En 1978, le major Jesse Marcel, qui a pris part à la récupération des débris à Roswell en 1947, déclare à la télévision que ceux-ci étaient sûrement d'origine extraterrestre et que les débris que le général Ramey (responsable de la base) a montrés aux journalistes ne sont pas ceux que Marcel lui a apportés de Roswell qui étaient selon lui en métal non identifié et comportaient pour certains des caractères d'une écriture inconnue. Il fait part de sa conviction selon laquelle les militaires avaient en réalité caché la découverte d'un véhicule spatial à l'ufologue Stanton T. Friedman. Son histoire circule chez les amateurs d'ovnis et dans les revues d'ufologie[21]. En février 1980, le National Enquirer conduit sa propre interview du major Marcel, ce qui déclenche la re-médiatisation de l'incident de Roswell. D'autres témoins et rapports sortent de l'ombre au fil du temps, ajoutant de nouveaux détails à l'histoire. Par exemple, une grande opération militaire se serait déroulée à l'époque, visant à retrouver des morceaux d'épave, ou encore des extraterrestres, sur pas moins de 11 sites[21], ou encore des témoignages d'intimidation sur des témoins. En 1989, un entrepreneur de pompes funèbres à la retraite, Glenn Dennis, affirme que des autopsies d'extraterrestres ont été effectuées dans la base de Roswell[22].
En 1991, le général Du Bose, chef d'état-major du général Ramey en 1947, confirme que ce dernier avait substitué aux débris transmis par la base de Roswell ceux d'un ballon météo, montrés aux journalistes. En réponse à ces nouveaux éléments, et après une enquête du Congrès des États-Unis, le GAO (Government Accountability Office, organisation de surveillance appartenant au Congrès) demande à l'United States Air Force de conduire une enquête interne. Le résultat de cette enquête est résumé en deux rapports. Le premier, publié en 1995, conclut que les débris retrouvés en 1947 provenaient bien d'un programme gouvernemental secret, appelé Projet Mogul[23].
Le second, paru en 1997, conclut que les témoignages concernant la récupération de cadavres extraterrestres provenaient vraisemblablement de rapports détournés d'accidents militaires impliquant des blessés et des morts, ou encore de la récupération de mannequins anthropomorphiques lors de programmes militaires tels que l'opération High Dive, menés autour des années 1950. Ce rapport indique néanmoins que le débat sur ce qui est réellement tombé à Roswell continue, tout en précisant que tous les documents administratifs de la base pour la période mars 1945-décembre 1949 ont été détruits ainsi que tous les messages radio envoyés par la base d'octobre 1946 à février 1949. Le bordereau de destruction ne mentionne pas quand, par qui, et sur l'ordre de qui cette destruction a été effectuée. Ces rapports ont été rejetés par les partisans de la théorie extraterrestre, criant à la désinformation, bien qu'un nombre significatif d'ufologues s'accordent alors sur une diminution de la probabilité qu'un véhicule spatial extraterrestre soit véritablement impliqué[24],[25],[26].
Depuis la fin des années 1990, on observe une sorte de démystification du phénomène ovni. En effet, depuis la découverte par la science de nombreuses exoplanètes, la théorie selon laquelle nous ne serions pas seuls dans l'univers s'impose petit à petit au sein de la communauté scientifique et du public, rendant moins farfelue l'hypothèse de possibles visites de la Terre par des extraterrestres.
La publication de livres en faveur de l'HET par des scientifiques ou des ufologues, la tenue de débats télévisés sur le sujet ainsi que la mise à la disposition du public des archives d'organismes officiels comme le GEIPAN, participent à l'acceptation de ce phénomène comme pouvant être la manifestation de visites extraterrestres. Dans un sondage récent [27], 48% des sondés pensent que des extraterrestres ont visité la Terre.
Cette liste des principales observations d'ovnis n'est pas exhaustive, elle énumère les cas les plus connus d'observations individuelles.
Elle inclut aussi des cas supposés de rencontres du troisième type et d'abductions ou rencontres du quatrième type.
Ces cas concernent des cas notoires et désormais populaires, mais aussi des cas moins médiatisés. Il existe évidemment d'autres cas d'observations d'ovnis mais ils sont plus obscurs et connus seulement des ufologues et des passionnés.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Los_Angeles
La bataille de Los Angeles (appelée en anglais « The Battle of Los Angeles » ou encore « The Great Los Angeles Air Raid ») est le nom donné à un événement survenu dans la nuit du 24 au 25 février 1942, au-dessus de Los Angeles, en Californie, aux États-Unis.
La DCA ouvre le feu pendant plusieurs heures, en réponse au repérage de plusieurs objets volants non identifiés dans le ciel de Los Angeles1.
En 1974, grâce à la loi américaine Freedom of Information Act, qui oblige le gouvernement américain à déclassifier les dossiers ne concernant pas la sécurité nationale, une note confidentielle du général George Marshall, adressée au président Franklin Delano Roosevelt, fut rendue publique. Le général y indique qu'il s'agissait d'avions non identifiés n'appartenant pas aux forces armées américaines. Il hasarde l'hypothèse d'un avion civil ayant délibérément tenté de semer la panique, mais n'explique pas comment un avion civil lent aurait pu échapper une heure durant aux tirs nourris de la DCA américaine, ni comment il aurait pu rester totalement immobile plusieurs minutes.
Los Angeles [los‿ãʒɛl]a ou [los‿ɑ̃(d)ʒəlɛs]b Écouter (en anglais : [lɑs ˈænd͡ʒələs]c Écouter ; en espagnol : Los Ángeles [los ˈaŋxeles]d) est la deuxième ville plus peuplée des États-Unis après New York. Elle est située dans le Sud de l'État de Californie, sur la côte du Pacifique. La ville est le siège du comté portant le même nom.
Los Angeles est une ville olympique : elle a accueilli les Jeux olympiques d'été deux fois (en 1932 et 1984), et les accueillera de nouveau en 2028. Mondialement connue pour son activité culturelle (notamment via la production cinématographique à Hollywood), elle a un statut de ville-région mondiale (world city-region)3 ;
La ville a été fondée le par Felipe de Neve, le gouverneur espagnol de Californie, sous le nom de El Pueblo de la Reina de Los Ángeles4, (« Le village de la Reine des Anges »). Auparavant se tenait à cet endroit un village d'indiens tongvas qui s'appelait Iyáangẚ ou Yangna, c'est-à-dire « là où pousse le sumac de l'Ouest » en gabrielino5.
Contrairement à la légende populaire4, le nom original n'est donc pas El Pueblo de Nuestra Señora la Reina de Los Ángeles del Río de Porciúncula [el ˈpweβlo de ˈnwestɾa seˈɲoɾa la ˈrei̯na de los ˈaŋxeles del ˈrio de poɾsiˈuŋkula], c'est-à-dire « le village de Notre-Dame la Reine des Anges du fleuve de Porciúncula ». Ce nom allongé faisait référence au fleuve Porciúncula6 lui-même nommé d'après le Portioncule, une chapelle située dans la basilique Sainte-Marie-des-Anges d'Assise en Italie, où est mort François d'Assise ; celui-ci étant le fondateur de l'ordre auquel appartenait des missionnaires pendant la colonisation de l'Amérique.
Los Angeles, en espagnol, signifie « les anges ». En anglais ses habitants sont appelés Angelenos (quelquefois Angelinos) — les Angelins. Ses surnoms anglophones incluent son diminutif, L.A. [ˌɛlˈeɪ], ainsi que City of Angels
Située en Californie du Sud, bordée au nord-est par les monts San Gabriel, à l'ouest-sud-ouest et au sud par l'océan Pacifique
Le rivage est constitué des longues plages de sable blanc des baies de Santa Monica et de San Pedro, qui font de Los Angeles la plus grande métropole établie sur un site de littoral, Perth et Rio de Janeiro exceptées8. La ville occupe une partie du bassin de Los Angeles, une plaine côtière accidentée, et une grande partie de la vallée de San Fernando, dont elle est séparée au nord par de hautes collines, les monts Santa Monica. Le principal cours d'eau de Los Angeles est la Los Angeles River, un petit fleuve qui prend sa source dans la vallée de San Fernando et traverse la ville jusqu'à l'océan.
Parmi ces quartiers, Hollywood est célèbre dans le monde entier pour ses studios de cinéma.
De nouveaux bâtiments sont sortis de terre : le Walt Disney Concert Hall signé Frank Gehry (2003), le building de la MTA, la cathédrale Notre-Dame des anges conçue par Rafael Moneo (2002).
En raison de l'étalement urbain, des trop faibles densités de l'agglomération, de sa situation limitrophe de hautes montagnes et de l'utilisation extensive de la voiture, Los Angeles subit une importante pollution de l'air. Le smog, qui y est particulièrement intense, est un nuage de pollution provoqué par les gaz d'échappement et les rejets industriels. Il est occasionné par un phénomène météorologique appelé inversion thermique. Elle se produit lorsqu'une couche d'air froid se glisse sous une strate d'air plus chaud. Ces inversions se produisent fréquemment au large de Los Angeles avec l'influence océanique. Dès qu'un certain seuil est dépassé, un avis d'alerte est lancé par les autorités de la ville ; les déplacements en voiture y sont alors limités au strict nécessaire, et les usines doivent cesser de brûler des hydrocarbures.
La mauvaise qualité de l'air a occupé les autorités depuis la fin des années 1940, date à laquelle le comté a créé une agence publique chargée de ce problème35.
Le smog est une brume brunâtre épaisse, provenant d'un mélange de polluants atmosphériques, qui limite la visibilité dans l’atmosphère. Il est constitué surtout de particules fines et d'ozone. Le smog est associé à plusieurs effets néfastes pour la santé et pour l'environnement.
Le terme smog est un mot-valise formé à partir des mots anglais smoke (fumée) et fog (brouillard). Ce néologisme fut inventé par Henry Antoine Des Vœux en 1905 pour décrire le mélange de brouillard et de fumée qui accablait périodiquement Londres et les autres grandes villes d'Europe.
Dès le xiiie siècle il est identifié à Londres1 où on utilisait le charbon pour le chauffage domestique, mais c'est au milieu du xviiie siècle que les choses s'aggravent avec la révolution industrielle2.
Le smog résulte de la condensation dans les basses couches de l'atmosphère (troposphère) de l'humidité (brouillard) sur des poussières en suspension, souvent en présence d'ozone et de NOx dans la troposphère dans un contexte où des gaz d'échappement ou de la fumée est produite par la combustion de combustibles fossiles, avec émissions de quantités importantes de gaz sulfureux (comme le dioxyde de soufre) dans le cas du charbon et de fuels non désoufrés.
Ce cocktail de polluants interfère avec les autres poussières en suspension sur lesquelles se condense la vapeur d'eau contenue dans l'air.
L'absence de vent et des conditions météorologiques d'inversion atmosphérique font durer ce phénomène.
Des études récentes montrent que le réchauffement et le dérèglement climatique peuvent causer et/ou aggraver ce type de situation.
Ainsi un smog exceptionnellement long s'est étendu sur la région des plaines de la Chine orientale en janvier 2013, causant la pire pollution de ce type jamais enregistrée dans cette région5.
La ville est située sur la faille de San Andreas et le risque de séisme y est très élevé. Le tremblement de terre majeur le plus récent est celui de Northridge en 1994 dont l'épicentre se situait dans la vallée de San Fernando. Les dommages qu'il a causés ont coûté plus de 25 milliards de dollars46. D'autres tremblements de terre importants ont affecté l'agglomération : celui de Whittier Narrows en 1987 qui s'est produit dans la vallée de San Gabriel ou encore ceux de Sylmar en 1971 et de Long Beach en 1933. Néanmoins, la plupart des nombreux séismes qui ont lieu dans la région sont mineurs, les habitants en perçoivent souvent un ou deux par an, sans que des dégâts soient occasionnés ; beaucoup d'autres séismes ne sont relevés que par les sismographes.
De nombreux spécialistes, notamment l'Institut de géophysique américain (USGS), attendent un séisme majeur dans l’avenir47. The Big One est le terme employé par les Californiens pour désigner cette catastrophe éventuelle.
En outre, Los Angeles est régulièrement menacée par des incendies (par exemple en et en -), qui touchent surtout les quartiers périphériques riches les plus récents, construits sur les pentes des collines, au contact avec la végétation naturelle48. Enfin, la ville, malgré le faible volume de précipitations, n'est pas à l'abri d'inondations, qui, à l'instar de celles de 1938 et de 1969, peuvent se révéler catastrophiques.
Le mont Rainier est un stratovolcan actif de la chaîne des Cascades2 situé dans l'État de Washington, aux États-Unis.
Découvert par les premiers Européens lors d'un voyage d'exploration en 1792 mené par George Vancouver, le volcan tire son nom d'un ami de George Vancouver également navigateur dans la Royal Navy et portant le nom de Peter Rainier.
COMTé : PIERCE
Le comté de Pierce (anglais: Pierce County) est un comté de l'État américain du Washington.
Son siège est Tacoma, la troisième plus grande ville de l'État.
George Vancouver nomma la montagne en hommage à son ami le contre-amiral Peter Rainier3. Le mont Rainier fut d'abord connu par les Amérindiens sous les noms de Ta-co-bet, Tahoma ou Tacoma3 qui provient du terme lushootseed təqʷúʔbəʔ signifiant « lieu où naissent les eaux »3 ou bien « la montagne qui est Dieu »4. Le terme était utilisé par la tribu Puyallup.
Culminant à 4 392 mètres d'altitude1, le volcan est le point culminant de la chaîne des Cascades et même de l'arc volcanique des Cascades. La base du volcan couvre une superficie d'environ 250 km2
La taille du mont Rainier le rend très visible dans toute la région de Seattle. Les jours de temps clair, on peut l'apercevoir des villes de Portland dans l'État de l'Oregon et de Victoria au Canada. Les gens de la région de Seattle le nomment plus simplement
« la Montagne »6.
Le sommet du mont Rainier est composé de trois pics. Le plus élevé se nomme Columbia Crest. Le second se nomme Point Success (4 315 mètres) et le troisième Liberty Cap (4 301 mètres). Sur le flanc oriental du mont se trouve également le pic Little Tahoma (3 395 mètres). Celui-ci est un vestige érodé de l'ancien mont Rainier lorsqu'il était encore plus élevé.
En raison de son altitude dépassant de 2 000 mètres les crêtes de la chaîne des Cascades, le mont Rainier constitue une véritable barrière pour les masses d'air humides venant de l'océan Pacifique situé à 160 kilomètres à l'ouest. L'accumulation de nuages provoque d'importantes précipitations, principalement sur les versants Sud et Ouest. Celles-ci se manifestent abondamment sous forme de neige. C'est ainsi que le record de précipitations neigeuses en un an a été relevé sur le volcan. Alors qu'en moyenne il tombe seize mètres de neige par an7, il en est tombé 28,5 mètres lors de l'hiver 1971-1972 dans la station de relevé de Paradise Ranger située à 1 647 mètres d'altitude8. Ce record a été battu en 1998 par un volcan proche, le mont Baker.
À l'arrivée des Européens, les régions environnantes étaient peuplées d'Amérindiens vivant de la chasse, de la pêche et de la cueillette dans les forêts. Les tribus représentées étaient les Nisqually, Cowlitz, Yakamas, Puyallup et Muckleshoot.
L'explorateur de la Royal Navy George Vancouver et son équipage du HMS Discovery reconnurent le Puget Sound en 1792 et devinrent les premiers Européens à apercevoir le volcan3.
En 1833, le docteur William Fraser Tolmie explora la zone à la recherche de plantes médicinales11. Il précéda des explorateurs à la recherche d'aventures. En effet, Hazard Stevens et P. B. Van Trump reçurent des acclamations à leur retour dans la ville d'Olympia après leur ascension de la montagne en 187011. John Muir gravit le mont Rainier en 1888.
Olympia est une ville des États-Unis, capitale de l'État de Washington et siège du comté de Thurston.
Le site d'Olympia a d'abord été habité par des Amérindiens Squaxin (en), Nisqually, Puyallup, Chehalis, Suquamish et Duwamish.
Dans les années 1840, Edmund Sylvester et Levi Smith réclament le terrain qui est maintenant le centre-ville d'Olympia.
En 1853, la ville est baptisée Olympia, en l'honneur des montagnes Olympiques visibles au nord-ouest.
En 1949, un tremblement de terre endommagea de nombreux bâtiments historiques qui durent ensuite être détruits. D'autres tremblements de terre en 1965 et 2001 firent des dégâts dans la ville.
Le Capitole de l'État de Washington à Olympia.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Incident_de_Mantell
L’incident de Mantell relate la mort, en janvier 1948, du capitaine Thomas F. Mantell à la suite de la collision de son avion avec un ballon-sonde dans le ciel du Kentucky. L'enquête conclut que le pilote avait perdu conscience à l'altitude de 7 500 mètres à la suite de l'absence d'oxygène dans son réceptacle, que les pilotes de l'escadrille ainsi que les nombreux témoins avaient confondu la planète Vénus (effectivement visible en plein jour à cette période) avec un ovni, que le capitaine avait percuté un ballon Skyhook de la Marine lâché à Clinton dans l'Ohio et que l'appareil était ensuite tombé en piqué jusqu'au point d'impact.
Le , vers 13 h 00, plusieurs dizaines de témoins signalent aux autorités locales la présence d'un objet rond, lumineux et de grande taille à la verticale de Madisonville (Kentucky) et se dirigeant lentement vers le sud1.
À 13 h 45, le même objet survole la base aérienne de Godman (165e escadron de chasse de la Garde nationale aérienne du Kentucky), sa couleur passant régulièrement du rouge au blanc. Certains témoins comparent sa forme à un cône de crème glacée. Aussitôt, le commandant Guy F. Hix, responsable de la base, donne l'ordre à une escadrille de chasseurs North American P-51 Mustang, déjà sortie pour un exercice, d'aller au contact de l'objet. Deux avions de l'escadrille, emmenés par l'avion du capitaine Thomas Mantell, un ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale, prennent l'objet en chasse, grimpant jusqu'à 4200 mètres. À 14 h 45, le contact visuel est établi1. Le capitaine Mantell déclare à la tour de contrôle : « L'objet est directement en avant de moi et au-dessus de moi maintenant, se déplaçant à environ la moitié de ma vitesse ».[réf. nécessaire]
Les pilotes continuent à suivre l'objet pendant une demi-heure, grimpant toujours sans toutefois parvenir à l’atteindre1. À 15 h 15, le capitaine Mantell transmet un nouveau message à la tour de contrôle : « J'ai vu l'objet. Il est au-dessus de moi. Je vais essayer de m'en approcher pour mieux le voir... Il semble métallique... Il est terriblement grand... Environ 170 m de circonférence. Il prend de la hauteur ; il vole à la même vitesse que moi. Je vais le suivre jusqu'à 6 600 mètres » [réf. nécessaire](altitude très proche du plafond opérationnel du Mustang F-51D et où l'oxygène se raréfie1). Les Mustangs, qui au départ étaient en train d'effectuer un exercice de navigation à basse altitude, ont de ce fait leur réservoir d'oxygène vide. Les deux ailiers, le lieutenant Clements et le lieutenant Hammond, obtiennent la permission de Mantell de retourner à leur base faire le plein d'essence et d'oxygène1.
L’objet semble alors prendre de la vitesse, se déplaçant à une allure que Mantell estime à peu près équivalente à la sienne, de l’ordre de 650 km/h. À 15 h 15, la tour de contrôle de Godman reçoit quelques messages inaudibles puis perd le contact radio. À 15 h 40, n'ayant toujours pas de nouvelles, le commandant Hix fait décoller deux appareils à sa recherche1.
Entre 16 h 00 et 16 h 30, le même objet lumineux sera observé par de nombreux témoins au-dessus de Madisonville, d'Elizabethtown et de Lexington, dans le Kentucky.
À 17 h 00, on retrouve, à côté d'une ferme près de Franklin, à plus de 145 km de la base de Godman, les restes de l'appareil du capitaine Mantell éparpillés sur plusieurs kilomètres carrés. C'est la fermière qui a prévenu les secours après avoir assisté à sa chute. Le corps de Mantell est retrouvé sanglé dans son cockpit1, sa montre arrêtée sur 15 h 18. D'après les instruments de bord, l'avion était monté jusqu'à une altitude de 9 000 mètres.
https://en.wikipedia.org/wiki/Lubbock,_Texas
À partir de 1867, le pays qui allait devenir Lubbock était le cœur de la Comancheria , domaine en mutation contrôlé par les Comanches . [14]
Le Texas Technological College (aujourd'hui Texas Tech University) a été fondé à Lubbock en 1923. Une université distincte, le Texas Tech University , a ouvert ses portes en tant que faculté de médecine de l'Université du Texas Tech en 1969. Ces deux universités sont désormais supervisées par le Texas Tech University System . après sa création en 1996 et son siège à Lubbock. La Lubbock Christian University , fondée en 1957, et le Sunset International Bible Institute , tous deux affiliés aux Églises du Christ , ont leur campus principal dans la ville. Le South Plains College et la Wayland Baptist University exploitent des campus secondaires à Lubbock.
La ville abrite le Landmark de Lubbock Lake , qui fait partie du musée de la Texas Tech University . Le point de repère est une réserve d’histoire naturelle et archéologique située au nord de la ville. Il montre des preuves de près de 12 000 ans d’occupation humaine dans la région. Le National Ranching Heritage Center , qui fait également partie du musée de la Texas Tech University, abrite des structures historiques liées aux ranchs de la région.
En août 1951, une formation de lumières en forme de V apparut au-dessus de la ville. La série d'observations " Lumières de Lubbock " a reçu une publicité nationale et est considérée comme l'un des premiers grands cas " OVNIS ". Les observations ont été jugées crédibles parce qu'elles ont été vues par plusieurs professeurs de sciences respectés du Texas Technological College et photographiées par un étudiant de Texas Tech. Les photographies ont été réimprimées à l'échelle nationale dans les journaux et dans Life . Le projet Blue Book , l'enquête officielle de l'US Air Force sur le mystère des OVNIS, a conclu que les photographies n'étaient pas un canular et montrait de véritables objets,
Lubbock possède un grand nombre d'églises, y compris la congrégation des premiers baptistes du centre-ville .
En 1960, le US Census Bureau rapportait à Lubbock une population de 128 691 habitants et une superficie de 75 km carrés (194 km 2 ). [17]
Le 11 mai 1970, la tornade de Lubbock a frappé la ville. Vingt-six personnes sont mortes et les dégâts ont été estimés à 125 millions de dollars. La tour de métro (bâtiment NTS), alors appelée Grand bâtiment de la plaine, a une hauteur de 84 mètres, aurait été le plus grand bâtiment à avoir jamais survécu à une tornade de niveau F5 . [18] Le maire suppléant Jim Granberry et le conseil municipal de Lubbock, dont le président suppléant de Granberry, Morris W. Turner , ont été accusés d'avoir dirigé la reconstruction du centre-ville de Lubbock à la suite de la tempête.
En août 1988, des dizaines de milliers de personnes sont venues à Lubbock, attirées par une apparition de Marie .
https://en.wikipedia.org/wiki/1988_Lubbock_apparition_of_Mary
En 1988, l'apparition de Mary à Lubbock était une apparition mariale qui aurait eu lieu à l'église St. John Neumann de Lubbock, au Texas , entre février et août 1988.
À partir de février, les paroissiens ont commencé à faire état d'expériences vécues avec Marie , notamment l'odeur de rose. L'une d'elles, Mary Constancio, a affirmé avoir reçu des instructions pour faire connaître ce qu'elles avaient vécu et rassembler plus de gens. [1] Les gens ont commencé à venir à Lubbock en plus grand nombre et, pendant la fête de l'Assomption , 12 000 personnes sont venues à Lubbock dans l'espoir d'observer le phénomène. [2] En fin de journée, certaines personnes ont signalé des phénomènes inhabituels liés à l'apparition du soleil [3], similaires au miracle du soleil de 1917 . [4]
L’événement a fait l’objet d’une enquête menée par une équipe constituée de l’ évêque de Lubbock, Michael J. Sheehan .
En 2008 , l'événement n'était pas reconnu par l'Église catholique. [3] [5]
https://en.wikipedia.org/wiki/Miracle_of_the_Sun
Le miracle du soleil ( portugais : milagre do sol ), également appelé miracle de Fátima , aurait eu lieu le 13 octobre 1917 et aurait rassemblé une foule nombreuse réunie à Fátima, au Portugal . à une prophétie faite par trois enfants de berger. La prophétie était que la Vierge Marie (appelée Notre-Dame de Fátima), apparaîtrait et ferait des miracles à cette date. Des journaux ont publié des témoignages de personnes ayant déclaré avoir été témoins d'une activité solaire extraordinaire, telle que le Soleil semblant "danser" ou zigzaguer dans le ciel, se diriger vers la Terre ou émettre une lumière multicolore et des couleurs radiantes. Selon ces informations, l’événement a duré environ dix minutes.
En novembre 1917, l'évêque local ouvrit une enquête canonique sur l'événement afin d'examiner les témoignages et de déterminer si la prétendue révélation privée de Mary était compatible avec la théologie catholique . Le prêtre local qui a mené l'enquête a été particulièrement convaincu par le témoignage concordant de phénomènes solaires extraordinaires de la part de journalistes laïques, de responsables gouvernementaux et d'autres sceptiques présents. [1]
Mgr José da Silva, évêque, a déclaré le miracle "digne de foi" le 13 octobre 1930, permettant ainsi "officiellement le culte de Notre-Dame de Fatima" au sein de l' Église catholique . [2]
Lors d'une réunion le 13 octobre 1951 à Fátima, le légat pontifical , le cardinal Federico Tedeschini , a déclaré aux millions de personnes présentes que les 30 octobre, 31 octobre, 1er novembre et 8 novembre 1950, le pape Pie XII avait lui-même assisté au miracle du Soleil. les jardins du Vatican. [3] [4] L'intérêt précoce et durable pour le miracle et les prophéties connexes a eu un impact significatif sur les pratiques de dévotion de nombreux catholiques. [5]
https://fr.wikipedia.org/wiki/Washington_(district_de_Columbia)
Washington, dans le district de Columbia
Le Capitole de l'État de Washington à Olympia.
À ce titre, la ville est le siège de nombreuses institutions américaines, telles que la Maison-Blanche (résidence officielle du président), le Capitole, siège du Congrès (constitué de ses deux chambres : celle des représentants et le Sénat), ainsi que le siège de la Banque mondiale (BM), de la Cour suprême et d'autres organismes fédéraux, comme la Réserve fédérale des États-Unis (Fed).
Elle accueille en outre 176 ambassades et représentations diplomatiques.
Washington est créée à la suite de la signature du Residence Act en 1790, qui prévoit la création d'une capitale fédérale.
Elle est fondée en janvier 1791, sur les rives du fleuve Potomac, à proximité des villes de Georgetown et d'Alexandria.
Nommée en hommage au premier président des États-Unis, George Washington, elle est construite ex nihilo selon
un plan hippodamien de l'ingénieur franco-américain Pierre Charles L'Enfant.
Ce plan a été largement repris par les Grecs pour leurs colonies, et ensuite par les Romains qui en firent la base des villes établies à la suite de l'établissement de l'Empire à travers toute l'Europe.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Carrousel_de_Washington
L'expression Carrousel de Washington désigne un des cas d'ovni ayant fait l'objet d'une enquête officielle et considéré comme célèbre par certains ufologues. Elle a eu lieu la nuit des 19 et 26 juillet 1952 au-dessus de Washington, D.C..
L'observation de Washington a eu lieu les nuits des 19 et 26 juillet 1952 au-dessus de Washington, D.C.. À cette époque, les États-Unis font face à une série d'observations d'ovnis depuis avril 1952. L'équipe du projet Livre Bleu voit des témoignages affluer de tout le pays. Le pic d'observations a lieu en juillet.
Le 19 juillet 1952 dans la soirée, cinq lueurs sont vues au-dessus de la ville par de nombreux habitants. Les contrôleurs aériens de l'aéroport national de Washington repèrent à 23 h 40 sept à dix échos radar sur leurs écrans. Toutefois, le radar de la base d'Andrew est incapable de détecter ces lumières. Le 20 juillet 1952, un pilote de Capital Airlines ayant décollé de l'aéroport national, rapporte avoir vu plusieurs lumières entre Washington D.C. et Martinburg (Virginie de l'Ouest)1.
Les observations reprendront dans la nuit du 26 au 27 juillet ainsi que celle du 2 au 3 août.
Une photo devenue célèbre montre le Capitole survolé par une dizaine de boules lumineuses.
Le Capitole de l'État de Washington à Olympia.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Cas_de_Carson_Sink
Le cas de Carson Sink est un « classique » des observations d'ovnis, principalement grâce à la personnalité des deux témoins (experts en aéronautique de l'US Air Force). Ce cas fut enregistré par le Projet Blue Book sous le n° 1584 et rangé dans la catégorie « inconnu ».
Le 1, le Lieutenant Colonel John L. McGinn et le Lieutenant Colonel John R. Barton décollèrent du terrain d'Hamilton. Ils étaient aux commandes d'un B-25 et devaient rejoindre Colorado Springs sous une météo claire et dégagée.
À 15h40, alors qu'ils survolaient la région de Carson Sink (Nevada), ils aperçurent une formation de trois appareils en avant d'eux et légèrement sur leur droite. Ils pensèrent d'abord qu'il s'agissait de trois chasseurs F-86, même si l'altitude leur sembla un peu basse pour ce type d'appareil. En se rapprochant de la formation, Mcginn et Barton durent revoir leur jugement : il s'agissait de 3 objets argentés, de forme triangulaire, sans verrière ni dérive. La seule marque extérieure était une espèce d'arête partant du nez vers la queue.
Au bout de quelques secondes d'observation, les trois objets virèrent sur la gauche, passèrent à ras du cockpit du B-25 (entre 300 et 700 mètres selon les deux témoins) et disparurent de leur champ de vision à une vitesse folle (vitesse estimée à plus 3 000 km/h par les deux témoins). Une fois posés à Colorado Springs, les deux pilotes contactèrent le QG de l'Air Defence Command, qui leur confirma qu'aucun appareil civil ou militaire n'avait été détecté à leur proximité durant le survol de Carson Sink.
La personnalité même des deux témoins (experts en aéronautique auprès du Pentagone et pilotes chevronnés totalisant plusieurs milliers d'heures de vol) permet d'éliminer formellement la thèse d'une méprise avec des appareils d'origine civile ou militaire.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vague_d%27observations_de_l%27automne_1954
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rencontre_de_Kelly-Hopkinsville
Le 21 août 1955, la famille Sutton (huit adultes et trois enfants), ainsi que Billy Ray Taylor, un ami de la famille, sont réunis dans la ferme familiale. Vers 19 h, Billy sort chercher de l'eau au puits et aperçoit alors un objet métallique et brillant qui plane doucement au-dessus de la ferme puis finit par disparaître derrière un vallon. Rentrant rapidement dans le bâtiment, il raconte son observation à l'assistance qui n'en croit pas un mot et ne prend même pas la peine de sortir pour aller vérifier ses dires.
Quelques minutes plus tard, le chien de la famille, resté à l'extérieur de l'habitation, commence à aboyer frénétiquement et finit par se réfugier sous la maison, manifestement terrorisé. Intrigués, Billy Ray et Lucky Sutton sortent et inspectent les environs. Rapidement, ils aperçoivent une lueur derrière les fourrés entourant la ferme, cette lueur semblant se déplacer vers eux. Au bout de quelques secondes, ils distinguent une petite créature de type humanoïde, mesurant près d'un mètre, pourvue de grandes oreilles en pointe et de deux yeux émettant une forte lumière jaune, se dirigeant vers la ferme. Pris de panique, les deux hommes rentrent dans la ferme et ressortent après s'être armés d'un fusil de chasse et d'un revolver.
Retrouvant la petite créature à quelques mètres de la bâtisse, ils lui tirent dessus à bout portant. La créature se contente de basculer en arrière en émettant un étrange bruit métallique et court se cacher dans les buissons. Après avoir scruté les environs plusieurs minutes durant, Billy Ray Taylor et Lucky Sutton décident de retourner à l'intérieur de la ferme.
À peine rentrés, ils aperçoivent une autre créature les observant à travers une des fenêtres. Ils lui tirent également dessus, à travers la fenêtre. Ressortant, pour vérifier qu'ils l'ont effectivement touchée, Billy Ray et Lucky découvrent une autre créature perchée sur le toit et encore une autre juchée sur un des arbres jouxtant la maison. Ouvrant de nouveau le feu, les deux hommes voient les créatures « flotter » jusqu'au sol au lieu de tomber. Pendant plus de trois heures, les étranges créatures continuent d'apparaître, d'encaisser les décharges d'armes à feu et de flotter sous les yeux des douze témoins.
Vers 23 h, les témoins, complètement terrifiés, décident d'abandonner la ferme et fuient en voiture vers le commissariat d'Hopkinsville.
Là, ils sont accueillis par le shérif qui, devant l'évident état de panique des Sutton, décide rapidement de retourner à la ferme avec des renforts. Une fois arrivé sur la propriété des Sutton, il constate la réalité de la fusillade qui s'y est déroulée (nombreux impacts de balles et de chevrotine sur l'ensemble du bâtiment). À 2 h 15, après un examen minutieux de la ferme et de ses environs et n'ayant trouvé trace d'aucune petite créature, le shérif et ses hommes quittent la propriété des Sutton.
Vers 3 h 30, les créatures refont leur apparition autour de la ferme. Jusqu'à l'aube, les témoins continuent de subir les « assauts » des petits humanoïdes, qui semblent insensibles aux nombreux tirs dont ils font l'objet. Ils disparaissent finalement au petit matin, sans plus jamais réapparaitre.
Le Boa constricteur (Boa constrictor) est une espèce de serpents de la famille des Boidae1.
Anciennement appelé Boa devin ou Aviosa, c'est un très grand serpent que l'on rencontre à l'état sauvage uniquement sur le continent américain.
Ces Boas, carnivore consomme des proies vivantes qu'il capture en bloquant leur circulation sanguine dans ses replis.
Synonyme : Constrictor rex serpentum Laurenti, 1768 (rex en latin roi, constrictor roi serpent)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Villas_Boas 1957
Antonio Villas Boas1(1934–1991) est un fermier brésilien qui a prétendu avoir été enlevé par des extraterrestres
en 1957.
Si d'autres affaires similaires circulaient déjà depuis des années,
le récit de Villas Boas a toutefois été l'un des premiers récits d'enlèvement (rencontre rapprochée du 7e type)
à susciter un grand intérêt.
Au moment de son enlèvement présumé, Antonio Villas Boas était un fermier brésilien de 23 ans qui travaillait la nuit pour éviter les chaudes températures de la journée2.
Le 16 octobre 1957, alors qu'il laboure ses champs près de São Francisco de Sales, il aperçoit, dans le ciel nocturne, ce qu'il décrit comme étant une « étoile rouge ». Selon son récit, cette « étoile » se rapproche de l'endroit où il se trouve, en grossissant jusqu'à prendre l'aspect d'un engin aérien à peu près circulaire ou ovale, avec une lumière rouge sur le devant et une coupole tournante sur le dessus. L'engin amorce sa descente, se posant dans le champ sur trois « jambes ».
Boas s'enfuit.
Boas tente d'abord de se sauver sur son tracteur, mais après avoir parcouru une courte distance, le moteur et les phares s'arrêtent et il décide de continuer à pied3.
Il est alors saisi par un humanoïde de 1,50 m de haut qui porte une combinaison grise et un casque.
Ses yeux sont petits et bleus, et il ne parle pas une langue humaine mais émet des aboiements et des jappements. Trois êtres semblables se joignent ensuite au premier pour maîtriser Boas, traînant celui-ci à l'intérieur de leur vaisseau.
Une fois à l'intérieur de l'engin, Boas est dépouillé de ses vêtements et oint de la tête aux pieds d'un gel inconnu par des humanoïdes qui semblent communiquer entre eux au moyen de sons ressemblant à des vocalises et des cris d'animaux.
Il est ensuite conduit dans une grande salle semi-circulaire, franchissant une porte arborant d'étranges symboles rouges.
(Boas affirme avoir pu mémoriser ces symboles, qu'il reproduisit plus tard à la demande des enquêteurs.)
Dans cette salle, les êtres prélèvent des échantillons de sang au niveau de son menton. Après cela, il est amené dans une troisième pièce et laissé seul pendant environ une demi-heure.
Pendant ce temps, une sorte de gaz se diffuse dans la pièce, qui rend Boas très malade.
Peu après, à ce que prétend Boas, il est conduit dans la salle par un autre humanoïde.
Celui-ci, cependant, est une femelle, très attirante, et nue.
Elle est de la même taille que les autres êtres qu'il a rencontrés,
avec un visage « triangulaire » au menton petit et pointu
et aux grands yeux bleus comme ceux d'un félin .
Ses cheveux sont longs et blancs, voire blond platine,
mais ses poils des aisselles et du pubis sont rouge vif4.
Boas, qui rapporte avoir été fortement attiré par la femelle, a des rapports sexuels avec elle.
Pendant l'acte, Boas note que la femelle ne l'embrasse pas mais, plutôt, qu'elle lui pince le menton.
Quand tout est terminé, la femelle sourit à Boas, frottant son ventre et faisant un geste vers le haut5.
Boas y voit le signe qu'elle va élever leur enfant dans l'espace5.
La femelle semble soulagée que leur « tâche » soit terminée,
tandis que Boas lui-même s'irrite de n'avoir été qu'une sorte d'« étalon » pour les humanoïdes6.
Boas est invité par les humanoïdes à se rhabiller puis à faire le tour du vaisseau.
Durant la visite, il essaie de prendre un objet ressemblant à une montre comme preuve de sa rencontre, mais est surpris par les humanoïdes qui l'en empêchent.
Escorté ensuite hors de l'engin, il assiste au décollage et au départ du vaisseau brillant de mille feux.
De retour chez lui, Boas constate que quatre heures se sont écoulées7.
Antonio Villas Boas devint plus tard avocat, se maria et eut quatre enfants7.
Il mourut en 1991. Il maintint l'histoire de son enlèvement présumé toute sa vie8.
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9cits_d%27enl%C3%A8vement_par_les_extraterrestres 1961
Les récits d’enlèvement par des extraterrestres (également appelés abduction dans les milieux ufologiques) sont l'un des aspects les plus controversés de l'ufologie et du phénomène ovni. Le premier récit d'enlèvement rapporté sous hypnose est celui de Betty et Barney Hill aux États-Unis, en 1961.
Depuis, des milliers de personnes, principalement aux États-Unis, ont prétendu avoir été enlevées par des extraterrestres.
Bien qu'on ne puisse écarter l’existence d'un phénomène psychosocial, la controverse réside essentiellement dans l'opposition entre l'absence de preuves scientifiques et la sincérité de certains témoignages.
Dans le système de classification de Hynek, les abductions sont répertoriées en tant que « rencontre rapprochée du 4e type » (RR4).
Les récits relatent souvent un examen médical approfondi de la part des ravisseurs, plus ou moins douloureux ou traumatisant selon le cas, avec parfois insertion d'un implant dans le cerveau, le nez ou le sexe principalement.
D'autres personnes prétendent que les extraterrestres les auraient enlevées pour leur faire part d'un message :
on surnomme en ufologie ce type de témoins des « contactés », pour les différencier des « abductés » ou « ravis » (victimes de rapt)1. George Adamski ou Claude Vorilhon (alias Raël) sont des cas célèbres de personnes se prétendant « contactées ».
Le Chinois Meng Zhaoghu a affirmé même qu'il aurait été enlevé et violenté par des extraterrestres géants avec six doigts. Les créatures horribles lui auraient dit qu'elles vivaient sur Jupiter2,3.
Les récits d'abduction ont été analysés à partir des années 1960 avec l'affaire du couple Hill (considéré comme étant le premier cas d'« abductés »), ce qui a mis en évidence une partie invariante dans les récits.
Sous hypnose, les patients racontent leurs souvenirs, réels ou imaginaires, et font souvent état de l'insertion ou de prélèvements d'objets ou de matériel biologique dans diverses parties du corps chez la femme et l'homme ou d'embryons dans l'utérus de la femme.
Les organisations de sceptiques et la grande majorité de la communauté scientifique rejettent les enlèvements par extraterrestres. S'appuyant sur le modèle sociopsychologique du phénomène ovni, ils expliquent que ce qui motive les gens à imaginer et à croire leurs récits est la combinaison de symptômes de la paralysie du sommeil et du syndrome des faux souvenirs.
Selon John E. Mack, psychiatre s'étant intéressé aux « abductés »il reste un nombre non négligeable de témoignages de personnes dont la sincérité et la stabilité mentale ne sont pas remises en cause par les psychologues ou psychiatres. L'hypnose permet aussi d'éliminer l'hypothèse des faux-souvenirs, en réveillant même parfois chez les patients le souvenir d'enlèvements qu'ils avaient oubliés. Ces personnes sont souvent dans une grande souffrance morale lorsqu'elles se heurtent à l'incrédulité de leur entourage, et leurs récits présentent de nombreuses similitudes, notamment dans la description des enlèvements, leur récurrence tout au long de leur vie et le traumatisme que représente chacun d'eux.
(C.P. 12/9/2019 : ILS ONT MIS AU POINT LA PERTE DE LA MéMOIRE CHEZ LES HUMAINS,
PLUS AUCUN SOUVENIR, COMME QUAND ON VOUS ENDORT POUR UNE OPéRATION,
VOUS ÊTES SOUS ANéSTHéSIE, ET QUAND VOUS VOUS RéVEILLEZ PLUS AUCUN
SOUVENIR !)
Isabelle (la psy) explique :
« On les appelle les expérienceurs ou abductés, et les rencontres sont classifiées en 7 sortes, de la simple vision d’un ovni à la relation sexuelle avec un extraterrestre à l’intérieur ou à l’extérieur du vaisseau spatial ».
Bérengère, commerçante d’une cinquantaine d’années, est-elle même abductée très régulièrement depuis ses 8 ans, elle raconte une de ses expériences pour la première fois ce soir :
« C’était en mai 97, je me suis réveillée en pleine nuit et j’avais sur ma droite deux petits gris, là c’est d’abord la surprise !
Mais, je n’avais pas peur, j’étais entièrement paralysée. Puis, je me suis soulevée à l’horizontale et j’ai avancée vers la fenêtre en lévitation. Quand mes pieds l’ont touché je me suis réveillée sur une table froide. Autour de moi toujours les deux petits êtres gris avec une grande tête et un autre d’au moins 1m80, il était trouble et avait à la main un appareil effilé en métal qu’il a tout de suite inséré dans mon vagin. Quand je me suis réveillée, j’ai été chez mon gynéco qui m’a affirmé que mon stérilet avait bougé… le reste je peux pas en parler ici ».
C’est le scénario typique : paralysie, lévitation et trifouillage des organes génitaux.
Le témoignage de Myriam, une autre victime, concorde bien. Elle voit une lumière et le velux de sa maison ouvert.
En s’approchant, elle observe « deux petits êtres qui flottent et un cordon qui pendouille ».
Le cordon s’approche tout seul et la pénètre direct, « quand j’ouvre les yeux, il y a un énorme objet au dessus de l’immeuble alors que je suis allongée sur une table et recouverte d’un tissus gélatineux. Trois ou quatre petits êtres sont autour de moi et me parlent en télépathie. Quand je leurs demande ce qu’ils veulent, ils me répondent qu’ils sont là pour les prélèvements d’ovules».
LIVRE DE JOËL chapitre 2
1 SONNEZ DE LA TROMPETTE EN SION, ET POUSSEZ DES CRIS SUR MA SAINTE MONTAGNE !
QUE TOUS LES HABITANTS DU PAYS TREMBLENT, CAR IL VIENT, LE JOUR DE YAHWEH, CAR IL EST PROCHE !
2 JOUR DE TéNèBRES ET D’OBSCURITé,
JOUR DE NUAGES ET DE SOMBRE NUéE !
COMME L’AURORE,
SE RéPAND SUR LES MONTAGNES UN PEUPLE NOMBREUX ET FORT,
TEL QU’IL N’Y EN AURA PLUS APRèS LUI, JUSQU’AUX ANNéES DES ÂGES à VENIR.
3 DEVANT LUI LE FEU dévore, ET derrière LUI LA FLAMME BRÛLE.
LE PAYS EST COMME UN JARDIN D’EDEN DEVANT LUI,
ET derrière LUI C’EST UN désert dévasté ; ET ABSOLUMENT RIEN NE LUI échappe.
4 A LES VOIR, ON DIRAIT DES CHEVAUX, ET ILS s’élancent COMME DES COURSIERS.
5 C’EST COMME UN BRUIT DE CHARS, QUI BONDIRAIENT SUR LES SOMMETS DES MONTAGNES ;
COMME LE BRUIT DE LA FLAMME ARDENT, QUI DéVORE LE CHAUME ;
C’EST COMME UN PEUPLE PUISSANT, rangé EN BATAILLE.
6 DEVANT LUI LES PEUPLES TREMBLENT, TOUS LES VISAGES PÂLISSENT.
7 ILS s’élancent COMME DES héros ;
ILS ESCALADENT LA MURAILLE COMME DES HOMMES DE GUERRE ;
CHACUN VA SON CHEMIN, SANS EMMÊLER LEURS VOIES.
8 ILS NE SE GÊNENT PAS LES UNS LES AUTRES, CHACUN SUIT SA ROUTE ;
ET TOMBENT-ILS SOUS LES COUPS, ILS N’ARRÊTENT PAS.
9 ILS DONNENT L’ASSAUT à LA VILLE, ILS COURENT SUR LE MUR,
ILS ENVAHISSENT LES MAISONS, ILS ENTRENT PAR LES FENÊTRES, COMME LE VOLEUR.
10 DEVANT LUI LA TERRE FRéMIT, LES CIEUX s’ébranlent,
SOLEIL ET LUNE S’OBSCURCISSENT, LES étoiles PERDENT LEUR éclat.
11 YAHWEH FAIT ENTENDRE SA VOIX à LA TÊTE DE SON ARMéE, CAR IMMENSES SONT SES TROUPUES,
CAR PUISSANT EST L’EXéCUTEUR DE SA PAROLE,
CAR LE JOUR DE YAHWEH EST GRAND ET TRèS REDOUTABLE, ET QUI POURRAIT LE SOUTENIR ?
15 SONNEZ DE LA TROMPETTE EN SION, décrétez un jeûne sacré, CONVOQUEZ UNE ASSEMBLéE.
16 RéUNISSEZ LE PEUPLE, PRESCRIVEZ UNE SAINTE RéUNION,
RASSEMBLEZ LES VIEILLARDS, RéUNISSEZ LES ENFANTS ET LES NOURRISSONS à
LA MAMELLE (DE SION).
21 TERRE, NE CRAINS PAS, EXULTE ET RéJOUIS-TOI, CAR YAHWEH A FAIT GRAND !
22 NE CRAIGNEZ POINT, BÊTES SAUVAGES,
CAR LES PRAIRIES DE LA STEPPE ONT REVERDI,
CAR L’ARBRE PORTE SON FRUIT, LE FIGUIER ET LA VIGNE DONNENT LEURS RICHESSES.
23 ENFANTS DE SION, EXULTEZ, ET RéJOUISSEZ-VOUS EN YAHWEH, VOTRE ILOHIM,
CAR IL VOUS A DONNé LA PREMIèRE PLUIE POUR MéRITES,
ET IL A FAIT DESCENDRE POUR VOUS L’ONDéE, PLUIE D’AUTOMNE ET PLUIE DU PRINTEMPS, COMME JADIS.
26 VOUS POURREZ MANGER, ET VOUS SEREZ RASSASIéS
ET VOUS LOUEREZ LE NOM DE YAHWEH, VOTRE ILOHIM, QUI A FAIT CHEZ VOUS DES MERVEILLES ;
ET MON PEUPLE NE SERA PLUS JAMAIS DANS LA CONFUSION.
27 ET VOUS SAUREZ QUE JE SUIS, MOI, AU MILIEU D’ISRAÏL.
MOI, JE SUIS YAHWEH, VOTRE ILOHIM, ET IL N’Y EN A POINT D’AUTRE,
ET MON PEUPLE NE SERA PLUS JAMAIS DANS LA CONFUSION.
3 :1 ET IL ARRIVERA APRèS CELA QUE JE RéPANDE MON ESPRIT SUR TOUTE CHAIR.
ET VOS FILS ET VOS FILLES PROPHéTISERONT, VOS VIEILLARDS AURONT DES SONGES,
VOS JEUNES GENS VERRONT DES VISIONS.
2 MÊME SUR LES ESCLAVES ET SUR LES SERVANTES,
EN CES JOURS-Là JE RéPANDRAI MON ESPRIT.
3 J’OPéRERAI DES PRODIGES DANS LES CIEUX ET SUR LA TERRE :
SANG, FEU ET COLONNES DE FUMéE.
4 LE SOLEIL SE CHANGERA EN TéNèBRES, ET LA LUNE EN SANG,
AVANT QUE VIENNE LE JOUR DE YAHWEH, GRAND ET TERRIBLE.
5 ET QUICONQUE INVOQUERA LE NOM DE YAHWEH échappera ; CAR, SUR LA MONTAGNE DE SION
ET à JERUSALEM, IL Y AURA DES rescapés, COMME L’A DIT YAHWEH, ET PARMI LES SURVIVANTS
QUE YAHWEH APPELLERA.
4 :1 CAR VOICI QU’EN CES JOURS-Là ET EN CE TEMPS-Là,
Où JE RESTAURERAI LE SORT DE JUDA ET DE JERUSALEM,
J’ASSEMBLERAI TOUTES LES NATIONS ET JE LES FERAI DESCENDRE DANS LA VALLéE DE JOSAPHAT ;
ET Là J’ENTRERAI EN JUGEMENT AVEC ELLES AU SUJET DE MON PEUPLE ET DE MON DOMAINE D’ISRAÏL,
QU’ELLES ONT DISPERSéS PARMI LES NATIONS,
ET DE MON PAYS QU’ELLES ONT PARTAGé.
3 ELLES ONT TIRé AU SORT MON PEUPLE, ELLES ONT DONNé LE JEUNE garçon POUR UNE PROSTITUéE,
ET ELLES ONT VENDU LA JEUNE FILLE POUR BOIRE DU VIN.
4 ET VOUS AUSSI, QU’ÊTES-VOUS POUR MOI, TYR ET SIDON,
ET TOUS LES DISTRICTS DE PHILISTIE ?
EST-CE QUE VOUS TENTERIEZ CONTRE MOI DES REPRéSAILLES ?
QUE SI VOUS EXERCEZ CONTRE MOI DES REPRéSAILLES,
TOUT AUSSITÔT JE FERAI RETOMBER VOS REPRéSAILLES SUR VOTRE TÊTE ;
VOUS QUI AVEZ PRIS MON ARGENT ET MON OR,
ET QUI AVEZ EMPORTé DANS VOS TEMPLES MES TRéSORS LES PLUS PRéCIEUX ;
QUI AVEZ VENDU AUX FILS DE YAVAN (GRèCE)
LES FILS DE JUDA ET LES FILS DE JERUSALEM, POUR QU’ON LES éloigne DE LEUR PAYS.
7 VOICI QUE JE VAIS LES FAIRE LEVER DU LIEU Où VOUS LES AVEZ VENDUS,
ET JE FERAI RETOMBER VOS REPRéSAILLES SUR VOTRE TÊTE.
12 QUE LES NATIONS SE LèVENT ET QU’ELLES MONTENT à LA VALLéE DE JOSAPHAT !
CAR C’EST Là QUE JE SIéGERAI POUR JUGER TOUTES LES NATIONS D’ALENTOUR.
13 METTEZ LA FAUCILLE, CAR LA MOISSON EST MÛRE ; VENEZ, FOULEZ, CAR LE PRESSOIR EST PLEIN ;
LES CUVES DéBORDENT, CAR LEUR PERVERSITé EST GRANDE.
14 FOULES SUR FOULES DANS LA VALLéE DU BATTAGE !
15 LE SOLEIL ET LA LUNE SE SONT OBSCURICIS, ET LES étoiles ONT PERDU LEUR éclat.
16 DE SION YAHWEH RUGIRA, DE JERUSALEM IL FERA ENTENDRE SA VOIX ;
LES CIEUX ET LA TERRE BRANLERONT.
MAIS YAHWEH SERA UN REFUGE POUR SON PEUPLE, UNE FORTERESSE POUR LES ENFANTS D’ISRAÏL.
17 ET VOUS SAUREZ QUE MOI, JE SUIS YAHWEH, VOTRE ILOHIM,
RéSIDANT à SION, MA MONTAGNE SAINTE.
JERUSALEM SERA UN SANCTUAIRE, ET LES étrangers N’Y PASSERONT PLUS.
18 ET IL ARRIVERA, EN CE JOUR-Là, QUE LES MONTAGNES SUINTERONT DU VIN DOUX,
LES COLLINES RUISSELLERONT DE LAIT,
ET TOUTES LES RIVIèRES DE JUDA CHARIERONT DE L’EAU.
UNE SOURCE SORTIRA DE LA MAISON DE YAHWEH,
ET ELLE ARROSERA LE RAVIN DE CHITTIM.
19 L’EGYPTE DEVIENDRA UNE TERRE dévastée ; ET EDOM DEVIENDRA un désert DE DéVASTATION,
À CAUSE DES VIOLENCES CONTRE LES ENFANTS DE JUDA,
PARCE QU’ILS ONT RéPANDU DANS LEUR PAYS LE SANG INNOCENT.
20 MAIS JUDA SERA HABITé éternellement ET JERUSALEM D’ÂGE EN ÂGE.
21 ET JE LAVERAI LEUR SANG QUE JE N’AVAIS PAS ENCORE LAVé.
ET YAHWEH RéSIDERA EN SION.
LIVRE D’ISAYAH chapitre 13
1 ORACLE CONTRE BABYLONE, reçu EN VISION PAR ISAYAH, fils d’Amos.
2 Sur une montagne dénudée ARBOREZ UN SIGNAL DE RALLIEMENT ;
CRIEZ-LEUR, AGITEZ LA MAIN, POUR QU’ILS FRANCHISSENT LES PORTES DES PRINCES.
3 MOI, J’AI DONNé ORDRE à MES consacrés ;
J’AI APPELé MES HéROS à EXéCUTER MA COLèRE,
CEUX QUI ACCLAMENT MA MAJESTé.
4 ON ENTEND SUR LES MONTAGNES UNE RUMEUR COMME D’UN PEUPLE NOMBREUX ;
ON ENTEND UN TUMULTE DE ROYAUMES, DE NATIONS RASSEMBLéES :
C’EST YAHWEH DES ARMéES QUI PASSE EN REVUE SES TROUPES DE GUERRE.
5 ILS VIENNENT D’UN PAYS LOINTAIN, DE L’extrémité DU CIEL,
YAHWEH ET LES INSTRUMENTS DE SON COURROUX, POUR RAVAGER TOUTE LA TERRE.
6 POUSSEZ DES HURLEMENTS, CAR PROCHE EST LE JOUR DE YAHWEH :
EN PUISSANT RAVAGE DE PAR LE TOUT-PUISSANT IL VIENT.
7 C’EST POURQUOI TOUTES LES MAINS S’AMOLISSENT, ET TOUS LES CŒURS HUMAINS SE FONDENT.
8 ILS SONT épouvantés, SAISIS DE tranchées ET DE DOULEURS ;
ILS SE TORDENT COMME UNE FEMME EN TRAVAIL ;
ILS SE REGARDENT LES UNS LES AUTRES AVEC STUPEUR, AVEC DES VISAGES ENFLAMMéS.
9 VOICI QUE LE JOUR DE YAHWEH VIENT, CRUEL, DE COURROUX ET D’ARDENTE COLèRE,
POUR RéDUIRE LA TERRE EN DéSERT, ET EN EXTERMINER LES PéCHEURS.
10 CAR LES étoiles DU CIEL ET LEURS CONSTELLATIONS NE FONT PLUS BRILLER LEUR lumière ;
LE SOLEIL S’EST OBSCURCI à SON LEVER, ET LA LUNE NE FAIT PLUIS LUIRE SA LUMIèRE.
11 JE PUNIRAI LE MONDE POUR SA MALICE, ET LES IMPIES POUR LEURS FAUTES ;
JE RéDUIRAI L’ARROGANCE DES SUPERBES, ET J’ABAISSERAI L’ORGUEIL DES TYRANS.
12 JE RENDRAI LES HOMMES PLUS RARES QUE L’OR FIN,
ET LES MORTELS PLUS RARES QUE L’OR D’OPHIR.
13 C’EST POURQUOI J’ébranlerai LES CIEUX, ET LA TERRE CHANCELLERA SUR SA BASE,
PAR LE COURROUX DE YAHWEH DES ARMéES, AU JOUR DE SA COLèRE ARDENTE.
14 ALORS, COMME UNE GAZELLE QUE L’ON POURSUIT, COMME UN TROUPEAU QUE PERSONNE
NE RASSEMBLE, CHACUN SE TOURNERA VERS SON PEUPLE ET S’ENFUIRA VERS SON PAYS.
15 TOUS CEUX QU’ON TROUVERA, ON LES TRANSPERCERA, TOUS CEUX QU’ON SAISIRA TOMBERONT
SOUS LE GLAIVE.
16 LEURS NOURRISSONS SERONT écrasés SOUS LEURS YEUX, LEURS MAISONS PILLéES
ET LEURS FEMMES VIOLéES.
17 VOICI QUE JE SUSCITE CONTRE EUX LES MèDES, QUI TIENNENT POUR RIEN L’ARGENT ET NE VEULENT
PAS L’OR.
18 LEURS ARCS écraseront LES JEUNES GENS ; ILS NE FERONT POINT GRÂCE AU FRUIT DES ENTRAILLES ;
LEUR ŒIL N’AURA PAS pitié DES ENFANTS.
19 ET IL ADVIENDRA à BABYLONE, LA PERLE DES ROYAUMES,
L’ORGUEILLEUSE PARURE DES CHALDéENS,
LE BOULEVERSEMENT DONT ILOHIM FRAPPA SODOME ET GOMORRHE.
20 ELLE NE SERA PLUS JAMAIS HABITéE ; IL N’Y AURA PLUS DE DEMEURES DANS LES générations des
générations ; L’ARABE N’Y DRESSERA PAS SA TENTE,
ET LES BERGERS NE LA PRENDRONT PAS POUR GÎTE.
21 LES ANIMAUX DU DéSERT Y FERONT LEUR GÎTE ; LES HIBOUX REMPLIRONT SES MAISONS ;
Là HABITERONT LES AUTRUCHES,
ET LES SATYRES S’Y ébattront.
22 LES CHACALS HURLERONT DANS SES PALAIS DéSERTS, ET LES CHIENS SAUVAGES DANS SES MAISONS
DE PLAISANCE.
SON TEMPS ARRIVE, ET SES JOURS NE TRAÎNERONT PAS.
14 :1 CAR YAHWEH AURA PITIé DE JACOB , ET IL CHOISIRA ENCORE ISRAÏL ;
IL LES établira DANS LEUR PAYS ; LES étrangers S’ADJOINDRONT à EUX
ET S’ASSOCIERONT à LA MAISON DE JACOB.
2 LES PEUPLES LES PRENDRONT ET LES RAMèNERONT CHEZ EUX,
ET LA MAISON D’ISRAÏL SE LES APPROPRIERA, SUR LA TERRE DE YAHWEH,
COMME ESCLAVES ET COMME SERVANTES.
ILS FERONT CAPTIFS CEUX QUI LES AVAIENT FAITS CAPTIFS, ET ILS DOMINERONT LES TYRANS.
3 ET AU JOUR Où YAHWEH TE FERA REPOSER DE TON LABEUR, DE TES ANXIéTéS,
ET DE LA DURE SERVITUDE QU’ON T’AVAIT IMPOSéE,
TU ENTONNERAS CETTE SATIRE CONTRE LE ROI DE BABYLONE, ET TU DIRAS :
COMMENT A FINI L’OPPRESSEUR, A FINI L’OPPRESSION ?
5 YAHWEH A BRISé LE BÂTON DES IMPIES, LE SCEPTRE DES TYRANS !
6 IL FRAPPAIT AVEC FUREUR LES PEUPLES, DE COUPS SANS RELÂCHE ;
AVEC COLèRE, IL VIOLENTAIT LES NATIONS persécutées SANS RéPIT.
7 TOUTE LA TERRE EST EN REPOS, ELLE EST TRANQUILLE,
ON éclate EN CRIS D’ALLéGRESSE.
LES CYPRèS MÊMES SE RéJOUISSENT à TON SUJET, AVEC LES CèDRES DU LIBAN :
« DEPUIS QUE TU GIS, ON NE MONTE PLUS POUR NOUS ABATTRE » !
9 LE CHéOL DANS SES PROFONDEURS TRESSAILLE à TON SUJET,
POUR VENIR à TA RENCONTRE ; IL RéVEILLE POUR TOI LES OMBRES, TOUS LES PUISSANTS DE LA TERRE ;
IL FAIT LEVER LEURS TRÔNES, TOUS LES ROIS DES NATIONS.
10 TOUS, ILS PRENNENT LA PAROLE POUR TE DIRE :
« TOI AUSSI, TE voilà cassé COMME NOUS, ET SEMBLABLE à NOUS » !
11 TON FASTE EST DESCENDU AU CHéOL,
AVEC LE SON DE TES CITHARES ;
SOUS TOI LES VERS FORMENT TA COUCHE, ET LA VERMINE EST TA COUVERTURE !
12 COMMENT ES-TU tombé DU CIEL, ASTRE BRILLANT, FILS DE L’AURORE ?
COMMENT ES-TU ABATTU PAR TERRE, TOI, QUI AS RéDUIT LES NATIONS ?
13 TOI QUI DISAIS EN TON CŒUR :
« JE MONTERAI DANS LES CIEUX ; AU-DESSUS DES étoiles DE ILOHIM
J’élèverai MON TRÔNE ; JE M’assiérai SUR LA MONTAGNE DE L’ASSEMBLéE, DANS L’EXTRÊME NORD ;
JE MONTERAI SUR LES SOMMETS DES NUES, JE SERAI ASSIMILé AU TRèS-HAUT » !
16 CEUX QUI TE VOIENT FIXENT SUR TOI LEURS REGARDS,
ILS TE CONSIDèRENT AVEC ATTENTION :
« EST-CE Là L’HOMME QUI épouvantait LA TERRE, QUI ébranlait LES ROYAUMES, QUI FAISAIT DU MONDE
UN DéSERT, EN DéTRUISANT LES VILLES, ET NE RENVOYAIT PAS SES CAPTIFS CHEZ EUX ?
18 TOUS LES ROIS DES NATIONS, TOUS, REPOSENT AVEC HONNEUR, CHACUN DANS SA MAISON ;
MAIS TOI, ON T’A EXPULSé DE TON SéPULCRE, COMME UN RAMEAU ABHORRé, RECOUVERT DE MORTS,
égorgés PAR LE GLAIVE ET précipités DANS LES FLANCS ROCHEUX DE L’ABÎME, COMME UN CADAVRE
QU’ON PIéTINE.
20 TU NE SERAS PAS AVEC EUX DANS LA TOMBE,
CAR TU AS RUINé TON PAYS, MASSACRé TON PEUPLE !
ON NE NOMMERA PLUS JAMAIS LA RACE DES scélérats.
21 PRéPAREZ POUR SES FILS UNE BOUCHERIE, à CAUSE DU CRIME DE LEURS pères.
QU’ILS NE SE LèVENT PAR CONQUéRIR LA TERRE,
QU’ILS NE COUVRENT PAS DE VILLES LA FACE DU MONDE !
22 JE ME LèVERAI CONTRE EUX, - ORACLE DE YAHWEH DES ARMéES,
ET J’ANéANTIRAI DE BABYLONE LE NOM ET LE RESTE,
LA RACE ET LE REJETON,
- ORACLE DE YAHWEH.
23 ET J’EN FERAI LE DOMAINE DU BUTOR, ET UN MARéCAGE,
ET JE LA BALAIERAI AVEC LE BALAI DE LA DESTRUCTION, - ORACLE DE YAHWEH DES ARMéES.
34 YAHWEH DES ARMéE A JURé EN DISANT :
« OUI, LE DESSEIN QUE J’AI conçu S’ACCOMPLIRA, ET CE QUE J’AI décidé SE RéALISERA :
DE BRISER ASSOUR DANS MA TERRE, ET JE LE PIéTINERAI SUR MES MONTAGNES.
ALORS ILS SERONT délivrés DE SON JOUG ET LEURS épaules déchargées DE SON FARDEAU.
26 C’EST Là LE DESSEIN QUI EST ARRÊTé POUR TOUTE LA TERRE,
ET C’EST Là LA MAIN QUI EST étendue SUR TOUTES LES NATIONS !
27 CAR YAHWEH DES ARMéES A décidé, ET QUI L’EMPÊCHERAIT ?
SA MAIN EST étendue, ET QUI LA RAMèNERAIT » ?
28 CET ORACLE FUT :
29 NE TE RéJOUIS PAS, PHILISTIE TOUT ENTIèRE, DE CE QUE LA VERGE QUI TE FRAPPAIT a été BRISéE ;
CAR DE LA RACE DU SERPENT SORTIRA UN BASILIC,
ET SON FRUIT SERA UN DRAGON VOLANT.(UN SARAPH VOLANT, UN SERPENT VOLANT)
30 ALORS LES PLUS PAUVRES TROUVERONT LEUR PÂTURE, ET LES INDIGENTS REPOSERONT EN sécurité ;
MAIS JE FERAI MOURIR TA RACE PAR LA FAIM, ET CE QUI RESTERA DE TOI SERA EXTERMINé.
31 HURLE, Ô PORTE ! CRIE, Ô VILLE !
DéFAITE, TOUT ENTIèRE, PHILISTIE !
CAR DU NORD VIENT UNE FUMéE, ET NUL NE SE DéBANDE DANS SES BATAILLONS.
32 QUE RéPONDRA-T-ON AUX ENVOYéS DE LA NATION ?
QUE YAHWEH A FONDé SION, ET QUE LES PAUVRES DE SON PEUPLE Y TROUVENT UN REFUGE.
16 :1 « ENVOYEZ L’AGNEAU DU PRINCE DU PAYS, DE PéTRA, à TRAVERS LE DéSERT,
À LA MONTAGNE DE LA FILLE DE SION ».
2 COMME DES OISEAUX FUGITIFS, COMME UNE NICHéE QUE L’ON DISPERSE, TELLES SONT LES FILLES
DE MOAB, AUX PASSAGES DE L’ARNON :
« DONNE UN CONSEIL, PRENDS UNE DéCISION ;
FAIS DE TON OMBRE COMME UNE NUIT, EN PLEIN MIDI ;
CACHE CEUX QUE L’ON POURSUIT, NE DéCOUVRE PAS LES FUGITIFS ».
4 « QUE LES FUGITIFS DE MOAB DEMEURENT CHEZ TOI ;
SOIS-LEUR UNE RETRAITE CONTRE LE DéVASTATEUR.
CAR, SI L’ON NE MALTRAITE PLUS, SI LA DéVASTATION A PRIS FIN,
SI LES OPPRESSEURS ONT DISPARU DU PAYS,
LE TRÔNE EST AFFERMI PAR LA BONTé,
ET SUR CE TRÔNE S’ASSIéRA SELON LA FIDéLITé, DANS LA TENTE DE DAVID,
UN JUGE POURSUIVANT LE DROIT, ET EXPERT EN JUSTICE ».
17 :12 OH ! TUMULTE DE PEUPLES NOMBREUX !
LEUR TUMULTE EST COMME LE TUMULTE DES MERS !
GRONDEMENT DE NATIONS !
ELLES GRONDENT COMME GRONDENT LES EAUX PUISSANTES.
13 LES NATIONS GRONDENT COMME GRONDENT LES GRANDES EAUX.
MAIS IL LES GOURMANDE : ELLES FUIENT AU LOIN ;
ELLES SONT CHASSéES, COMME LE FéTU DES HAUTEURS PAR LE VENT,
COMME UN TOURBILLON DE POUSSIèRE PAR L’OURAGAN.
14 AU SOIR, C’EST LA CONSTERNATION ; AVANT LE MATIN ILS NE SONT PLUS.
VOILà LE PARTAGE DE CEUX QUI NOUS PILLENT, ET LE SORT DE CEUX QUI NOUS DéPOUILLENT.
18 :1 OH ! TERRE AU BRUISSEMENT DES AILES, AU-DELà DES FLEUVES DE KOUCH !
2 TOI QUI ENVOIES DES AMBASSADEURS SUR LA MER, DANS DES NACELLES DE JONC, SUR LES EAUX !
ALLEZ, MESSAGERS RAPIDES, VERS LA NATION à LA HAUTE STATURE, à LA PEAU LUISANTE,
VERS LE PEUPLE REDOUTé AU LOIN ;
NATION IMPéRIEUSE ET QUI écrase, ET DONT LA TERRE EST SILLONNéE DE FLEUVES.
3 VOUS TOUS, HABITANTS DU MONDE, HABITANTS DE LA TERRE,
QUAND L’étendard SERA LEVé SUR LES MONTAGNES, REGARDEZ ;
QUAND LA TROMPETTE SONNERA, écoutez.
4 CAR AINSI A PARLé YAHWEH :
« JE ME TIENDRAI EN REPOS ET JE REGARDERAI, DANS MA DEMEURE,
COMME UNE CHALEUR ARDENTE ET RADIEUSE, COMME UN NUAGE DE ROSéE
DANS LA CHALEUR DE LA MOISSON ».
5 CAR AVANT LA MOISSON, APRèS LES FLEURS, QUAND LA GRAPPE ACIDE A MÛRI,
ALORS IL COUPERA LES PAMPRES à COUPS DE SERPE,
IL ENLèVERA ET BRISERA LES SARMENTS.
6 ILS SERONT ABANDONNéS PAREILLEMENT AUX VAUTOURS DES MONTAGNES
ET AUX BÊTES DE LA TERRE ;
LES VAUTOURS Y PASSERONT l’été, ET LES BÊTES DE LA TERRE Y HIVERNERONT.
7 EN CE TEMPS-Là, UNE OFFRANDE SERA APPORTéE à YAHWEH DES ARMéES
DE LA PART DU PEUPLE à LA HAUTE STATURE, à LA PEAU LUISANTE, DE LA PART DU PEUPLE REDOUTé
AU LOIN,
NATION IMPéRIEUSE ET QUI écrase, ET DONT LA TERRE EST SILLONNéE DE FLEUVES,
À LA DEMEURE DU NOM DE YAHWEH DES ARMéES, à LA MONTAGNE DE SION.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_de_Sales
François de Sales, né le 21 août 1567 au château de Sales près de Thorens-Glières1 en Savoie et décédé le 28 décembre 1622 à Lyon, est un prêtre catholique savoyard. Nommé évêque de Genève, il ne put jamais prendre possession de son siège devenu la "Rome des calvinistes" et resta en résidence à Annecy. Proclamé saint et docteur de l'Église il est liturgiquement commémoré le 24 janvier.
Issu d’une famille noble, il choisit le chemin de la foi chrétienne en consacrant sa vie à Dieu et renonce à tous ses titres de noblesse. Il devint l'un des théologiens les plus considérés de son temps. Ce grand prédicateur accéda au siège d’évêque de Genève et fonda, avec la baronne Jeanne de Chantal, l’ordre religieux de la Visitation. Il exerça une influence marquante au sein de l'Église catholique et fut très écouté également des détenteurs du pouvoir temporel, notamment les ducs Charles-Emmanuel Ier et Victor-Amédée Ier de Savoie, la régente de Savoie Christine de France et les rois de France Henri IV et Louis XIII.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_la_Visitation
L’ordre de la Visitation de Sainte-Marie (en latin: Ordo Visitationis Beatissimae Mariae Virginis) ou les Visitandines est un ordre monastique féminin de droit pontifical.
En 1604, Jeanne-Françoise Frémyot, baronne de Chantal, jeune veuve de 28 ans et mère de quatre enfants, rencontre à Dijon l'évêque de Genève François de Sales. Entre eux, va s'établir une grande amitié spirituelle, qui va la pousser à venir s'installer près de lui à Annecy et à fonder l'ordre de la Visitation Sainte-Marie.
Jeanne de Chantal, sous la direction spirituelle de l'évêque de Genève, François de Sales, accepte de diriger un groupe que celui-ci voulait apostolique : comme lors de l'épisode évangélique de la Visitation, où la Vierge Marie, enceinte du Christ s'en va aider sa cousine Élisabeth âgée et enceinte de Jean-Baptiste, les religieuses auraient comme tâche principale de visiter malades et pauvres et les réconforter (d'où leur nom de Visitandines).
Le premier groupe est formé (6/6/1610) le , comprenant Jeanne de Chantal, Jaqueline Favre, Jeanne-Charlotte de Bréchard et Anne-Jacqueline Coste s'installent à Annecy, dans les États du duc de Savoie, dans une petite maison des faubourgs, la « maison de la Galerie », qui se trouvait le long du chemin conduisant chez les frères capucins, et mise à leur disposition par le duc Charles-Emmanuel Ier de Savoie1,2. Les hasards des contretemps voulurent que la fondation prévue pour la Pentecôte ne se réalise que pour le dimanche de la Trinité qui tomba cette année le jour de la Saint-Claude… Dès octobre, la communion quotidienne est instaurée dans la petite communauté.
Après une année de noviciat sous la conduite de François de Sales, les quatre femmes de cette petite communauté font profession de foi (6/6/1611) le .
https://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/FortItapu/
Fort Itaipú est une forteresse face à la mer, situé au contrefort Sud de la Baie Santos (Brésil), près de Sao Paulo.
Le lundi 4 novembre à 02:00, 2 sentinelles voient ce qui ressemble à une étoile se rapprocher à grande vitesse. Le phénomène augmente de taille (de la taille d'un DC-3) et en quelques secondes s'arrête au-dessus du fort, à 50 m d'eux. Il dérive lentement et sans bruit vers le bas, aussi qu'un grand qu'un gros avion, (en forme de disque ?), entouré d'une lueur orange. Soudain il émet un son distinct de bourdonnement, et la chaleur frappe : les 2 hommes sont aveuglés, et 1 s'effondre presque immédiatement. L'autre parvient à glisser pour s'abriter sous les lourds canons et se met à crier, réveillant la garnison.
Alors que les troupes se ruent vers leurs postes de combat, survient une panne électrique complète. Une panique règne jusqu'à ce que les lumières reviennent mais un certain nombre d'hommes parviennent toujours à voir une lueur orange quittant la zone à haute vitesse.
Les 2 hommes sont retrouvé brûlés au 2nd (1er ?) degré sur 10 % de leur corps, l'un inconscient, et l'autre en état de choc.
L'affaire est enquêtée par Olavo T. Fontès.
Par la suite l'ambassade brésilienne à Washington émet un document avec un bref résumé de l'incident :
Bureau de l'attaché de l'air
Ambassade brésilienne
Washington, D.C., 20008À 02, au Fort Itapú, situé au voisinage de Santos, Sao Paulo, selon un rapport du Dr. Olavo Fontès, 2 gardes étaient en poste au sommet de la plus haute tour d'observation face à l'océan. Soudain une lumière de couleur orange apparut et se positionna rapidement à 50 m au-dessus de gardes. Avec des armes automatiques inopérantes, ils regardèrent l'étrange lueur et le bruit fort émergeant de l'étrange objet. Soudain les 2 gardes furent touchés par une vague de chaleur intolérable, rendant inconscient l'un d'entre eux. L'autre pensa être en feu, et cria pour alerter les autres. Les troupes dans le fort furent rapidement alarmées en raison d'une panne de l'ensemble des systèmes d'énergie, y compris l'éclairage, les ascenseurs et les armes. 3 mn plus tard l'énergie revint avec de nombreux officiers déclarant avoir vu l'étrange objet montant rapidement vers le ciel. Les 2 gardent avaient des brûlures au 1er et 2nd degrés sur plus de 10 % de leur corps. Le système d'alarme et les horloges électriques automatiques qui avaient été initialement fixées pour à 05:00, partirent à 02:30 de la même matinée. Après l'incident le Fort est désactivé et des enquêtes de la Police Secrète Brésilienne et par la suite de responsables nord-américains furent menées. Les résultats n'ont pas été rendus disponibles.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Betty_et_Barney_Hill
HILL : MONTAGNE
Betty et Barney Hill sont un couple d'Américains qui prétendit avoir été enlevé par des extraterrestres en 1961.
Il s'agit du premier cas où des personnes affirment avoir été enlevées par des extraterrestres et où des extraterrestres
de petite taille et de couleur grise, les « Gris », sont mentionnés.
Betty Hill est née en 1920 et Barney en 1922. Au début des années 1960, Betty est superviseuse au département pour l'aide sociale à l'enfance de la ville de Portsmouth (New Hampshire) et Barney est employé à la Poste. Il est aussi particulièrement impliqué dans la cause des Afro-américains puisqu'il siège à la commission des droits civiques du gouverneur du New Hampshire. Barney Hill meurt le 25 février 1969 d'un accident vasculaire cérébral.
Betty Hill meurt le 17 octobre 2004 d'un cancer des poumons.
Le 19 septembre 1961, après une semaine de vacances au Canada, ils roulent sur la route no 3 en direction du sud pour rentrer chez eux, à Portsmouth (New Hampshire). Peu de temps après avoir dépassé la ville de Lancaster, vers 22 h 00, Barney aperçoit dans le ciel une lumière qui se déplace d'une manière erratique. Il signale cette lumière à Betty qui ne comprend pas non plus de quoi il peut s'agir. Profitant d'une pause, Barney sort du véhicule et observe l'étrange lumière avec ses jumelles. Il aperçoit alors un objet discoïdal avec deux courtes ailes terminées par deux lumières rouges.
Il discerne même ce qu'il pense être des hublots. Pris de panique et constatant que l'objet semble se rapprocher d'eux, le couple remonte dans la voiture et redémarre en trombe.
Un étrange son, décrit par Barney comme un « bip-bip », envahit alors l'habitacle de la voiture.
Le même son se répète une deuxième fois et les Hill découvrent qu'ils viennent de parcourir plus de 55 km
sans qu'ils en gardent le moindre souvenir. De plus, leurs deux montres sont arrêtées.
Lorsqu'ils arrivent à leur domicile, ils comprennent qu'ils ont deux heures de retard sur leur horaire et aucun souvenir pouvant correspondre à cette période de leur trajet.
De plus, Barney découvre de nombreuses griffures sur le cuir de ses chaussures, comme si on l'avait traîné sur le sol, et ressent une vive douleur dans le dos.
Enfin, il découvre qu'en plusieurs endroits la peinture de la carrosserie de leur voiture a disparu, laissant le métal à nu.
À partir du 30 septembre, Betty commence à faire de nombreux cauchemars où elle se voit poursuivie par « des visages difformes avec des grands yeux de chats ». Elle développe également différents symptômes dépressifs : mélancolie, perte d'appétit et angoisse.
Au printemps 1962, après plusieurs traitements sans résultat, leur médecin de famille les oriente vers un psychiatre de l'académie d'Exeter qui finira par diagnostiquer un stress post-traumatique sur Barney et Betty. Ce psychiatre les orientera vers le docteur Benjamin Simon, psychiatre spécialisé en hypnothérapie, afin qu'il tente un traitement régressif destiné à ramener à un niveau conscient les souvenirs du traumatisme.
Le 14 décembre 1963, Betty et Barney commencent des séances d'hypnose supervisées par le docteur Benjamin Simon, qui s'étaleront sur plus de sept mois et durant lesquelles le médecin enregistra plus de quarante heures de bandes audio.
Lors de ces séances, Betty et Barney, qui furent toujours interrogés séparément, racontèrent qu'après l'observation de l'OVNI, Barney tenta d'échapper à ce dernier et s'engagea dans un chemin forestier où leur véhicule finit par caler.
L'OVNI atterrit à une soixantaine de mètres de la voiture et une dizaine de créatures de petite taille en descendirent
et se dirigèrent vers le couple.
Les créatures firent monter le couple dans l'OVNI, séparèrent Betty et Barney
et leur firent subir ce que les Hill prirent pour une sorte d'examen médical.
Betty prétendit avoir réussi à communiquer avec l'une des créatures qui lui présenta ce qui ressemblait à une carte stellaire et lui demanda si elle était capable de situer la Terre sur cette carte. Comme elle répondit par la négative, la créature lui rétorqua que cela ne servait alors à rien qu'elle lui montre d'où elle venait.
La créature raccompagna Betty hors de l'OVNI, où elle retrouva Barney déjà installé dans la voiture
et lui promit qu'elle allait tout oublier de cette expérience.
Betty et Barney réalisèrent de nombreux dessins de l'OVNI, des créatures et des différentes cartes et symboles
qu'ils purent apercevoir lors de cette expérience.
En 1969, une astronome amateur du nom de Marjorie Fish affirma qu'elle avait réussi à trouver une concordance entre les dessins de la carte stellaire réalisés par Betty Hill et un modèle tri-dimensionnel des constellations connues, et conclut que la carte que Betty prétendait avoir vue représentait le système de ζ Reticuli.
Interrogés séparément pendant plus de sept mois, Betty et Barney ne se contredirent jamais et leurs versions furent toujours concordantes.
Walter Mitchell, professeur d'astronomie à l'université d'État de l'Ohio à Columbus, et David R. Saunders, expert en statistiques à l'Industrial Relations Center de l'Université de Chicago, validèrent les travaux de Marjorie Fish et estimèrent que son interprétation de la carte dessinée par Betty Hill correspondait effectivement au système de Zeta Reticuli1.
Les autorités scientifiques et le pouvoir politique ont toujours affecté le plus grand scepticisme face aux apparitions d’ovnis. Néanmoins, officieusement, de nombreux rapports ont été réalisés.
Ils admettent que certains témoignages sont inexplicables. C’est le cas de celui du sergent Zamora, policier du district de Socorro, au Nouveau-Mexique. Son témoignage est considéré comme l’un des plus sérieux jamais enregistré sur l’apparition d’un ovni.
Socorro, dans l’Etat du Nouveau-Mexique, Etats-Unis, le 24 avril 1964 : le policier Lonnie Zamora patrouille, seul, au volant de sa Pontiac de service.
On lui signale l’excès de vitesse d’une Chevrolet. Il se lance à sa poursuite et prend la direction de la sortie de la ville.
Il est environ 17h 45. Lonnie Zamora entend soudain une sorte de hurlement et aperçoit une flamme rouge et orange dans le ciel, à près de 1 Km de son véhicule.
Il sait que dans cette direction, une cabane contient de la dynamite.
Il abandonne donc la poursuite de la Chevrolet et se dirige vers l’endroit où la flamme a paru tomber.
Il roule ainsi, sur un chemin défoncé, vers une colline où il lui semble que la flamme s’est éteinte.
Au sommet de la colline, Zamora aperçoit un objet métallique, brillant comme de l’aluminium, qu’il prend pour une épave de voiture.
Près de cet objet, deux humanoïdes, vêtus d’une combinaison blanche.
Le policier, qui se trouve à 200 m, les prend pour des étrangers et accélère dans leur direction pour leur porter secours, croyant à un accident.
Comme le policier se rapproche, il se rend enfin compte que l’objet métallique n’est pas du tout ordinaire mais de forme ovale. Il repose sur des sortes de poutrelles métalliques.
Le terrain devient si accidenté que le policier doit quitter son véhicule et continuer à pied. Il prend alors contact avec son quartier général et, par radio, signale qu’il se dirige, vers l’engin inconnu.
À peine est-il sorti de son véhicule qu’il entend à nouveau un grondement et quelques coups. On aurait dit que quelqu’un claquait une porte ou tapait sur du métal avec un marteau.
Quand les coups cessent, le hurlement s’amplifie.
Lonnie Zamora voit alors l’engin s’élever dans le ciel, comme poussé par une flamme bleue et orange.
Un nuage de poussière accompagne ce mouvement.
Prudent, le policier regagne l’abri de sa voiture. Il a encore le temps de voir la forme ovale se mettre à l’horizontale et s’élever jusqu’au niveau de la voiture.
Les nerfs à vif, effrayé par le hurlement, le policier songe à fuir pour chercher des renforts.
Il jette un dernier regard sur l’engin et aperçoit, sur la surface entièrement lisse, une sorte d’insigne marquée en rouge.
Puis, pris de panique, il court se réfugier derrière le sommet de la colline. Quand le grondement s’atténue, une sorte de grincement le remplace, qui passe du grave à l’aigu pour enfin s’arrêter.
Après tout ce vacarme, le silence retombe enfin sur ce paysage semi-désertique. Zamora voit alors l’objet métallique s’élever très haut dans le ciel, obliquer vers les montagnes et disparaître.
Au même moment, il sursaute car la radio de la Pontiac grésille. C’est le sergent Chavez qui cherche à joindre son collègue.
Zamora lui explique rapidement qu’un incident étrange vient de se produire et en l’attendant dessine ce qu’il a vu.
Il se souvient parfaitement de l’étrange insigne sur la paroi de l’engin :
une sorte de flèche rouge dans un cadre rouge.
Quand Chavez arrive, il comprend que Zamora n’est pas dans son état normal : »Que se passe-t-il Lonnie ? Tu en fais une tête ! Tu es tout blanc ! On dirait que tu as vu le diable… »
« C’est que je l’ai peut-être vu ! », répond le policier, encore sous le choc de l’émotion.
Il montre à son collègue l’endroit où se trouvait l’engin. Quelques broussailles encore fumantes achèvent de s’y consumer.
Sur le sol, des marques sont visibles.
Les enquêteurs officiels dépêchés sur les lieux relèveront quatre « trous » identiques et quatre marques de feu.
La position des trous est asymétrique ; pourtant leur inspection révèlera qu’ils devaient assurer une stabilité parfaite à la structure qu’ils supportaient.
La pression nécessaire pour faire de tels trous a été estimée à plus d’une tonne par emplacement : beaucoup trop pour que Lonnie Zamora ait pu les faire lui-même.
Un examen minutieux montrera, en outre, que la flamme vue par le policier était bien au centre de l’engin, lequel devait avoir une forme circulaire.
Ordinairement, les autorités américaines refusent de prendre en compte les observations d’ovnis rapportées par un seul témoin.
Le cas de Lonnie Zamora est une exception à cette règle. En effet, son témoignage a été jugé suffisamment crédible pour déclencher une enquête en profondeur.
Son témoignage est d’ailleurs toujours considéré aujourd’hui comme l’un des plus solides en faveur de l’existence d’ovnis.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rencontre_de_Valensole
Valensole est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le bourg, à 595 m1 formé en amphithéâtre est situé sur une colline entre le Plateau de Valensole et la vallée de Notre-Dame. La commune est l'une des plus étendue de la région et comporte plusieurs hameaux.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Valensole
Le cimetière de la Baisse Sainte-Anne, établi sur une butte au nord du village, a été fouillé dans les années 2000.
C’est d’abord une nécropole de l’Antiquité tardive, qui est utilisée jusqu’au vie siècle.
Elle témoigne des changements culturels assez rapides de la population de Valensole : alors que pendant la fin de l’Antiquité, elle conserve des rites païens (offrandes dans les tombes), les morts des Ve et vie siècles sont inhumés tout habillés, ce qui permet de constater que les habitants de Valensole ont adopté rapidement l’habitude de se vêtir à la mode mérovingienne.
Pour cette période, la faible représentation des hommes et des adultes âgés pourrait être une conséquence
de la peste justinienne23.
Dom Mayeul, abbé de Cluny.
Plus tard, à la fin du Ier millénaire, les comtes de Provence possédaient en domaine direct la moitié de la terre de Valensole, tandis que l'autre moitié appartenait à des seigneurs. L’un d’eux, seigneur de la moitié de la ville, mourut en laissant un fils unique, Mayeul. Jeune seigneur, après la mort de ses parents, il se retire à Mâcon ou il est fait chanoine, puis archidiacre, enfin élu au siège de Besançon.
Pour se soustraire à la dignité épiscopale, il alla secrètement s'enfermer au monastère de Cluny, dont il fut plus tard élu abbé.
Mayeul en renonçant au monde avait cédé tous ses droits seigneuriaux dans Valensole au comte Guillaume Ier de Provence, ne se réservant que sa maison natale, et l'église du lieu, afin d'y établir une communauté de son ordre24.
En 990, le comte meurt et lègue à l’abbaye de Cluny le fief de Valensole, qui y installe un prieuré25. L’ordre de Cluny devient dès lors seigneur en partie de cette ville. Il y était représenté par les religieux que saint Mayeul y avait déjà institués. Pour donner à cette nouvelle maison tout le développement et la stabilité nécessaires, Odilon de Mercœur, successeur de Mayeul, transigea avec Alméralde, évêque de Riez, en l'an 1010.
Moyennant un don de 90 sous en or, et une redevance annuelle et perpétuelle de 27 deniers en faveur de l'évêché, l’évêque céda à l'abbaye de Cluny l'église paroissiale Saint-Maxime-de-Riez, avec les offrandes et les dîmes.
L'abbaye de son côté s'obligea d'entretenir dans le monastère de Valensole cinq religieux soumis à un prieur, et chargés de l'office divin comme dans les églises collégiales, et d'entretenir de plus, pour l'administration des sacrements, un nombre de prêtres séculiers nommés par l'évêque diocésain24.
À cette époque, des lieux-dits comme Aubanet, hameau abandonné au nord-est du village, ou les Marges au sud-ouest sont déjà habités et cités dans des textes (en 909)26.
Au xie siècle, une motte castrale est élevée au lieu-dit la Moutte27.
Au Moyen Âge, Le Bars (signalé au début du xie siècle dans les chartes26) et Villedieu (également signalé dès 103726) formaient deux communautés indépendantes25.
Leurs églises paroissiales, toutes deux sous l’invocation de Sainte-Madeleine, avaient aussi été données à l’abbaye de Cluny au début du xie siècle26.
Ces deux communautés, qui comptaient respectivement 14 et 31 feux en 1315, sont fortement dépeuplées par la crise du xive siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexées par celle de Valensole au xve siècle25.
Un petit terroir, celui de Septem Fontes (Font Sainte), appartenait à l’abbaye Saint-Victor de Marseille26.
La peste se déclara à Riez dans les premiers jours de juillet de l'an 1629, et à Valensole en 1632 (fin le 8 décembre).
Un hôpital des pestiférés avait été établi dans le quartier de la Trinité, où la majorité des victimes y a été inhumée.
Une procession annuelle et votive est célébrée chaque 8 décembre.
De nos jours, cette procession a été fixée au dimanche de la Très-Sainte Trinité.
Une messe y est chantée dans la chapelle de ce quartier. Un grand pique-nique s'y déroulait encore au xixe siècle35.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Cluny
La crise était aussi morale puisque la règle de Benoît de Nursie n'était plus respectée à la lettre.
Écrite au vie siècle, la règle bénédictine prévoyait que les moines fussent dirigés par un abbé et qu'ils partageassent leur temps entre la prière et le travail manuel.
Au début du ixe siècle, Benoît d'Aniane tenta de la diffuser dans tous les monastères de l'Empire carolingien. Mais le travail manuel fut délaissé au profit de la prière.
Les laïcs nommèrent des abbés qui leur furent fidèles et contrôlèrent par là même les domaines fonciers des établissements réguliers.
L'abbaye fut fondée dans ce contexte, et sur le modèle de celle d'Aurillac, par une charte rédigée à Bourges le 11 septembre 909 ou 9104, par le comte de Mâcon, Guillaume Ier, duc d'Aquitaine et comte d'Auvergne, qui la plaça sous l'autorité immédiate du pape5. Le comte octroya une villa située près de Mâcon à Bernon, abbé de Baume-les-Messieurs et de plusieurs monastères dans la région. Ce fut ce dernier qui choisit le site de Cluny et construisit les premiers bâtiments conventuels avec l'aide de douze moines des abbayes de Gigny et de Baume6,n 2. L'abbaye fut reconnue comme chef d'ordre par le pape Jean XI, sous l'abbatiat d'Odon en 931.
Guillaume renonça à tous ses droits sur Cluny et permit à l’abbé d'être choisi par les moines. Il plaça la communauté monastique sous le patronage des apôtres Pierre et Paul de Tarse ; Cluny passa sous la protection directe du pape (Serge III) à l'époque. Ce fut une abbaye immunitaire, c'est-à-dire qu'elle était indépendante à la fois de l'évêque et des seigneurs de la région, et elle ne devait obéissance qu'au pape. Cet élément joua un grand rôle dans le développement de l'abbaye.
Lors de la fondation, le comte imposa enfin le respect de la règle bénédictine et attendit que les moines priassent pour son salut :
« Je fais ce don stipulant qu'un monastère régulier devra être construit à Cluny […], dont les moines vivront en communauté selon la règle du bienheureux Benoît. […] Que soit ainsi établi en cet endroit un asile de prières où s'accompliront fidèlement les vœux et les oraisons. Que soit ainsi recherché et poursuivi, avec une volonté profonde et une ardeur totale, le dialogue avec le Ciel. Que des prières, des demandes et des supplications y soient sans cesse adressées au Seigneur tant pour moi que pour tous ceux dont j'ai précédemment évoqué la mémoire5. »
L'abbé Bernon, premier abbé de Cluny, commença la construction de l'abbatiale Cluny I en 910. Cluny I fut terminée sous son successeur Odon et dédicacée avant 9277. L’église préexistante de Cluny fut alors convertie en chapelle dédiée à la Vierge Marie8.
L'abbaye constitue un foyer intellectuel et culturel important du xe au xiie siècle : Odon rassemble les premiers manuscrits de la bibliothèque en rapportant des livres provenant de Saint-Martin de Tours20.
Le , vers 5 heures du matin, Maurice Masse (agriculteur de 41 ans) sort de son domicile pour se rendre sur son exploitation située à 1 600 mètres de là, sur la commune de Valensole.
À 5h45, alors qu'il démarre son tracteur, il entend un son étrange, comme une sorte de gros sifflement qui emplit l'espace environnant. Pensant qu'il s'agit d'un hélicoptère, M. Masse contourne son clapier afin de découvrir l'origine de ce bruit.
Mais, dès qu'il dépasse le clapier, le témoin découvre un objet qu'il décrit comme métallique, en forme de ballon de rugby, posé au milieu de son champ de lavande.
L'objet, à 90 mètres du témoin, repose sur un tube entouré de 6 pieds plus fins et semble surmonté d'un dôme transparent ; le témoin évalue sa taille globale à 3,50 mètres de large sur 2,50 mètres de haut.
S'approchant de l'objet pour mieux comprendre de quoi il pouvait bien s'agir, M. Masse aperçoit deux créatures accroupies autour d'un pied de lavande.
Maurice Masse les décrit comme de petite taille (environ 90 centimètres), sans cheveux, avec une tête disproportionnée par rapport à leur corps et portant une combinaison gris/bleu.
Lorsqu'il n'est plus qu'à une dizaine de mètres d'eux, le témoin voit, soudain, une des créatures se retourner et pointer dans sa direction une sorte de « tube transparent bleuté ». Aussitôt, M. Masse se retrouva dans l'impossibilité de faire le moindre mouvement et resta « paralysé » jusqu'à la fin de l'observation.
Les deux créatures restent là encore quelques minutes, semblant « discuter » en émettant des sons que le témoin décrira comme « des sortes de gargouillis », puis ils réintègrent l'ovni par une trappe, le témoin les voyant même réapparaître à travers le dôme transparent surmontant l'objet.
Le sifflement recommence alors, puis l'objet se soulève jusqu'à atteindre une altitude d'un mètre environ et le tube ainsi que les six pieds se rétractent à l'intérieur de l'OVNI en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre. Puis, toujours selon le témoin, l'objet commença à reculer en direction de l'ouest en accélérant d'une manière prodigieuse pour disparaître. 15 minutes plus tard, M. Masse recouvre sa mobilité et se précipite vers l'endroit où était posé l'objet pour examiner le sol.
Différentes traces, et notamment un trou rond d'une trentaine de centimètres de profondeur, furent observés (là où se trouvait le tube central). Le sol semblait détrempé mais lorsqu'il revint sur les lieux l'après-midi même, le témoin découvrit que le sol avait mystérieusement durci au point de prendre la consistance du ciment.
À la suite de cette observation, le témoin présenta de nombreux troubles psychologiques (dépression et, notamment, crise d'hypersomnie) pendant plusieurs semaines.
Plus de deux ans après les faits, le sol était toujours aussi dur et plus aucun végétal ne poussait à cet endroit.
Maurice Masse est décédé le 14 mai 2004.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_de_la_D%C3%A9ception
L’île de la Déception est une île de l'archipel des îles Shetland du Sud, dans l'océan Austral, située à 120 km au nord de la péninsule Antarctique. Les seuls lieux habités sont des bases de recherche scientifique dépendantes des forces armées argentines et espagnoles.
L'île est connue pour sa baie, Port Foster, l'une des mieux protégées des vents et de la houle dans l'océan Austral, et pour son volcan, dont les dernières éruptions, en 1967 et 1969, infligèrent des dégâts importants aux bases scientifiques.
L'île a une forme arrondie, avec un diamètre maximum de 12 km. Son point le plus élevé est un mont non nommé de 576 m. Une grande baie, Port Foster, se trouve au centre de l'île ; mesurant 9 km de long sur 6 km de large, elle occupe la majorité du centre de l'île. Cette baie a une entrée très étroite : de seulement 230 m de large, ce goulet est appelé les Forges de Neptune1 (en anglais Neptune's Bellows, littéralement « soufflet de Neptune »). Le passage de ce détroit se fait encore plus difficile avec la présence du Raven Rock, 2,5 m sous la surface de l'eau, au milieu du passage. À l'entrée des Forges de Neptune se trouve la baie des Baleiniers1, bordée d'une plage de sable noir.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Homme-papillon
L'homme-papillon (ou homme-phalène) (en anglais mothman) est une créature ailée mystérieuse qui aurait été observée à Point Pleasant dans l'État de la Virginie-Occidentale, aux États-Unis, en 1966.
Le concept de l'homme-phalène est né de témoignages en 1966 en Virginie-Occidentale :
des personnes prétendent avoir vu une créature humanoïde ailée aux yeux rouges flamboyants.
Plusieurs observations se seraient succédé jusqu'au 15 décembre 1967, qui voit l'effondrement du Silver Bridge de Point Pleasant, dans lequel 46 personnes trouvent la mort.
Les apparitions se raréfient après l'événement.
Dans les années 1970, l'ufologue John Keel rassemble les témoignages dans un livre intitulé The Mothman Prophecies (La Prophétie des Ombres) et propose que l'homme-phalène est une créature d'un autre monde dont la fonction serait d'avertir d’une catastrophe imminente.
D'autres auteurs comme Jeff Wamsley et Andy Colvin reprennent le thème, qui prend une dimension universelle : l'homme-phalène est identifié à de nombreuses entités d'aspect similaire, tels que les garudas asiatiques ou les oiseaux-tonnerre amérindiens, et ses apparitions sont considérées comme une des formes d'un phénomène mondial comprenant les apparitions mariales et les OVNIs.
Selon eux, cette créature a été observée et décrite de façon identique dans de nombreux pays, notamment en Chine, en URSS, au Chili, en Géorgie, et dans de nombreuses régions du Moyen-Orient.
La multiplicité de ces signalements, dont les premiers rapportés remontent au début du xixe siècle, conjuguée à des descriptions étonnamment similaires, complique les analyses des chercheurs.
Le premier témoignage concernant le prétendu homme-phalène remonte au . Ce soir-là, cinq hommes préparaient une tombe dans un petit cimetière près de Clendenin en Virginie-Occidentale (États-Unis), lorsque ce qu'ils décrivirent comme une « forme humaine brunâtre avec des ailes » prit son envol depuis un bosquet à proximité des lieux et passa au-dessus de leurs têtes. Toutefois, cette apparition ne fut pas tout de suite rendue publique ; elle ne fut reprise que trois jours plus tard par les médias américains.
Cette observation allait être suivi de nombreuses autres, toujours localisées dans la région.
Tard dans la nuit du 15 novembre, deux jeunes couples mariés de Point Pleasant, Roger et Linda Scarberry ainsi que Steve et Mary Mallette, sortirent se promener en voiture. Ils passèrent devant une usine de fabrication de TNT (datant de la Seconde Guerre mondiale) à environ 11 kilomètres à l'extérieur de Point Pleasant (à 10 kilomètres de McClintic Wildlife Station), lorsqu'ils aperçurent deux étranges lueurs rouges dans l'obscurité, à côté d'un vieux réservoir proche de la clôture de l'usine. Ils s'arrêtèrent et furent impressionnés de voir qu'il s'agissait d'yeux brillants provenant manifestement d'un gros animal, « de forme humaine, mais plus gros, peut-être six et demi ou sept pieds de hauteur (2,10 m environ) ; avec de grosses ailes rabattues sur le dos », selon Roger Scarberry.
Terrifiés, les deux couples prirent la fuite en direction de la Route 62. En prenant la sortie, ils virent encore la créature, qui se tenait sur le bas-côté de la route. Elle écarta ses ailes et s'envola, en prenant en chasse l'automobile.
Les témoins affirmèrent avoir tenté de prendre de vitesse la « chose » en roulant jusqu'à la vitesse de 100 miles par heure (environ 160 km/h), mais sans succès : la créature les suivait toujours de près et « ne battait presque pas des ailes », selon leur témoignage. Lorsqu'ils approchèrent de la ville, la créature disparut.
Ils se rendirent alors au palais de justice du Comté de Mason et racontèrent leur histoire au shérif-adjoint Millard Halstead, qui, questionné plus tard, aurait déclaré : « Je connais ces enfants depuis longtemps. Ils n'ont jamais eu de problème avec la justice et ils étaient vraiment apeurés cette nuit-là. Je les ai pris au sérieux ». Il se rendit sur les lieux de l'observation, mais ne trouva aucune trace de l'étrange créature.
La nuit suivante, le 16 novembre 1966, les citadins locaux, armés, organisèrent une battue dans la zone environnante de l'usine de TNT pour tenter de dénicher la créature. M. et Mme Raymond Wamsley, ainsi que Mme Marcella Bennett et sa fille cadette Teena partaient en voiture rendre visite à des amis, M. et Mme Ralph Thomas, qui vivaient dans un bungalow parmi les « igloos » (structures en forme de dôme érigées pour le stockage d'explosifs pendant la Seconde Guerre mondiale) se trouvant près de l'usine de TNT. Les igloos n'étaient pas vides, quelques-uns appartenaient au comté, d'autres à des entreprises qui s'en servaient comme espace de stockage. Aussitôt sortis de la voiture, ils virent une figure apparaître derrière l'automobile en stationnement. C'est à cet endroit qu'eut lieu la deuxième observation du prétendu homme phalène. Mme Bennett déclara plus tard que c'était comme si cette « chose » se relevait lentement du sol, large et grise, avec des yeux rougeoyants. Pendant que Wamsley téléphonait à la police, la créature avança sous le porche de la maison et les dévisagea au travers de la fenêtre.
Le 24 novembre, quatre personnes virent la créature voler au-dessus de la zone de l'usine TNT. Le matin du 25 novembre, Thomas Ury, qui conduisait sur la Route 62 au nord de l'usine, dit avoir vu la créature se tenir dans le champ près de la route, ouvrir ses ailes et décoller, en suivant son automobile alors qu'il filait vers Point Pleasant pour relater l'évènement au shérif.
Le 26 novembre, Mme Ruth Foster de Charleston Virginie-Occidentale, banlieue de St. Albans, dit avoir vu ce qu'on appelait déjà le mothman (homme-phalène) se tenir sur sa pelouse, mais il n'était plus là lorsque son beau-frère vérifia. Le matin du 27 novembre, la créature poursuivit une jeune femme près de Mason, Virginie-Occidentale, ce qui fut rapporté de nouveau à St. Albans la même nuit par deux enfants.
Le Silver Bridge après son effondrement, vu de l'Ohio
L'homme-phalène aurait été aperçu une autre fois le , et encore à plusieurs reprises dans l'année.
Il faut cependant considérer avec prudence les derniers témoignages, du fait de l'influence des premières observations sur la population : dans une atmosphère américaine prise de fièvre de l'irrationnel, et particulièrement à propos de la vie extra-terrestre, les derniers cas survenus à Point Pleasant semblent peu fiables.
Le 15 décembre 1967, le Silver Bridge, sur l'autoroute 35 reliant
Point Pleasant (Virginie-Occidentale) et Gallipolis (Ohio), proche du lieu des apparitions,
s'effondre dans la rivière Ohio, tuant 46 personnes, dont Marvin Wamsley.
Pour certains observateurs, l'effondrement du pont semble être en lien étroit avec les apparitions de l'homme-phalène : une des premières théories avancées suppose que la créature jouait, par ses apparitions successives à proximité du lieu de la catastrophe, le rôle d'annonciatrice de l'imminence du drame.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rencontre_de_Cussac
La rencontre de Cussac est le nom donné à une rencontre rapprochée qu'auraient eue un frère et une sœur avec un ovni et ses occupants en août 1967 à Cussac (département du Cantal)
Le récit de leur témoignage fut recueilli par la gendarmerienote 1.
L'événement se déroule le matin du 29 août 1967, au village de Cussac, La commune est située sur un plateau, à 1045 m d'altitude.
François (13 ans 1/2) et sa sœur Anne-Marie (9 ans), accompagnés de leur chien Médor
sont partis depuis 8h00 conduire une dizaine de vaches à environ 800 mètres à l'ouest du village de Cussac, au lieu-dit « Les Tuiles », dans un pré situé en bordure de la départementale 57 (reliant Les Ternes à Pont-Farin).
François se lève alors pour appeler son chien afin qu'il fasse revenir les bêtes. Ce faisant, il aperçoit de l'autre côté de la route (derrière une haie) à environ 80 m de lui,
quatre petits êtres, qu'il pense d'abord être des enfants.
Il escalade alors quelques pierres pour mieux les distinguer. Il les trouve étranges : ils sont d'un noir « soyeux », sans distinction de vêtements ou de visage.
Leur taille varie entre 1 m et 1,20 m, deux étant plus petits que les autres. Leurs bras sont longs et fins et leurs jambes courtes et fines. Leur tête semble avoir des proportions normales mais le crâne et le menton semblent plus accentués et tous semblent porter une « barbe ».
François et Anne-Marie distinguent derrière eux, à moitié cachée par la haie, une sphère extrêmement brillante, de 4 à 5 m de diamètre (Anne-Marie sous-estimera cette distance à 2 à 2,50 m comme toutes les distances qu'elle évaluait). Cette sphère est pénible à regarder, tant elle étincelle. Aucune ouverture ou porte n'est visible.
François dit : « Oh, il y a des enfants noirs ! ». Sans se retourner, sa sœur répond : « Tu les appelles ? ».
Mais lui répond : "Regarde, regarde", puis il monte sur le muret contigu pour mieux voir « les enfants noirs ». Sa sœur se lève et observe à son tour.
Un des « enfants noirs » est baissé et semble s'affairer à terre. Deux autres sont vus de profil.
Le 4e, un peu plus grand, tient un objet rectangulaire reflétant le Soleil situé derrière les témoins (que François compare à un miroir) et agite ses mains semblant faire des signes à ses compagnons : les petits êtres semblent prendre conscience d'être observés.
Le 1er s'envole à la verticale et plonge, la tête la première, dans la partie haute de la sphère. Le 2e le suit de la même manière et le 3e, après s'être relevé, fait de même.
Le 4e (le plus grand) s'élève mais, avant de plonger dans l'appareil, redescend pour ramasser quelque chose (son « miroir » estime François).
La sphère commence dès lors à s'élever selon une trajectoire hélicoïdale (4 à 6 tours dans le sens horaire vu de dessous, de rayon croissant sur 10/50/100 m, à raison de 1 tour/s environ) et les vaches commencent à beugler.
Le 4e être s'envole de nouveau et rattrape la sphère au moment où elle a déjà atteint 15 m de hauteur environ.
Les enfants distinguent sur ce dernier comme des « pieds palmés » alors qu'il est en l'air.
Anne-Marie lui remarquera aussi un « nez pointu ».
La sphère décrit encore quelques cercles, s'élevant toujours, tandis que l'intensité lumineuse qu'elle irradie s'accroît fortement. Puis, le bruit qui accompagnait le décollage de la sphère disparaît et celle-ci s'éloigne très vite en direction du nord-ouest.
En même temps, une odeur de soufre se répand et vient jusqu'aux enfants (le léger vent d'ouest correspond à la configuration objet → enfants).
Les vaches se mettent à beugler et à s'agiter. 25 vaches situées dans un pré voisin, à environ 300 m de là, beuglent aussi et viennent se rassembler près de celles de François et d'Anne-Marie.
Le chien Médor aboie après l'objet et semble vouloir le suivre. Les enfants ne voient pas l'objet disparaître, car ils sont obligés de s'occuper des vaches, très agitées.
L'observation aura duré 30 secondes. Les enfants se dépêchent de ramener les vaches à la ferme, 30 min (2 h ?) avant l'heure prévue. Dix minutes après l'observation, un agriculteur les voit sur la route en train de rentrer avec les vaches, manifestement en pleurs et en état de choc. Il constate aussi l'agitation des vaches.
François (qui a les yeux fragiles) larmoie pendant le quart d'heure qui suivra l'apparition, et le matin au réveil, pendant plusieurs jours de suite. Sa sœur (qui ne porte pas de lunettes), ne ressentira rien. Elle sera la seule à parler de 3 ou 4 béquilles droites aperçues alors que la sphère se trouvait encore au sol.
Le maire de Cussac, qui est aussi le père des enfants, voit arriver le chien Médor, puis ses enfants choqués (ordre d'arrivée qu'il décrira comme inhabituel).
Il décide d'appeler les gendarmes de Saint-Flour, à 19 km de là. Le maire les connaît bien, ce sont eux qui s'occupent des accidents de la route, et de bien d'autres problèmes, comme lui-même le fait pour ses administrés.
Les gendarmes arrivent à 16 h. Ils constatent l'odeur et une trace d'herbe légèrement jaunie, de 4 à 5 mètres, derrière la haie (le contraste s'affaiblit peu à peu dès le 1er jour). Ils recueillent les témoignages, et informent leur hiérarchie par radio. Cependant on ne retrouvera nulle trace du rapport.
Anne Marie n'arrive pas à dormir les deux jours qui suivent. Les enfants resteront choqués près d'une semaine.
Depuis ce matin du 29 août 1967, les deux frère et sœur n'ont jamais démenti, ni contredit leurs témoignages.
L'enlèvement de Pascagoula est le prétendu rapt, en 1973, de deux collègues de travail, Charles Hickson et Calvin Parker, par des extraterrestres à bord d'un vaissseau, lors d'une partie de pêche près de Pascagoula, dans le Mississippi. Cette affaire fit grand bruit aux États-Unis à l'époque.
La ville de Pascagoula est le siège du comté de Jackson, situé dans l'État du Mississippi, aux États-Unis.
Le nom Pascagoula, qui signifie « mangeur de pain », est prise à partir d'un groupe d'Amérindiens trouvé dans les villages le long de la rivière Pascagoula une certaine distance au-dessus de sa bouche.
Elle est connue notamment grâce à l'enlèvement de Pascagoula (1973) et a souffert de l'ouragan Katrina (2005).
http://ovni-extraterrestre.com/l-enlevement-de-pascagoula-mississippi-1973
Alors qu’ils regardaient, une trappe ou une porte est apparue, ET une lumière brillante s’est déversée dehors.
Un instant plus tard TROIS entités étranges ont flotté JUSTE AU-DESSUS DE L’EAU
DROIT VERS LES DEUX HOMMES.
Le témoin déclara peu après : « Quelque chose s’ouvrit. Pourtant, il n’y avait pas de porte.
TROIS créatures s’avancèrent VERS MOI EN FLOTTANT. Je ne comprenais rien à ce qui se passait. J’étais terrifié. »
Ces êtres étrantges étaient grands (environ 1,50 m) et pâles « comme des fantômes ».
Leur peau était grise et toute ridée. Ils n’avaient pas de mains, mais des sortes de « pinces de crabes ».
Dans son premier récit, Hickson déclara que les extra-terrestres avaient peut-être des fentes à l’emplacement des yeux, mais qu’il ne vit rien de précis. Par contre, il distingua de petites oreilles en forme de cône, un petit nez pointu et un trou à la place de la bouche.
Ils s’approchèrent des deux pêcheurs en flattant juste au-dessus du sol, sans bouger les jambes.
L’UNE DES CRéATURES émettait une sorte de bourdonnement.
L’ENLèVEMENT :
LES TROIS ÊTRES ont approché les hommes à UNE VITESSE étourdissante, deux d’entre eux ont saisi Hickson
ET il a ressenti une sensation cuisante dans son bras gauche.
« ILS FURENT SUR NOUS AVANT QUE NOUS AYONS PU RéAGIR » raconta HICKSON.
QUAND ils ont mis leur bras sous les deux côtés de son corps pour le soutenir il s’est senti paralysé ET engourdi.
Il a perdu toute sensation, y compris celle du poids, ET s’est RAPIDEMENT évanoui, ALORS que les deux le portaient à l’intérieur du vaisseau.
Avant de s’évanouir, il avait pu voir la troisième créature saisissant Parker, et l’adolescent d’évanouissant lorsqu’un des extra-terrestres le toucha.
Hickson a été transporté, flottant, et glissant sans mouvement vers l’engin spatial.
On l’emmena dans une pièce brillamment éclairée à l’intérieur de l’OVNI : pourtant, la lumière ne semblait venir de nullle part. Il ne pouvait toujours pas se déplacer, bien qu’il soit resté conscient.
La troisième créature emmena Parker dans une autre pièce.
Les entités ont placé Hickson dans une position étendue de 45 degrés (« position allongée »), toujours « flottant » en l’air, suspendu dans le vide.
Il était TOTALEMENT paralysé. SEULS SES YEUX étaient ENCORE MOBILES.
Un instrument qui ressemblait à un « gros œil » est sorti d’une paroi, a flotté en l’air jusqu’à 20 centimètres devant le visage de Hickson et a balayé son corps dans les deux sens avec grande précision, comme s’il le scannait ou le photographiait.
Les êtres ont retourné son corps d’un côté à l’autre plusieurs fois, comme pour s’assurer que cet « œil » « photographie » son corps entièrement.
L’ « œil » a ensuite disparu à nouveau dans le mur, où il n’était plus visible.
A ce moment Hickson ne pouvait pas voir que les êtres qu’il pensait être derrière lui, il ne pouvait pas faire fonctionner sa bouche. Il a été laissé, flottant, alors que les êtres partaient de la salle, probablement pour examiner Parker.
Cet épisode a duré quelque chose comme 15 à 40 minutes, Hickson n’est pas du tout sûr de la durée.
Il a été totalement convaincu que les êtres sont allés dans une autre pièce examiner Parker.
Puis les êtres sont à nouveau entrés dans son champ de vision.
Quelques instants plus tard, deux d’entre eux ont traîné Hickson en le soutenant (toujours en flottant), hors de l’objet, avec ses pieds traînant sur le sol, à l’endroit où ils l’avaient enlevé sur la berge du fleuve et l’ont laissé tomber négligemment sur le sol :
Ses jambes se sont dérobées et il est tombé, incapable de se tenir debout.
Il a recherché des yeux Parker, et l’a vu qui se tenait immobile avec ses bras tendus comme s’il était en état de choc.
Parker qui avait perdu et repris conscience à plusieurs reprises, se rappelait avoir été emmener vers le vaisseau, avoir entendu un bruit de sifflement et un déclic, voyant alors la lumière de l’intérieur juste avant qu’il ait été ramené en flottant au dehors.
Il a été laissé, debout, sur la berge, ne pouvant pas se déplacer, et regardant vers le fleuve.
Hickson a rampé vers Parker, qui pleurait et semblait très choqué, mais alors il s’est rendu compte qu’il pouvait se tenir debout.
Hickson a encore entendu le bruit sifflant ou soufflant, s’est tourné et a encore vu les lumières clignotantes bleues qui ont attiré son attention au début. Il a vu l’objet filer vers le haut et disparaître à environ 50 pieds en moins d’une seconde.
Puisque Calvin Parker resta la plupart du temps sans connaissance, le récit de ce qui se passa vient donc presque uniquement de Charlie Hickson.
Lors du premier interrogatoire, il déclara que l’ovni faisait à peu près 3 m de large sur 2,50 m de haut :
« Il disparut du sol, affirma-t-il, en moins d’une seconde. LES OCCUPANTS RESSEMBLAIENT à DES ROBOTS. Ils agissaient comme s’ils avaient une mission précise à accomplir. Ils n’essayèrent pas de communiquer avec nous.
Maintenant, je sais qu’ils n’avaient pas l’intention de nous faire du mal, mais, sur le moment, j’ai vraiment eu peur qu’ils nous enlèvent. Ils ne nous voulaient pas de mal, j’insiste, car c’est important. »
Peu disposé à rapporter leur expérience traumatisante, ils se sont tout de même sentis obligés d’en parler à quelqu’un :
Ils étaient vraiment convaincus que le gouvernement pourrait vouloir apprendre, ou devait apprendre,
ce qu’ils ont considéré COMME UNE INVASION EXTRA-TERRESTRE en bonne et due forme DE NOTRE PLANèTE.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Disparition_de_Travis_Walton
La disparition de Travis Walton est un enlèvement par les extraterrestres qui fut très médiatisé.
Le bûcheron Travis Walton disparut du 5 au 10 novembre 1975.
Lorsqu'il reparut, désorienté et déshydraté, il prétendit avoir été enlevé par les occupants d'un objet volant non identifié.
Walton racontera l'histoire suivante : après avoir perdu connaissance sur la route, il se réveilla dans une pièce, entouré de trois créatures d'1,50 m de haut qu'il décrira comme ressemblant à des fœtus.
Pris de panique, il repoussa violemment les trois créatures et tenta de s'échapper de la salle par une porte. Il déboucha dans une pièce plus grande où se trouvaient un siège ainsi que plusieurs leviers de commande.
Une créature, de forme beaucoup plus humaine et portant un casque, entra alors et guida poliment Walton vers une autre pièce, refusant toutefois de répondre à toutes les questions que celui-ci lui posait. À peine entré dans la nouvelle pièce, on lui passa un masque respiratoire sur le visage et il perdit de nouveau conscience.
Lorsqu'il revint à lui, il eut juste le temps de voir l'ovni disparaître.
Walton a également subi le test du détecteur de mensonge avec la même personne que pour ses cinq camarades, et sa sincérité a également été reconnue.
Depuis 1975, aucun de ces hommes n'a changé sa version des faits,
https://ovnis-direct.com/ovniilescanaries.html
Un célèbre cas de phénomènes aérospatial non identifié eut lieu dans la nuit du 22 juin 1976, au-dessus de Tenerife, La Palma et La Gomera. Il y eut de nombreux témoins et l'Armée de l'Air espagnole diligenta une enquête qui fut déclassifiée en 1994 et qui révéla qu'aucune explication rationnelle n'a été trouvée.
On eut comme titres de journaux : " des centaines de personnes observèrent un phénomène lumineux qui dura une vingtaine de minutes et fut vu au-dessus de Tenerife, La Palma et La Gomera. "
À 21:27, l'équipage du " Atrevida ", un navire d'escorte de la Marine qui se trouvait à 5,5 kilomètres au large de Punta Lantailla sur la côte de l'île de Fuerteventura, fit une observation étrange. Le capitaine du bateau a fourni une description détaillée de l'événement :
" À 21:27 le 22 juin 1976, nous avons vu une lumière jaunâtre-bleuâtre intense se déplacer au large du rivage vers notre position. D'abord nous avons pensé que c'était un avion avec ses lumières d'atterrissage. Puis, quand la lumière avait eut atteint une certaine élévation en altitude (15 - 18 degrés), elle est devenue stationnaire.
La lumière originale s'est éteinte et un faisceau lumineux a commencé à tourner. Il est resté comme ceci pendant approximativement deux minutes. Puis un grand halo intense de la lumière jaunâtre et bleuâtre s'est développé, et restée à la même position pendant 40 minutes, quoique le phénomène original n'ait été plus visible. " " Deux minutes après le grand halo, la lumière s'est séparée en deux parties, la partie plus petite étant dessous, au centre du halo lumineux, où un nuage bleu est apparu et la pièce dont le noyau bleuâtre était venu a disparu. La partie supérieure a commencé à s'élever en spiralant, rapide et irrégulière, et a finalement disparu. Aucun de ces mouvements n'a affecté le halo circulaire initial de quelque façon, qui est demeurée tout le temps inchangé, son éclairage brillant éclairant une partie de la terre et de l'océan, ce dont nous pourrions déduire que le phénomène n'était pas très loin de nous, mais bien proche ".
Trois minutes plus tard, à 21:30, beaucoup de gens dans l'île de Grande Canarie ont observé un phénomène très semblable. La majorité des témoins interviewés par l'Armée de l'Air venaient des villages de Galdar, de Las Rosas et d'Agaete. Ils étaient de différentes professions : un médecin, un professeur d'école, un fermier, un sergent, deux chauffeurs, des policiers et des ouvriers. Les journaux et des ufologues ont localisé des témoins additionnels dans les îles.
Les observations les plus significatives ont été faites par des témoins de trois villages nommés Galdar,
Las Rosas et Agaete.
Le récit le plus marquant fut celui d'un docteur et son chauffeur de taxi qui virent le phénomène d'assez près
pour remarquer la présence de deux entités dans l'engin.
À noter aussi que l'armée espagnole a montré un vif intérêt pour cette affaire.
Il s'agissait du docteur Francisco Padron Leon qui était en déplacement dans un taxi à ce moment, pour se rendre à la maison du patient qui l'avait appelé. Il vit avec le conducteur une grande sphère bleue luisante.
Le docteur regarda la sphère suffisamment longtemps pour faire un rapport très détaillé de l'objet inconnu.
Il la décrivit comme ayant un rayon de 100 pieds, avec la partie inférieure l'intérieur de la boule ayant une plate-
forme faite d'un matériau semblable à l'aluminium.
Deux grands êtres extraterrestres, de 8 à 10 pieds de haut, pilotaient la plate-forme,
ou contrôlaient le centre de la sphère, chacun d'un côté.
Les êtres portaient des vêtements d'une couleur rouge, et se regardaient directement l'un et l'autre en effectuant
leur tâche.
Les êtres étaient de forme humanoïde, avec des têtes disproportionnées, grandes par rapport au reste de leurs corps. Ils portaient un casque.
Le docteur parvint à glaner une si bonne description des êtres et de la plate-forme parce que la sphère était totalement transparente. Il put voir des étoiles à travers la sphère. Alors qu'il la regardait, elle commença à devenir de plus en plus grande et à s'éloigner de l'île vers la ville de Tenerife. Après avoir atteint sa taille ultime, elle se dissolu alors en une petite taille avant de disparaître.
Une voisine qui vivait près du patient du docteur, et qui regardait la télévision, vit son écran ne plus rien afficher, et entendit ses chiens aboyer fortement dehors. Elle courut à une fenêtre pour voir ce qui se passait, et vit le taxi du docteur, et la sphère, dans laquelle elle rapportera à son tour avoir distingué 2 personnages.
Las Rosas est un nom de lieu notamment porté par :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Province_de_Santa_Fe
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Notre-Dame-du-Rosaire_(Rosario)
La basilique-cathédrale Notre-Dame-du-Rosaire (Basílica Catedral de Nuestra Señora del Rosario)
est la basilique mineure et cathédrale dédiée à la Vierge du Rosaire de la ville de Rosario,
dans la province de Santa Fe en Argentine. C’est le siège épiscopal de l’archidiocèse de Rosario.
La cathédrale est située dans la partie la plus ancienne de la ville, au 789 de la rue Buenos Aires, à côté du Palacio de los Leones (Palais des Lions).
La première paroisse de Rosario fut construite sur ce site en 1731.
Une statue de la Vierge du Rosaire fut amenée depuis Cadix en Espagne en 1773.
La basilique-cathédrale date de la fin du xixe siècle. En 1880 le curé de la paroisse de Nuestra Señora del Rosario, Fray Diego Giménez, débuta d'importants travaux d'agrandissement de son église, qui était déjà la plus importante de la ville. Deux ans plus tard Fray Manuel Córdoba, son successeur, continua les travaux. C'est l'architecte Juan B. Arnaldi qui se chargea de ce projet important. Il modifia le portique et les deux tours de la façade, agrandit le vaisseau transversal, le baptistère, le presbytère et construisit la superbe coupole.
Et le 7 décembre 1888, à l'époque où Manuel Córdoba en était le curé, on inaugura la nouvelle église.
C'est le 20 avril 1934, qu'une bulle papale de Pie XI établit la promotion de l'Iglesia Matriz de la Beata María Virgen
del Santísimo Rosario (Église mère de la Bienheureuse Marie Vierge du Très Saint Rosaire) en cathédrale et siège
épiscopal du nouveau diocèse de Rosario.
La cathédrale est construite sous la forme d'une croix latine avec transept et croisée du transept.
Cette dernière est surmontée d'une coupole, montée sur un très haut tambour percé de larges fenêtres ornées de beaux vitraux.
La nef principale présente une décoration abondante sur sa voûte, représentant Nuestra Señora
del Santísimo Rosario de Pompeya (Notre Dame du très saint Rosaire de Pompeya),
peinte par les frères Monti.
Grâce au don de sept mille pesos, de la part du gouvernement de la province de Santa Fe en 1888, on décida d'acheter les orgues actuelles. Cet instrument fut construit par Giacomo Locatelli en Italie et arriva è Rosario en 1911.
Son superbe autel est également originaire d'Italie et fut fabriqué en marbre de Carrare.
L'archevêque Silvino Martínez est enterré à l'intérieur du sanctuaire.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_d%27Allagash
L'affaire d'Allagash, qui eut lieu aux États-Unis en 1976, est un cas allégué d'enlèvement par des extraterrestres.
Dans la nuit du 20 août 1976, dans le Maine, quatre hommes jeunes, les deux frères Jack et Jim Weiner, Chuck Rak et Charlie Foltz, se trouvent en canoë sur un lac près d'Allagash et de la frontière canadienne1.
Soudain, ils aperçoivent une lumière verte qui vole au-dessus des arbres à plusieurs centaines de mètres.
Un rayon clair absorbe les hommes choqués à l'intérieur de l'objet2.
Après quelque temps, ils se retrouvent au bord du lac, tandis que l'objet quitte les lieux3.
Après cette expérience, les hommes font des cauchemars terrifiants, dans lesquels ils voient
des créatures humanoïdes avec des grandes têtes et de longs bras4.
À l'instigation d'un ufologue, ils se font hypnotiser, ce qui dévoile une vérité brutale :
Après leur enlèvement, ils auraient été victimes d'expérimentations douloureuses et humiliantes menées
par des créatures extraterrestres qui ressemblent à la description générale des « Petit-Gris », avec quatre doigts
en chaque main5. Ces êtres horrifiants auraient même prélevé des échantillons de leur peau et de leurs fluides
corporels6.
Les enquêteurs ont rapporté que les quatre hommes étaient « mentalement stables ». Ils ont aussi passé au détecteur de mensonge avec succès6.
https://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/Allagash/
La nuit du vendredi 20 août 1976, 4 jeunes étudiants en art au début de la vingtaine quittent Boston (Massachusetts) pour un voyage de canoé et camping dans une zone sauvage le long de la rivière Allagash (Maine). Le groupe est constitué de jumeaux identiques, Jack et Jim Weiner, Charlie Foltz et Charles "Chuck" Rak. En arrivant à un point de d'étape, ils louent un avion de ponton qui les emporte avec leurs canoés au lac de Telos sur la trajectoire de l'Allagash, dans le nord du Maine.
Au cours des jours suivants les font du canöé et campent le long de la rivière.
Le soir du , ils atteignent le lac Eagle, installent un camp et décident d'aller à la pêche à la truite de nuit. L'obscurité pitch du secteur nécessite la construction d'une énorme feu pour marquer leur campement de sorte qu'ils puissent retrouver leur chemin au retour.
Peu après avoir commencé à pêcher, Chuck a la sensation d'être observé. Je me suis tourné dans la direction où je le ressentais et je vis une grande sphère de lumière colorée, immobile dans les airs, sans un bruit, entre 61 m et 91 m au-dessus de la bordure sud-est de la crique.
Chuck appelle les autres pour qu'ils regardent derrière eux. Là, s'élevant au-dessus des arbres se trouve un énorme objet ovale luisant. Alors que leurs yeux s'adaptent à sa brillance intense, un mouvement gyroscopique est remarqué, comme si des chemins d'énergie fluctuaient équatoriellement et longitudinallement de pôle en pôle. Ceci divise la sphère en 4 quadrants oscillants de lumière brillante colorée. Les changements de couleur sont très liquides et envelopants, comme si l'objet entier avec un mouvement plasmatique, comme le fait une sauce épaisse quand elle commence à bouillir.
Charlie attrape une lampe-torche et la fait clignoter sur l'objet. Instantanément, l'énorme objet luisant en ascension fait un arrêt brusque et commence à lentement approcher du canoë. En même temps, un rayon de lumière en forme de tube sort de l'objet et touche l'eau. Sur la surface de l'eau se reflète un anneau luisant, avec un centre sombre. L'objet et son rayon de lumière commençent à se déplacer vers le canoë. Terrifiés, les campeurs commençent à pagayer frénétiquement vers leur feu et le camp qui s'y trouve tandis que le grand rayon balaie le lac directement sur eux et les englobe.
A partir de ce moment les souvenirs conscients des 4 protagonistes varient.
La chose suivante dont se souvient Charlie est d'avoir pagayé vers la berge puis d'être resté au site du campement avec les autres, regardant l'objet s'éloigner.
Chuck Rak, lui, se souvient être resté dans le canoë après que les autres se soient alignés dehors en panique sur la berge.
Transfixed, tenant toujours sa pagaie immobile, il ne parvenait pas à se détourner de l'objet.
Jack et Jim, les 2 jumeaux, ont un peu plus de souvenirs conscients. Jack raconte : Il était juste derrière nous et je pouvais voir que nous n'arriverions jamais à distancer le rayon. Il avançait trop vite et je me souviens avoir pensé, "Putain ! C'est là ! On ne va jamais s'en sortir". La seule chose que je sais après, c'est que nous étions sur la berge, sortis du canoë et regardant directement l'objet, qui était maintenant à 20 ou 30 pieds au-dessus de l'eau. Le rayon sortait de sa base comme si l'objet était assis sur le rayon. Il était en survol là, juste devant nous, totalement silencieux pendant ce qui sembla être .
Soudain le rayon pointa vers le ciel. L'objet commença à monter vers le haut, s'éloignant de nous vers le ciel du sud-ouest puis fonça dans les étoiles et fut parti en une seconde.
Jim Weiner, lui, raconte : Il n'y avait pas de doute qu'il venait directement vers nous. Puis je me souviens de moi me tenant sur la berge du lac, et regardant l'objet en l'air au-dessus du lac, entre 50 et 75 yards devant nous... Puis le rayon de recherche partit vers le haut au ciel et nous le vîmes partir au loin à une vitesse énorme. Nous semblions tous être dans un état de choc... Nous restions là, tout simplement incapables de bouger ou de parler.
Lorsque l'étrange effet anesthésiant disparût, Chuck sortit du canoë et rejoignit les autres alors qu'ils marchaient rêveusement le long de la plage vers leur camp.
Même dans cet état, ils se trouvèrent bêtes en réalisant ce qui était arrivé à l'énorme feu qui était encore en train
de flamber il y a quelques minutes.
Lorsque nous sommes partis pour pêcher
, dit Jim, nous avons installé de très gros troncs sur le feu pour brûler
pendant . L'événement entier sembla durer, au plus, .
Cependant le feu avait tout brûlé jusqu'aux braises
.
A ce moment, ils n'avaient aucun souvenir de ce qui était arrivé durant le temps qu'il prit à leur énorme feu
pour tout brûler. Cela restera un mystère pour eux pendant des années.
Quelques années plus tard, Jim souffre d'une blessure à la tête qui lui cause une épilepsie tempero-limbique.
Durant le traitement, les médecins de Jim lui demandent de signaler tous vécus inhabituels qui pourraient être symptomatiques de sa condition.
Jim décrit les événements étranges que lui et ses amis ont vécu depuis la rencontre avec l'ovni.
Ceux-ci incluent le réveil en pleine nuit pour voir des créatures étranges, la lévitation depuis le lit
et une paralysie temporaire pendant que quelque chose est effectué sur les organes génitaux.
Il décrit aussi leur rencontre avec l'ovni et la période de temps manquant.
Les médecins de Jim lui conseillent de contacter un chercheur sur les ovnis, pensant que Jim et ses amis
pourraient avoir été impliqués dans une expérience d'enlèvement par un ovni.
Jim contacte Raymond E. Fowler à l'occasion d'une de ses conférences dans la région de Boston.
En janvier 1989, Raymond E. Fowler initie une enquête formelle (avec David F. Webb, un enquêteur du MUFON et spécialiste des RR3/RR4, ainsi qu'avec Anthony (Tony) Constantino, un hypnothérapeute professionnel et consultant du MUFON), qui va être menée pendant 24 mois.
A l'évidence une période de temps manquant doit être intercalée entre l'observation de l'objet et le moment
où la berge a été rejointe.
Le rayon de lumière touchant le canoë semble être le point de division entre mémoire et amnésie.
Au cours de la 1ère d'une longue série de sessions d'hypnose, il est décidé de se concentrer sur ce segment
de la rencontre.
Sous hypnose, les 4 témoins revivent les expériences détaillées et traumatisantes d'enlèvement à bord de l'ovni durant la période du temps manquant.
Tous sont transférés de leur canoë dans l'ovni par le rayon de lumière en forme de tube creux.
A bord, ils rencontrent des créatures humanoïdes étranges qui excerçent une sorte de contrôle mental sur eux
de sorte qu'ils ne peuvent résister à leurs demandes.
Tous sont amenés à se déshabillier et s'asseoir sur un banc d'apparence plastique dans une zone éclairée par une lumière blanche diffuse.
Après avoir regardé leurs yeux et dans leurs bouches avec une tige de la taille d'un stylo avec une lumière à son extrêmité, les aliens les placent dans un harnais et plient leurs bras et jambes.
Puis, un par un on les fait s'étendre sur une table où chacun est examiné par un certain nombre d'instruments étranges semblables à des machines tenus à la main et plus grands qui sont abaissés au-dessus de leurs corps. Durant cette partie de l'examen, les entités alien extraient des échantillons de salive, raclures de peau, sang, sels, urine et sperme de chacun des enlevés.
Après les examens, les enlevés sont amenés à se rhabiller et entrer dans une autre salle ayant un portique rond dans un de ses murs. Ils sont alignés et amenés à marcher à travers le portique.
Des sensations étranges surgissent à travers leurs corps alors qu'ils se trouvent en train de descendre en flottant le long du rayon de lumière creux dans leur canoë qui est maintenant en eaux peu profondes près du site de leur campement.
La lumière semblable à un tube semble maintenir le canoë stable alors que chacun est placé dedans dans les mêmes positions assises où ils étaient avant l'enlèvement.
Les sessions d'hypnose se poursuivant, plus de détails sont récupérés sur leur vécu à bord.
Egalement, on découvre que les jumeaux ont été visités dans leur chambre à coucher par des créatures extraterrestres
et ont vécu des enlèvements dès leur prime enfance. Ces expériences sont revécues en détails vivaces sous hypnose.
Au cours de l'enquête, un événement extraordinaire a lieu. Jack et sa femme Mary furent enlevés
depuis leur maison éloignée en montagne à Townshend (Vermont).
Durant la nuit du vendredi 20 mai 1988, le chien de Jack le réveilla lorsqu'il gratta à la porte voulant sortir pour se soulager.
Lorsque Jack se leva pour le mettre dehors, il fut choqué de voir une lumière bleue luir à travers la fenêtre de la cuisine.
Il sortit dehors et vit un objet luisant en survol au-dessus du champ adjaçent à sa maison. Il décida de ramener le chien
à l'intérieur.
Dans le matin, il pensa avoir rêvé le tout.
Cependant, sous hypnose, il revit un événement d'enlèvement partagé avec sa femme en détail minute par minute.
Mary ne se souvient que d'avoir rêvé d'un dain avec de grands yeux venant à côté de leur lit. Elle ne répond pas à l'hypnose.
Ce qui suit est un extrait des sessions d'hypnose de Jack :
C'est bleu. Une lumière bleue. Et je pense, "C'est drôle. Ce n'est pas la Lune". Et puis je vais à la fenêtre et je regarde à travers la fenêtre et ce que je vois est étonnant. Je vois une grosse lumière brillante et c'est juste au-dessus du camion dans le terrain à l'extérieur de la maison. Et je pense, "Oh mon dieu ! Je ne peux pas le croire !" Et je dis alors, "Marie, lève-toi. Lève-toi et regarde !" Et je cours à la porte et sort dehors et je cours vers la lumière dans le champ... Puis je vois le chien courrir à côté de moi... Et alors je le ramasse et cours retourner à la maison... La lumière est toujours là et se déplace... Et alors je remets le chien dans le ciel et je pense, "Je ne veux pas faire çà. Je ne veux pas faire çà maintenant !" Je ne veux pas regarder la lumière... Alors je retourne au lit... Et je pense, "Je ne veux pas m'occuper de çà maintenant. Pourquoi sont-ils là maintenant ?" Et j'ai peur... alors je mets les couvertures sur ma tête... et Marie est à côté de moi.
Et alors je sais, je sais que quelque chose est dans la maison. Je sais tout simplement qu'ils sont là
et je suis sous les couvertures et pense "Oh Dieu, oh Dieu ! Pourquoi sont-ils là maintenant ?
Je ne veux pas que ça arrive". (Sanglots) Et alors les couvertures bougent et je sens quelque chose sur la couverture... Et puis les couvertures sont tombées et je regarde là et j'avais raison. Ils sont juste là ! Oh Dieu ! Ils sont juste là, juste à côté de mon lit... Ca a des gros yeux et une grosse tête et c'est sombre et il y a de la lumière derrière qui vient de la porte. Et ça enlève les couvertures et je ne veux pas regarder...
Et je regarde Marie... Il y en a 1 autre là et il est près de Marie. Et je voudrais pouvoir faire quelque chose mais je ne peux pas. Je dois faire ce qu'ils veulent. Et la lumière est là-bas et ils veulent que je sorte là-bas... Ils me soulèvent. Mary est réveillée et ils nous font bouger vers la lumière... Et le chien ne fait rien. Nous passons par la porte... Nous marchons jusqu'à la pelouse et je me sens comme si je flottais... nos pieds sont sur le sol, mais mes pieds ne font pas ce que je veux qu'ils fassent.
Jack et Mary furent amenés pour se tenir devant un énorme objet luisant de la taille d'une maison posé sur une lumière bleue enveloppant sa base. La lueur autour de l'objet lui-même change est faite de couleurs changeant du blanc au jaune à l'orange et au pourpre et de retour au blanc. Aucun bruit n'émane de l'objet, mais l'air est empli d'une odeur acre d'ozone.
Puis, Jack et Mary sont amenés à marcher dans la lumière bleue sous l'objet.
Instantanément, ils sont transferrés à l'intérieur de l'objet luisant.
Mary est séparée de Jack, qui subit des examinations similaires à celles que lui et ses amis avaient vécu 12 ans plus tôt.
Après l'examen, Mary rejoint Jack et ils sont littéralement transportés en flottant à travers la pelouse depuis l'appareil vers la maison,
à travers la porte d'entrée non ouverte et vers leur chambre à coucher, où ils furent remis au lit dans un état étrange de léthargie.
Cette expérience laisse des éléments physiques derrière sous la forme de brûlures sous le pied de Jack.
Jack a également reçu une marque scoop comme d'une biopsie au-dessus de sa cheville lors d'un autre enlèvement. La marque de scoop était située juste au-dessus d'une cicatrice laissée par une opération pour un grosseur anormal qui était apparu pendant la nuit sur la jambe de Jack plusieurs années auparavant. Le médecin local de Jack pensa qu'il s'agissait d'un kyste, mais fut incapable de le drainer et renvoya alors Jack vers un chirurgien qui l'enleva.
On dit à Jack que des pathologistes locaux ne savaient pas ce que c'était et que cela avait été envoyé au Center for Disease Control à Atlanta (Georgie), pour analyse complémentaire.
Cependant, lorsque l'équipe de Fowler examina le dossier médical de Jack, elle trouva qu'il avait été envoyé
à des pathologistes militaires à Washington, D.C., où il fut examiné par un colonel de l'USAF.
Des tentatives pour obtenir plus d'informations sur la grosseur anormale furent contrecarrées, le chirurgien ne voulant pas coopérer avec Fowler et son équipe.
Au cours de l'enquête Fowler et son équipe procédèrent à des vérifications du passé du témoin, examinèrent les dossiers et journaux médicaux, recoupa le témoignage du témoin, coordina les tests de profil psychologique du témoin, correla les récits du témoin avec d'autres rapports et conduit 15 sessions d'hypnose sur une période de 14 mois.
Le rapport final de 10 volumes totalisait plus de 700 pages.
Il fut rendu accessibles aux chercheurs sur les ovnis et devint la base d'un livre sur les enlèvements ovni
devant être publié par Time-Life et plusieurs documentaires télévisés.
L'enquête de Fowler conclut que le caractère moral des témoins, le revécu graphic de leurs expériences sous hypnose et les extraordinaires corrélations entre leur expérience et celle des autres aurait fourni une démonstration criante que leurs vécus étaient de nature objective.
De tels éléments combinés aux effets physiques typiques sur les corps des témoins ont amené Fowler à évaluer ce cas dans la catégorie des plus significatifs 2 .
Dans la nuit du 18 au 19 septembre 1976 a lieu le célèbre et spectaculaire incident de Téhéran (Iran),
lors duquel deux chasseurs poursuivent un objet en forme de grosse étoile lumineuse,
plusieurs chasseurs acquièrent leurs objectifs
mais un dysfonctionnement général des systèmes d'armes et de communication les obligent
à mettre fin à leur poursuite.
https://lesavoirperdudesanciens.com/2016/01/colares-1977-quand-la-realite-depasse/
En 1977, l’île Brésilienne de Colares est visitée par des objets volants inconnus. Cela dure des mois.
On voit tous les jours toutes sortes d’engins de toutes tailles et de toutes formes, arrivant par le Nord, depuis le ciel ou sortant des eaux.
35 habitants de l’île sont blessés par des rayons dirigés sur eux. Des rayons qui laissent des marques de perforation sur la peau.
Très vite, on parle d’ovnis « suceur de sang » ; le mythe des « vampires de l’espace » revient en mémoire et s’impose à la population…
On compte au moins deux décès dont la cause est directement imputable au phénomène.
L’armée intervient ; la presse s’empare de l’affaire… Finalement, devant la menace, les habitants sont contraints d’évacuer l’île.
Les événements dont nous allons parler se sont principalement concentrés sur la ville de Colares, une île d’environ 2000 habitants qui se trouve dans l’Etat du Pará, dans le delta du fleuve Amazone sur la côte Nord-Est du Brésil.
Mais les manifestations se sont étendues bien au-delà de l’île, et c’est la région toute entière qui fut confrontée au phénomène que les autochtones ne tardèrent pas à nommer Chupa-chupa (traduire par « sucer, sucer »).
Tout commence en août 1977. Des objets lumineux apparaissent au-dessus des
quelques villes de la région, projetant de minces rayons lumineux vers les habitants.
Les personnes touchées s’évanouissent. A leur réveil les victimes se plaignent d’une anémie étrange,
comme si une partie de leur sang avait été prélevée.
Le pêcheur Manoel João de Oliveira Filho, âgé de 44 ans, marié et résidant rue Carneiro de Mendonça, flânait tôt ce matin là, avec quelques compagnons, en attendant de commencer sa journée de pêche en mer.
Tout à coup les hommes voient au dessus de la plage de Rio Novo, un objet en forme de parapluie qui est stationnaire à environ 4 mètres du sol.
Aucun bruit n’est audible depuis l’endroit où se tiennent les pêcheurs.
Le dessous de l’objet émet une lumière vive de couleur blanche. Puis la lumière s’éteint. L’objet s’éloigne en silence vers Machadinho.
Un charpentier du nom de João Dias Costa âgé de 44 ans et un pêcheur nommé João Da Cruz Silva, 54 ans, tous les deux résidants de la ville de Colares, voient des « sphères lumineuses ».
(Joao : Ce prénom masculin vient de l’hébreu « yo et hânan » pouvant être traduits par « Dieu est miséricordieux ».)
Ils sont très effrayés car celles-ci passent si près de leur embarcation qu’elles manquent de les faire chavirer.
Un autre homme de la ville de Colares, Zarcarias Dos Santos Barata, 74 ans, a observé des boules incandescentes à deux reprises.
La première nuit, l’objet semblait venir du comté de Marajó. Il disparaît rapidement vers l’intérieur de l’île.
La deuxième nuit, une boule de couleurs bleues vole au-dessus du terrain de football local.
Elle éclaire tous les arbres autour du terrain avant de filer vers le centre ville.
Le Senor Sebastião Vernek « Zizi » Miranda décrit ainsi son expérience :
« J’étais là avec mon épouse, devant l’église sur le front de mer, quand vers 20:00, nous avons vu une lumière intense, orangée, arriver de la mer vers la ville.
Elle s’est approchée tout en s’élevant dans le ciel. Puis, accélérant rapidement,
elle a disparu vers la partie intérieure de l’île ».
Le coiffeur Carlos Cardoso de Paula, âgé de 49 ans, a eu une rencontre rapprochée avec ces « lumières » :
« Tout le monde était endormi. J’étais en train de fumer une dernière cigarette quand soudain une boule de feu est entrée dans notre maison.
Elle a commencé à tourner en rond dans la salle et puis elle s’est approchée de mon hamac.
Elle est remontée le haut de ma jambe droite jusqu’à mon genou (sans toucher ma peau). J’ai observé avec beaucoup de curiosité pendant qu’elle se déplaçait vers mon autre jambe.
Alors j’ai commencé à me sentir faible et somnolent. Ma cigarette est tombée de ma main et je suis sorti en criant.
La lumière a rapidement disparu et tout le monde s’est réveillé. Je pense qu’elle avait recherché une veine dans mon corps mais n’est pas parvenue à la trouver.
Pendant que son éclat croissait j’ai senti une sorte de chaleur qui émanait d’elle ».
Connu pour sa compétence dans la réparation des filets de pêche, l’ouvrier Raimundo Costa Leite se souvient lui aussi :
« A environ quatre heures du matin, je suis allé pêcher avec mon ami « Baixinho »
(Orivaldo Malaquias Pinheiro) au large de la plage de Cajueiro.
Je me rappelle que « Baixinho » a crié « regarde ! Il est là ! » et a pris ses jambes à son cou, me laissant seul sur la plage.
L’engin était de la taille et de la forme d’un hélicoptère. Il ne faisait aucun bruit, et il volait très haut.
« Le 20 Octobre, rapporte le journal régional, trois femmes ont été frappées à la poitrine par les faisceaux lumineux.
Toutes trois ont été atteintes d’une tension nerveuse énorme et d’une sorte inconnue de lassitude. C’était comme si elles recevaient des décharges électriques constantes ».
Dans la soirée du 29 Octobre, Benedito Campos et son épouse, Silvia Mara, ont vécu une aventure des plus traumatisante.
Ils étaient à leur domicile quand ils ont remarqué un objet ovale et argenté émettant un faisceau de lumière verdâtre dans la salle où ils se trouvaient.
Très étonnés, ils se sont rapprochés de la fenêtre, et, au moment où ils faisaient cela, un rayon atteignit Silvia, la jetant
dans une sorte d’état de transe. Silvia, qui était enceinte, s’est évanouie aussitôt.
Deux entités sont alors apparues dans la maison, portant une sorte de torche dorée. Le faisceau a de nouveau frappé Silvia, cette fois dans le bras gauche au niveau du poignet.
Ses veines ont semblé se soulever comme gonflées par la lumière qui les frappait.
Plus tard, alors qu’il se rendait en catastrophe chez un voisin, Benedito a été à son tour brièvement paralysé par un rayon lumineux.
Craignant la perte du bébé à naître, le couple a été transporté de nuit par bâteau à la clinique médicale de Mosqueiro, suivi pendant tout le trajet par l’ovni. Ils sont restés là-bas pendant trois jours.
Le temps pour Silvia de récupérer. Benedito quant à lui traversa un état dépressif qui se prolongea quelques mois.
L’activité des ovnis au-dessus de l’île de Colares était si intense que les gens ont commencé à croire que les « Chupa-chupas » essayaient d’établir un contact avec eux.
http://www.paranormal-encyclopedie.com/wiki/Articles/Affaire_d_Emilcin
Le monde des ufologues se divise entre différents courants préoccupés par la thèse du « Watergate cosmique », les théories sur Roswell, le grand complot contre la vérité, les théories politiques ou agnostiques.
En 1996 plusieurs personnes sont témoins de l'écrasement violent d'un OVNI près de la ville de Varginha, au Brésil. Les pompiers municipaux, et ensuite l'armée, interviennent et s'interposent. Dans les jours qui suivent, d'autres personnes rencontrent des êtres non-terrestres tentant de se cacher ou de s'enfuir au quatre coins de la ville.
L'armée, puis des agents en civils se livrent à une véritable traque, capturant voire tuant ces êtres, dont certains sont de toute évidence blessés. L'un d'entre eux est autopsié à l'hôpital de la ville, puis emmené en d'autres lieux.
Les événements font grand bruit et sont rapportés par la télévision Mexicaine, puis font le tour du monde.
En mai 1997, un scientifique accusé d'avoir participé à l'autopsie des aliens décédés déclare qu'il ne pourra s'exprimer sur le sujet que dans quelques années.
En juin 1997, 15 témoins acceptent de parler et confirment l'implication de l'armée Brésilienne dans la capture des extra-terrestres. Un autre témoin rapporte qu'on lui a offert de l'argent pour se taire. (...)
Témoignages
(...) Le discours tenu par les jeunes filles à l'ufologue Ubirijara Franco Rodrigues est sans ambiguïtés: elles sont persuadées d'avoir rencontré le diable en personne; la "créature" portait trois bosses sur le front et ressemblait à un démon. Terrifiées, elles ont aussitôt pris leurs jambes à leur cou et traversé le parc pour se réfugier chez la mère de deux d'entre elles. Entre-temps, alertés par des habitants du quartiers, paniqués par l'apparition, les pompiers et les militaires sont arrivés sur place. La capture va être moins discrète que celle du matin: c'est sous les yeux d'une petite foule rassemblée dans la rue que la créature, qui semble elle aussi bien mal en point, sera encagée, puis disparaîtra, chargée dans un camion de l'armée. (...)
(..) Ce n'était ni animal, ni humain, c'était une chose horrible dira Katia.(...)
(...) "Il était brun, il avait les yeux rouges, sa peau était luisante, comme... - cela semblait être une huile, et il avait trois cornes." (...)
(...) Le reste était la même description: la peau brune, brillante et huileuse, un visage arrondi, des yeux rouges, et pas de joues, ni barbe, ni moustache ou nez, et à l'emplacement où nous avons nos lèvres il y avait seulement une découpe.
(...) Quand les pompiers arrivérent sur les lieux,il y avait plusieurs adultes et plusieurs enfants présents qui virent la scéne de la capture. Des enfants jetaient des pierres à la créature. Des militaires se trouvaient déja là. Les Pompiers capturérent la créature avec un lasso. Ils portaient des gants et avaient peur d'eventuels radiations. La créature ne fit aucun geste et se laissa attraper sans résistances. Elle émettait un bruit comme le "BZZZZZ..." d'une abeille. (...)
Trois jeunes filles, Katia Andrade Xavier, Liliane Fatima da Silva et Valquiria Aparecida da Silva, qui revenaient chez elles a pied, a trois patés de maisons d’où les Pompiers capturèrent la premier être, virent une créature appuyée contre un mur. Elles furent trés effrayées. La créature était de couleur marron, avait la peau huileuse, une téte chauve avec trois cornes, de gros yeux rouges globuleux, deux bras et deux jambes. La créature se tenait prostrée le long du mur,avec les bras entre les jambes.
Quand elle fit un léger mouvement de téte, les trois filles partirent en courant chez elles , en pleurant de peur, et racontèrent toute l'histoire à la mére de deux des filles. Le groupe S2 (unité spéciale Brésillienne) captura la créature (la quatrième donc), et l'emmena à l'Hopital Régional. Lorsque la mére des filles arriva sur les lieux il n'y avait plus rien, juste une odeur bizarre dans l'air. Plusieurs jours plus tard, des hommes en costumes vinrent chez les jeunes filles et leurs proposèrent une forte somme d'argent en échange de leur silence. Elles refusèrent. (...)
Cette affaire fit un mort
Un jeune soldat, qui avait touché sans protection une des créatures lors de la capture, décéda un mois plus tard d'une maladie inconnue, style infection généralisée.
(...) Moins d'un mois après l'incident, le policier militaire Marco Eli Chereze, alors 23 ans, a succombé à une infection multiple sans cause apparente. “Il doit avoir été infecté quand il a touché la créature”, (...)
Des agents spéciaux venues des États-Unis arrivèrent rapidement sur place et emportèrent les créatures.
LA RENCONTRE DE VARGINHA
Extrait du site : http://www.lionelherbert.fr/ovni--trois-affaires-bresiliennes
Dans la nuit du 19 au 20 janvier 1996, à 0 heure, le NORAD (commandement de la défense aérospatiale en Amérique du Nord) avertit le CINDACTA, son homologue brésilien, qu’un objet non identifié a été repéré depuis le Colorado, et descend en ligne droite vers le Brésil, l’Etat du Gerais plus particulièrement. La base aérienne brésilienne VI COMAR, mise en alerte, fait décoller des appareils ; comme, dans le cadre de l’alliance, une base américaine la jouxte, des appareils de l’US Air Force prennent aussi l’air.
En en effet, des centaines de témoins voient des ovnis survoler la ville de Varginha, ville minière de 130 000 habitants dans cet Etat du Sud-ouest brésilien. Plusieurs les filment ou les photographies. L’un des films amateurs montre un des objets en difficulté. D’abord sous forme de boule lumineuse blanche, il apparait bientôt sous l’aspect d’un « cigare » qui descend avec des mouvements erratiques.
Dans une ferme située entre Varginha et Tres Coracoes, Augusta et Enrique Rodrigues sont réveillés à 1 heure environ par les cris de leurs vaches et de leurs moutons, qui semblent paniqués. Sortant, ils voient un objet en forme de sous-marin, de la taille d’un minibus, qui descend à 5 mètres du sol. Il est déchiqueté et perd des éléments qui tombent à terre, et semble « trembler » en produisant de la fumée ou de la vapeur. Le couple avertit la police militaire qui débarque et établit un périmètre de sécurité. Les habitants du hameau assistent à un ballet d’hélicoptères et à un aller et retour de véhicules militaires. Des forces spéciales américaines, les Bérets Verts, sont également présents, alors que leur base la plus proche est à Panama.
Trois témoins voient l’Armée ramasser l’objet, chargé sur un camion, et ramasser avec soin les moindres débris. Ce sont John Carpenter, un touriste américain, Carlos De Souza, un entrepreneur de passage en camionnette, et Enrique Rodrigues. Tous ont été refoulés de la zone par les militaires en différents endroits, et tous observent les évènements cachés. Carpenter fait la même description que le fermier : une espèce de sous-marin tremblotant, qui fait de la fumée. Une grue est utilisée pour le charger, et les soldats se servent de détecteurs de métaux pour trouver le moindre morceau d’un métal tordu et apparemment léger.
Le lendemain à 8 heures un homme appelle anonymement les pompiers de Varginha : un animal bizarre se trouve dans le jardin public Andere. Les pompiers ne semblent pas très motivés par cette présence : ils n’arrivent qu’à 10 heures. Deux personnes, l’étudiant de 20 ans Hildo Lucio Galvino et un couvreur, Henrique José, depuis un toit, voient la même chose. Les pompiers capturent au filet une créature d’environ 1 mètre, à peau huileuse, aux yeux rouges, avec trois bosses sur le front, une petite bouche, des mains à trois doigts. Dégageant une odeur d’ammoniaque, accroupie et émettant un bourdonnement d’abeilles, la créature semble passive. Des militaires arrivent, et la prennent en charge. On saura qu’elle est emmenée à l’école des sous-officiers de Tres Coracoes sur ordre du général Sergio Coelho Lima.
A 14 heures un autre témoin voit des soldats en tenue de combat pénétrer dans un bois ; il pense à en exercice. Puis il entend des coups de feu, et les voit ressortir en portant des sacs. Le groupe est formé du colonel Olimpio Wanderley, du capitaine Ramires, du lieutenant Tiberio, du major Maciel, du sergent Pedrosa des services secrets, du caporal Civilo, du caporal Chereze, des soldats Vassalo et de Mello. Ce sont des policiers militaires.
A 15 heures 30 les autorités sont alertées par une femme ; ses filles et une amie ont surpris « le diable » : une créature semblable à celle vue dans le jardin Andere. Elles reviennent d’un déménagement, et passent par un lotissement en friche pour rejoindre leur quartier, Santana. Blottie
https://fr.wikipedia.org/wiki/Varginha
Varginha
Surnom : "Princesa do Sul" "PRINCESSE DU SUD"
Varginha est une ville et une municipalité dans l'État du Minas Gerais de sud-ouest du Brésil.
La ville a un emplacement stratégique et, avec les rives du lac de Furnas,
tandis équidistant des trois principales capitales du Brésil, Sao Paulo, Rio de Janeiro et Belo Horizonte
Le phénomène OVNI a tellement été ridiculisé qu'il est de bon ton de sourire dès que l'on en parle pour paraître savant et non crédule, rationnel et intelligent. Le corollaire de cette attitude est que si l'on en parle sérieusement, on est un naïf ou un imbécile.
Dans quelle catégorie classerez-vous les hommes qui ont fait ces déclarations ?
http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/ovni.html
Des OVNI a été filmé entrant dans le volcan Popocatepetl au Mexique
Messages donnés à Véronica Lueken (USA 1978)
Jésus : Je vous avise maintenant: tous ceux-là, ce qu'on appelle des soucoupes volantes, Mes enfants, ne sont pas des soucoupes volantes. Ce sont des véhicules de l'Enfer, transportant des démons de place en place.
Quoiqu'ils soient des esprits, il y a un mystère du mort-vivant, que vous ne savez pas. Ils doivent être transportés; ils ne peuvent y aller par eux-mêmes. Il y a UN MYSTÈRE, pour lequel Je vous donnerai peut-être la connaissance, à l'avenir. (...)
Messages donnés à Véronica Lueken (USA 1985)
La Sainte Vierge : (...) En parlant d'agents de l'Enfer, Mon enfant, Je désire aussi que tu fasses savoir qu'il n'y a pas de véhicules venant d'autres planètes, des véhicules extraterrestres.
Non, Mon enfant et Mes enfants, ce sont des moyens de transports pour les agents de l'Enfer.
Maintenant, tu te demandes pourquoi doivent-ils être transportés si ce sont des esprits ?
Eh bien ! ceci, Mon enfant, tu ne peux pas le comprendre.
Ce ne sont pas des esprits ordinaires, ce sont les démons de l'Enfer:
des cohortes de Satan et Satan lui-même est à bord d'un de ces véhicules.
"Il y a une raison pour qu'ils emploient les transports. Je n'élaborerai pas sur cette question en ce moment, car Je suis sûre que ceci confondrait l'esprit de tout scientifique ;pourquoi leur donnerais-Je cette information s'ils ne sont pas prêts à la recevoir ?
Ils doivent découvrir quelque chose d'eux-mêmes, Mon enfant,
avant que Nous les aidions à la fin de cette Grande Désolation sur Terre. (...)
http://www.ldi5.com/ovni/declar_pol.php
http://secretebase.free.fr/ovni/dossiers/cometa/cometa.htm
http://secretebase.free.fr/ovni/declarations/politiques.htm
http://www.cnes-geipan.fr/documents/Cometa.pdf
SUITE : http://noella.e-monsite.com/pages/la-preuve-colonel-philip-corso.html