Accomplissement suite 2 !

 

        Derrel Sims de "Alienhunter", un enquêteur américain recherchant depuis des années des preuves physiques au sujet des abductions, a apparement eu lui aussi de la chance. En utilisant une lumière UV, il a découvert sur plusieurs abductés des restes fluorescents à différents endroits de leur corps. Cette substance avait pénétré sous la peau des personnes concernées et ne pouvait être éliminée en lavant la partie du corps. Cette substance a tenu deux semaines en moyenne puis a été absorbée par le corps. Le plus étonnant est que cette même substance a été découverte sur des animaux mutilés aux USA! Depuis des années déjà, les enquêteurs pensent qu'il y a un rapport entre les OVNIs et les mutilations animales.
[Source : http://207.1.103.215/AHfluorescence.htm ]. 

En 1997 un incident éloquent, qui pourrait enfin faire bouger la discussion sur les abductions, s'est produit aux USA et a été examiné également par Dr. Levengood : Une femme qui avait déjà vécu à différentes reprises des expériences d'enlèvements, a été réveillée une nuit par un mystérieux rayon lumineux qui est soudain apparu dans sa chambre. Le lendemain matin, elle informait le Dr. Levengood du Pinelandia Biophysics Laboratory qui s'est personnellement déplacé pour rendre visite au témoin et a relevé des échantillons de poussière à l'endroit où le rayon lumineux s'était posé. Dans ces échantillons, il a découvert de mystérieuses particules inconnues de cristaux de verre.
[ source : Filer's fichiers, 12-2001, http://www.ufoinfo.com ].

 

Un autre "cas de trace" vient à nouveau d'Australie : Le 23 juillet 1992 un homme ayant déjà vécu plusieurs enlèvements, a eu un "Intermezzo sexuel" avec deux "femmes alien". L'une d'entre elles, de type nordique, a perdu un de ses cheveux blond durant sa "mission", cheveu que le témoin a mis plus tard à disposition pour une étude scientifique. Le cheveu a été examiné dans un laboratoire et le chercheur Bill Chalker a présenté les résultats dans son livre "HAIR OF THE ALIEN ', Paraview Pocket Books, ISBN 978-0-7434-9286-7, New York 2oo5.

Le plus curieux commence déjà avec une étude des ADN qui a montré qu'il s'agit du cheveu d'une personne de "type a", c'est à dire la variante très rare d'une personne d'origine chinoise-mongolienne aux cheveux noirs. En outre, le cheveu était blond, non teint et non décoloré. On a constaté également la présence de la protéine CCR5 qu'on trouvait il y a environ 5000 ans chez les Hommes, apparue par mutation et qui protége même contre le virus VIH et d'autres maladies. Le CCR5 est apparu chez les Européens du nord et est aujourd'hui généralement démontrable dans l'Europe du nord-est.

 Mais ce qu'il y a vraiment d'étrange est une anomalie constatée de la mitochondrie ADN. Généralement, un seul résultat ressort quand les ADN sont examinés chez les Hommes. Peu importe ce qui est examiné : les cheveux, la salive, etc. Cependant dans ce cas : Tandis que le cheveu pouvait être clairement identifié comme étant asiatique, la racine du cheveu indiquait un type très rare basque-gallois ! Les biochimistes du laboratoire ne pouvaient pas expliquer le résultat. Les résultats de la recherche peuvent être consultés le livre cité !

Le dernier cas que nous allons citer vient du Canada. En janvier 1999, le témoin Eva Trent se réveillait en pleine nuit dérangée par un bruit étrange dans son logement. Elle a ouvert les yeux et a constaté avec frayeur que deux créatures de type reptilien se tenaient près de son lit. Elles lui rappelaient des lézards avec une peau de crocodile. Leurs yeux étaient rouges et elles "discutaient" entre-elles avec des "sifflements".

La femme ne pouvait pas crier, ni bouger et était livrée à ces effrayants visiteurs. Ces créatures semblaient lui suggérer des images télépathiquement. Après s'être un peu remise du choc, la jeune femme a commencé à lutter mentalement, ce qui a apparement épaté les visiteurs. Puis elle est retombée dans un profond sommeil et s'est réveillée le lendemain matin, ereintée et assez désorientée. La plupart des cas se terminent là, mais il y a une seconde partie très intéressante à ce témoignage :
Près de son lit, le témoin avait un magnétophone et quelques cassettes posés sur une petite table. Cinq de ses cassettes audio étaient complètement déformées comme sous l'effet d'une chaleur intense. Le plus étrange est que les cassettes ne se trouvaient pas près d'un radiateur ou autre source de chaleur qui aurait pu les détériorer ainsi et elles étaient encore en bon état la veille. Quand le plastique fond, il y a normalement une odeur désagréable, ce qui ne fut pas le cas pour les cassettes !
[Source: http://www.ufobc.ca/Experiencer/buckled.htm ].

 

Les mystérieuses Mutilations de bétails


Des têtes de bétail sont retrouvées mortes et mutilées principalement aux états unis. Le rapprochement avec le phénomène ovni peut étonner mais il est un fait que nous disposons de pas mal d'éléments et témoignages allant en ce sens. On peut très bien imaginer par exemple qu'une civilisation extraterrestre visitant notre planète cherche un jour à puiser dans nos ressources. C'est justement ce qui semble se passer ici. Les mutilations de bétails sont des "éléments annexes" au phénomène ovni qui méritent toute notre attention. Nous vous proposons de découvrir ces faits troublants dans ce dossier.

 


Vache retrouvée mystérieusement mutilée dans un ranch Us

 De 10 à 20 000 têtes de bétail ont été retrouvées mortes et mutilées, essentiellement aux Etats-Unis, et ce depuis le premier cas signalé, c'était en 1967. Les animaux sont retrouvés dans les champs, certains de leurs organes ayant été prélevés après une découpe avec un instrument tranchant ou au laser, les parties mutilés parfaitement cicatrisés comme s'ils avaient été cautérisées avec une précision diabolique. Les nombreuses enquêtes effectuées par le FBI aux États-Unis, laissent à penser que ces prélèvements d'organes se produit après enlèvement de l’animal par voie aérienne : on ne trouve pas de traces de lutte ni de sang au sol, les animaux sont retrouvés dans des lieux inaccessibles à pied.

 La difficulté à attribuer ce phénomène à une origine humaine réside dans son ampleur : quelle organisation pourrait en effet réussir à mutiler plus de 10 000 têtes de bétail sans être jamais découverte par un témoin ou par les enquêteurs de police ? Les médias ne proposent aucune solution et les autorités des pays touchés par ce phénomène cherchent très nettement, de part leur attitude ambigüe à étouffer l’affaire.

Un véritable carnage

 


Des chèvres, des moutons, des chevaux, des vaches, des cerfs, des lapins et toutes sortes d'animaux domestiques sont pris pour cible par ces mutilations. Les bovins en général représente la plupart des animaux mutilés.


Un cas typique de mutilation animale peut se caractériser par une oreille "enlevée", un oeil "hôter" de son orbite, ou bien encore toute une série d'organes "retirés" avec une précision chirurgicale, comme si un faisceau laser aurait découpé et coterisé en même temps une partie du corps de l'animal. Le plus souvent visé sont les organes génitaux, que ce soit sur des mâles ou des femelles.
 
Mais le plus troublant dans cette affaire, c'est qu'il n'y a aucune trace de lutte ni de sang sur le sol où est retrouvé l'animal. Cela laisse entrevoir deux choses : soit l'animal à été transporté d'un endroit à un autre, impliquant que l'ablation des organes manquants n'ait pas eu lieu sur ces mêmes lieux, soit les mutilations ont été faites par une technique et des instruments qui permettent ne laisser aucune traces, ce qui est difficilement imaginable de nos jours lorsque l'on est en pleine campagne !

 

Histoire

 

Le mystère a commencé en septembre 1967 lorsqu'une jument Appaloosa nommée Lady a été trouvée morte et dépouillée jusqu'aux os de la tête au cou dans la vallée de San Luis du Colorado méridional. La tête et le cou squelettique sur le corps de la jument étaient mystérieux. Des objets volants non identifiés et des lumières mobiles avaient été vus dans le secteur, et les journaux dans le monde entier ont rapportés qu'il pourrait y avoir un raccordement entre la mort du cheval et la présence d'OVNI. Un journaliste a incorrectement mélangé le nom de la jument avec un autre cheval masculin appelé "Snippy" et ce nom resta dans les rapports de médias.'

'Tous les organes internes à l'intérieur de la poitrine de Lady avaient également été enlevées "chirurgicalement avec de la chaleur," a déclaré le docteur John Altshuler de Denver...Il n'y avait aucune trace de sang et les coupes avaient une précision chirurgicale. Lorsqu'il a ramené des échantillons de tissu provenant des excisions à son microscope de laboratoire hospitalier, il a découvert que l'hémoglobine avait été cuite, indiquant que de la chaleur élevée avait été employée pour couper le tissu.'

'Les lasers n'ont pas été utilisés pour la chirurgie chez les animaux ou les humains avant les années 70. En 1974, le docteur Joseph Bellina, prof. de l'obstétrique et de la gynécologie à l'université de l'État de la Louisiane, fut le premier à essayer un laser dans la chirurgie gynécologique.'

Une énergie concentrée de façon aussi intense relève d'une certaine technologie, et si l'on tient compte des témoins qui disent avoir vu des engins dans les pâturages où l'on a retrouvé certains de ces animaux, on peut soupçonner une cause extra-naturelle, pour ne pas dire extraterrestre. On peut également supposer que le gouvernement américain (puisque c'est majoritairement le pays où est déclaré le plus grand nombre de cas de mutilations)  

 
La machoire de ce veau semble avoir été "découpée" avec un instrument au laser.

 

Détail montrant l'ablation d'un œil sur une vache. On remarque la précision chirurgicale sur cet animal mutilé.

 

 

Des animaux "tombent" n'importe où comme ici:

 


On le voit dans les faits exposés, l'hypothèse humaine semble peu probable même si l'utilisation d'une nouvelle arme militaire du type à micro-ondes pourrait être testée sur ces animaux. Les observations d'ovnis à proximité d'animaux mutilés et les caractéristiques des sites dans lesquels ils sont retrouvés laissent à supposer l'intervention d'un ou plusieurs humanoïdes et par voie aérienne. Cette conclusion peut paraitre hâtive, mais c'est à ce jour la plus plausible. 

 

Nuit du 5 avril 1998, Boyce, Louisiane, USA :

 

Une vache de 3 ans est retrouvée mutilée. Ses parties génitales ont été découpées et – étonnamment – il n’y a nulle trace de sang autour de la carcasse. Selon les indices, l’animal ne s’est pas débattu (1). Cet incident, bien qu’insolite, n’est pas isolé : les chiffres font  état de 2000 cas de ce genre par année aux Etats-Unis* (2).

Les rapports de mutilations animales émanent du globe entier, les pays les plus touchés étant le Mexique, Panama, Puerto Rico, le Brésil, l’Angleterre, la France, l’Allemagne, la Suède, l’Australie, le Japon, les îles Canaries, le Canada et – principalement - les Etats-Unis.

 

Une mutilation classique se présente ainsi : un mammifère est retrouvé avec des organes manquants  (langue, parties génitales, anus, yeux) ayant été enlevés «d’une manière chirurgicale» (dans certains cas, on nota une précision à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire qu’aucun dommage n’a été occasionné à la cellule au cours du prélèvement) ; de plus, le corps est vidé de son sang et les organes internes sont retrouvés en bouillie (3). Une précision importante : dans 90 % des cas, les parties sexuelles sont enlevées (4).

 

D’autres éléments étranges viennent se greffer sur cette étrange mosaïque : les découpages sont symétriques, le bord des plaies est lisse et on signale une absence totale d’enlèvement de chairs. Encore plus énigmatique : les cadavres des animaux mutilés sont ignorés de la faune locale qui ne vient pas se nourrir dessus.  Normalement, lorsqu’un bovin meurt dans un pâturage de cause naturelle, sa carcasse est nettoyée jusqu’aux os dans un laps de temps situé entre 24 et 72 heures selon les lieux, les activités humaines environnantes, le climat, etc…(5)

 

Dans la plupart des cas, aucune trace au sol (empreintes de pas, traces de pneus) n’est relevée.

De plus, les témoins, quand ils ne sont pas inexistants, sont extrêmement rares. Quant aux suspects, s’il existait de fortes présomptions, cet article n’existerait pas ! Confrontés à ces événements, la police locale, les experts (vétérinaires d’Etat et privés) ainsi que les paysans affichent une grande perplexité devant l’étrangeté de ces crimes, les motifs et les moyens employés par les mutilateurs.

 Mutilations au Canada et aux États-Unis entre 1967 et 1993

 

Pour en finir avec ce tour d’horizon des particularités de l’approche officielle du phénomène et de celles qui lui sont intrinsèques, j’aimerais ajouter que les incidents ne touchent pas de fermes particulières et que les animaux concernés par cette boucherie sont surtout des vaches âgées de quatre à cinq ans d’une part et des génisses de moins d’un an, d’autre part, avec une prépondérance pour les races Hereford ou Charlee. On remarquera encore que les mystérieux chirurgiens, qui sont capables de faire des découpes sur de gros bétail aussi lisses et nettes que celles faites avec un instrument chirurgical, ne le font pas sur des moutons. Cela semblerait indiquer qu’ils ont jeté leur dévolu sur un type d’animal bien précis : la race bovine. 

 

C’est ainsi que la première vague de mutilation de bétail touche les Etats de Pennsylvanie et du Kansas en 1967. Le 1er cas rapporté est celui d’un cheval étalon âgé de 3 ans d’Alamosa, Colorado retrouvé mutilé le 9 septembre 1967 près du ranch de Harry King, le frère de la propriétaire dudit animal, Nellie Lewis. Le cheval, élevé au rang de martyr et initialement appelé «Lady», est rebaptisé «Snippy» par les passionnés de ce genre d’affaire, surnom qui donne une idée de l’état de l’animal au moment de sa découverte (7). Le mari de Nellie, Berle, commente l’augmentation soudaine de l’activité OVNI qui a accompagné la mutilation de son cheval : «On voit quelque chose – je ne dirai pas ce que c’est – chaque nuit».

 

Ce n’est que six années plus tard que la presse se fait l’écho de forfaits du même type : C’est à partir du deuxième semestre de 1973 que l’on entend parler pour la première fois des mutilations animales. Le Minnesota, le Missouri et le Kansas sont les premiers Etats touchés.

 

En 1974, c’est au tour de l’Oklahoma, du Texas, du Sud-Dakota et du Nebraska de constater les dégâts. Dans ce dernier Etat, plus précisément dans le conté de Madison, au moins 5 bovins furent mutilés. Dans chaque cas, les parties génitales sont excisées et des OVNIs rapportés dans la région. Un témoin, Harold Kester, décrit un objet volant comme celui-ci : «il était muni de lumières vertes de chaque côté avec une luminescence par dessus». Par la suite, une trentaine d’Etats sont concernés (8), principalement du Midwest. Pendant une période de deux ans (1975-77) dans deux comtés du Colorado, on ne dénombre pas moins de 200 rapports (9).

Alors que l’affaire est encore au stade embryonnaire, éleveurs et policiers pensent avoir affaire à des maniaques sexuels ou encore à des sectes sataniques. Mais l’absence de traces de pas ou de roues de véhicules remet sérieusement en question cette explication bien trop simpliste vu la complexité des circonstances (10).

 

Une étude de deux experts en animaux prédateurs, financée notamment par le Texas Agricultural Extension Service, confirme qu’«il n’existe aucun animal prédateur au monde ayant la capacité de faire des lésions aussi rectilignes ni aussi lisses que celles pouvant être réalisées avec un instrument tranchant très affuté tel que : couteau, ciseau, scalpel, rasoir, etc. Les animaux prédateurs n’ont ni les moyens physiques, ni l’intelligence pour agir de cette manière.   Quand un animal prédateur se nourrit sur une carcasse de gros mammifère mort de maladie ou tué de main humaine, il commence par déchirer l’abdomen pour avoir accès aux viscères puis entame les masses musculaires. Il n’a aucune attraction particulière pour les organes sexuels, la zone rectale, les oreilles, les babines. …Selon les cas, une carcasse est généralement dévorée dans les 12 à 48 heures après la mort de la victime. Cela dépend de nombreux facteurs : abondance des espèces, distance de présences humaines, climat et température, etc…»

 

Premièrement, l’absence de sang dans l’animal souvent rapportée (une vache contient environ 12 à 16 litres de sang) complique singulièrement la question : afin de vider le sang d’une vache complètement, il faudrait lui couper la gorge, la retourner pendant que le cœur soit toujours entrain de pomper (désolé pour nos amis défenseurs des animaux…). Une opération qui prend du temps…

 

Deuxièmement, les animaux mutilés sont apparemment balancés depuis les airs (ce qui explique également l’absence de traces). On mentionne des cas où le mammifère est retrouvé sur le sommet d’une mont quasiment inaccessible. L’animal est apparemment capturé, mutilé et balancé par dessus bord, pas nécessairement du point où il a été capturée. Il semblerait que les mutilateurs ne prêtent pas attention à l’endroit où est déposée la carcasse. C’est tout simplement impensable pour une agence gouvernementale qui souhaite opérer dans la clandestinité ! Pourquoi ne pas embarquer la carcasse et s’en débarrasser à un endroit plus discret ? Pourquoi l’agence ne se procure-t-elle pas ses propres bovins au lieu de prendre tous ces risques inutiles ? De plus, depuis 1988, l’homme produit des clones de bovidés ! (32)

 

Troisièmement, le phénomène des mutilations datant de 1967, comment concevoir un projet s’étalant sur plus de 30 ans avec autant de moyens et de risques entrepris ?

 

Quatrièmement, bien que les lasers aient été produits au début des années 60, ceux-ci n’étaient pas capable de produire une telle précision dans les excisions rapportées, par exemple, en 1967 (cf. le cas de Lady). Cette remarque nous renvoie à l’hypothèse extraterrestre que nous évaluerons plus loin. Là encore, cette hypothèse peine à convaincre…

 

 

Août 1994, à Bodmin Moor près de Launceston, Angleterre, un veau est retrouvé sans trace de sang, avec la gorge coupée, le museau enlevé de «manière chirurgicale» selon Malcom Delaida, qui rapporte le cas dans le périodique «Farmers Weekly» du 14 Octobre 1994.

 

Le 10 Octobre 1994, l’incontournable BILD se penche sur les mutilations de bétail en rapportant les centaines de chevaux retrouvés avec des excisions en Allemagne, Angleterre, Norvège, Suède et Finlande. De nombreuses bêtes ont survécu à ces attaques et certains sont décédés. Le magasine rapporte le cas de quatre chevaux qui ont survécu aux mutilateurs près de Bahrenbostel-Holzhausen, une communauté paysanne à Diepholz, Allemagne.

D’ailleurs, n’importe quel sociologue sait très bien que de telles hystéries ne peuvent pas durer 30 ans. C’est quelques mois à tout casser. 

 

Plus récemment, le 13 décembre 1993 à 22h00, Christopher O’Brien, journaliste dans le Colorado du Sud, reçoit un coup de fil d’une résidente de Crestone qui rapporte l’observation d’un «objet blanc brillant» ayant chuté sur le sol vers Baca, au nord de Hooper. Le lendemain, un taureau est retrouvé mutilé sur la propriété de Dale et Clarence Vigil dans le comté de Costilla. En plus de la précision chirurgicale est rapportée la présence de branches cassés au sol qui appartiennent à l’arbre situé au-dessus de la carcasse. Sur les branches de l’arbre (à 4 mètres de haut), on signale des poils ainsi que du sang comme si l’animal avait été balancé depuis les airs (33).

 

Quel serait la motivation des Extraterrestres pour ce genre d’exercice macabre ? John Lear affirmait que les extraterrestres (EBE), responsables des mutilations animales, ont un dysfonctionnement génétique détruisant leur système digestive. Ainsi, afin de s’alimenter, ils ont recours aux enzymes récupérés sur les bovins ou encore, sur les…humains.

 

Sur les humains ? Eh oui, il semblerait que les mutilateurs font également subir leurs sévices à de malheureux êtres humains. Un rapport très bien documenté et à la crédibilité irréprochable nous vient du Brésil :

Près du lac artificiel de Guarapiranga non loin de Sao Paulo, Brésil où l’on rapporte de nombreuses apparitions d’OVNIs, est retrouvé le 29 septembre 1988 le corps nu et affreusement mutilé d’un homme d’une quarantaine d’années. Ce cadavre est identifié mais la famille demanda que son anonymat soit préservé. En 1994, l’ufologue Encarnacion Garcia, enquêteur sur les mutilations de bétail au Brésil, prend connaissance des clichés, du dossier de l’enquête policière ainsi que du rapport d’autopsie établi par le docteur Cuenca. Et les similitudes entre les blessures infligées à cet homme et celles du bétail dépecé sautent aux yeux de l’ufologue.

 

 

Retrouvé 48 heures après la mort, le corps ne présente aucun signe de putréfaction ou d’attaques par les prédateurs et ne dégage aucune odeur.

 

Les joues et les lèvres ont été précisément découpées, la langue sectionnée, les yeux et les oreilles enlevés. L’absence de toute trace de sang semble indiquer qu’on a opéré à l’aide d’un instrument cautérisant par la chaleur, du genre laser. On note également la présence de perforations circulaires, d’un diamètre variant entre 3 et 4,5 centimètres visibles sur les bras, les épaules et les jambes. Se trouve également un trou net de 4,5 centimètres à l’emplacement du nombril. Les testicules ont été extraits avec la même précision chirurgicale. Quant à l’anus, il a été excisé suivant une large ellipse de 8,5 centimètres sur 17.


On relève aussi l’ablation de quasiment tous les organes internes, sans doute extraits par les orifices pratiqués (34).

 

Le rapport d’autopsie déclare : «On constate l’ablation de tissus sur une grande partie de la face et du cou de la victime… Il y a aussi l’extraction des tissus oculaires, des yeux, des organes auditifs internes et externes. La langue et plusieurs autres muscles ont également été extraits».

 

Par exemple, une des photos montre clairement les trous symétriques dans le bras par lequel les muscles ont été extirpés. Même constat pour la poitrine où un trou a permis de retirer des organes.

D’ailleurs, la police a immédiatement fait remarquer que les perforations n’ont pas été produites par des balles tirées d’une arme à feu.

 

La photo 3 est un zoom de la face gauche de la victime. On voit que l’oreille a été excisée très précisément comme le rapport le précise.

 

Les similitudes avec les mutilations sont frappantes : même technique précise, mêmes organes découpés et même mépris pour le cadavre.

 

 

Existe-t-il des précédents ? Malheureusement. La police brésilienne affirme qu’au moins une douzaine de cas similaires à celui de Guarapiranga se sont produits dans le passé. Aux Etats-Unis, un bon exemple est le cas du Sergent Jonathan Louette stationné à White Sands Missile Test Range en 1956. Son corps mutilé a été retrouvé trois jours plus tard, après qu’un Major de l’Air Force ait aperçu l’enlèvement de son collègue par un objet «en forme de disque». Là encore, les similitudes avec le cadavre de Guarapiranga sont frappantes : les parties génitales, les yeux et le rectum de Louette ont été excisées avec la même précision chirurgicale (35).

De nombreux éleveurs de bétail, policiers, enquêteurs privés ou encore spécialistes de la question sont convaincus que les OVNIs sont responsables de cette boucherie. Un autre argument vient soutenir leur thèse : bien que les lasers aient été produits au début des années 60, ils n’étaient pas capable de produire une telle précision dans les excisions rapportées, par exemple, en 1967 (cf. le cas de Lady). Si l’on reconnaît que l’incapacité des autres hypothèses à expliquer le phénomène rend la thèse E.T. séduisante et la renforce, on avoue qu’elle demeure la seule à pouvoir rendre compte de ces incidents.

 

Le paranormal intervient dès lors que le rationnel ne suffit plus à expliquer. Pourtant, certaines constatations sont considérées comme acquises:

 

Oui, des OVNIs sont repérés lors des massacres
Oui, des substances pharmaceutiques sont localisées dans les dépouilles
Oui, les mutilateurs n’ont aucun égard pour la vie et exposent les carcasses comme des trophées

 Preuves Physiques

Dans un cas classique de mutilation d'animaux, un oeil, une oreille et la langue sont absents. Des organes internes sont enlevés. La mâchoire est dépouillée de la chair dans une grande coupe ovale. Les organes sexuelles sont enlevées et le rectum est creusé. Dans la plupart des cas, la carcasse est complètement vidangée du sang et il n'y a aucune trace de sang n'importe où sur l'animal ou sur le sol.

À l'emplacement de la mutilation, l'absence de preuves physique est encore plus curieux. Il n'y a aucune empreinte de main, empreinte de pied, bouts de cigarette ou traces de pneu...aucun indice qui indiquerait la présence d'homme ou de machine.

 

 

Une pratique bien actuelle!

Le phénomène des disparitions forcées est souvent rattaché à la situation de plusieurs pays d’Amérique du Sud dans les années 1980, à l’heure des dictatures militaires (*).

 

S’il est exact que de nombreux régimes sud-américains ont largement recouru à la pratique des disparitions forcées (on parle de 30’000 disparus rien qu’en Argentine durant la période de 1976 à 1983), le phénomène n’a pas disparu avec la chute de ces dictatures militaires.

Le
Groupe de travail des Nations Unies sur les disparitions forcées, créé en 1980, a été saisi de plus de 52’000 cas de disparitions forcées concernant près de 80 Etats (chiffres de 2008). Ces chiffres sont très largement inférieurs à la réalité (ainsi, concernant l’Argentine, le Groupe de travail a été saisi de moins de 15% de l’ensemble des cas de disparitions forcées).

Durant les 15 dernières années, la pratique des disparitions forcées s’est maintenue autant au Nord qu’au Sud, dans des régimes de gauche ou de droite, par des dictatures militaires ou des démocraties.

Algérie, Argentine,

 

Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Burundi, Colombie, Ethiopie, Inde, Libye, Mexique, Népal, Pakistan, Russie, Sri Lanka, etc. (voir la carte). Même les Etats-Unis y ont eu recours dans le cadre de la "guerre contre le terrorisme".

Toute disparition forcée est une atteinte aux droits les plus élémentaires de la victime: sa vie est en danger, la torture est fréquemment pratiquée, son droit à la liberté est bafoué. La victime peut réapparaître des semaines ou des années plus tard. La plupart du temps, elle ne reviendra pas. Le but peut-être multiple: terroriser les opposants au régime, interroger la personne disparue sans avoir à la présenter à un juge, se débarrasser sans trace d’adversaires politiques ou religieux, parfois même « s’attribuer » les enfants des disparus, etc.

Pour les proches des victimes, la disparition est un calvaire. L’attente est interminable. La terreur et la peur côtoient l’espérance d’un retour, l’attente d’une nouvelle. Tout deuil est impossible. Après des années, le mari ou la femme d’une personne disparue ne peut refaire sa vie, se remarier. La succession ne peut être liquidée. Et presque toujours, les responsables demeurent impunis et continuent à vivre librement.

C’est pour tenter de mettre un terme à ce phén

 

omène que l’Organisation des Nations Unies a adopté le 20 décembre 2006 la Convention internationale pour la protection de toute personne contre les disparitions forcées.

Cette Convention prévoit plusieurs
mécanismes efficaces pour lutter contre ce phénomène.

A ce jour, plus de 80 Etats l’ont signéee et 13 l’ont ratifiées (Albanie, Argentine, Bolivie, Cuba, France, Honduras, Japon, Kazakhstan, Mali, Nigéria, Mexique, Sénégal et Uruguay). Mais malheureusement pas la Suisse.

Il faut 20 ratifications pour que la Convention entre en vigueur.

 La disparitions forcée est une pratique malheureusement très actuelle.

Pas en Suisse. Mais ailleurs, et maintenant.

Dans un passé récent, des dizaines d'Etats ont pratiqué la disparition forcée. Et des dizaines de milliers de personnes sont toujours portées disparues, leurs proches restant sans nouvelles de leur sort.

Algérie, Argentine, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Burundi, Colombie, Ethiopie, Inde, Libye, Mexique, Népal, Pakistan, Russie, Sri Lanka, etc. Même les Etats-Unis y ont eu recours dans le cadre de la "guerre contre le terrorisme".

 

Disparitions forcées, un fléau en recrudescence

 

 

Une personne est victime de disparition forcée lorsqu’elle est arrêtée, détenue ou enlevée par des agents de l’Etat qui nient ensuite détenir cette personne ou qui refusent de révéler où elle se trouve. La disparition forcée est un crime au regard du droit international. Or, dans de trop nombreux cas, les responsables ne sont jamais déférés à la justice. Les disparitions forcées ont été une constante dans l’histoire de la seconde moitié du XXe siècle, notamment en Amérique latine, où les dictatures militaires utilisaient cette pratique à grande échelle pour réduire les opposant·e·s au silence. Depuis 1980,plus de 50’000 cas de disparitions forcées ont été recensés par les Nations unies, bien qu’en réalité ce chiffre soit probablement bien plus élevé.Ces dernières années, dans le cadre de la «guerre contre le terrorisme»,les Etats-Unis ont procédé, parfois avec la complicité d’autres gouvernements, à la disparition forcée de personnes soupçonnées de terrorisme. En décembre 2006, les Nations unies ont adopté la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées. Ce traité vise à prévenir ces disparitions et, lorsque de tels crimes sont commis, à établir la vérité, à punir les responsables et à fournir réparation aux victimes et à leur famille. Parmi les traités adoptés par les Nations unies, ce texte est l’un de ceux qui vont le plus loin sur le plan des droits humains. Certaines de ses dispositions sont totalement nouvelles et introduisent des normes importantes.

 

 

Disparitions forcées

Depuis que la majorité des pays d’Asie, d’Amérique latine ou d’Afrique s’affichent comme démocratiques, le nombre des prisonniers d’opinion a considérablement baissé. Mais celui des <‘disparus» ne cesse d’augmenter.

On a commencé à employer ce terme de "disparition forcée" pour décrire une pratique gouvernementale d’enlèvements politiques, perpétrés par la police, les forces de sécurité ou des escadrons armés, et appliquée à grande échelle. Ainsi, au Guatemala après 1966, au Chili après 1973 et en Argentine à partir de 1976, la famille du "disparu" était souvent témoin de l’arrestation effectuée par des policiers, en uniforme ou en civil. Aujourd’hui, ce terme est utilisé àchaque fois que l’on a de bonnes raisons de penser qu’une personne est détenue par les autorités gouvernementales, même si celles-ci le nient et refusent d’ouvrir une enquête. C’est ce qui se passe dans bon nombre de pays africains où le gouvernement a lancé, à l’occasion d’une tentative de coup d’État ou d’assassinat, une vaste campagne d’arrestation des opposants politiques en ignorant totalement la légalité.

Un phénomène en pleine expansion

Un Britannique disparu dès son arrivée sur l’aéroport d’Alger. Un journaliste zaïrois arrêté chez lui qui ne réapparaît plus. Des paysans soudanais détenus en secret dans les montagnes de Nuba...

Dans son rapport de 1996 sur "les disparitions forcées ou involontaires", l’ONU a eu connaissance de 43 500 cas pour la période de 1974 à 1994 auxquels se sont ajoutés 824 cas depuis 1994.

Mais le nombre total de disparitions à travers le monde est certainement bien supérieur. Rien qu’au Sri Lanka, on constate 10134 disparitions en 1989 et 1990... Ces disparitions concernent aujourd’hui 73 pays, presque deux fois plus qu’il y a seulement cinq ans. Et ce, alors qu’une "Déclaration sur la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées" a été adoptée par ‘ONU, en 1992. Parmi ces pays, certains, tels l’Angola, la Colombie et le Maroc, ont accepté une mission d’enquête. D’autres, comme la Turquie ou l’Inde, les refusent toujours.

 http://www.acat-belgique-francophone.be/torture-aujourd-hui.html

 

81 Etats

81 Etats ont à ce jour signé la Convention dont le Maroc, qui a signé le 6 mai 2007 à Paris, mais hésite encore à la ratifier.

Lors d’une rencontre avec une délégation de la FEMED en juin 2008, Mohamed Liddidi, Secrétaire Général du Ministère de la justice et le Secrétaire Général de la Primature ont déclaré “qu’il n’existait aucun obstacle à la ratification de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées”. Le Ministre de la Justice a confirmé cette position, en réponse à une lettre envoyée par l’Organisation Marocaine des droits de l’Homme (OMDH), dans le cadre de la journée internationale contre les disparitions forcées tenue le 30 août 2008.

Dans le monde...

Plus de 30,000 disparitions forcées ont lieu chaque année dans le monde.

• 55% de ces disparitions ont lieu en Amérique Latine.

• Le nombre de disparition et enlèvement est cependant en nette augmentation à l’échelle internationale.

• Plus de 70% des enlèvements se soldent par le paiement d’une rançon.

• En revanche, moins de 10% des victimes sont sauvées.

Source : ASM, Risk Broker de la Lloyds de Londres.

 

Par Said Jameh pour Magharebia à Alger – 30/05/07

[Said Jameh] Les affiches appellant aux renseignements concernant Yacine Bouchelouh couvrent les murs d'Alger.

Les algériens sont préoccupés par le nombre d'enfants enlevés, et le kidnapping de Yacine Bouchelouh a attiré l'attention des parents à travers tout le pays. Les statistiques officielles font état de la disparition de 841 enfants depuis 2001, âgés de 4 à 16 ans.

 

 

 

 

 

 

Les chiffres officiels de l'an 2000 faisaient état de 28 cas d'enlèvement pour un seul mois. En 2002, 117 enfants ont été kidnappés, dont 71 filles. Le nombre d'enfants disparus s'élève à 168 en 2004. La police algérienne a déjà enregistré 41 enlèvements d'enfants au cours des quatre premiers mois de cette année.

 

Certains algériens attribuent ces disparitions au développement des réseaux criminels officiant dans le trafic d'organes, d'autres incombent le phénomène à des motivations d'ordre sexuel.

Afin de chasser l'idée prégnante concernant l'apparition de réseaux de trafic d'organes humains, les agences de sécurité ont démenti l'existence de tels réseaux dans la période qui a suivi le kidnapping de Yacine, soulignant qu'aucune opération relevant d'un tel trafic n'a jamais été enregistrée et que l'existence de ces réseaux n'a été ni découverte ni confirmée.

 

    Statistiques des disparitions Ces statistiques concernent les personnes disparues inscrites dans le "Fichier des Personnes Recherchées" (FPR) commun à la Gendarmerie et à la Police. L’inscription de toute disparition de mineur y est obligatoire. En 2000, 41.000 disparitions ont été enregistrées, dont 34.500 départs volontaires de mineurs, plus de 6.000 disparitions inquiétantes de majeurs et 280 disparitions de mineurs dont, fait très alarmant, la moitié n’est jamais retrouvée.

 

 http://apevv3.apinc.org/print.php?sid=77#13

http://www.francesoir.fr/faits-divers/2009/05/26/enlevements-les-rapts-se-radicalisent.html#

En 2008, 360 enlèvements parentaux ont été rapportés en France. Au total, 59.480 disparitions ont été enregistrées, mineurs et majeurs confondus.

Le nombre d’enlèvements parentaux d’enfants signalés à SOS Enfants disparus a augmenté de 49 % en 2008, constituant près d’un tiers du total des nouveaux dossiers, ont annoncé hier, à Paris, la Fondation de France et l’Institut national d’aide aux victimes et de médiation (Inavem).

En 2008, 907 dossiers de disparitions d’enfants ont été ouverts par SOS Enfants disparus et 850 dossiers clos, certains de ces derniers concernant des affaires signalées les années précédentes. Sur les 907 nouveaux dossiers, 286 concernaient des enlèvements parentaux, 225 des fugues, 155 des disparitions non expliquées, le reste étant constitué de demandes diverses.

D’après des statistiques du ministère de l’Intérieur, en 2008, un total de 360 enlèvements parentaux a été signalé, 47.062 fugues et 10.846 disparitions inquiétantes –concernant les personnes victimes d’un crime ou suicidaire –, mineurs et majeurs confondus, soit 59.480 disparitions au total.

 

 

Statistiques des disparitions en France

 

Ces chiffres sont ceux communiqués par le ministère de l’intérieur (OCRVP) à partir du Fichier des Personnes Recherchées qui centralise l’ensemble des données concernant les disparitions en France.

 

 

 

Année 2006

 

  • fugues : 43.245 dont 20.011 garçons et 23.234 filles.

     

     

  • disparitions inquiétantes : 10.182 dont 9.287 majeurs, et 895 mineurs (dont 380 enlèvements parentaux).

     

     

  • autres (RIF, …) : 1.570.

     

 

 

  • mineurs découverts dans l’année : fugues 42.341, disparitions inquiétantes 711.

     

 

 

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Année 2005

 

  • fugues : 40.260 dont 18.510 garçons et 21.750 filles

     

     

  • disparitions inquiétantes : 9.787 dont 8.940 majeurs, et 847 mineurs (dont 392 enlèvements parentaux).

     

     

  • autres (RIF, …) : 1.610.

     

 

 

  • mineurs découverts dans l’année: fugues 40.031, disparitions inquiétantes 683.

 http://apevv3.apinc.org/index.php?op=newindex&catid=15

 

 

Suite !!

 

 

 

 

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