"Sur la terre, personne ne peut régner s'il ne fait alliance avec le Prince de ce Monde." (Oswald Wirth, franc-maçon)1 Divers reportages ont eu pour sujet des réseaux de pédophilie pratiquant le meurtre rituel d'enfant, ou pour le moins l'élimination physique de leurs victimes. Des livres ont fait mention de cela, comme celui de Regina Louf, ex-victime de ces réseaux et dont les témoignages ont pu être confirmés. Il y a beaucoup d'informations qui convergent pour dire que ces meurtres rituels d'enfants sont une réalité. Quant aux disparitions inquiétantes, il y en a tous les ans. Pourtant, il semble difficile d'y croire. Des meurtres rituels d'enfants... "Vous voulez dire des meurtres de tueurs en série, comme ceux de John Wayne Gacy par exemple ?" Non : De véritables meurtres rituels, commis en toute conscience et de manière organisée, par des satanistes. Réfléchissons à partir de ce dont nous sommes certains : - Il y a des gens qui pratiquent la magie noire et des rituels sataniques. Il y a pour prouver cela des témoignages, des enquêtes de police, des livres, quelques photos. - Il y a des disparitions d'enfants. - Il y a des gens, haut placés dans diverses administrations, y compris la justice, qui empêchent d'établir les connexions entre les milieux politiques et les réseaux pédophiles. Nous avons divers témoignages à ce sujet. Faisons maintenant un détour théorique, par la Psychologie. Nous l'avons déjà évoqué et elle est bien connue, la pyramide des niveaux-logiques nous indique que les croyances spirituelles, d'ordre surnaturel, sont au sommet de toutes les valeurs. Ce sont ces croyances qui organisent l'esprit à son niveau le plus élevé et qui dictent les croyances des niveaux inférieurs régissant les interactions sociales. Mais pourquoi ces croyances spirituelles sont-elles au dessus des autres ? Il ne suffit pas de le dire. Il ne suffit pas au chrétien, au musulman, au juif ou à l'hindou (ou au sataniste...) de proclamer que ses dogmes sont les bons et sont au dessus de tout. Ce qui détermine l'importance d'un mot, c'est la charge kinesthésique dont il est investi. C'est la résonance émotionnelle du mot qui définit son importance. Pour que cette charge kinesthésique soit présente, il faut qu'elle soit investie d'un sacrifice. Les pèlerinages ou l'auto-flagellation du chrétien sont un sacrifice qui investissent sur le nom de Jésus un certain nombre de souffrances et lui donnent toute son importance. Il en va de même des fêtes proclamées à Sa gloire. Idem pour l'observance contraignante du saint sacrifice de la Messe. Et c'est la même chose pour la contrainte des cinq prières quotidiennes du musulman ou pour l'observance rigoureuse par les juifs de toutes les règles du talmud. Sans ces sacrifices, les mots, les dogmes, sont vidés de tout investissement émotionnel, il n'y a plus d'ancrage significatif entre les concepts et les émotions. Et par conséquent, la dimension spirituelle, sacrée et supérieure des dogmes perd tout son sens et ne devient qu'une coquille vide sans plus d'importance que n'importe quel concept courant. Faisons maintenant un autre détour, par la politique : Les bâtisseurs du "Nouvel Ordre Mondial" renversent les valeurs. Il n'y a pas à nier qu'ils cherchent à bâtir un Nouvel Ordre Mondial, ils le proclament à haute voix. De là s'ensuivent des choses totalement aberrantes et nuisibles : - Une immigration totalement déraisonnée, dans laquelle on superpose à des couches d'immigrés non-intégrés et non-intégrables de nouvelles couches d'immigrés. - Des familles complètement massacrées, avec des moeurs catastrophiques et tout ce qui s'ensuit en matière de criminalité dans la jeunesse. - Un épandage massif des drogues dans la société. - Une promotion médiatique de tout ce qui auparavant était mal vu : Fornication, matérialisme, musiques grossières, etc... - Des guerres fondées sur le mensonge. |
Cela dépasse l'ordre du rationnel, des gens de tous les bords politiques en conviennent. Cela dépasse l'ordre du rationnel et c'est en plus particulièrement néfaste. Mais si c'est irrationnel, alors c'est peut-être de l'ordre du surnaturel. Et si c'est en plus malfaisant, alors peut-être est-ce de l'ordre du satanisme. En précisant dès maintenant pour les athées que si l'objet invoqué, le d-iable, n'existe pas, rien n'empêche d'y croire. Et le simple fait d'y croire lui donne corps et génère les comportements qui découlent de cette croyance. Autre chose : La crise ne touche pas tout le monde. Il y a des gens qui s'enrichissent massivement durant celle-ci. Ces gens gravitent autour de la Haute Finance. Repassons par la Psychologie : Lorsqu'un sujet non psychotique commet des actes qui vont à l'encontre de sa volonté, c'est qu'il est névrosé : Ses pulsions sont hors de contrôle, elles asservissent ses comportements. Maintenant que se passe-t'il si ce sujet a des responsabilités politiques ? Ses pulsions hors de contrôle ne vont-elles pas prendre le pas sur sa raison et corrompre toutes ses prises de décision ? Ce dirigeant pervers, possédé, ne va-t'il pas asservir ses décisions politiques à ses pulsions ? L'enquête sur les réseaux de prostitution africaine en Occident nous apprend que des femmes, des enfants, sont importés en Europe pour satisfaire les pulsions de certains et que ceux-ci se servent pour cela de lois laxistes dont ils sont à l'origine. Résumons : - Des gens font des Messes noires, des cérémonies sataniques. - Ces gens ont beaucoup de puissance, ce sont des politiciens, des milliardaires, des généraux. - Ces gens ont des pulsions perverses fortes. - La politique menée en Occident est malfaisante. - Des gens s'enrichissent massivement en ruinant les autres. - Il y a des complicités dans les pouvoirs exécutif et législatif pour couvrir les connexions entre politiciens et réseaux pédophiles. - Pour qu'une croyance ait du sens et puisse générer une contrainte sur le moi, elle doit être investie d'une charge kinesthésique forte et donc d'un sacrifice. - Il y a des disparitions d'enfants et des témoignages faisant mention de meurtres rituels d'enfants. Conclusion : Nous pouvons écrire qu'il est raisonnable de dire qu'il existe en Occident, de hauts responsables pratiquant les sacrifices d'enfants. La question qui vient tout de suite à l'esprit est : Qui ? Il y a là encore un faisceau de preuves indiquant que ces gens sont ceux qui se cachent derrière les droits de l'homme inspirés par Lucifer et l'invocation systématique de la tolérance. Car lorsque l'on est un criminel, on aime la tolérance, gage de moindre culpabilisation pour soi et les siens. Mais comme le dit le proverbe : "La tolérance avec le diable est un crime"... 1. Dans "I Tarocchi" (=Les Tarots), cit., pp. 210-215. Le "Prince de ce Monde" désigne Satan. |
|
http://www.youtube.com/watch?v=JOZ_Ntqravs
vicki polin : Survivante des élites luciférienne pédophiles
Meurtre rituel d'une fillette. Un enseignant de 21 ans arrêté à Bafoussam. |
Actualites - Societe |
Vendredi, 23 Juillet 2010 |
Fotso Tezanou Olivier a avoué avoir tué et découpé en morceaux, le 7 juillet dernier, une jeune fille de 7 ans qui passait ses vacances chez une de ses tantes à Bafoussam. Il avait besoin de sang pour ses pratiques ésotériques. Il avait également une commande de coeur frais de 17 millions à honorer.
La reconstitution du crime a eu lieu ce matin et a permis de confondre le criminel, un enseignant de 21 ans. Fotso Tezanou a avoué avoir décapité la fillette, et lui avoir arraché le coeur, les reins et les organes génitaux avant de la découper en morceaux. Le coeur dégoulinant de sang était destiné à un acheteur qui, avant de lui remettre les 17 millions de francs promis, a exigé d'avoir également la tête de l'enfant. C'est en venant récupérer ladite tête dans sa cachette, hier, que Fotso a été arrêté par la population et conduit à la police. |
http://groups.google.com/group/mtl.general/msg/0787b5547eea0cba
Or il me paraît plus intéressant de s'interroger sur la crédibilité
de la justice que sur celle de X1. Plutôt que de se tourner vers les
psychiatres pour savoir si tout ce que dit X1 est vrai, il vaudrait
mieux s'intéresser aux faits précis décrits par X1 et vérifier ce
qui doit encore l'être. On sait, par exemple, que X1 a donné des
détails sur les meurtres de Christine Van Hees et de Carine Dellaert
qui co‹ncident avec le dossier et qui dépassent parfois celui-ci en
précision (comme les clous enfoncés dans les mains de Christine).
Elle a également désigné comme victime une jeune fille de Gand,
Véronique D., qui est officiellement décédée d'un cancer. Voilà
une occasion rêvée de vérifier si X1 est fiable: que l'on analyse le
dossier médical, que l'on interroge les deux médecins qui ont signé
l'acte de décès et que l'on exhume le corps. Ces devoirs d'enquête
évidents ont été demandés par les enquêteurs depuis janvier 1997,
mais ils ont jusqu'à présent été refusés par le parquet de Gand.
Ne faut-il pas alors s'intéresser sérieusement à une autre
hypothèse que le manque de crédibilité de X1 pour expliquer l'arrêt
des enquêtes? Ne s'agit-il pas simplement du fait que son témoignage
met en cause des personnalités importantes comme des industriels, des
hommes politiques et même un ancien premier ministre.
De Morgen 7 janvier 1997
DUTROUX ET NIHOUL, SOUPÇONNÉS DU MEURTRE DE CHRISTINE VAN HEES EN
1984
par Annemie Bulté et Douglas De Coninck
Le 13 février 1984, on retrouvait dans une vieille champignonnière
d'Auderghem, le cadavre horriblement mutilé de Christine Van Hees
(seize ans). Treize années d'enquête n'ont mené à rien. Trois mois
avant la début de l'affaire Dutroux, le parquet de Bruxelles classait
l'affaire sans suite. Fin 1996, le témoin X1 dénonçait au parquet de
Neufchâteau Marc Dutroux, Michel Nihoul et d'autres comme les auteurs
de cet acte. Grâce à des éléments très précis, X1 démontre
qu'elle était présente au moment du meurtre. Malgré cela, l'enquête
est dans une impasse totale aujourd'hui.
X1
décrit plusieurs meurtres d'enfants dont elle affirme qu'ils ont eu
lieu au sein d'un réseau très étendu de prostitution enfantine.
Malgré une triple "relecture" des déclarations de X1, il ne peut pas
être démontré que ses informations puissent avoir une autre source
que sa propre mémoire.
Les informations publiées par De Morgen à propos de ces enquêtes
constituent le résultat de cinq mois de recherches.
Origine de la mort inconnue
Ce qui apparaît alors, restera gravé longtemps sur la rétine du
pompier. Il voit un tronc humain calciné. Une partie de la tête a
été emportée par les flammes. Des pieds et des mains, il ne reste
pas grand-chose. "C'était une jeune fille. Elle était couchée sur le
ventre, elle était nue. Jambes et bras étaient liés ensemble avec du
fil de fer qui était également tourné autour de son cou. Ses jambes
étaient pliées vers l'arrière. Horrible".
Avant d'être brûlée, la jeune fille à été
tellement maltraitée qu'il est impossible de déterminer quelle
torture lui a été fatale. Dans son premier rapport, le docteur
Voordecker mentionne des traces d'étranglement. Plus tard, les
médecins, mettront dans leur rapport une autre observation: la victime
ne se trouvait pas en période de menstruation. C'est un détail qui ne
prendra toute son importance que treize ans plus tard. Les parents ont
encore un autre choc à endurer. Leur fille n'est pas allée à
l'école ce matin-là. On dit que ça lui arrivait assez souvent de
sécher les cours.
Que
ces individus la violent, dit X1, cela était supportable. Les
meurtres, voilà le vrai problème. Le plaisir de ces clients était
accentué par l'angoisse de l'enfant. Leur jouissance la plus grande
allait de pair avec l'angoisse la plus grande: l'angoisse de mort.
Dans la soirée du 13 novembre, durant sa cinquième audition, X1
laisse tomber le nom de Christine. Elle raconte comment la jeune fille,
après avoir été torturée longuement, fut brûlée dans la cave d'un
bâtiment en ruines, dans la région de Bruxelles. Cela s'est passé
dans le sillage d'une orgie qui avait duré tout un week-end et au
cours de laquelle - ajoute-t-elle plus tard - son propre bébé de cinq
mois a été tué. Comme punition.
Audition de X1 du 13 novembre 1996, procès-verbal numéro 116/990:
"Ils ont tué Christine [...]. Dutroux et Nihoul l'ont attachée d'une
manière spéciale. Je devais plonger un couteau dans son vagin [...]
Ils me disaient que je devais la faire taire. Christine fut d'abord
attachée sur une table [...]. Ils guidaient ma main, j'ai été
obligée de l'étrangler, sinon, je subirais la même chose. Christine
a été violée à plusieurs reprises. Ensuite on l'a détachée, pour
l'attacher à nouveau. Ses pieds et ses mains ont été attachés
ensemble dans son dos. Enfin, ils l'ont brûlée." A la fin de
l'interrogatoire, X1 décrit la maison oú cela s'est passé. Plus
tard, elle donne plus d'explications à propos de ce qui à occasionné
l'exécution punitive: "Dans le réseau, il y avait des filles
expérimentées, comme moi, dont, dans leur plus tendre enfance les
parents s'étaient distanciés. Il y avait également des filles qui
étaient approchées par des adultes, et qui étaient introduites
progressivement dans le réseau. Nous devions prendre ces filles sous
notre protection. Si elles commettaient une faute, c'est nous qui
étions punies. C'est comme cela que cela allait.
Nous sommes
arrivés dans une maison, à l'étage. Ensuite, nous sommes descendus
dans une grande cave. Là, Christine a été détachée et puis
rattachée, comme un lapin. Elle fut violée à nouveau et travaillée
avec un couteau. [...] Il y avait des bougies. [...] L'une des
personnes présentes la piqua à plusieurs endroits du corps avec un
morceau de métal qu'elle avait chauffé au-dessus d'une bougie. A un
moment donné, quelqu'un a épongé le sang de son vagin avec un
Tampax. [...] A la fin l'avocat a perforé sa main avec une sorte de
morceau de métal. Après, ils l'ont aspergée d'essence et ils y ont
mis le feu."
A la fin de son audition, X1 dessine un plan de la maison oú les
tortures ont eu lieu, selon elle.
Pour qui veut se forger une opinion sur la crédibilité de X1, il est
utile de savoir que les enquêteurs de la 3e SRC n'ont pas connaissance
début novembre de l'enquête menée dans le passé par la PJ. Après
avoir entendu X1 parler pour la première fois de "Christine", quelques
hommes de la BSR ont fouillé dans les archives. Ils ont trouvé
quelques vieilles coupures de presse au sujet du meurtre sur Christine
Van Hees. Ce n'est pas là que X1 à pu trouver ce qu'elle raconte. La
presse donne les versions les plus diverses à propos de la situation
dans laquelle le corps a été découvert.
Le 4 décembre, les enquêteurs du parquet de Bruxelles vont chercher
le dossier 84/85 du juge d'instruction Van Espen. Ce qu'ils découvrent
les fait sursauter. Ils y trouvent une description détaillée des
objets trouvés sur les lieux du crime. On signale entre autres des
bouts de bougies et un Tampax imbibé de sang. Ce ne sont que quelques
lignes d'un dossier qui, empilé, fait deux mètres. La version de X1,
semble, sur certains points, plus précise que l'ancien dossier. Dans
celui-ci il est dit à plusieurs reprises que Christine Van Hees a
été attachée avec du fil de fer barbelé. Dans la plupart des
articles de presse il était également fait mention de fil de fer
barbelé. "Faux", dit X1, "c'était du câble électrique dont
l'enveloppe était fondue." Les enquêteurs filent aux greffes du
parquet de Bruxelles et retrouvent le câble. C'est un câble
électrique dont l'enveloppe est fondue.
Dans le rapport d'autopsie on ne parle pas d'un objet métallique
enfoncé dans les poignets de Christine. Après avoir feuilleté le
dossier des jours entiers, l'attention d'un des hommes de la BSR est
attirée par le procès-verbal 30.14.321/84, rédigé par la police
d'Auderghem le soir du 13 février 1984. On lit: "Un clou est planté
dans le poignet gauche." Quelque temps plus tard, ils retrouvent le
clou au greffe. C'est un clou gigantesque. Pendant les vérifications,
que les enquêteurs de la BSR effectuent, début 1997, il apparaît que
le clou fit l'objet, à l'époque, d'une discussion entre les médecins
légistes et les premiers hommes arrivés sur place. Le policier
d'Auderghem De Kock dit avoir attiré l'attention des médecins sur le
clou, mais ceux-ci lui auraient répondu qu'ils savaient comment on
pratique une autopsie. Le pompier Norbert Vanden Berghen et son
collègue Yvan Leurquin sont entendus, treize ans après les faits. Eux
aussi, parlent d'un clou et disent ne pas comprendre comment les
médecins légistes peuvent l'avoir oublié.
Le 21 janvier 1997, José Ginderachter, 59 ans est entendu. Il est le
fils de l'ancien exploitant de la champignonnière et a habité la
maison de maître. Quand la déclaration de X1 est présentée à
Ginderachter, celui-ci ne peut rien dire d'autre que: "Cette personne
doit avoir été sur place."
Qu'il s'agisse des trois crochets à viande dans la cuisine, du motif
des carrelages du sol, des deux tables de cuisine en bois, d'un tonneau
à eau de pluie dans la cour ou de l'accès à la champignonnière:
Ginderachter ne peut que confirmer. Sur douze points concrets, sa
description correspond à ce dont il peut se souvenir de la maison.
L'homme peut également expliquer sur quoi X1 a trébuché: "Cette buse
dans le hall, c'était un morceau de l'ancien chauffage au sol, de la
champignonnière, qui avait été mis à nu quand on avait enlevé le
plancher."
http://www.dailymotion.com/playlist/x18mwo_tonino17-_regina-louf/video/xca03a?from_flash=1
Regina Louf sur les réseaux pédophile -Partie 3/4
.