Créer un site internet

Comparaison aujourd'hui !!

 

Dans l'espoir d'enrayer le mal et de protéger la jeunesse des dangers de l'occultisme et du satanisme, l'Eglise catholique se mobilise. Début février, une centaine de prêtres exorcistes se sont réunis à Lyon pour plancher sur le sujet. L'exorciste est un prêtre missionné par l'évêque de son diocèse pour «accueillir, écouter, conseiller, prier, guérir en adressant des prières à Dieu et des adjurations au diable». Des hommes de foi qui interviennent à la demande des intéressés : «Souvent, ce sont des parents désorientés qui s'adressent au prêtre. Ils viennent chercher des solutions pour sortir leur enfant du satanisme. Mais il y aussi beaucoup de jeunes que je rencontre dans les lycées et collèges. Ils viennent se confier à moi sur leurs pratiques occultes. J'essaie de leur ouvrir les yeux.»
 A rappeler que les cadavres ont été retrouvés découpés et placés dans des sacs en plastique. Selon les premiers éléments de l'autopsie, il s'agit de corps de jeunes de sexe masculin âgés de 13 à 16 ans.
D'après l'autopsie, la mort serait d'origine criminelle, puisque les corps portent les traces de coups sur les crânes et autres membres du corps. 
Les victimes seraient de race caucasienne (méditerranéens). Les corps étaient enterrés avant d'être exhumés et déplacés puisque de la terre a été retrouvée sur les os des victimes. Les sacs contenant les corps ont été retrouvés éparpillés de 10 à 40 mètres.
Le district de Kampala est, ce qui est normal car le plus riche et le plus peuplé, le plus concerné avec 956 disparitions, ensuite Wikiso recense 98 disparus, Mityana 19 et Kayunga 16. D’autres districts ont enregistré des meurtres rituels ou qualifiés comme tels en fonction de l’état dans lequel ont été retrouvés les corps. L’article souligne que de nombreuses ethnies ont pratiqué le sacrifice d’animaux pour s’attirer la chance, mais que l’utilisation d’être humain est assez récente. La police rapporte que la plupart des corps retrouvés avaient été mutilés et que des parties du corps avaient été retirées dont la tête, le foie et les organes génitaux et que la majorité des dépouilles retrouvées étaient des enfants.
 
En page 2 et 3 figure la liste des sacrifices humains ou supposés tels depuis 2007 avec en illustration un inspecteur de police ganté examinant à même le sol le corps d’une femme adulte décapitée.
Le premier cas sur la liste concerne un enfant de deux ans dont on a retrouvé le corps mutilé en aout 2007 dont il manquait la langue, les organes géniaux, le foie et les reins. La majorité des cas présentés (35) sont des enfants en bas âge ou des adolescents, le plus souvent de sexe masculin. Les corps sont retrouvés dans les champs, sur des dépôts d’ordure ou même dans des latrines. S’il est indéniable que toutes ces personnes ont été victimes de meurtres, rien ne prouve qu’elles aient été utilisées à des fins sacrificielles. D’autres explications peuvent être apportées comme le viol, le crime passionnel, la vengeance ou le règlement de compte. Mais les enfants retrouvés avec des organes manquants ont été probablement sacrifiées et leurs organes utilisés à des fins de sorcellerie.

dessin d'un des enfants.

 

J'étais justement tombé sur ça tout à l'heure un reportage france 3 de 1999


"Les témoignages et dessins des enfants, entrecoupés de pleurs, révèlent des rites pédo-sectaires : hommes et femmes en robe blanche ou rouge à bords dorés, arborant sur leur poitrine le symbole d'un triangle dans un cercle, tenant parfois des crucifix, iront jusqu'à décapiter des enfants devant eux et à placer leur têtes sur des piques"

Extraits des reportages : viol, attachée sur table, frappée.

Sévices, hématomes (coups),

Tuer des enfants, couper la tête à un enfant

Statue, pendule, roue, séance d'hypnose

Déguisement, cape rouge, crucifix spécial

robe blanche avec cercle et triangle à l'intérieur

statue avec têtes d'enfants au bout de pic qui brûle, inceste

une tête et des mains coupées d'enfants, et des bocaux contenants des mains d'enfants.

Messager de dieu, parti sur leur planète.

Elite qui est pour le moment sur terre, et qui sera amenée à partir

Ces hommes, ce sont de pures femmes

Utilisation de drogues, hallucinations

Toutes ces phrases se retrouvent sur les pages de mon site dans les rubriques précédentes !!!

 

http://www.arib.info/index.php?Itemid=87&id=378&option=com_content&task=view

Nouveau meurtre d'albinos en Tanzanie
Afrique

@rib News, 21/10/2008 – Source AFP

Une fillette albinos a été tuée dimanche en Tanzanie où les personnes atteintes d'albinisme sont victimes d'une recrudescence de crimes rituels, des sorciers leur attribuant des pouvoirs magiques, a-t-on appris de source officielle mardi.

La victime, âgée d'une dizaine d'années, a été tuée dimanche soir dans son village de Shilela (ouest), a rapporté un élu local Joseph Manyara précisant que ses meurtriers avaient emporté un de ses bras.

Selon l'association tanzanienne des albinos (TAS), au moins 26 d'entre eux ont été tués dans le pays depuis le début de l'année.

Cet assassinat est intervenu quelques heures après un nouvel appel du président tanzanien Jakaya Kikwete à intensifier la répression contre ces meurtres.

"Il est parfaitement stupide pour certains de croire que les albinos ont des pouvoirs magiques et que certaines parties de leur corps peuvent rendre riche", a-t-il déclaré à l'issue d'un rassemblement à l'appel de l'association tanzanienne des albinos.

"La population doit être éduquée pour comprendre la nature de l'albinisme et qu'elle ne peut prospérer qu'à travers le dur labeur et non en vendant des morceaux de corps d'albinos", a-t-il ajouté.

Le 2 avril, M. Kikwete avait déjà annoncé une série de mesures destinées à protéger les albinos des attaques perpétrées ou commanditées par des sorciers qui utilisent des parties de leur corps pour attirer la chance.

Dans le cadre de ces mesures, la police avait été appelée à redoubler d'efforts pour retrouver les sorciers soupçonnés de ces crimes tandis que les albinos avaient reçu l'instruction de s'enregistrer auprès des autorités afin qu'elles puissent assurer leur sécurité.

M. Kikwete a précisé que 47 personnes soupçonnées d'être impliquées dans ces meurtres avaient été arrêtées en Tanzanie lors des douze derniers mois.

Le président de la TAS, Ernest Kimaya, avait estimé dimanche que la réponse des pouvoirs publics était encore trop lente.

"Nous attendons toujours de voir des inculpations alors que le rythme des meurtres d'albinos est en augmentation", avait-il déclaré.

Cette vague de criminalité touche également le Burundi voisin où deux albinos ont été récemment tués par des trafiquants qui font commerce de leurs organes en Tanzanie. Les autorités de la province de Ruyigi, frontalière de la Tanzanie, ont décidé de regrouper les 45 albinos recensés dans la province pour assurer leur protection.

L'albinisme est une absence totale de pigmentation dans la peau, le système pileux et l'iris des yeux due à des facteurs génétiques.

 http://www.arib.info/index.php?option=com_content&task=view&id=1033&Itemid=81

Après deux mois de mise en délibéré, le tribunal de grande instance de Ruyigi, situé à quelque 200 kilomètres à l'est de Bujumbura, a rendu son verdict, jeudi 23 juillet, dans le procès de onze hommes accusés d'être responsables de plusieurs meurtres d'albinos dans cette province de l'est du Burundi, la plus touchée par ces meurtres rituels.

Les albinos souffrent d’une maladie génétique caractérisée par une absence de pigmentation de la peau et sont souvent victimes de discriminations, voire de crimes rituels, dans plusieurs régions d’Afrique.

Sur la dizaine de personnes inculpées dans ce procès qui s'est déroulé il y a deux mois dans le petit tribunal de Ruyigi, proche de la frontière tanzanienne, huit ont été condamnés. Le principal accusé a été condamné à perpétuité et trois autres inculpés ont écopé de quinze ans de prison chacun pour tentative d'assassinat.

Le tribunal a également condamné un autre prévenu à sept ans de prison pour complicité. Deux autres en sont quittes pour une peine de deux ans de prison chacun et un dernier à un an ferme.

Le procureur Nicodème Gahimbare, qui représentait le ministère public au cours de ce procès, a estimé que la cour a suivi son réquisitoire malgré quelques acquittements. Selon le procureur, cette bande de tueurs avait semé la terreur de septembre 2008 à mars 2009 dans l'est du Burundi, en mutilant au moins onze albinos, dont les bras et les jambes étaient vendus à des sorciers tanzaniens, qui les auraient utilisés pour fabriquer des gris-gris.

Aujourd'hui, Monsieur Gahimbare estime que cette décision de justice sera dissuasive : "Maintenant que la justice a pris la bonne décision, je ne crois pas qu'on pourrait assister à d'autres cas."

Seul bémol : les prévenus, tous de simples paysans attirés par l'appât du gain selon l'accusation, ont comparu sans avocat. Ils avaient tous plaidé non coupable et demandé leur relaxe.

 http://www.rfi.fr/afrique/20100510-meurtres-albinos-continuent-impunement-tanzanie

Les meurtres d’albinos continuent impunément en Tanzanie
Des albinos attendent le verdict du procès des responsables de crimes rituels d'albinos, à Ruyigi, au Burundi le 24 juillet 2009.
Des albinos attendent le verdict du procès des responsables de crimes rituels d'albinos, à Ruyigi, au Burundi le 24 juillet 2009.
(Photo : Esdras Ndikumana/AFP)
Par RFI

Trois albinos ont été tués en Tanzanie entre février et avril 2010. Quatre tentatives de meurtres ont été signalées pendant la même période. Ces assassinats, très lucratifs, seraient liés à des pratiques de sorcellerie. Les coupables restent le plus souvent impunis.

Selon une ONG canadienne, Under the same sun, (Sous le même soleil), le trafic d’organes d’albinos se poursuit impunément en Tanzanie comme au Burundi. Les sorciers qui sont concentrés dans les régions du lac Victoria où les meurtres d’albinos sont endémiques, sont souvent accusés de recommander l’utilisation de parties du corps d’albinos à leurs clients en quête de bonne fortune. Ainsi, une commande comprenant les bras, les jambes et plusieurs parties du visage vaut 75 000 dollars. Un membre coûte, à lui seul, 3 000 dollars. C'est donc un trafic extrêmement lucratif.

L’année dernière, une quarantaine d’albinos, y compris des enfants en bas âge, ont été atrocement mutilés dans cette région du lac Victoria, une des plus pauvres de Tanzanie, où le taux d’alphabétisation est très bas. Un enfant blanc né de deux parents noirs est un phénomène qui, en Afrique, a toujours alimenté des croyances voulant que les albinos détiennent des pouvoirs magiques. Il s’agit en fait d’une maladie génétique caractérisée par une absence de pigmentation de la peau, des yeux et des cheveux. Des pays d’Afrique, la Tanzanie est celui qui compte le plus d’albinos, avec 170 000 cas sur 38 millions d’habitants. 

Une protection précaire

Les autorités de Dodoma, capitale de la Tanzanie, essaient tant bien que mal de protéger les enfants albinos. Une centaine d’entre eux ont trouvé refuge à l’internat de Mitindo, situé à une trentaine de kilomètres de la ville de Mwanza. Certains ont été victimes de tentatives de kidnapping. La paranoïa a atteint un degré tel, suite aux meurtres et aux accusations relatives au trafic de chair humaine, que certains enfants sont envoyés à l’école Mitindo uniquement parce que leurs parents ont peur d’avoir des ennuis avec les autorités. Nsojola Kaliyaya, père d’un albinos de 12 ans, avoue qu’il préfère se séparer de son fils : « S’il se fait tuer, la police m’accusera de l’avoir vendu pour me faire de l’argent. Je préfère qu’il ne vive plus avec nous pour pouvoir dormir en paix et ne pas finir en prison ». Le Premier ministre tanzanien, Mizengo Pinda, a décidé à la fin du mois de janvier 2010 de supprimer les licences pour les guérisseurs traditionnels, afin d’enrayer la chasse aux enfants albinos. 

Une justice inefficace 

« Sur les 57 meurtres d’albinos recensés depuis 2007, seuls deux cas ont abouti à une condamnation en justice. Et les condamnés ne sont toujours pas en train de purger leurs peines », se désole Peter Ash, le président de l'ONG canadienne Under the same sun (Sous le même soleil). « Dans les deux procédures, les sorciers et les assassins ont été nommés, mais ceux au sommet de l'affaire, ceux qui peuvent payer jusqu’à 75 000 dollars pour un "philtre" à base de parties du corps d’un albinos, ceux-là n'ont jamais été inquiétés ».

« Pratiquement tous les politiciens consultent des sorciers avant une campagne électorale ou pour s’assurer du succès de leur politique, certains sont forcément impliqués », estime un avocat de Mwanza. Et il rajoute, fataliste : « Même si une personne prend le risque d’aller voir la police, il lui est très difficile d’apporter des preuves. Les sorciers ont beaucoup d’argent et peuvent soudoyer les policiers afin d’être relâchés, puis se venger sur toute la famille du dénonciateur. Personne ne prendra jamais un tel risque, parce que tout le monde croit en la sorcellerie ».

 

Convertir en PDF Version imprimable
 

 

http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAPA88567/violence-albinos-interpolvaste-operation-d-interpol-contre-les-meurtres-d-albinos.html

 Les pays devant participer dans l’opération conjointe sont le Rwanda, le Burundi et la République démocratique du Congo (RDC), ainsi que l’ensemble des riverains de certaines des régions tanzaniennes les plus touchées.

 

 http://www.rtbf.be/info/burundi-nouveau-meurtre-dalbinos-un-garcon-au-corps-mutile-87841

09.03.09 - 15:14

Une garçon albinos a été tué et mutilé dans le nord du Burundi, dernier cas d'une série de meurtres rituels visant les albinos dans ce pays et en Tanzanie voisine. Ce nouveau meurtre a eu lieu dans la commune de Muruta.

"La population a découvert hier (dimanche) le corps d'un garçon albinos de huit à dix ans, qui a été tué et dont les bras et les jambes ont été coupés", a rapporté Geneviève Ntawiha, administrateur de la commune de Muruta. "On a retrouvé ce corps affreusement mutilé dans une rivière (...) et pour le moment, l'enquête en cours n'a pas encore permis d'identifier le corps, ni les circonstances exactes de ce meurtre", a-t-elle expliqué. Ces informations ont été confirmées par des sources judiciaires à Kayanza, qui estiment que "ce garçon a été tué récemment puisque le corps n'est pas encore totalement abîmé".

Le 24 février, un autre garçon albinos de six ans avait été tué et mutilé dans la même province de Kayanza, et ses assassins n'ont toujours pas été retrouvés.

Un nouveau crime qui porte à neuf, le nombre d'albinos tués ces cinq derniers mois au Burundi, alors qu'un autre albinos est porté disparu.

Ils surviennent dans un contexte de recrudescence des crimes rituels à l'encontre des albinos, leurs membres ou leurs organes étant notamment utilisés pour leur pouvoir soi-disant magique par des sorciers en Tanzanie pour confectionner des grigris porte-bonheur à l'attention des chercheurs d'or notamment.

 http://www.afrik.com/article13520.html

Malheureusement, les albinos sont recherchés pour les sacrifices humains, prometteurs en termes d’enrichissement ou d’élévation sociale. « Au moment des compétitions électorales, les albinos sont convoités par les candidats. Pendant cette période nous devons rester chez nous », indique Fédéré Sanon. « Les albinos ne sont plus perçus comme des êtres humains mais comme des objets sacrificiels convoités pour leurs têtes ou pour leurs appareils génitaux, les parties du corps les plus puissantes », ajoute-t-il.

 

 Suite !!

 

 

Créer un site internet avec e-monsite - Signaler un contenu illicite sur ce site