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dieux égyptiens !!! ÂNKH-CROIX ANSéE ! HELIOPOLIS ! PANTHEONS GREC ET ROMAIN

L'ânkh ou croix ansée (☥ unicode U+2625) est le hiéroglyphe représentant le mot ˁnḫ, qui signifie « vie ». Les dieux égyptiens peuvent le tenir par la boucle, ou en porter un dans chaque main, les bras croisés sur la poitrine. Ce symbole était appelé crux ansata en latin (« croix ansée »).

On trouve couramment l'ânkh comme logo rappelant l'Égypte antique.

Isis est le nom grec d'Aset (ou Iset), la déesse protectrice et salvatrice de la mythologie égyptienne. Elle fait partie de la grande Ennéade d'Iounou (Héliopolis).

COMMENTAIRES PERSONNELS :

HELIOPOLIS EST D'ORIGINE GRECQUE ET HELLéNIQUE,

VILLE DU SOLEIL, HELIOS : SOLEIL, POLIS : VILLE !

Isis semble avoir été aux temps anciens la personnification du trône ; son nom en hiéroglyphes Iset, signifie le siège. Dans les inscriptions, elle est représentée sous les traits d'une femme coiffée d'un siège (qui ressemble à un escabeau à trois marches).

Plus tard, sa représentation change ; on la voit comme une femme portant les cornes de la vache enserrant un globe lunaire (À ne pas confondre avec Hathor).

Isis et Horus
Musée du Louvre

 Attributs [modifier]

Isis prit l'aspect et les attributs de plusieurs autres déesses comme Serket, Hathor, Neith et Nout, pour les fondre en une seule et unique divinité.

Ses attributs, qu'elle partage avec d'autres divinités, sont :

  • l'ânkh, la croix ansée symbole de vie ;
  • le sistre et le collier menat d'Hathor ;
  • le disque solaire et les cornes d'Hathor ;
  • la coiffe en forme de vautour, attribut des déesses célestes ; avant d'être représentée avec la coiffe en vautour, elle portait une couronne en forme de trône royal.
  • le noeud Tyt, symbole de fécondité.

Panthéons grec et romain [modifier]

Statue d'Isis provenant de la Villa Adriana à Tivoli
Isis allaitant Harpocrate, statue romaine. Galerie Pio Clementino, Vatican

Les Grecs, puis les Romains, l'ont fait entrer dans leur panthéon respectif.

Grèce antique

Sous les Lagides, Isis franchit les frontières de l'Égypte. Elle fut assimilée à de nombreuses déesses grecques ou romaines telles que Déméter,  Perséphone, Diane de Dictys, Séléné, Cérès ou Minerve Cécropienne[1].

Rome antique

Rome l'adopta officiellement à l'époque impériale. À Pompéi, elle était adorée avec Osiris-Sérapis et Anubis. L'empereur Caligula était un dévot d'Isis. Dans sa villa à Tivoli, Hadrien fit construire un temple dédié à l'époux de la déesse, Osiris-Sérapis ; Caracalla édifia un temple d'Isis à Rome même.

Provinces romaines

Le culte de la déesse salvatrice se répandit dans les provinces romaines, autour de la Méditerranée, mais aussi en Pannonie, en Gaule, donnant parfois son nom à certains sites tel celui d'Izieux (Lieu d'Isis) au sud-ouest de Saint-Chamond dans le département de la Loire comme sur les bords du Rhin ou en Bretagne. Isis, dans ses Grands Mystères, assurait l'immortalité aux initiés[2]. Au Bas-Empire, seul le culte initiatique du dieu iranien Mithra surpassera le sien par le nombre des fidèles. Bien après l'avènement du christianisme, on continua à adorer Isis, dans le temple de Philaé et ailleurs. Son culte ne s'éteignit à Philaé que vers 535, sous l'empereur Justinien.

Isis est à l'origine d'un des mythes les plus riches de l'humanité, dont la tradition est restée vivante dans les arts et la littérature.

 

Lieux de cultes d'Isis

Peinture murale d'Isis
musée de Karnak (Égypte)
Article détaillé : temple d'Isis.

L'un des sanctuaires majeurs de la déesse en Égypte et ultime lieu de culte de la déesse est à Philaé. Il a été construit c. -380 à 100. La fermeture du temple est ordonnée par l'empereur Justinien en 550. Un autre sanctuaire majeur est le temple d'Isis à Behbeit El-Hagara.

Hors de l'Égypte, les temples se retrouvent ailleurs en Afrique, en Libye, Tunisie et au Soudan ; au Proche-Orient, en Jordanie, Turquie et au Liban ; ainsi qu'en Europe, en Grèce, Italie, France, Allemagne (Sanctuaire d’Isis et de Mater Magna à Mayence) et Espagne.Dans l'art égyptien

Miroir en forme d'ânkh issu de la tombe de Toutânkhamon

L'ânkh est utilisé fréquemment dans l'art égyptien, en particulier dans les peintures des tombes ; il apparaît souvent au bout des doigts d'une divinité, dans des images montrant les divinités de l'au-delà faisant le don de vie à la momie de la personne défunte.

Dans l'art amarnien, la croix ansée est portée par les rayons solaires (terminés par des mains), symbolique du soleil dispensant la vie sur Terre.

Ce symbole était souvent porté comme amulette par les Égyptiens, soit seul, soit en association avec deux autres hiéroglyphes, le sceptre ouas signifiant « force » et le hiéroglyphe symbolisant la « santé »,

 

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