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L'Homme !! Taille !!??

Homo sapiens est un primate dont la caractéristique physique la plus manifeste est sa station debout : la colonne vertébrale est redressée et les membres antérieurs ne s'appuient pas sur le sol.

La hauteur d'un individu adulte est généralement comprise entre 1,40 et 2 m. Cet écart peut néanmoins s'étendre d'environ 80 cm à environ 2,50 m, dans les deux extrêmes du nanisme et du gigantisme. Le poids moyen est d'environ 80 kg.

Régime alimentaire

Le blé, une des principales céréales domestiquées par l'homme

Homo sapiens, bien que dépourvu de l'aptitude à digérer la cellulose, est omnivore.

Initialement chasseurs-cueilleurs, les humains forment depuis le Néolithique des sociétés de producteurs basées sur l'agriculture et l’élevage.

De nos jours, les hommes consomment des aliments très diversifiés, qu'ils soient d'origine végétale ou animale. La base de leur alimentation est toutefois constituée de féculents, issus en particulier de trois céréales: le blé, le maïs et le riz.

Une particularité de l'alimentation humaine est que la plupart des aliments sont cuits, et en particulier la viande. Outre la facilitation de la digestion, la cuisson améliore l' innocuité bactériologique des aliments.

L'humain possède une appétence prononcée pour certaines saveurs, notamment le salé et le sucré, que l'on retrouve normalement assez peu dans les aliments naturels.

Dès le Néolithique, la plupart des sociétés humaines ont saisi l'intérêt de faire fermenter des jus de fruits divers ou autres solutions végétales, afin d'en obtenir une boisson alcoolisée.

L'ensemble des habitudes alimentaires de chaque culture est regroupé sous le terme de gastronomie.

Influences des conquêtes

Scène de sacrifice. À droite le célébrant revêtu de la toge en a rabattu un pan sur sa tête selon l'usage religieux. L'homme qui le suit porte la toge normalement, épaule droite libre.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Esp%C3%A9rance_de_vie_humaine

Évolution

 

 
Evolution de l'espérance de vie entre 1978 et 1998.
     Pays pour lesquels l'espérance de vie a augmenté de plus de dix ans.      Pays pour lesquels l'espérance de vie a diminué.

Depuis le début du XIXe siècle, période où l'espérance de vie des Français était au plus bas avec une moyenne de 33 ans (François de Closets, 1970, p. 201), celle-ci n'a cessé d'augmenter. De 1900 à 2000, l’espérance de vie en France (moyenne hommes et femmes) est passée de 48 à 79 ans soit une hausse de 65% en un siècle seulement. Cette avancée a été le résultat de nombreux progrès :

Les causes individuelles ont également joué un rôle dans l’augmentation de l'espérance de vie. La prise de conscience de l’importance de la prévention a modelé les comportements : diminution de la consommation d’alcool, hygiène, asepsie, prise de conscience de l’importance de l’activité physique et de l’équilibre alimentaire pour la santé.

Aujourd'hui, la prévention des risques de santé par l'individu constitue le moyen le plus efficace pour permettre la poursuite de l'augmentation de l'espérance de vie dans les pays développés. Or, il semble qu'une compression de la morbidité se produise effectivement : c'est-à-dire que les individus vivent de plus en plus longtemps sans présenter d'incapacités ou de dépendances.

Cependant, comme le fait remarquer la philosophe Hannah Arendt, l'espérance de vie n'augmente en Occident que par rapport à la période des débuts de l'industrialisation, particulièrement nocive pour la vie humaine. En revanche si l'on considère une durée plus longue, les données que nous possédons sur les anciens à Rome et en Grèce montrent que ces derniers vivaient communément jusqu'à 70 ou 80 ans sans considérer la mortalité des moins de dix ans et des esclaves (en les comptant, l'espérance de vie chute à environ 12 ans, ce qui est beaucoup moins qu'à l'ère industrielle). De même, de nombreux groupes humains traditionnels ont une espérance de vie similaire aux sociétés occidentales sans que cela puisse être attribué à la médecine moderne, comme en Kabylie ou en Arménie (Hannah Arendt, 1953, La Condition de l'homme moderne, p. 183) (Toutefois, il n'y a aucune preuve que ces gens disent leur véritable âge et de toute manière, il s'agit d'une moyenne des âges, pas d'une mesure de l'espérance de vie et cette dernière était malgré tout meilleure en 1900 qu'en 1750 [2]. ). En outre, de nombreuses études suggèrent que chez les groupes humains adoptant des modes de vie "civilisés", la fréquence des infections augmente plutôt qu'elle ne diminue (Edouart Goldsmith, 1994, Le Défi du XXe siècle, p. 261). Ces auteurs supposent donc que les progrès scientifiques et techniques résolvent des problèmes par la médecine qu'ils ont eux-mêmes créés par la modernisation des modes de vie (Serge Latouche, 1995, La Mégamachine, raison techno scientifique, raison économique et mythe du progrès, p.89).

Différence entre hommes et femmes

Le fait que l'espérance de vie des hommes soit de beaucoup inférieure à celle des femmes dans la plupart des pays « suscite la réflexion et [...] questionne » les chercheurs, qui tentent des explications[4].

Facteurs déterminants

Une équipe de chercheurs de l'université de Cambridge (Royaume-Uni), en partenariat avec le Medical Research Council, a mené une enquête sur 20 244 individus pendant 14 ans (entre 1993 et 2007), dont 1 987 sont décédés en cours d'enquête, afin de déterminer l'impact du mode de vie sur l'espérance de vie[5]. L'étude conclut que le "mode de vie idéal" - absence de tabac, consommation d'alcool égale ou inférieure à un demi verre par jour, consommation de 5 fruits et légumes par jour, exercice physique d'une demi heure par jour - majore l'espérance de vie de 14 ans par rapport au cumul de quatre facteurs de risque[6]. Le cumul des quatre facteurs de risque (tabac, alcool, manque de fruits et légumes et d'exercice physique) multiplie le risque de décès par 4,4, trois facteurs, de 2,5, deux facteurs de près de 2 et 1 facteur de 1,4. Selon le professeur Kay-Tee Khaw, premier signataire de l'étude, « c'est la première fois que l'on analyse l'effet cumulé des facteurs de risque sur la mortalité. »[6].

Une évolution future incertaine

Alors que les projections de l'Insee et l'ONU prédisent une évolution vers le haut, certaines études[7] contredisent ce scénario. Elles relèvent principalement

la non prise en compte de phénomènes considérés comme des "bombes à retardement" que sont l'obésité, les maladies dues à l'amiante, le tabagisme et les impacts des produits phytosanitaires et de la pollution sur la santé (augmentation impressionnante et avérée du nombre de cancers).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Esp%C3%A9rance_de_vie_humaine

 

 

Suite !!

 

 

 

 

 

 

 

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