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Vaticanus ??!! CODEX VATICANUS B, CODEX VATICANUS 3773

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Borgia#cite_note-Seler-1

Le groupe Borgia est le nom donné à un ensemble de codex mésoaméricains de thématique et surtout de style communs : les codex Borgia, Cospi, Fejérváry-Mayer, Ixtlilxochitl, Laud, Vaticanus A et Vaticanus B. On suppose qu'ils ont été réalisés dans une région s'étendant des actuels États mexicains de Puebla (au sud) à Tlaxcala (au nord)[1].

On distingue différents types de codex en fonction de leur provenance : les codex aztèques de la vallée de Mexico, les codex mixtèques de la Mixteca, les codex du groupe Borgia de la région de Puebla-Tlaxcala et les codex mayas de la zone maya. La plupart d'entre eux proviennent du Mexique central, dans la zone linguistique nahua[1].

http://www.microsofttranslator.com/BV.aspx?ref=IE8Activity&a=http%3A%2F%2Fen.wikipedia.org%2Fwiki%2FCodex_Vaticanus_B

http://en.wikipedia.org/wiki/Codex_Vaticanus_B

Codex Vaticanus B, également connu sous le nom du Codex Vaticanus 3773, est un rituel aztèque et le document divinatoires. Il est membre du Groupe Borgia des manuscrits. Il contient les 49 feuilles, 48 d'entre eux sont peints sur les deux côtés.

Histoire

Le lieu d'origine est la région de Choluli de Puebla, Tlaxcala, au Mexique. Il est un des plus grands Codex Borgia Group. Écrites dans la langue nahuatl, elle a été faite dans la peau d'un animal. Actuellement il est logé à la Bibliothèque du Vatican.

Il a été traduit par Eduard Seler et publié en 1902 à Londres.

 Contenu

Codex Vaticanus, décrits avec détails jour 260 rituel cycle calendrier aztèque appelé tonalpohualli (nombre de jours...

http://bib18.ulb.ac.be/cdm4/browse.php?CISOROOT=%2Fshu002&CISOSTART=1,161&CISOSORT=subjec%7Cf

http://bib18.ulb.ac.be/cdm4/item_viewer.php?CISOROOT=/shu002&CISOPTR=1039&REC=7

http://bib18.ulb.ac.be/cdm4/item_viewer.php?CISOROOT=/shu002&CISOPTR=1035&REC=3

 

L'État de la Cité du Vatican est un État enclavé dans la ville de Rome en Italie, support territorial du Saint-Siège.

La cité se situe sur ce que l'on appelait dans l'antiquité l'ager Vaticanus qui se compose d'une petite plaine (la plaine vaticane) aux bords du Tibre, se relevant à quelque distance en une colline d'une faible élévation, les Monts Vaticani (colline Vaticane). Selon les étymologistes anciens, ce nom de Vaticanus tirerait son origine du mot « Vaticinium » (« oracle »), parce que beaucoup de devins auraient résidé de ce côté. D'autres parlent d'une ville étrusque nommée Vaticum, qui aurait jadis existé à cet endroit.

Dès avant la naissance de Jésus, furent construites quelques villas, bâties autour de « jardins impériaux » qui furent propriété d'Agrippine. Le fils de cette dernière, l’empereur Caligula (37-41 ap. J.-C.), y fit réaliser un cirque privé, le Circus Vaticanus, dont l'actuel obélisque du Vatican constitue un de ses seuls vestiges. C’est là, ainsi que dans les jardins adjacents, qu’eut lieu le martyre de nombreux chrétiens de Rome à l’époque de Néron (54-68). Saint Pierre fut enterré au nord de ce cirque, dans une nécropole qui longeait une route secondaire, la via Cornelia. Sur le lieu de sa sépulture, l’empereur Constantin fit édifier entre 326 et 333 une basilique grandiose à l'emplacement du site de l'ancien cirque romain qui fut alors démoli. L'édifice fut substitué par la basilique actuelle au cours des XVIe et XVIIe siècles.

L'obélisque du Vatican est un obélisque égyptien, transporté à Rome par Caligula pour orner la spina de son nouveau cirque du Vatican. Il se trouve aujourd’hui au centre de la place Saint-Pierre.

Un obélisque (nom masculin, du grec ὀϐελίσκος (obeliskos), « brochette à rôtir »[1]) est un monument monolithe élevé, utilisé notamment dans l'architecture sacrée de l'Égypte antique.

Il est composé de trois parties :

  • un piédestal, qui assure l'équilibre de l'ensemble,
  • un fût quadrangulaire s'amincissant vers le sommet,
  • une cassure de la pente au sommet pour obtenir la forme d'une pyramide, c'est le pyramidion.

Égypte

Benben est le nom égyptien désignant l'obélisque. D'après les Héliopolitains, se serait manifesté sous cette forme pour la première fois et l'obélisque serait un rayon de soleil figé. C'est certainement selon cette symbolique que le pyramidion était recouvert de feuille d'or.

On a pu retrouver la trace d'une cinquantaine d'obélisques au moins, dont la plupart se sont conservés ou ont été restaurés ; ces monolithes ont souvent été déplacés et ce depuis l'antiquité, d'abord par les pharaons eux-mêmes (voir l'exemple de Tanis) puis par les souverains lagides pour orner leurs monuments alexandrins et enfin, emportés hors d'Égypte comme trophées par les empereurs romains. Au XIXe siècle le gouvernement égyptien offrit aux grandes capitales du monde certains de ces colosses de pierre qui ornent désormais de célèbres places ou des parcs.

L’obélisque, lui, eut un sort des plus heureux, puisqu’il est le seul, dans la ville romaine, à n’être jamais tombé. Il resta fièrement dressé à sa place d’origine qui selon une tradition immémoriale, marquait le lieu approximatif du martyre de l'apôtre Pierre, à quelques mètres au sud du chevet de la basilique constantinienne, puis de l’actuelle. On a retrouvé, lors de fouilles, les vestiges de son soubassement, près de l'actuelle sacristie.

Le centre de la place Saint-Pierre

Place Saint-Pierre : réérection de l'obélisque en 1586.

Délaissés au Moyen Âge, les obélisques furent oubliés. C'est le pape Sixte Quint qui décida de transporter et restaurer ces symboles de l'Antiquité afin de les mettre en évidence devant les principaux édifices religieux romains. Il fit déplacer celui-ci en 1586 jusqu’au centre de la place Saint-Pierre. L'architecte Domenico Fontana construisit des machines de bois pour coucher l’obélisque, le transporter sur environ 300 mètres et le réériger. Cela ne prit que quatre mois : ce fut un exploit technique, du jamais vu depuis l’Antiquité. Ce n'est qu'au siècle suivant, en 1660, que Le Bernin réaménagea la place Saint-Pierre sous l'aspect que l'on connaît aujourd'hui, avec ses deux colonnades identiques au nord et au sud, autour du monolithe historique.

Poids, dimensions

La machine de Domenico Fontana.

Il est constitué de granite rouge de Syène (Assouan). Sa hauteur atteint 25 m : il est par sa taille le deuxième obélisque après celui du Latran, transporté à Rome trois siècles plus tard.

Épigraphie

L'obélisque du Vatican est dépourvu de toute inscription hiéroglyphique égyptienne, mais il n'est pas strictement anépigraphe : il comporte sur deux de ses faces une dédicace à Auguste et à Tibère, due à Caligula.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordalie

 

Suite !!

http://www.noella1.com/pages/le-testament-de-l-esprit.html

 

 

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