Comparaison des rites décrits !!

 

Le sacrifié était fermement maintenu par cinq prêtres : un pour chaque bras et chaque jambe, et un qui maintenait sa tête à l'aide d'un joug (« maquizcoatl »).

Le prêtre ouvrait la poitrine à l'aide d'un couteau de silex[G 32] parfois pourvu d'un manche[G 33] et nommé « ixquauac » (« gros visage »)[G 33] ou « tecpatl » (« silex », par métonymie). On ne connaît pas la technique exacte utilisée pour extraire le cœur[G 34], mais plusieurs hypothèses de méthode ont été émises (et même parfois testées sur des cadavres)[GT 13] par des chirurgiens, dont les plus plausibles sont l'incision intercostale latérale du côté gauche[G 35], la thoracotomie bilatérale transversale[G 36] et la coupure horizontale de l'épigastre[G 37].

Sacrifice gladiatorial

Article détaillé : Sacrifice gladiatorial.

Le sacrifice gladiatorial (« tlahuahuanaliztli » en nahuatl) opposait une victime, attachée par une corde blanche à un « temalacatl » et armée d'un macuahuitl factice (sans lames d'obsidienne), à une succession de guerriers d'élite (aigle et jaguar) munis d'une arme réelle.

Une fois le sacrifié vaincu, les prêtres procédaient à sa cardiectomie, à sa décapitation puis à son écorchement.

Écorchement

Pour le sacrifice de Toci pendant le mois d’Ochpaniztli : une femme était décapitée et écorchée[19]. Lors de la fête de Xipe Totec à Tenochtitlan, les prêtres écorchaient les victimes pour se revêtir de leur peau[20].

Décapitation

Des femmes étaient sacrifiées par décapitation pour les divinités agricoles[17]. Pour le sacrifice de Toci pendant le mois d’Ochpaniztli, une femme était décapitée et écorchée[19].

Flèches

Lors de certains sacrifices pour le dieu Xipe Totec, on mettait la victime à mort à coups de flèches[5].

Offrandes

 
Cuauhxicalli en forme de jaguar (salle mexica du musée national d'anthropologie de Mexico).
 
Représentation d'un tzompantli, à droite (Codex Tovar).

Le sacrifice était suivi d'offrandes à la divinité à laquelle était dédiée la cérémonie. Cette divinité pouvait être symbolisée par une représentation artistique (sculpture) ou un animal vivant (reptile, par exemple).

Dans le cas des sacrifices par cardiectomie, le cœur du sacrifié était ensuite brandi ou lancé vers un symbole du dieu auquel était dédié le sacrifice, voire frotté ou écrasé contre une représentation du dieu[G 38]. La plupart des sources indiquent que le cœur et le sang étaient finalement entreposés dans un réceptacle, souvent un « cuauhxicalli » (« réceptacle de l'aigle »)[21], pour que le dieu puisse le manger[G 39] ; il pouvait aussi être brûlé, enterré ou mangé[G 40].

La peau et le crâne étaient aussi des éléments importants de l'offrande. Une fois la tête détachée du corps par les prêtres, le crâne était enchâssé dans une barre en bois du tzompantli de l’enceinte sacrée[22],[23].

Usages de la dépouille

Repas anthropophage après un sacrifice humain (codex Magliabechiano, recto du folio 73).

Après le sacrifice et les offrandes rituelles, la dépouille était ensuite généralement découpée en morceaux. Dans le cas des prisonniers de guerre, le corps était d'abord jeté du haut de la pyramide.

Les ossements pouvaient servir à la fabrication d'instruments de musique, de cuillères, de poinçons[18] ou encore de parure.

La chair du sacrifié était une nourriture sacrée réservée à certaines personnes[G 41] (le cœur était mangé par les prêtres, alors que les cuisses étaient réservées à l’empereur[24]) ou à des animaux sauvages gardés en captivité (serpents, jaguars)[25] qui représentaient certaines divinités.

Nombre et fréquence des sacrifices

On ne connaît pas précisément l'ampleur totale des sacrifices dans l'histoire de l'Empire aztèque. Cependant, il est certain, au moins à partir du règne de Moctezuma Ier, que la religion aztèque pratiquait le rite du sacrifice humain de manière régulière et massive.

 

Évolution historique

Vers 1450, lors d'une période de famine très longue et intense, Tlacaelel[26] a instauré la guerre fleurie, une forme de guerre rituelle, où l'on s'efforce non pas de tuer mais de capturer les guerriers adverses pour les sacrifier, pour calmer la colère des dieux assoiffés de sang humain.

À partir de cette époque, sous le règne de Moctezuma Ier, le nombre des sacrifices humains a pris de l’ampleur[11].

Situation au XVIe siècle

Les occasions de sacrifices étaient nombreuses car les guerres étaient fréquentes et les dieux innombrables : famine, sécheresse, inondation, départ à la guerre, couronnement, consécration d’un temple pouvaient faire l'objet de sacrifices.

Hernán Cortés a estimé que 3 000 à 4 000 personnes étaient sacrifiées par an[27]. Le nombre de sacrifiés le plus important évoqué dans les chroniques apparaît dans le codex Durán, qui affirme qu'en 1487, pour célébrer la rénovation du Templo Mayor de Mexico-Tenochtitlan par Ahuitzotl, 80 400 captifs auraient été sacrifiés en quatre jours[G 42], même si ce chiffre est probablement exagéré[28] (le codex Telleriano-Remensis évoque quatre fois moins de victimes)[29],[30],[9].

Les Aztèques procédaient à des sacrifices rituels lors de nombreuses cérémonies régulières, mais aussi plus ponctuellement, pour célébrer certains évènements ou se protéger de certaines menaces.

 Description des multiples et des autres !!

une série de tentatives de suicide

La grandiloquence de leurs symptômes psychologiques et somatiques trouva un écho dans le caractère sadique de leurs réminiscences et dans la qualité déchirante de leurs abréaction.

Alors que la plupart des tribunaux insistent pour que les meurtriers ou violeurs récidivistes, ayant été médicalement reconnus comme des "multiples", soient néanmoins tenu(e)s pour responsables de leurs crimes, les sentences prononcées ont toujours donné lieu à des débats passionnés à propos du statut juridique d'une personnalité.

de ce problène envahissant de sévices sexuels incestueux,

Toutefois, au milieu de la décennie 1980, avec l'organisation de conférences professionnelles régionales et nationales sur le trouble de personnalité multiple, les cliniciens commencèrent à comparer les histoires qu'ils entendaient en cours de thérapie et découvrirent une tendance très alarmante dans le contenu spécifique des réminescences de leurs patientes.

En effet, quelque 25 % des "multiples" en cours de traitement se souvenaient non seulement de sévices sexuels et autres graves traitements mais signalaient aussi que leurs tortionnaires étaient membres de sectes sataniques qui les avaient forcées à participer à des orgies rituelles très élaborées, à des meurtres et à des pratiques cannibales.

Etant donné la gravité et l'ampleur des activités criminelles ainsi décrites, bon nombre de thérapeutes firent appel à la police et au FBI. Cependant, malgré des centaines d'enquêtes criminelles approfondies, aucune preuve tangible ne put être établie.

Vers 1988, l'absence totale de preuves à l'égard d'activités impliquant la mise en oeuvre de réunions de masse, vêtements cérémoniels, couteaux, reptiles en cage, feux de joie, accouchements provoqués, sacrifices sanguinaires, cannibalisme, crématoriums portatifs et autres instruments, entraîna un clivage des points de vue entre la communauté thérapeutique et les spécialiste du FBI, ces derniers considérant que, contrairement à l'inceste dont il fort difficile d'apporter la preuve, des conspirations criminelles de masse sont extrêmement difficiles à garder secrètes.

Malheureusement, leur scepticisme ne changea guère l'avis des cliniciens alarmés (en particulier, l'important lobby des thérapeutes et conseillers pastoraux chrétiens qui avaient rejoint le mouvement du TPM dans les années 80), dont les patientes avaient répondu à leur crise en recouvrant d'abondantes réminiscences de cérémonies et de méthodes singulièrement ingénieuses pour faire disparaître toute trace de preuve.

D'accord avec leurs patientes, ces cliniciens convaincus attribuèrent le manque d'éléments matériels à l'extraordinaire sophistication des techniques mises en oeuvre par les sectes sataniques.

 En fait, ils furent nombreux à exprimer leur réserve, étant donné qu'aucune des centaines d'allégations de rituels sataniques apparus à travers les Etats Unis ne fut jamais étayée par des preuves.

 

La Formation des psycho-démonologues

L'émergence de l'étiologie satanique provoqua, chez beaucoup de cliniciens, une transformation radicale de leur compréhension du trouble de personnalité multiple.

Alors que les personnalités alternantes avaient initialement été décrites comme étant des défenses psychologiques imaginées par des enfants accablés de détresse, parmi les thérapeutes gagnés à la cause, elles en vinrent à être considérées comme des entités volontairement créées par des adorateurs de Satan, dans le cadre d'un système sophistiqué de lavage de cerveau existant depuis des siècles.

Dans de nombreux cas, cette théorie fut confortée lorsque certaines patientes présentèrent des personnalités alternantes qui déclarèrent que, à l'insu des patientes elles-mêmes et des thérapeutes, elles continuaient à se livrer activement à ces cultes et à participer à des rituels sanguinaires.

Au milieu des années 80, alors que le fossé séparant les croyants et les sceptiques s'élargissaient, des thérapeutes acquis à cette cause organisèrent des séminaires de formation.

 

Les descriptions de sabbats données par ce groupe intègrent une partie de la théorie contemporaine du lavage de cerveau aux motifs communs de transgression sexuelle et de cannibalisme.

Toutefois, elles incluent également des récits détaillés de maléfices.

En outre, bien que les apparitions soient relativement rares, le diable et les démons restant des participants actifs dans les rituels de sabbats surnaturels.

 http://www.noella1.com/rubrique,personnalites-multiples,568790.html

 

En dernière analyse en matière de satanisme surnaturel actuel, le diable continue à être considéré à la fois comme instigateur et comme bénéficiaire du sabbat.

Par contraste, le diable et toutes traces d'activités surnaturelles sont notablement absents des récits de sabbats mis à jour par les psycho-démonologues scientifiques.

Dans ces variantes "high tech", les motifs communs sont fusionnés aux descriptions de tortures systématiques,

 

Selon les démonologues scientifiques, l'objectif des rituels sabbatiques non surnaturels n'est nullement l'adoration du diable mais la création de robots humains. Lorsque l'inconscient des futurs adeptes a été détruit par manque de sommeil, et de nourriture, par l'isolement, les tortures sexuelles et les électrochocs, les satanistes "scientifiques" utilisent le nec plus ultra de la technologie en matière de réalité virtuelle et de drogues capables de modifier l'esprit, pour implanter et programmer des personnalités secondaires.

Les psycho-démonologues contemporains, dans le sillage de leurs prédécesseurs, prennent largement prétexte de l'emploi de drogues hallucinogènes pour dissimuler les insuffisances désastreuses de leurs propres théories chimériques.

Par exemple, à un certain moment du processus thérapeutique, toutes les victimes involontaires des sectes sataniques en viennent inévitablement à décrire des événements surnaturels, les participants peuvent alors se déplacer dans les airs ou être découpés en menus morceaux avant d'être à nouveau et magiquement reconstitués.

Quoique ces souvenirs soient très forts pour des patientes qui les recouvrent dans un état de transe hypnotique, les démonologues rejettent ces événements "impossibles" comme autant d'images fabriquées au moyen des drogues utilisées lors de la programmation satanique.

En général, tous les événements matériellement impossibles sont rationnalisés de pareille façon et supprimés des récits de sabbats; en revanche, les évènements physiquement possibles - bien qu'improbables- tels que le viol, le meurtre' et la consommation rituels de quantité de foetus sont conservés.

Toutefois, au cours des 8 dernières années, le manque constant de preuves matérielles pouvant corroborer ces allégations a amené un certain nombre de démonologues frustrés à laisser entendre qu'une partie, au moins, des rituels sabbatiques les plus improbables étaient aussi des évènements mentaux induits par les drogues.

Quoi qu'il en soit, savoir à qui incombe la responsabilité de la participation aux sabbats "high tech" demeure une priorité vitale.

A l'heure actuelle, deux théories principales sont en présence. Selon la première variante, l'admission aux sabbats est strictement limitée aux personnalités alternantes sataniques qui, pour ainsi dire, vont ça et là dans les corps d'êtres humains normaux, dont elles ont pris le contrôle.

Ces entités diaboliques dominent les millers de personnalités alternantes "spontanées" et plus banales qui habitent les inconscients poly-fragmentés, hiérarchisés, des "multiples" sataniques.

Ainsi depuis plusieurs siècles, des personnalités alternantes sataniques synthétiques déambuleraient donc dans l'univers inconscient parallèle.

Moyennant quoi, avec cette variante théorique, toutes les personnalités alternantes "spontanées" des multiples sataniques sont présumées être d'innocentes victimes.

Etant donné qu'aucune d'entre elles n'a participé à des sabbats, il s'ensuit qu'elles ne peuvent être tenues juridiquement responsables des crimes rituels commis par les alternantes synthétiques.

Bien que ce modèle soit apparemment cohérent, il n'offre que peu de réconfort aux milliers de patientes, souffrant aujourd'hui de forts symptômes, qui sont recouvré des souvenirs de sévices rituels sataniques et qui sont confrontées à de nombreuses années de psychothérapie.

 Aujourd'hui, l'épidémie satanique s'étend jusqu'aux patientes "non-multiples". Dans les institutions spécialisées dans le traitement de sévices sexuels et de troubles dissociatifs, le pourcentage de patientes ayant retrouvé les souvenirs de sabbats sataniques varie entre 35% et 80 % selon le service.

Par exemple, en 1992, le président en exercice de la Société américaine d'hypnose déclara que, selon ses sources, les sectes sataniques apparurent au cours de la Deuxième Guerre mondiale

Un deuxième groupe, plus controversé quoique potentiellement plus influent, se compose de très jeunes enfants, généralement de moins de six ans.

Au cours des premières années de la décennie 1980, la grande majorité des jeunes victimes apparut dans le contexte d'enquêtes criminelles sur des scandales notoires d'abus sexuels qui avaient été perpétrés dans des garderies d'enfants.

En fait, la plupart des enfants qui finirent par décrire des sabbats ne présentèrent aucun symptôme évident de trauma hors du commun.

Finalement, c'est l'ensemble du personnel de la garderie qui fut suspecté, alors que les histoires racontées par les enfants devenaient de plus en plus bizarres.

Peu de temps après le début de l'enquête, l'accusation initiale d'abus sexuels fut banalisée par des descriptions de rituels de groupe, de prostitution, de profanations de sépultures, de mises en cage avec des animaux sauvages, de libations de sang et de meurtres de petits enfants.

 Dans les années qui suivirent, des douzaines d'autres affaires criminelles furent jugées en Amérique du Nord, impliquant de très jeunes enfants qui, une fois sortis de thérapie, déclarèrent avoir été initiés au satanisme lors des sabbats organisés par des adultes censés s'occuper d'eux.

 Aujourd'hui, lors des séminaires de formation traitant des rituels sataniques, de nombreux psycho-démonologues américains laissent entendre que les descriptions de sabbats faites par des enfants viennent corroborer à la fois les effrayantes réniniscences des patientes adultes et l'existence d'une conspiration mondiale des sectes sataniques.

 

Les professionnels de la santé mentale travaillant sur ces deux groupes suivent les mêmes séminaires de formation où ils apprennent les mêmes diagnostics et les mêmes astuces thérapeutiques, comparant les toutes dernières descriptions et rituels sataniques fournies par leurs cohortes respectives de patientes.

Cette confrérie des psycho-démonologues n'est pas le seul facteur social ayant contribué à instaurer le climat de panique régnant aujourd'hui à l'égard des satanistes.

Toutefois, il continue à jouer un rôle important.

En conférant une aura de légitimité scientifique aux réminiscences démoniaques de milliers de patientes.

John Wayne Gacy était-il fou ?

On peut continuer de se poser la question encore aujourd'hui. S'il ne l'était pas, il faut bien admettre, alors, que ses actes donnaient de lui l'image d'une pure incarnation du Mal.

Qu’aux États-Unis les souvenirs retrouvés d’inceste aient dérivé en souvenirs d’enlèvements et de viols par des extra-terrestres, lors de vies antérieures et d’abus rituels sataniques, et de ce fait aient perdu en partie leur crédibilité, n’est pas non plus une garantie absolue qu’ils ne s’implantent pas en France 

 Les cultes de Satan représentent un phénomène inquiétant en constante progression un peu partout en Europe.
S'il était, dans les années soixante, circonscrit à certaines régions des Etats-Unis, notamment en Californie, il en va tout autrement aujourd'hui. Profanations de cimetières, découverte d'éléments de magie noire, restes de festins orgiaques qui constituent de lamentables parodies des fameuses messes noires : autant de phénomènes signalés un peu partout à plusieurs reprises. A cela s'ajoute une donnée terrifiante qui semble justement caractériser les nouvelles congrégations de satanistes des années quatre-vingt-dix : le sacrifice humain.
Aux Etats-Unis, en Angleterre et en Allemagne surviennent des homicides rituels que les satanistes perpètrent dans le cadre de leur infâme culte. Les victimes sont des enfants innocents arrachés à leur familles et kidnappés afin d'être immolés au cours de cérémonies démentielles et blasphématoires. Pénétrer dans ce monde pour le moins délirant s'avère extrêmement difficile. Les congrégations et les groupes adorateurs de Satan aiment, en fait, à s'entourer d'un secret et d'un mystère qu'il est peu aisé de percer. Nous essaierons néanmoins, par souci d'information, d'évoquer les groupes les plus représentatifs qui rassemblent un certain nombre d'adeptes.

 

Il semblerait que dans aux États-Unis la popularité de satanisme a entraîné une augmentation de meurtre et enquêtes ont révélé que les nombreux meurtres sont connectés avec satanisme.

L'assassin notoire Charles Manson a participé à l'adoration de Satan. Lorsque Manson a été interviewé suite à son arrestation pour un meurtre multiples, disait-il, « tous mes femmes sont des sorcières, et je suis le diable. » Le journaliste lui saillies et a répondu: « Sure que deux d'entre nous. » Mais n'a pas été blague Manson. « Non » il dit « Vraiment me ». Un objet similaire choses ont été signalés dans la presse, ici, en Australie. Il semble y avoir un nombre croissant de meurtres qui sont associées à l'adoration de Satan.

 

Il leur fallait un crâne

Par d'autres sources, nous avons toutefois obtenu quelques détails, pour le moins hallucinants. Il se serait agi d'un rite satanique commis par deux jeunes. Le mineur d'âge aurait eu l'intention de mettre fin à ses jours, mais n'avait pas le courage de le faire. L'autre, qui avait trouvé son inspiration sur des sites internet consacré au satanisme, lui avait suggéré de s'emparer du crâne d'un défunt, afin de trouver la force de passer à l'acte.

Le 30 septembre 2005  des policiers colombiens, qui inspectaient des colis à destination des Etats-Unis, ont fait mercredi dernier une macabre découverte. Trois fœtus humains, enveloppés dans du film plastique,

Spécialiste des mouvements sataniques et néonazis et membre de la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), Jacky Cordonnier ajoute une autre explication. « Le mois d’avril est traditionnellement une période faste : le 30 est à la fois l’anniversaire de la mort d’Adolf Hitler et de la fondation de l’“Église de Satan” aux États-Unis », rappelle-t-il.

 commet des exactions et des sévices sur les enfants, des prostituées, des clochards . Les enfants interrogés ont dessiné des hommes et des femmes tuant des enfants, les violantant et les violent! En outre , leurs dessins montrent ce groupe habillé avec des “toges”, montrent un symbole, un Triangle au milieu de l’habit.

Cette affaire étouffée révèlée par les enfants de M. Roche procéderait à des rites sataniques sous le couvert du secret.

«Le satanisme fait de plus en plus d'émules chez les jeunes ! Profanations, meurtres et actes déviants se multiplient depuis dix ans... Il faut savoir qu'une quinzaine d'enfants se sont suicidés dans la Région Nord-Pas-de-Calais, ces derniers mois. Et tous se revendiquaient satanistes !»
 

 

 

 

 

Jacques Cordonnier s'inquiète de ces «dérives religieuses». Ce spécialiste des mouvements sectaires, historien des religions, estime que les enfants sont à peine âgés d'une dizaine d'années lorsqu'ils se laissent séduire par cette doctrine. Et à peine des adolescents lorsque, pour certains d'entre eux, ils expriment ouvertement leur adhésion au satanisme par des actes violents ou criminels. Cet universitaire rappelle que, chaque année en France, pas moins de cinq cents faits divers sont attribués au satanisme. Un suicide soigneusement mis en scène par les jeunes filles : elles ont convié leurs camarades de classe à assister à leur défenestration ... On sait aujourd'hui qu'elles étaient adoratrices de Satan. Quelques jours avant de passer à l'acte, Julie écrivait dans son journal intime sur internet (un blog) : «Il y a une blessure qui saigne toujours ...» Des mots accompagnés d'une série de photos sadomasochistes de jeune fille enchaînée et muselée : la négation de la vie, l'apologie du mal.

«Le noir est seule couleur de référence ... L'attrait soudain pour les formes les plus dures du rock metal, les films d'épouvante, le vampirisme, une fascination pour les emblèmes païens, les tenues militaires, les croix celtiques, la présence répétée de scarifications et le refuge dans des écrits sublimant la mort sont autant de signaux d'alerte», informe Daniel Groscolas, président du Centre contre les manipulations mentales.

Des gamins, issus généralement de milieux favorisés, qui troquent leurs vieux Tintin pour la Bible satanique comme livre de chevet.

Le black metal revendique clairement sa filiation avec le diable. Le meilleur promoteur du satanisme est Marilyn Manson qui rassemble 5 millions de fans à travers le monde quand 300 sites internet lui sont consacrés !»

 Et si nous ne sommes pas convaincus, ajoute le père Domergue, il faut également notifier le poster géant exhibé sur la scène de ses concerts - plus de cent mètres carrés - d'un enfant crucifié et dépecé, littéralement écorché et pendant sur une croix non moins géante

 Suite !!

 

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