Triangle Belgique 1989

 

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pour La PREPARATION DE  Son Peuple 2011 Noella.

Emission Mystere "Ovni en Belgique"​

https://www.youtube.com/watch?v=Wj_aF6LUIL8

Bienvenue sur le site

 de l'inimaginable !!!

 

Les signes des temps voudraient vous

apporter quelques sujets originaux et un

peu surnaturels et qui mettent en

lumière des évènements surprenants !

La vague belge différente ???

Contexte:
Depuis le début de décembre 1989,des phénomènes curieux ont été régulièrement remarqués dans l'espace aérien belge. La force aérienne dispose d'un certain nombre de témoins oculaires dont la plupart ont été renseignés par la gendarmerie. Les stations radars de la Force aérienne ne purent en aucun cas confirmer, jusqu'au 30/31 mars 1990, ces observations visuelles, et la présence des OVNI ne put jamais être établie par les avions de chasse envoyés à cette fin. L'état-major de la Force aérienne a pu présenter un certain nombre d'hypothèses concernant l'origine de ces OVNI.


a. En contradiction avec d'autres observations signalées d'OVNI, pour la première fois a été observé positivement un contact radar en corrélation avec différents senseurs de la Force aérienne (CRC, TCC, RAPCON, EBBE et radar F-16) et cela dans la même zone que les observations visuelles. Ceci est à expliquer par le fait que les OVNI du 30/31 mars ont été noté à une altitude de +/- 10 000 pieds, alors que dans le cas précédents il était toujours question de contacts visuels à très basse altitude.

b. Les témoignages à vue, sur lequel ce rapport se base partiellement, ont été faits par des gendarmes en service et leur objectivité ne pourrait être mise en doute.

Le 29 novembre 1989.

Ce sont deux gendarmes de la brigade d'Eupen qui seront les deux premiers témoins officiels de la vague.

 C'est le scoop du ciel. Ces deux écrans sont les témoins incontestables d'une rencontre de la science et de la fiction. Pour la première fois, l'armée de l'air belge accepte de divulguer les images d'un ovni intercepté par ses pilotes de F-16. Ces informations ont été enregistrées dans la nuit du 30 au 31 mars. C'est leur précision et leur clarté qui ont poussé le ministère de la Défense à engager un matériel considérable dans la gigantesque chasse à l'ovni qui s'est déroulée, cette fois sans succès, pendant tout le week-end de Pâques. PARIS MATCH vous permet, derrière les chiffres et les symboles de ces documents exceptionnels, de découvrir et de décrypter les incroyables performances de ces objets volants bien réels mais qui n'ont toujours pas été identifiés. Nous ne sommes peut-être pas les seuls au monde.

 Mais alors, que se passe-t-il en ce moment, quelle est la raison de ces révélations?

- Nous vivons à une époque qui commence à être celle de la transparence. Après le mur de Berlin, le mur du silence est en train de s'effondrer. S'agissant du phénomène ovni, nous entrons dans une phase complètement différente des précédentes. C'est la fin du mercantilisme et du charlatanisme. Les véritables scientifiques entrent en scène. Regardez les travaux du professeur Meessen ..."

La presse s'est étonnée de l'insuccès de cette chasse pascale. Tout s'explique maintenant. On ne peut pas dire que l'ovni n'était pas au rendez-vous, puisqu'il y eut des observations au sol; mais, si l'engin est reste à moins de 200 mètres d'altitude, il était indécelable par les radars.

Maintenant, les témoignages se raréfient. Mais les questions demeurent. Comme elle est déconcertante, cette vague d'ovnis belges? D'abord, pourquoi la Belgique? Pourquoi ces milliers de témoignages en six mois? Pourquoi, dans les décennies précédentes, les témoins faisaient-ils état d'atterrissages alors que ces ovnis-là ne se posent pas? Pourquoi des machines triangulaires (plus de 90 % des témoignages)? Autant de questions pour l'instant sans réponses.

L'idée de surfaces supraconductrices est parfaitement compatible avec le fait que les OVNI classiques ont été détectés assez souvent par les radars. Ce fait est connu depuis longtemps23,24 et certains cas plus récents le confirment de manière spectaculaire (I.352-355). Mon étude a révélé cependant que les OVNI de la vague belge étaient très difficilement détectables par les radars. Cela veut dire, en fait, que la surface de ces OVNI n'est pas électriquement conductrice. Il ne s'agit ni d'un métal ni d'un supraconducteur ! L'étude sur la détection radar des OVNI m'a donc conduite finalement à une information sur une propriété physique importante des OVNI de la vague belge.

Il faut évidemment qu'elle puisse être corrélée av

ec d'autres informations. or, nous savons que les OVNI de la vague belge étaient différents des OVNI classiques. Ce n'étaient pas des objets à symétrie axiale, mais des plates-formes à 3 ou 4 coins, dotées d'énormes "phares". Ceux-ci projetaient des "faisceaux lumineux" vers le bas. Je ne dis pas que c'étaient des faisceaux de lumière, puisqu'il est parfaitement possible qu'il ne s'agissait pas de lumière émise par les phares. Certains faits que j'expliciterai dans le prochain numéro d'Inforespace indiquent en effet que ces "phares" servent à ioniser l'air. J'ai également des arguments théoriques qui justifient l'idée que ces faisceaux pourraient correspondre à des ondes de plasma d'un type très particulier. Pour l'instant, ce n'est qu'une hypothèse de travail, mais elle est justifiée par des lois physiques connues et elle rend compte d'une ionisation de l'air dans tout le volume du faisceau. Les recombinaisons des particules chargées provoquent alors une émission de lumière visible et ces ondes de plasma fournissent un autre moyen de propulsion, cette fois-ci purement électrique!

S'il n'y avait pas de champ magnétique oscillant, on comprendrait pourquoi les OVNI de la vague belge n'ont pas produit des "effets électromagnétiques". Bien que les OVNI de la vague belge aient été observés assez souvent à basse altitude au-dessus des autoroutes et des villes, je ne connais pas de cas où les moteurs des voitures se seraient arrêtés et où leurs systèmes électriques auraient été perturbés. Or, il est hautement probable que ces effets sont produits par les disques volants, à cause du champ magnétique oscillant qui les entoure. Si les OVNI de la vague belge n'avaient pas besoin d'un champ magnétique oscillant, leur surface ne devait pas être supraconductrice. Elle pouvait être électriquement isolante et dans ce cas, la rétrodiffusion des ondes radar devait être faible, sans être nulle. Cela peut expliquer la figure 16, en même temps que la rareté des détections radars d'OVNI pendant la vague belge, bien que j'y avais consacré beaucoup d'effort et d'attention.


Dix-huit mois d'observations et de témoignages ininterrompus. Le Phénomène a pris une ampleur telle que scientifiques, militaires et civils belges ont décidé d'unir leurs efforts. Pour traquer cette millénaire énigme de l'univers: l'ovni

"- Des cas comme celui là nous en avons des centaines. Avec des témoins fiables qui, à plus de 90 % décrivent, sans le savoir, sans se connaître ni s'être concertés le même objet triangulaire, avec un énorme phare à chaque angle."

Dans le bureau de la Sobeps, à Anderlecht, Lucien Clerebaut ouvre des placards, des tiroirs, sort les dossiers. Lui-même témoin l'an dernier, il n'entend pas lâcher le morceau. Vingt ans de bénévolat et la chance d'être, cette fois, en première ligne en Belgique. Car l'affaire est d'importance: les descriptions, toutes concordantes, font état d'un objet de cinquante à cent mètres d'envergure!

L'épaisseur du triangle? Près de deux étages! Et des déplacements ou sustentations inexplicables. Un mystère à éclaircir. Ne serait-ce, ajoute Clerebaut, que pour savoir "ce que signifie cette violation quasi quotidienne de notre espace aérien."

Un problème qui a dû "chatouiller", bien entendu, les ministères de la Défense et de l'intérieur. Des notes officielles, et loin d'être tenues secrètes, en attestent. D'autant que l'armée détient les "preuves" d'un phénomène encore inexpliqué: les films de cinémitrailleuses de chasseurs F16 mis en alerte et envoyés en interception d'échos radars suspects depuis la base de Beauvechain. Neuf tentatives "de verrouillage" de l'objectif (lock on) ont été tentées par les F16. Trois ont réussi, dont nous publions les photos. A chaque fois, l'approche par les chasseurs a provoqué une brutale modification dans le comportement de l'objet.

 

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