel ouvert et parut un cheval blanc. Celui qui le monte s'appelle Fidèle et Véridique : il juge et il combat avec justice.
Ses yeux sont une flamme ardente, il a plusieurs diadèmes sur la tête et il porte, inscrit, un nom qu'il est seul à connaître; il est revêtu d'un manteau teint de sang; son nom se dit : "Le Verbe de Dieu". Les armées célestes le
suivaient sur des chevaux blancs, vêtues d'un lin fin d'une blancheur éclatante. De sa bouche sort un
glaive aigu pour en frapper les nations: c'est lui qui les gouvernera avec une houelette de fer,et c'est lui
qui foule la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout-puissant.
Sur son manteau et sur sa cuisse il porte, inscrit, ce nom : "Roi des rois et Seigneur des Seigneurs".
Et je vis un ange debout sur le soleil. Il cria à pleine voix, disant à tous les oiseaux qui volaient au zénith : "Venez, rassemblez-vous pour le grand festin de Dieu : vous mangerez la chair des rois, la chair des chefs, la chair des guerriers, la chair des chevaux et de leurs cavaliers, la chair de tous, des hommes libres et des esclaves, des petits et des grands".
Et je vis la Bête et les rois de la terre, avec leurs armées rassemblées pour livrer bataille à celui qui montait le cheval et à son armée.
La Bête fut prise et, avec elle, le Faux Prophète, qui par les prodiges faits devant elle avait séduit ceux qui avaient reçu la marque de la Bête et ceux qui adoraient sa statue.
Tous les deux furent jetés vivants dans l'étang de feu où brûle le soufre. Le reste fut mis à mort par le glaive de celui qui montait le cheval, -le glaive qui sortait de sa bouche, - et tous les oiseaux se rassasièrent de leurs chairs !
Je vis descendre du ciel un ange qui tenait à la main la clef de l'Abîme et une grande chaîne. Il saisit le Dragon, le Serpent antique, qui est le Diable et Satan, et il l'enchaîna pour mille ans.