Comparez la description du Temple d'Ezéchiel pour la fin, et la descrption donnée à David pour le Temple que Salomon fera bâtir !! Rubrique ci-dessus, sur ce site.
Le Christ, entre l'empereur Constantin IX et l'impératrice Zoé, vers 1020 |
La Vierge et l'Enfant Jésus, entre l'empereur Jean II Comnène et l'impératrice Irène, vers 1118 |
L'empereur Constantin Ier, fondateur de la ville, vers 1000 |
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Portrait du co-empereur Alexis Comnène, fils de Jean II Comnène et d'Irène, vers 1122 |
Christ Pantocrator et l'empereur Léon VI (886-912), fin du IXe siècle |
Saint Jean Chrysostome, archevêque de Constantinople, IXe siècle |
Saint Jean Baptiste, XIIe siècle |
Le dôme du Rocher ou la coupole du Rocher
(en arabe : قبة الصخرة , Qubbat As-Sakhrah), appelé parfois mosquée d'Omar, plus ancien monument musulman, est un sanctuaire érigé sur ordre du calife Abd al-Malik ben Marwan à Jérusalem, sur l'Esplanade des mosquées (Haram al-Sharif), à l'emplacement de l'ancien Temple d'Hérode. .
Achevé en 691 ou dans la seconde partie de l'année 692[1] selon les chercheurs, il constitue donc l'un des plus anciens monuments de l'islam [2]. Il s'agit aussi du troisième lieu saint musulman après La Mecque et Médine, actuellement associé au miraj
Du point de vue de l'iconographie, on note l'absence totale de représentations
figurées : ni humains, ni animaux ne sont représentés dans les mosaïques. On
trouve par contre de nombreux motifs végétaux (guirlandes, feuilles d'acanthe,
rinceaux de vigne, arbres réels et imaginaires, rosettes), et, à l'intérieur des
arcades circulaires et octogonales et du tambour du dôme, des bijoux sous la
forme de couronnes sassanides et byzantines, de pectoraux et autres joyaux.
Inscriptions
Le dôme du Rocher constitue le premier bâtiment où se déploie un programme
d'inscriptions mûrement réfléchi. Trois sont umayyades : une, longue de 240 m,
se situe au-dessus des arches de l'arcade octogonale extérieure, les deux autres
se trouvant sur les portes est et nord. Il s'agit à chaque fois d'inscriptions
religieuses issues du Coran, mis à part le nom du commanditaire, Abd al-malik
(qu'al-Mamun a tenté de remplacer par son nom) et la date. Lues depuis 1900, elles sont recensées par Oleg Grabar dans La formation de l'art islamique [5] et
font principalement référence à la grandeur et à l'unicité de Dieu, s'attardent
sur les missions prophétiques et notamment le rôle de Jésus comme prophète,
font allusion au paradis. On peut y voir une affirmation de la grandeur de l'islam
à la fois en direction des nouveaux convertis, des musulmans hésitants et des
non-musulmans, mais Myriam Rosen-Ayalon en a montré aussi les tenants
eschatologiques afin d'appuyer sa thèse selon laquelle le dôme du Rocher est
une préfiguration de la Jérusalem céleste.