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Hiéroglyphes Egyptiens Ovnis!?

N.P : J’ai rouvert l’enquête sur l’incident de la forêt de Rendlesham quand en décembre 1980, un OVNI a atterri près des deux bases militaires de la RAF de Bentwaters et de Woodbridge dans le Suffolk. Il y avait parmi les militaires témoins, le commandant adjoint de la base, le lieutenant-Colonel Charles Halt. Les tests concernant le niveau de radiation faits sur le site de l’atterrissage, par le personnel des services de renseignements du Ministère de la Défense, montraient un taux considérablement plus haut que la normale, et un croquis de l’OVNI, fait au même moment par un des militaires témoins, montrait clairement la structure d’un engin avec sur les côtés latéraux des marquages étranges, comme des hiéroglyphes égyptiens.

http://www.ufologie.net/rw/w/jessemarceljrf.htm

Source:

     

  • Lettre du Dr. Jesse Marcel Jr. à Bob Shell, ayant été diffusée parmi les chercheurs.

Lettre à M. Solomon, avec dessin des "tiges en I":

Jesse A Marcel, M.D., P.C.
Fellow, American Academy of Otolaryngology
Chirurgie de la Tête et du Cou

Cher Mr. Solomon:

Ce qui suit est une description générale du fragment qui a eu ce qui a semblé avoir une forme d'écriture sur sa surface.

Il y avait des séries de pattern géométriques en relief sur la surface intérieure d'un fragment formé comme un longeron en "I." Il n'y avait aucune figure animale reconnaissable telle que vues dans le hiéroglyphes égyptien mais les symboles ont ressemblé à des caractères de type hiéroglyphiques.

La majeure partie des débris a ressemblé à des morceaux d'un fuselage d'avion et le feuilles de sa couverture. Certains des débris n'étaient pas métalliques mais plutôt comme des morceaux de fragments en plastique noirs plus sombre que la feuille métallique.

La couleur des symboles était d'une tonalité métallique violette ou violacée. Evidemment les symboles ci-dessus ne sont pas une duplication exacte, mais c'est plus ou moins ce à quoi ils ont ressemblé comme je puis me le rappeler après plus de quarante ans.

 

PS J'ai montré le dessin ci-dessus à ma mère qui était également présente et elle a approuvé la description ci-dessus.

Source:

  • Lettre du Dr. Jesse Marcel Jr. au Dr. Solomon, en circulation parmi les chercheurs

Hiéroglyphe

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Écriture hiéroglyphique

Quelques hiéroglyphes
Hiéroglyphes sur le temple de Kôm Ombo

Caractéristiques
Type logogrammes et phonogrammes
Langue(s) ancien égyptien, moyen égyptien
Historique
Époque Du IVe millénaire avant notre ère au IVe siècle
Système(s)
dérivé(s)
hiératique, démotique
Encodage
ISO 15924 Egyp

Un hiéroglyphe[1] est un caractère de l’écriture égyptienne.

L’écriture hiéroglyphique est figurative : les caractères qui la composent représentent en effet des objets divers, — naturels ou produits par l'homme —, tels que des plantes, des figures de dieux, d'humains et d'animaux ... (cf. classification des hiéroglyphes). Les égyptologues y distinguent traditionnellement trois catégories de signes : les signes-mots (ou idéogrammes), qui désignent un objet ou, par métonymie, une action ; les signes phonétiques (ou phonogrammes), qui correspondent à une consonne isolée ou à une série de consonnes[2] ; les déterminatifs, signes « muets » qui indiquent le champ lexical auquel appartient le mot.

Apparue à la fin du IVe millénaire avant notre ère en Haute-Égypte‎ (sud du pays), l'écriture hiéroglyphique est utilisée jusqu’à l'époque romaine, soit pendant plus de trois mille ans. La connaissance des hiéroglyphes se perd avec la fermeture des lieux de culte païens par l’empereur Théodose Ier vers 380, et il faudra, après la découverte de la pierre de Rosette, le génie de Jean-François Champollion[3] pour briser, après quatorze siècles, ce qui paraissait être « un sceau mis sur les lèvres du désert »[4].

 

Les Égyptiens eux-mêmes nommaient leur écriture medou-netjer (« parole divine ») soit, en translittération, mdw nṯr :
R8 S43 Z3

Par extension, on qualifie souvent de hiéroglyphique une écriture utilisant le même principe logographique que l'égyptien. Ainsi, on parle du hittite ou du maya hiéroglyphiques. Il n'est cependant pas admis de dire des caractères chinois qu'ils sont des hiéroglyphes (ce sont des sinogrammes). Hiéroglyphes comme sinogrammes appartiennent à l’ensemble plus vaste des logogrammes (à ne pas confondre avec les logotypes, symboles propres à une entreprise ou à un produit.)

 

Histoire et évolution

Dernière inscription hiéroglyphique connue, porte d'Hadrien à Philæ

L'écriture hiéroglyphique est attestée dès la fin du IVe millénaire av. J.-C.[5], peu après l'apparition des caractères cunéiformes en Mésopotamie. Elle fut employée pendant plus de 3 000 ans : la dernière inscription connue à ce jour est datée du 24 août 394, et se trouve dans le temple de Philæ[6].

Dès l'Ancien Empire[7], l’égyptien hiéroglyphique fut un système d’écriture où se mêlaient idéogrammes, signes consonantiques (unilitères, bilitères, et même trilitères) et déterminatifs (voir plus bas). À partir de la XVIIIe dynastie, les scribes utilisaient un certain nombre de bilitères comme syllabaires (sȝ, bȝ, kȝ etc.) pour transcrire les noms sémitiques ou d’origine sémitique, mais l’écriture dite syllabique ne sortit jamais de ce domaine.

Quelle que soit leur fonction, les signes sont figuratifs : ils représentent quelque chose de tangible, souvent facilement reconnaissable, même pour quelqu'un qui ignore le sens du signe. En effet, pour le dessin des hiéroglyphes, les Égyptiens s'inspirèrent de leur environnement : objets de la vie quotidienne, animaux, plantes, parties du corps. À l'époque de l'Ancien, du Moyen et du Nouvel Empire, il existait environ sept cents signes hiéroglyphiques, alors qu'à l'époque gréco-romaine, on en dénombrait plus de six mille.

Les hiéroglyphes furent gravés sur pierre ou bien, dans le cas de l'écriture hiératique, tracés au calame et à l'encre sur un support moins durable.

L'utilisation des hiéroglyphes gravés se limitait aux domaines où l'esthétique et/ou la valeur magique des mots avaient de l'importance : formules d'offrandes et fresques funéraires, textes religieux, inscriptions officielles.

Après le temps consacré au développement du système d'écriture de type hiéroglyphique, quatre autres stades d'évolution (et de simplification progressive) de cette écriture peuvent être distingués : après le stade hiéroglyphique vient le stade des hiéroglyphes linéaires ; puis vient celui de l'écriture hiératique ; vient ensuite celui de l'écriture démotique ; enfin, vient le copte, comme dernière étape du processus d'abstraction et de simplification.

Une première simplification du système d'écriture égyptien est qualifié par les égyptologues de hiéroglyphes linéaires. Ceux-ci conservent l'aspect figuratif des hiéroglyphes gravés, mais furent tracés avec moins de précision que ces derniers ; ils ont par ailleurs constitué un premier pas vers l'abstraction de ce système de représentation. Ils furent peints sur les sarcophages en bois et les papyrus des « Livres des morts ».

L'écriture hiératique, troisième stade de l'évolution du système d'écriture égyptien, en constitue la forme cursive. Réservée aux documents administratifs et aux documents privés, elle avait pour support le papyrus, les ostraca (tessons de poterie ou de calcaire), le parchemin ou encore des tablettes de bois.

 À partir de l'époque saïte (XXVIe dynastie), l'hiératique fut partiellement supplanté par une nouvelle cursive, le démotique. Il s'agit d'une simplification extrême de l'écriture hiératique, réservée aux actes administratifs et aux documents de la vie courante, d'où son nom d'écriture « populaire ». L'hiératique n'était alors plus utilisé que pour consigner des textes religieux ou sacerdotaux, conjointement avec les hiéroglyphes, d'où son nom d'écriture « sacerdotale ».

 

Le système d'écriture

Reproduction de la pierre de Rosette

Les hiéroglyphes gravés sont tous, ou peu s'en faut, figuratifs : ils représentent des éléments réels ou imaginaires, parfois stylisés et simplifiés, mais parfaitement reconnaissables dans la plupart des cas.

Champollion, le déchiffreur des hiéroglyphes, considéré comme le père de l'égyptologie, définit le système hiéroglyphique comme suit :

« C'est un système complexe, une écriture tout à la fois figurative, symbolique et phonétique, dans un même texte, une même phrase, je dirais presque dans un même mot[9]. »

En effet, un même caractère peut, selon le contexte, être interprété de diverses manières : comme phonogramme[10] (lecture phonétique), comme idéogramme ou comme déterminatif (lecture sémantique). Nous verrons plus loin que le déterminatif, qui ne se lit pas, facilite la lecture en « déterminant » le champ lexical auquel le mot appartient : ainsi, le déterminatif de l'« homme assis » (A 1 d'après la classification de Gardiner) accompagne les mots désignant la fonction (« vizir », « prêtre »), la profession (« artisan »), l'ethnie (« Asiatique », « Égyptien », « Libyen », « Nubien ») ou encore les liens de parenté (« père », « fils », « frère »).

Dans les parties qui suivent, les hiéroglyphes seront translittérés, c'est-à-dire retranscrits à l'aide de symboles d'un autre système d'écriture.

 Le maya classique, lingua franca des anciens mayas et anciennement (IVeXe siècles) parlé dans les basses terres centrales est la langue écrite par le biais de hiéroglyphes sur les monuments et objets d'art des sites archéologiques mayas.

L 'écriture hiéroglyphique est attestée dès la fin du IVe millénaire av. J.-C.[5], peu après l'apparition des caractères cunéiformes en Mésopotamie.

 

Les sinogrammes (ou caractères chinois) sont les unités de l'écriture logographique chinoise han.

L'effectif précis des sinogrammes existants est disputé. Les estimations vont de 40 000 à plus de 60 000 si on prend en considération leur nombre sur la durée totale d'existence de l'écriture chinoise (les 3/4 sont des variantes graphiques (異體字) qui ne sont plus utilisées), le chinois courant requiert la connaissance de 3 000 à 5 000 sinogrammes et le japonais de 2 000 à 3 000. Le nombre de graphèmes ( 筆素 bǐ sù) par sinogramme est compris entre un (一,乙) et trente six ( 齉 Nàng) pour ce qui est de l'écriture simplifiée (簡體字 jiǎntǐzì) en usage en République Populaire de Chine et à Singapour. Taiwan et Hong Kong, quant à eux, utilisent toujours l'écriture que les occidentaux appellent « traditionnelle » et que les Chinois désignent par le terme 繁體字 fántǐzì qui signifie « écriture compliquée ».

 

Sinogramme

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Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Sinogramme (homonymie).

 L’akkadien, langue vernaculaire

L’akkadien a été la langue vernaculaire des peuples sémites de Mésopotamie au moins depuis le IIIe millénaire. Son aire de diffusion inclut la Basse-Mésopotamie, la Susiane et la Mésopotamie centrale, où se parle ce que l’on appelle traditionnellement le « babylonien » (parce que parlé dans le royaume babylonien du IIe millénaire, même s'il est présent dans d‘autres royaumes durant les périodes précédentes), tandis que plus au nord est parlée la deuxième grande variante de l’akkadien, l’ « assyrien » (attesté par les sources venant d'Assyrie). Ces deux formes de l’akkadien restent assez proches et connaissent des évolutions parallèles (voir plus bas).

 C'est le caractère idéographique de la majorité de ses signes qui explique que le système cunéiforme comprenne autant de signes, en dépit du fait qu'un bon nombre d'idéogrammes aient aussi une ou plusieurs valeur(s) phonétique(s) ou bien d'autres valeurs idéographiques.

Exemples d'idéogrammes cunéiformes (graphie paléo-babylonienne)
Il existe cependant certains mots (écrits phonétiquement ou idéographiquement) pour lesquels le déterminatif est toujours utilisé, comme les noms de certaines villes (déterminatif postposé KI). Certains déterminatifs sont directement inclus dans le signe. Une autre catégorie de déterminatifs est de type grammatical, servant par exemple à marquer le pluriel, en sumérien ou avec des sumérogrammes uniquement.
Exemples de déterminatifs cunéiformes (graphie paléo-babylonienne).

Bien qu’il ne s'agisse pas d'une évolution du système cunéiforme, mais plutôt de celle de l’écriture hiéroglyphique (dont l'alphabet ougaritique est une simplification, puisqu’il ne garde que ses principes phonétiques), il y eut dès l’élaboration des premiers alphabets chez les peuples ouest-sémitiques des formes utilisant la graphie cunéiforme. La plus ancienne forme alphabétique est cependant linéaire selon toute vraisemblance. Si l’alphabet ougaritique est le seul exemple connu (hormis peut-être quelques documents difficiles à identifier), il n’est en fait peut-être pas la plus ancienne de ces formes d’écriture alphabétiques cunéiformes.

L’alphabet ougaritique a été traduit dès l’entre-deux guerres, et a fourni une documentation très abondante. C’est la mieux connue des toutes premières formes d’alphabet. Les plus anciens documents datent du XIVe siècle av. J.-C., et les derniers sont du début du XIIe siècle. Il reprend les principes de tous les alphabets ouest-sémitiques : écriture uniquement des consonnes et des semi-consonnes, et donc exclusion des voyelles. Mais, à l’imitation de l’écriture cunéiforme « idéographico-syllabique », il se lit de gauche à droite.

Les caractères de l'alphabet ougaritique
Un dragon surplombe la pierre et les écritures !!
La redécouverte des inscriptions cunéiformes à l'époque moderne
Le « cailloux Michaux », ramené de Bagdad en 1782 par André Michaux.

À l'époque moderne, plusieurs voyageurs Occidentaux s'aventurent au Moyen-Orient et notamment en Mésopotamie, où ils découvrent des exemplaires de l'écriture cunéiforme, qui par son caractère mystérieux peine à être vue par leurs yeux comme une forme d'écriture[25]. Pietro Della Valle, originaire de Rome, est le premier à recopier des inscriptions cunéiformes sur le site de Persépolis en 1621. En 1771, le danois Carsten Niebuhr ramène également des copies d'inscriptions cunéiformes de son voyage en Mésopotamie et en Perse. En 1786, le botaniste français André Michaux achète à Bagdad un kudurru babylonien déposé à la Bibliothèque nationale de France, qui porte depuis le surnom de « cailloux Michaux ». De la même façon, quelques objets portant des signes cunéiformes arrivent en Europe, où ils suscitent l'intérêt de certains savants, qui commencent à chercher à percer leurs mystères.

Premiers jalons pour un déchiffrement

Les premiers éléments pour la traduction du cunéiforme sont avancés en 1802 par un philologue allemand, Georg Friedrich Grotefend. Utilisant l'intuition de certains de ces prédécesseurs qui avaient émis l'hypothèse que certaines des inscriptions venues de Perse dataient de la période des rois Achéménides, il analysa certaines inscriptions de Persépolis en devinant qu'il s'agissait d'inscriptions royales, puis isola le terme le plus courant, qu'il identifia comme signifiant « roi » ; il identifia également les groupes de signes voisins du précédent comme étant le nom des rois, en se basant sur les noms connus par les historiens grecs antiques (Cyrus II, Cambyse, Darius Ier, Xerxès). Il put ainsi tenter d'attribuer des valeurs phonétiques à certains signes. Mais il fallait identifier la langue des textes : Grotefend voulait y voir du vieux-perse, ce qui était juste, mais il voulut le lire en utilisant la grammaire de l'Avesta, connu en Europe depuis son édition entre 1768 et 1771 par Abraham Hyacinthe Anquetil-Duperron. Or la langue avestique est différente bien que proche du vieux-perse des inscriptions achéménides. Au final, Grotefend identifia une dizaine de signes, avancée considérable, mais il ne put poursuivre plus loin car il s'enferma dans une série d'erreurs qui l'empêchaient d'améliorer ses premiers résultats[26]. Ses réussites dans le déchiffrement du cunéiforme ne furent d'ailleurs pas bien reçues à la Société des sciences de Göttingen, qui n'avait pas su reconnaître ses mérites.

Ce lien permet d'aggrandir l'image, des géants dominent sur des esclaves ou prisonniers!

  http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Bisotun_Iran_Relief_Achamenid_Period.JPG  

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